n° 11077 | Fiche technique | 47626 caractères | 47626Temps de lecture estimé : 28 mn | 03/01/07 |
Résumé: Un coup de foudre incroyable. | ||||
Critères: fh vacances campagne amour voir noculotte fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fsodo mélo | ||||
Auteur : Chercheur d'absolu (H35 s'essaye aux histoires d'amour sans tabou) |
Eric était parti depuis treize ans à la capitale pour travailler comme ouvrier dans une usine de plastique. Il était resté célibataire, à trente et un ans, malgré quelques belles histoires qui auraient pu changer sa vie. Mais aucune d’elles ne l’avait satisfait complètement. Il ne savait pas ce qu’il recherchait réellement dans une relation, mais le manque de fantaisie était ce qui lui avait manqué dans les précédentes, ainsi que la complicité, le partage, la tendresse et surtout la compréhension mutuelle lui semblaient nécessaires à son équilibre. En fait, il n’avait pas trouvé la femme de sa vie, celle qui bouleverserait son existence.
Il était resté physiquement assez jeune, malgré une tonsure naissante, et les yeux verts qu’il tenait de son père lui donnaient un certain charme qui ne laissait pas les femmes indifférentes. Il venait d’arriver chez sa mère, pour les vacances, dans son petit village natal situé dans les profondeurs du Cantal. Thérèse, sa mère, était fermière et vivait d’une petite rente depuis le décès de son mari. Pour mettre du beurre dans les épinards, elle vendait, grâce à des voisins maraîchers, un peu des produits de son jardin, quelques œufs, quelques lapins et volailles, parfois des confitures faites à la maison.
Eric, en arrivant, vit la tente igloo plantée dans le fond du pré. Il questionna sa mère qui lui dit que c’était une touriste allemande, arrivée la semaine précédente en train puis à pied de la ville située à 10 kilomètres, et qui lui avait demandé si elle pouvait camper sur son terrain pour le temps de ses vacances. Elle rajouta que c’était une brave jeune fille très jolie qui lui achetait des fruits et des légumes. Elle s’appelait Kristia. Eric approuva de la tête et rentra ses bagages dans la maison.
Ce soir-là, Thérèse avait préparé du lapin pour le plaisir d’Eric qui n’avait jamais l’occasion d’en manger à la Capitale. À peine le repas commencé que quelqu’un frappa à la porte. Thérèse se leva et se dirigea vers la porte de la cuisine qui donnait sur la cours de la ferme.
Effectivement c’était elle.
Quand elle entra, Eric leva les yeux et quand il la vit son cœur bondit dans sa poitrine. Il avait en face de lui une fille magnifique, d’au moins un mètre soixante-quinze, très blonde, avec un regard d’un bleu marin qui lui donnait de la profondeur. Il faillit s’y noyer, surtout qu’elle le regardait également dans les yeux, comme en ont l’habitude les filles du nord de l’Europe. Le temps suspendu parut durer une éternité. Puis elle dit avec un accent à peine prononcé :
Eric se leva, serra la main blanche et douce que cette beauté du froid lui tendait, tout en continuant de la regarder profondément.
Eric se retourna vers sa mère, interloqué. Elle ne répondit pas à son regard, mais proposa à Kristia de s’asseoir. Celle-ci s’installa en face d’Eric et tout de suite vit le lapin sur la table.
Thérèse mit un couvert pour la jeune femme et Eric lui servit un bon morceau de lapin, celui que sa mère lui réservait habituellement, ce qui n’échappa pas à Thérèse, mais qui, en toute discrétion paysanne, n’en fit pas la remarque. Kristia avait beaucoup de conversation, et Eric lui posait des questions sur la vie en Allemagne, sur sa présence dans la région. Lorsque les questions furent plus personnelles, elle resta évasive et Eric n’insista pas. Il était plus que charmé par sa présence, il la détaillait discrètement. Il avait déjà remarqué sa poitrine large qui tombait légèrement, à peine dissimulée sous un tee-shirt qu’elle portait sans soutien-gorge. Il regardait ses bras fins et ses mains, sa bouche délicatement ourlée sur des dents parfaitement blanches, et un nez petit, délicieusement remonté en trompette, qui lui donnait un air fripon. Elle avait les cheveux coupés au carré, correctement entretenus pour une campeuse. Eric apprit qu’elle avait vingt-huit ans malgré son air de gamine et, bien malgré lui, il tombait amoureux. Chacun des merveilleux sourires qu’elle lui adressait ne faisait qu’accentuer les battements de son cœur.
Thérèse trouva son fils bien bavard, lui qui d’habitude était plutôt taciturne et dans ses pensées. Elle se mit même à croire qu’elle ferait une jolie bru, cette étrangère, et elle est tellement gentille en plus de ça. Le repas terminé, Kristia se proposa de faire la vaisselle, mais sous les refus d’Eric et de sa mère elle se contenta de débarrasser avec eux. Elle dit qu’elle voulait se coucher tôt car elle devait faire quelques courses en ville et qu’à pied ça faisait loin. Eric sauta sur l’occasion pour lui proposer de l’y emmener, d’autant plus qu’il devait, lui aussi, faire des courses pour sa mère. Rendez-vous fut pris pour le lendemain matin. Eric, ce soir-là, fit la vaisselle le sourire aux lèvres. Il se coucha, s’endormant rapidement pour une nuit pleine de doux rêves, pressé qu’il était d’être déjà le lendemain.
Il se réveilla à l’aube. Cinq heures du matin, c’était son habitude à Paris pour être au travail a sept heures, et il en était ainsi depuis des années. Il pris sa douche, s’habilla et descendit pour couper du bois. Il aimait retrouver ces gestes qui lui rappelaient son enfance, quand il entendait son père fendre les bûches à coups de hâche. Quand il revenait en vacances, il préparait des bûches pour sa mère qui les utilisait dans sa cuisinière à bois, pendant l’hiver, par nostalgie bien que la ferme soit équipée du chauffage au fuel. À cette heure-ci, la fraîcheur du matin était idéale pour effectuer ce travail.
Au fond du pré, face à lui, la tente baignait dans une brume légère quand il entendit Kristia sortant de son sommeil ouvrir sa tente. Elle ne devait pourtant pas avoir très chaud, au petit matin, comme ça, pensa-t-il. Mais c’était mal connaître les Allemandes. Il se dit que peut-être Kristia apprécierait une bonne tasse de café, il s’approcha de la tente et quand il fut proche, au moment où il allait l’appeler, il vit l’Allemande couchée sur le ventre entièrement nue sur son duvet. Elle semblait s’être rendormie, mais il ne la voyait que jusqu’à la moitié du dos. Il fut surpris de la voir ainsi impudique et dans une position en recherche de fraîcheur. Il regarda cette moitié de corps et pensa qu’elle était vraiment belle. Elle avait la peau fine et laiteuse, les fesses rebondies et fermes, se prolongeant par des jambes interminables, musclées mais sans graisse. Elle avait écarté les jambes et Eric trembla en voyant entre ses jambes l’ombre de son intimité. Il distinguait dans la lueur qui pénétrait sous la tente, les plis de son sexe. Ses grosses lèvres étaient d’un rose flamboyant et d’une épaisseur peu commune. Quelle magnifique chatte ! Il ne pouvait détacher ses yeux de cette vision du paradis. Puis Kristia bougea imperceptiblement ce qui le sortit de sa torpeur. Il recula de quelques mètres et l’appela doucement « Kristia ? » Il attendit un peu, puis il vit une tête apparaître par l’entrebâillement de la tente.
Eric se précipita dans la cuisine pour faire chauffer de l’eau et pour se préparer un café, puis à la boulangerie du village pour acheter des croissants. Une fois le petit déjeuner préparé, Kristia arriva dans un short en jean très court et avec un tee-shirt dans un style marcel pour femme avec de grandes échancrures sous les bras. Elle s’assit et Eric s’approcha sur le côté pour lui servir le thé. Il vit que la poitrine de la belle Allemande sortait presque du tee-shirt et il faillit en rater le bol en versant l’eau chaude. Il s’installa en face et pensa tout d’un coup qu’elle aurait peut-être préféré un petit déjeuner plus conséquent et plus germanique, c’est-à-dire avec de la charcuterie. Mais elle refusa poliment expliquant qu’elle n’avait pas cette habitude, et que contrairement à beaucoup de ses compatriotes, elle prenait des petits déjeuners à la mode française. Elle mangea un croissant avec de la confiture de mûres. Eric lui demanda si elle avait visité la région, et si ça lui avait plu. Kristia lui dit qu’elle connaissait la région pour y être venue camper, petite fille avec ses parents et ses frères, et que c’est pour ça qu’elle avait voulu y revenir car elle en avait gardé un de ses meilleurs souvenirs d’enfance. Ils se rappelèrent alors leurs souvenirs et découvrirent qu’ils avaient fréquenté un peu les mêmes endroits, peut-être même s’étaient-ils croisés. Le petit déjeuner terminé, Eric proposa à Kristia de profiter de sa salle de bains avant de partir en course. Celle-ci accepta volontiers. Elle retourna à la tente chercher quelques affaires. Quand elle revint, Eric en la conduisant vers la salle de bain de sa chambre qui se trouvait à l’étage de la maison, en profita pour lui faire la visite, il y avait trois chambres en tout à l’étage, plus une sorte de débarras. Thérèse, qui entre-temps venait de se lever, vivait quant à elle uniquement au rez-de-chaussée. Elle avait sa chambre et sa salle de bains qu’Eric avait entièrement fait lui-même. Il finissait de faire visiter Kristia par sa chambre et s’excusa du "bazar" qu’il avait laissé. Kristia sourit et lui dit que sa tente n’était pas non plus rangée. Ils rirent tous les deux, puis Eric la laissa.
Il redescendit et rencontra sa mère qui déjeunait. Ils parlèrent du temps, et Thérèse raconta les dernières nouvelles du village, de la mort du cousin, et du voisin. Dans ces villages, il ne restait plus que les anciens et ils disparaissaient les uns après les autres, laissant les terres et les fermes à l’abandon. Elle lui dit que les terres du Bastien étaient à vendre aussi car depuis son cancer il ne pouvait plus travailler.
Puis sautant du coq à l’âne, elle dit à Eric qu’il devrait proposer une chambre à la petite, en parlant de Kristia, puisqu’il y avait de la place dans cette maison et ça donnerait un peu de vie. Kristia réapparut à ce moment toute fraîche, les cheveux tirés en arrière dans un bermuda un peu plus décent que le short et dans un polo de marque. Elle dit qu’elle était prête pour faire les courses. Eric était prêt aussi et demanda à sa mère la liste des achats à faire, et ils partirent tous les deux pour le supermarché.
Au long du trajet ils discutèrent de nature, de voyages d’animaux et l’Allemande raconta qu’elle en avait assez de vivre en ville, mais que la campagne allemande ne lui plaisait pas, que son rêve était de vivre dans une ferme comme celle de sa mère. Eric était heureux, il parlait de sa vision écologique de la vie, disait que lui aussi souhaitait revenir aux sources et à une vie meilleure que celle d’un parisien passant son temps dans les transports et n’ayant que peu de temps pour vivre. Depuis plusieurs années il était sur un projet de chambre d’hôte qu’il voulait construire dans la grande grange de la ferme.
Eric était bon bricoleur, et s’intéressait à tout. Il était abonné à plusieurs revues sur des sujets bien différents. Elle l’écoutait avec beaucoup d’attention. Ils firent les courses et sur le chemin du retour il lui proposa de s’installer dans une des chambre de la maison, mais elle refusa poliment disant qu’elle préférait rester dans sa tente car elle était en harmonie avec la nature. Il lui dit que si elle changeait d’avis ou que si elle voulait, juste une nuit, profiter d’un bon lit, il ne fallait pas qu’elle hésite.
Eric passa sa journée à bricoler, réparer des fuites, repeindre une porte, ranger le grenier ; il y a toujours quelque chose à faire dans une ferme. Pendant ce temps, Kristia était partie en ballade à pieds pour redécouvrir les lieux de son enfance. Elle retrouva la grotte qui lui avait fait si peur et qui lui parut bien petite en comparaison de ses souvenirs. Elle se trempa dans la rivière proche dont la fraîcheur lui rappela les longs moments qu’elle avait passé en famille.
Puis, elle revint en fin d’après-midi à la ferme car de gros nuages commençaient à menacer. Eric l’accueillit joyeusement, il commençait à retrouver son caractère enjoué, qu’il avait perdu dans le stress parisien. Il osa une petite moquerie quand elle lui raconta son épisode de la grotte et il rajouta même une blague osée quand il expliqua qu’ici cette grotte était appelée le trou des dames de part sa forme. Quand il vit Kristia rire aux éclats, il fût ravi et elle lui dit qu’effectivement elle comprenait le nom.
Puis il l’invita à boire quelques chose de frais car l’orage approchant, la chaleur devenait étouffante. Il lui proposa de nouveau de dormir dans la maison ce soir car il n’était pas prudent de rester dehors sous un orage, surtout qu’ils étaient particulièrement violents par ici. Elle dit qu’elle se souvenait aussi d’en avoir vécu un, mais elle ne rejeta pas complètement l’offre et rajouta que s’il y avait un violent orage elle viendrait se réfugier dans la maison.
Eric l’invita à manger, mais elle refusa car elle avait acheté des produits frais, et il fallait les manger. Il lui offrit de les mettre dans le réfrigérateur et de manger avec eux, puis sous l’insistance d’Eric elle finit par accepter de passer pour le dessert car Thérèse avait préparé une tarte maison. Kristia se retrouva donc pour le dessert à discuter avec Eric et sa mère, elle était contente et ça se voyait, elle rigolait, souriait, et mangeait. Elle prit trois parts de tarte.
Le ciel s’était noirci entre temps, mais Kristia décida quand même de dormir sous tente ce soir. Quand elle fut dans sa tente, quelques gouttes tombaient déjà. Elle se déshabilla et mit un tee-shirt long pour la nuit tenant lieu de chemise de nuit, sans culotte ni soutien-gorge. La nuit était tombée quand l’orage éclata, il fut violent et des éclairs déchiraient le ciel. Eric, qui ne dormait pas, s’inquiétait et décida d’aller chercher Kristia. Il mit une paire de tennis et sortit en caleçon blanc. Il courut sous la pluie. Le terrain était déjà détrempé et la tente risquait de prendre l’eau.
Eric appela la jeune femme qui était sous sa tente. Elle ouvrit la fermeture et il lui dit qu’il ne fallait pas qu’elle reste là, que ça devenait dangereux. Elle acquiesça sans mot et sortit de la tente sous la pluie. Il attrapa son sac à dos qu’elle avait rangé car l’eau avait déjà pénétré la tente. Ils coururent tous les deux sous la pluie, et en arrivant à la ferme ils rigolèrent de bon cœur. Ils étaient mouillés jusqu’aux os et ils se regardèrent tous les deux car ils étaient comme nus, l’eau avait collé le peu de vêtement qu’ils avaient sur le corps et Eric vit la poitrine aux aréoles larges et aux pointes saillantes à travers le t-shirt de Kristia ainsi que les poils pubiens d’une blondeur qui cachait à peine son sexe. Celle-ci avait baissé les yeux sans gène et regardait celui d’Eric qui était épais et qui apparaissait à travers le caleçon mouillé.
Eric sourit et dit : « Eh bien, nous voilà intimes. » Elle comprit l’allusion et rigola. Puis il lui dit de monter à l’étage pour se sécher. Il prit le sac à dos et la suivit. Il releva les yeux et regarda le magnifique fessier qui transparaissait sous le tee-shirt détrempé. Kristia se retourna et voyant qu’Eric la regardait, elle accentua d’une démarche chaloupée le balancement de ses fesses. Eric lui lança :
Tout en montant et sans le regarder, elle dit :
Il la pria de venir dans sa chambre afin de lui donner une serviette sèche. Elle le suivit. Il en attrapa deux dans l’armoire et en donna une à Kristia. Sous ses yeux éberlués, elle se retourna, retira sa chemise et se frotta avec la serviette. Elle était tellement belle, si désirable qu’il ne put contenir un début d’érection. Elle était là, nue devant lui, dans sa chambre, s’offrant naturellement. Il s’approcha d’elle, prit sa propre serviette et la posant sur son dos la frotta doucement jusqu’aux hanches. Elle se laissait faire.
Puis quand elle fut sèche, elle se retourna et le sécha à son tour de sa serviette. Ils étaient les yeux dans les yeux se regardant profondément. Il distingua comme des gouttes dans ceux de la jeune femme, mais ne sut pas si c’était la pluie ou des larmes. Ils approchèrent leurs bouches et en se prenant la taille mutuellement, s’embrassèrent. Eric sentit la poitrine ferme et épaisse sur son torse et les baisers d’abord presque chastes devinrent de plus en plus accentués, puis, le désir montant, fougueux et brûlants.
De temps en temps ils s’arrêtaient, se regardaient, souriaient, les yeux enflammés pleins d’amour et s’embrassaient de nouveau, avec à chaque fois plus de force dans l’étreinte de leur corps. Elle sentait, à travers son caleçon mouillé, le sexe d’Eric prendre du volume, et plus il s’épaississait plus elle se serrait contre, ne pouvant déjà plus s’empêcher de s’y frotter. Les mains d’Eric parcouraient les seins de Kristia, agaçant les pointes du bout des doigts puis, glissant ses mains dans le dos, il les montait et les descendait vers ses fesses, les caressant au passage. Une main parfois s’aventurant entre les fesses. Puis, des deux mains cette fois-ci, il glissa sous ses fesses et comme en harmonie tandis qu’il la soulevait, elle se cramponnait des deux bras à son cou et des deux jambes à sa taille, collant son pubis humide sur le ventre d’Eric.
Il la porta jusque sur son lit, la posa doucement. Elle s’allongea sur le dos, une main retenant la sienne. Lui, de l’autre fit glisser son caleçon jusqu’aux chevilles, le jeta au loin du pied. Il bandait ferme à présent et il se coucha sur elle pour l’embrasser. Il souleva légèrement son bassin, elle remonta les jambes sur son dos, glissa une main sous le ventre d’Eric pour attraper son sexe qu’elle saisit et dirigea entre ses lèvres vaginales. Il poussa son membre doucement dans son sexe qui était lubrifié à l’extrême par l’excitation. Il n’eut pas besoin de forcer pour que sa verge y entre en entier malgré la taille conséquente de son excitation. Kristia soupirait la bouche ouverte, et prononça quelques mots en allemand qu’il ne comprit pas. Il lui faisait l’amour le plus tendrement possible, léchant ses seins, embrassant ses oreilles, posant ses mains sur la tête de l’Allemande et lui caressant les cheveux.
Mais il ne pouvait contenir le trop plein de jouissance en lui, il accentua ses mouvements, Kristia jouissait déjà, elle soulevait la tête pour le regarder, ils étaient les yeux dans les yeux, regardant chacun la jouissance de l’autre. Eric ouvrit la bouche à son tour et ses coups de queue se firent de plus en plus forts et rapides. La jeune allemande était emportée par la jouissance et murmurait la montée du plaisir en allemand par des « ja, ja, ja, o ja ! »
Eric serra les dents, et au moment où Kristia fut submergée par l’orgasme dans un cri retenu, il se vida de sa semence en elle par de longs jets qui la remplirent entièrement.
Ils restèrent de longues minutes à se regarder, à s’embrasser encore. L’orgasme d’Eric ne lui avait pas enlevé le désir qu’il avait pour elle. Contrairement à bien des fois avec d’autres femmes, il avait envie de rester dans ses bras. Il n’avait aucune gêne, aucun mal-être, aucun sentiment de culpabilité, aucune envie de se sauver. Il était bien, là, heureux. Kristia le regardait et il l’embrassa.
Puis son sexe rapetissant, il décida de prendre sa douche. Elle le rejoignit quelques instants plus tard. Ils se lavèrent mutuellement comme s’ils se connaissaient depuis toujours. Pendant le rinçage, Eric s’attarda sur son clitoris. Il le caressa délicatement, elle réagit immédiatement. Il voulut s’agenouiller mais le manque de place l’en empêcha.
En sortant, il se séchèrent à peine et il la poussa doucement jusqu’à la vieille table en bois brut qui lui servait de bureau. Kristia, positionna ses mains dessus et tout en restant de dos releva les fesses très haut. Eric se blotti contre elle et doucement, descendit son visage, tout en l’embrassant partout, jusqu’à la hauteur de ses fesses. Il lui écarta doucement et y enfouit son visage.
De sa langue il lapait son sillon du clitoris à l’anus, ce qui plaisait énormément à Kristia. Elle sentait la chaleur de nouveau monter en elle. Elle se retourna, monta ses fesses sur la table, et posa ses pieds sur le bord. Eric, à genoux, était juste à hauteur pour lui lécher la raie et titiller le bouton du plaisir. Il caressa ses poils couleur de blé, qui n’existaient que sur son pubis.
Il lécha les grosses lèvres épaisses et rougies, les écarta des doigts pour s’immiscer vers les petites qu’il suça. Il fit jaillir son clitoris qui bandait incroyablement, et le téta doucement. Il prenait son temps, lui offrant une montée lente de la jouissance, en alternant les caresses de la langue et des doigts. Il écarta largement le sexe des deux mains et y englouti sa langue et son nez.
Elle mouillait beaucoup par son excitation. Et parlait en français, à présent :
Eric bandait de nouveau mais il voulait lui donner du plaisir de cette manière. Il savait à quel point les femmes aiment ça. À présent, il masturbait le clitoris entre deux doigts et de sa langue il léchait l’anus rose de l’allemande.
Elle se coucha sur le dos et prit ses jambes dans ses mains pour écarter encore plus son sexe et ses fesses. Eric les fouillaient de la langue et frottait tout son visage dessus, puis lui agaça l’anus de l’index. Elle se surprit à lui dire :
Car même si quelques amants l’avaient frôlée par ici, aucun ne s’y était vraiment attardé au point de lui donner l’envie d’aller plus loin. Il accentua la pression de son doigt et celui-ci fut aspiré facilement grâce à la salive qu’il y avait déposée. Il fit quelques aller-retours tout en lui léchant et masturbant son clitoris de l’autre main. Elle partit rapidement dans une montée d’orgasme aussi puissant que le précédent, elle émettait des sons gutturaux de plus en plus rapides au rythme de la masturbation des deux mains d’Eric, jusqu’à l’explosion.
Eric retira doucement son doigt du cul de Kristia qui serra les dents. Elle était effondrée, les jambes pendantes sur la table. Elle prit la main d’Eric et lui dit:
Elle lui offrait son vagin comme récompense pour qu’il se vide en elle.
Eric s’enfonça dans son sexe qui était trempé par la mouille et la salive mélangées. Il baisait doucement ce sexe tout en caressant son ventre et ses seins, passant sa main dans ses cheveux, sur ses lèvres, dans son cou. Elle le trouva beau et fier, et de sentir cet homme la prendre ainsi, lui debout, et elle couchée sur cette table, fit renaître le plaisir. Il prenait son temps, la regardait, mais sans jamais arrêter ses mouvements. Il avait un rythme soutenu mais pas trop rapide qui lui permettait de sentir le plaisir mais contenait la jouissance.
Il cessa un instant ses mouvements, la transporta dans ses bras, sans sortir d’elle, jusque dans son lit pour qu’elle soit plus à l’aise, et recommença à la baiser. Elle sentait le plaisir, loin, très loin au fond d’elle, mais le chemin vers l’orgasme semblait incroyablement bon. Après un long moment de ce doux plaisir, elle souleva ses jambes qu’elle posa sur le dos d’Eric et d’un coup l’orgasme se rapprocha un peu.
Elle commença de nouveau à gémir doucement. Eric continua sans fléchir son rythme et elle trouvait incroyable sa résistance. Elle lui dit :
Il l’entoura complètement de ses bras, la serrant de toute sa vigueur, et, accentuant sa pression au fond du vagin, jusqu’à sentir son gland taper le col de l’utérus, il accéléra encore ses coups de boutoir. Un nouveau pas vers l’orgasme augmenta les gémissements de Kristia, en fréquence et en intensité.
Elle se sentait prise comme un petit animal, et lui était comme un étalon, puissant, endurant et tellement excitant. Il savait donner du plaisir. Ces pensées et le rythme toujours plus fort la firent grimper la dernière étape vers le septième ciel. Et Kristia sentit l’orgasme arriver comme un raz de marée, des profondeurs de son être, la submergeant lentement mais d’une force que rien ne peut arrêter, comme une avalanche dévastant son corps. Elle s’accrocha à lui le plus fort possible de ses bras et de ses jambes et elle cria son plaisir, laissant éclater sa voix claire. Jamais elle n’avait ressenti ça en elle, aucun homme ne lui avait fait atteindre un tel degré de jouissance. Son corps ne lui appartenait plus, il était pris de spasmes d’une telle violence qu’Eric faillit être éjecté, il la serra encore plus fort, s’accrochant à son corps tout en continuant de la baiser, alors que les spasmes la secouaient en tout sens comme un séisme et qu’elle criait sans interruption. Plus rien n’existait des tabous, blocages, et autres sentiments de gêne, de peur ou de culpabilité qui auraient pu encore exister en eux. Eric sentit le sperme monter le long de son sexe, et, criant lui aussi, il jouit si fort qu’il crut que son sexe explosait, tandis que Kristia atteignait le summum de sa jouissance. Il continua encore de la baiser jusqu’à ce que la dernière goutte fut éjaculée, et qu’elle relâche la pression de ses jambes autour de son dos et de ses bras sur sa nuque. Ils restèrent ainsi de longues minutes, les spasmes se firent en diminuant, puis elle tomba dans un demi-coma. Eric bascula sur le côté, il s’allongea contre Kristia en chien de fusil, son sexe contre ses fesses comme un couple et s’endormit.
Quelques heures plus tard, il se réveilla, sa beauté du Nord avait posé sa tête sur son ventre et caressait doucement ses couilles et son membre qui reprenait de la vigueur. Il lui caressa les cheveux, elle se retourna vers lui, l’embrassa tendrement en s’allongeant sur lui.
Elle posa son vagin contre son pénis et se frotta doucement. Une fois celui-ci bien dur, elle se releva à califourchon sur les cuisses d’Eric, se souleva et tenant d’une main le pénis l’enfonça entre ses lèvres jusqu’à la garde. Elle posa ses deux mains sur les abdominaux fermes de cet homme qui était devenu le sien, et monta et descendit son corps dans un rythme lent et délicieux. Ses seins ballottaient doucement.
Elle soufflait déjà et Eric à moitié conscient savourait le bonheur que lui apportait cette femme. Elle alternait des moments où elle se maintenait le plus fortement possible sur le membre, sentant le gland pousser son col utérin, puis des mouvements de bas en haut très amples, laissant presque sortir le nœud, et s’enfonçant de nouveau fortement dessus, comme si elle voulait se faire transpercer par ce pieux viril.
À chaque fois que le sexe d’Eric butait le fond du vagin de Kristia, ils laissaient ensemble échapper un cri étouffé martelant le rythme des va-et-vient. Elle baisait Eric, et cela lui plaisait. Il aimait qu’une femme l’utilise comme objet de jouissance, aussi bien que les hommes le font souvent des femmes.
Elle posa sa tête sur le torse de son amant et accéléra l’allure, ne remuant plus que son bassin à présent et n’utilisant plus, pour son plaisir, que la moitié du phallus de son homme. Elle soufflait la bouche en rond comme une sportive, de plus en plus vite. Puis elle bloqua sa respiration, la bouche grande ouverte, les yeux fermés. Eric sentit que la jouissance de son amante allait venir mais elle ne pouvait plus garder le rythme, son corps ne lui obéissant plus. Alors il la maintint des deux mains sous les fesses, la portant presque et dans le même rythme qu’elle avait précédemment, il lui donna à son tour les coups de reins qui la transportèrent jusqu’à l’orgasme. Elle cria, et retomba enfoncée jusqu’à la garde sur le sexe d’Eric. Il sentait sur son membre le vagin de Kristia pris de convulsions.
Eric n’avait pas joui mais le plaisir de sa maîtresse lui procurait autant de jouissance que la jouissance elle-même. Kristia, se ressaisissant doucement, fit sortir le membre de son sexe, se coucha aux côtés d’Eric et posa sa tête sur son ventre, le visage tourné vers l’objet qui lui avait donné tant de plaisir depuis le début de la nuit.
Elle s’en saisit d’abord d’une main - il était resté ferme et dur - et elle en admirait la taille, l’épaisseur et la beauté du gland pourpré par l’érection et par la masturbation qu’elle accomplissait doucement. Puis sans réfléchir, elle le glissa entre ses lèvres, tétant d’abord le bout, glissant la pointe de sa langue dans cette fente, d’où était sorti déjà tant de semence et l’engouffra à moitié dans sa bouche, ne pouvant en prendre d’avantage. Eric souffla son plaisir de se sentir de nouveau au chaud dans cette cavité buccale.
Kristia, lui fit une fellation avec beaucoup d’application. Elle prit son temps, savourant cette pratique qu’hier encore elle se refusait à accepter et qui aujourd’hui lui semblait naturelle. Elle trouva ça très agréable, elle se sentait remplie par ce membre autant dans sa bouche que tout-à-l’heure dans son sexe. Elle ne pensait pas avoir autant de plaisir avec cette pratique et elle sut donner le maximum de plaisir à son partenaire.
Eric savourait le plus possible, et de temps en temps lui indiquait où en était son plaisir par des mots chargés de douceur et de jouissance mélangées. Comprenant que le résultat de son travail était imminent, elle accéléra les mouvements de sa main et quand elle sentit le sperme passer dans le membre de son amant, elle serra les lèvres dessus pour que celui-ci éjacule dans sa bouche. Elle fut un peu surprise par les jets mais trouva cela très agréable de sentir cette liqueur chaude et salée frapper son palais et se répandre sur sa langue. Elle retira le sexe de sa bouche tout en conservant le sperme un instant pour en apprécier toute sa consistance et son goût et enfin l’avala.
Elle était fière d’elle et se sentait femme, capable du meilleur pour un homme. Ses tabous et ses blocages étaient réellement tombés. Elle s’endormit de nouveau, la tête sur son ventre et lui la main dans ses cheveux, ils ne pouvaient ni l’un ni l’autre tenir les yeux ouverts.
Elle se réveilla quand il faisait jour, il était assis près d’elle, habillé et il la regardait. Il admirait ce corps sans défaut, sa peau lisse, son visage d’ange sans ride. Elle sourit en le voyant. Quand il vit qu’elle avait ouvert les yeux, il lui caressa la joue, lui dit qu’il la trouvait belle, qu’elle était une princesse, qu’elle était celle qu’il avait toujours attendu, qu’elle était merveilleuse.
Il voulut lui dire qu’il l’aimait, qu’il voulait vivre avec elle, qu’il voulait un enfant avec elle, mais il se retint. Elle lui souriait de son sourire tellement magnifique. Il dit simplement qu’il avait préparé un énorme petit déjeuner et qu’il était dix heures.
Elle se leva soudain et dit simplement :
Et puis en le regardant, et lui posant un baiser sur la bouche, elle rajouta :
Il lui dit que ça ne sera peut-être pas non plus la dernière. En se dirigeant vers la salle de bain, elle répondit en souriant :
Puis elle continua jusqu’à la douche, et se retournant et passant la tête à la porte, rajouta :
Eric descendit à la cuisine, heureux et fou d’amour. Il fallait qu’il se contrôle se disait-il, il ne fallait pas qu’elle lui échappe. Il avait croisé sa mère le matin, et elle lui avait dit en souriant :
Il lui avait simplement répondu :
Elle avait glissé sa main dans les cheveux de son fiston et avait juste dit :
Elle descendit les rejoindre après sa douche, quelques minutes plus tard. Ils prirent le petit déjeuner, joyeusement, parlant de la journée qu’elle désirait passer, mais ne faisant aucune allusion à la nuit. Thérèse ne posa aucune question, et dit simplement que l’orage avait inondé le champ et qu’il fallait faire sécher la tente.
Malgré cette nuit-là, Kristia voulait passer sa journée seule sur les chemins de ses souvenirs, et emprunta le vélo de Thérèse pour se balader. Avant de partir, elle fit sécher sa tente et son duvet, et ne revint que le soir avant le repas.
Elle prit une douche et ils l’invitèrent à souper. Elle raconta ses rencontres avec la nature et ses découvertes de la journée. Le repas terminé, elle dit qu’elle allait replanter sa tente, et demanda de l’aide à Eric. La nuit tombait. Eric ne savait plus quoi faire, il était perturbé par l’attitude de la jeune femme qui s’était offerte hier soir et qui aujourd’hui ne semblait pas se préoccuper de lui plus que s’ils avaient été de simples amis. Une fois la tente remontée, elle lui demanda d’aller chercher son sac et de prendre sa douche.
Eric prit sa douche et redescendit quelques minutes plus tard. Elle l’attendait nue sur son duvet. Il posa le sac à l’entrée de la tente et se glissa près d’elle. À peine entrée, elle se jeta sur lui et l’embrassa fougueusement. Eric, ravi, l’embrassa fiévreusement. Elle le déshabilla elle-même en retirant son short et son tee-shirt. Elle embrassa son torse, son ventre et retourna ses jambes, se retrouvant ainsi tête-bêche avec Eric. Elle prit son sexe dans sa main, il commençait à peine à prendre du volume. Elle l’engloutit en entier dans sa bouche et le téta comme un biberon. Eric, ne pouvant rester de marbre devant cette attention, sentit que son membre grossissait dans la bouche de Kristia et, voyant la croupe de celle-ci à portée de main, commença à la caresser.
Il lui caressa les fesses d’abord puis, soulevant une jambe, glissa sa tête entre ses cuisses. Il la fit basculer de manière à ce qu’elle se retrouve sur lui, le sexe sur sa bouche et sa bouche autour de son sexe en parfaite position de 69. Il avait pris du volume à présent et Kristia astiquait sa colonne de chair adroitement, en n’utilisant que ses lèvres et sa langue, ce qui comblait Eric. Pendant ce temps, il alternait des succions, des léchouilles sur les lèvres et le clitoris de celle-ci et des doigtés de plus en plus profonds dans son vagin. Elle ne pouvait plus continuer ses caresses buccales, car son amant lui avait glissé trois doigts dans sa grotte et poussait pour agrandir le passage afin d’y glisser un quatrième. Elle se releva et changea de position, se retournant sur le dos et relevant ses cuisses elle prit ses lèvres par les mains et les écarta. Il comprit qu’elle voulait aller plus loin.
Elle était trempée, alors il plia sa main de façon à présenter ses cinq doigts en même temps et poussa doucement. Le sexe s’écarta sur la main et après quelques aller-retours et en forçant un peu plus, celle-ci se retrouva complètement dans le vagin de Kristia. Heureusement qu’il avait des mains fines. Elle émettait des sons rauques de plaisir et Eric commença à la baiser de sa main. Il fouillait son sexe avec ses doigts et alternant des poussées il donnait des mouvements de rotation à son bras qui s’enfonçait de plus en plus dans la grotte de la jeune Allemande. Elle découvrait un plaisir qu’elle ne connaissait pas, elle se sentait défoncée comme si un âne la prenait de son énorme sexe. Elle sentit la jouissance venir, se releva sur les coudes et se laissa emporter. L’orgasme la fit crier et retomber lourdement en arrière et Eric sentit que les muscles du vagin bloquaient sa main à l’intérieur. Il ne bougea plus, percevant les spasmes de l’orgasme sur son poignet. Puis après plusieurs minutes les muscles se détendirent et il put sortir de l’orifice complètement distendu. Un flot de mouille dégoulina en même temps, et Eric se précipita pour en récupérer un peu sur sa langue. Kristia resta ainsi de longues minutes tandis qu’il la regardait n’osant la toucher après l’orgasme. Puis elle s’endormit et il la regarda dormir.
Il se réveilla longtemps après en sursaut, car Kristia était sur lui et le chevauchait. Il s’était endormi et il fut surpris de ne pas s’être réveillé avant. Son sexe était déjà prêt à éjaculer et, ne pouvant se réfréner, il jouit tandis que Kristia continuait à le chevaucher. Elle sentit le flot de sperme l’envahir et elle sourit, heureuse de l’avoir mené à l’orgasme durant son sommeil.
Elle s’allongea sur lui ils s’embrassèrent. Il lui parla enfin, lui dit qu’il l’aimait et que si elle voulait rester ici il trouverait un travail, qu’il quitterait Paris. Ils parlèrent longtemps. Lui, construisait déjà des projets, et imaginait la vie avec elle. Elle ne répondait pas vraiment, mais se blottissait contre lui. Elle approuvait ses projets mais ne lui disait pas oui pour les bâtir ensemble. Puis il reparlèrent d’amour, s’avouant qu’ils n’avaient jamais été aussi loin dans la relation sexuelle ni l’un, ni l’autre. Et, de fil en aiguille, Kristia dit que parmi les choses qu’elle ne connaissait pas encore et qu’elle désirait connaître avec lui, il y avait la sodomie.
Eric, à cette idée, se mit à bander de nouveau. Elle le regarda et, en lui souriant, lui demanda :
Elle remonta ses fesses et les écarta de ses mains :
Il s’agenouilla derrière elle et commença à lui lécher l’anus de toute la langue. Elle reposa ses avant-bras au sol et se laissa faire. Eric lui salivait sur le cul, la titillait du doigt, de la langue, et lui enfonça après de longs préliminaires la première phalange de son index. Elle grogna son plaisir et lui dit de s’enfoncer plus. Il poussa son index dans son sphincter et la lima doucement du doigt. Elle aimait cette caresse, disait que c’était délicieux. Pendant ce temps-là, elle se caressait le clitoris d’une main. Il ressortit son index et y joignit son majeur avant de s’enfoncer de nouveau dans ses entrailles.
Maintenant l’orifice semblait suffisamment lubrifié et ouvert pour recevoir son membre qui attendait, dur comme du bois, cette pénétration promise. Il se leva derrière elle, posa son gland à l’entrée de son cul et força doucement le passage. Le gland entra d’un coup, laissant échapper un cri à Kristia, mais Eric n’attendit pas et continua de s’enfoncer plus loin jusqu’à la moitié de son sexe dans l’anus. Il commença alors de la baiser en remontant un peu et de pousser pour s’enfoncer toujours plus. Elle l’exhortait à continuer par des :
Il poussa toujours plus au fond de ses entrailles et maintenant son membre coulissait parfaitement dans ce fourreau étroit.
Elle cessa de se caresser pour apprécier la sodomie et l’encourageait toujours plus :
Il la limait de plus en plus vite et il sentait que ses couilles à présent tapaient contre les fesses de sa maîtresse. Il n’avait, lui non plus, jamais ressenti ce plaisir d’être à la fois à l’étroit, serré en largeur et pourtant loin de toucher le fond du trou. Il ne butait contre rien, il pouvait se donner allégrement à la limer en force, sans peur de la blesser. Il la tenait par la taille, la tirant vers lui en même temps qu’il jetait son bassin contre son cul, ce qui emmenait Kristia vers un orgasme jusque-là inconnu pour elle. Elle sentait comme une jouissance dans son anus qui voulait sortir mais qui durait sans limite.
C’était comme un orgasme vaginal mais qui ne veut pas éclater. C’était à la fois terrible et merveilleux. Elle avait la bouche ouverte, ne criait plus. Sa salive dégoulinait de sa bouche dans un filet continu. Et des larmes coulaient de ses yeux. Elle n’était plus une femme mais un trou qui jouit, un trou qui tremble de jouissance et qui serrait par à-coups le sexe d’Eric, qui de son côté se déchaînait. Il lui semblait qu’il ne s’arrêterait plus de baiser de sa vie, il jouissait sans jouir. Son sexe lui semblait même gonfler encore, mais peut-être n’était-ce pas une impression car Kristia le sentit aussi. Elle n’en pouvait plus, alors elle frôla son clitoris, ce qui la projeta immédiatement vers la jouissance finale. Eric sentit l’anus se comprimer sur son pénis et dans un dernier aller-retour il éjacula tout le reste de son foutre au fond des entrailles de sa belle Allemande, en criant. Ils s’effondrèrent sur le côté sans se séparer, comme s’ils ne faisaient plus qu’un seul corps. Il voulut sortir de son anus mais elle le retint et ils s’endormirent ainsi l’un dans l’autre.
Le lendemain, Kristia était déjà levée quand Eric se réveilla. Elle déjeunait avec Thérèse quand il entra dans la cuisine. Elle le regarda tristement et dit simplement :
Eric fut abasourdi par la nouvelle, il tomba presque sur la chaise à côté de la jeune femme et lui demanda pourquoi. Elle dit que sa mère était malade et qu’elle arrivait à la fin de sa vie. Eric lui demanda si elle voulait qu’il l’emmène chez elle, mais elle refusa en lui caressant la joue et en lui souriant. Eric insista en lui disant qu’il voulait qu’elle soit sa femme, mais elle ne répondit pas et dit simplement :
Eric l’accompagna à la gare, les yeux embués. Il pleura en la voyant dans le train mais il décida de changer sa vie.
Il rentra à Paris, pris la charrette de licenciement avec le plan social, qui se préparait par la direction générale de sa boîte depuis six mois, et revendit tous ses biens sur la capitale. Il redescendit chez sa mère, s’installa d’abord au chômage, fit refaire le toit de la grange et installa un étage. Il avait déjà bien travaillé quand au printemps suivant il reçut enfin un coup de fil de Kristia. Elle n’avait pas donné de nouvelle depuis l’été dernier, et même si souvent il pensait ne plus jamais la revoir, l’espoir l’avait fait réaliser tous les travaux dans la maison.
Elle lui dit simplement :
Puis, avant de raccrocher, elle ajouta :
Il attendit son arrivée comme un fou, redoublant d’efforts dans ses travaux. Sa mère était heureuse de le voir ici avec elle, mais surtout parce qu’elle savait, Kristia l’avait appelée de temps en temps en secret.
Au mois de juillet Thérèse et Eric attendaient Kristia à la gare, et quand elle descendit, elle portait un bébé de trois mois. Elle lui dit simplement :
Eric pleura, prit la petite dans ses bras, l’embrassa, la serra, l’aima. Elle portait le nom de la mère de Kristia qui était décédée deux mois plus tôt. Kristia dit :
Eric embrassa Kristia.