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n° 11115Fiche technique29151 caractères29151
Temps de lecture estimé : 18 mn
17/01/07
Résumé:  Une soirée en boîte se termine dans le lit d'un femme mariée qui se révèle très coquine.
Critères:  fh fplusag inconnu boitenuit danser facial fellation fgode double fsodo init
Auteur : Seb      Envoi mini-message
Une sortie en boîte pas comme les autres

Je voudrais raconter ce qui m’est arrivé en boîte la semaine dernière. J’ai tellement aimé, que je tiens à faire partager aux lecteurs de Revebebe mon aventure. J’étais allé en boîte avec deux copains, à la campagne, là où les filles ne sont pas toujours très belles et souvent trop jeunes (j’ai 23 ans). Nous dansions comme d’habitude et il n’y avait autour de nous que des lycéennes, donc pas de chance de ramener quelque chose. Au bout d’un moment, j’aperçus une femme d’une quarantaine d’années qui avait l’air assez charmante. Je m’approchai lentement et je pus la découvrir au fur à mesure. Elle n’était pas bien grande, blonde, des seins de taille moyenne et une silhouette harmonieuse. Elle portait une jupe en jean assez courte, un chemisier blanc et des bottes en cuir noir qui ont toujours sur moi un effet émoustillant. Je pouvais deviner, malgré l’obscurité, qu’elle portait soit des bas, soit un collant. Je me rapprochai encore d’elle et je pus voir un visage charmant, qui ne semblait pas avoir subi les ravages du temps. Je me mis à danser à côté d’elle tout en continuant à la détailler. J’étais assez excité et je commençais à bander. Nos regards se croisaient de temps en temps et, me voyant plus pressant, elle me lâchait parfois un petit sourire. Au bout d’un moment, alors que je n’osai franchir le pas et danser plus franchement avec elle, un gros lourd vint se coller à elle. Elle faisait semblant de l’ignorer et se décalait peu à peu. Ce faisant, elle se rapprochait de moi. Lorsque le DJ mit un morceau de zouk, le gros lourd voulut la prendre par la taille, elle s’avança vers moi et me regarda fixement. Je compris immédiatement et je la pris par la taille et nous commençâmes à danser collé serré. En même temps, je jetai un regard noir à l’intrus qui comprit qu’elle était chasse gardée. Au bout de quelques secondes, elle me regarda dans les yeux et me souffla :



Tout en parlant, nous continuions à danser. Je caressai lentement son dos en descendant jusqu’au haut de ses fesses, mais sans aller dessus. Je tenais un barreau impressionnant et il n’était pas possible qu’elle ne sente pas ma bite appuyer sur son bas-ventre. Mais elle faisait pourtant semblant de ne rien remarquer. D’un coup, elle se retourna et se colla à moi. Je la repris par la taille et nous dansâmes encore. La musique s’était un peu ralentie et j’en profitai pour caresser son ventre et ses hanches, tout en ondulant un peu du bassin. Elle suivait mes mouvements et je sentais de temps en temps qu’elle appuyait ses fesses contre ma queue tendue à mort. Mes mains s’enhardissaient peu à peu et je me mis à caresser ses cuisses. Puis je commençai à l’embrasser dans le cou ; elle penchait la tête pour me faciliter la tâche. Mais quand je voulus l’embrasser sur la bouche, elle détourna le visage, mais sans se décoller pour autant. Au bout de plusieurs tentatives infructueuses pour l’embrasser, je commençai à me dire qu’elle n’était là que pour allumer. J’allais arrêter de danser avec elle quand elle se retourna et me pinça les fesses :



Alors que je restai interdit, elle ajouta :



À ces mots, je plaquai à nouveau mon ventre contre le sien et nous recommençâmes à danser. Quand la musique devint trop rapide pour danser collé, j’en profitai pour essayer d’aller plus loin :



Je la suivis sur une banquette. Nous nous assîmes l’un à côté de l’autre, mon bras autour de ses épaules. Je me remis à l’embrasser dans le cou, ma main en profitant pour parcourir son corps. Elle se laissait aller et rapidement, elle posa sa jambe sur ma cuisse, ce qui ouvrait le passage vers son intimité. Je me contentai au début de caresser sa cuisse en surface, puis je glissai ma main sous sa jupe. Je m’aperçus alors qu’elle portait bien des bas, ce qui renforça mon excitation. Quant à elle, elle glissait sa main sous ma chemise pour me caresser le dos. Au bout d’un moment, mes caresses se firent plus pressantes et je glissai ma main jusqu’à sa culotte. Je sentis le tissu humide et un soubresaut la parcourut quand je touchai son sexe au travers du tissu. Elle me repoussa gentiment.



Nous nous levâmes et quittâmes la boîte, sous le regard amusé des videurs. Dans leur « Bonne fin de soirée ! », je relevai une pointe de malice. Même si c’était la première fois pour moi, je ne devais pas être le premier à ramener une femme plus vieille et délaissée par son mari. Nous décidâmes de nous rendre chez elle à pied ; il faisait beau et ce n’était pas très loin. J’étais toujours aussi excité. Je la tenais par la taille et souvent ma main descendait pour empaumer ses fesses, ce qui ne manquait pas de la faire sourire à chaque fois. Elle aussi avait sa main sur mes hanches, mais ses caresses étaient plus subtiles. Quand je voulus glisser ma main sous sa jupe, elle s’arrêta et me fit face :



Se collant à moi, elle ajouta :



Puis, en mettant la main sur ma queue :



Elle me tira par la main vers un jardin public qui était juste là, à côté. Le lieu était désert. Elle me fit placer devant un banc, s’agenouilla et descendit mon pantalon, découvrant ma bite tendue à l’extrême. Je m’assis et me retrouvai donc à sa merci. Elle prit ma queue dans sa main et commença à la branler légèrement. Elle me regarda droit dans les yeux et commença à me sucer. Elle m’avala complètement deux ou trois fois le gland, puis se mit à me lécher de haut en bas. À grands coups de langue, elle remontait toute ma tige et me titillait le frein. Puis elle se remit à avaler le gland, tout en me branlant la base de la bite. Elle effectuait un va-et-vient et je peinai à retenir mon plaisir. Je poussai des soupirs de jouissance qui montraient bien l’effet qu’elle me faisait. Je caressai ses cheveux et suivis les mouvements de sa tête.

Elle s’arrêta un instant :



Elle se remit à me branler et s’occupa de mes couilles. Elle commença par me lécher la peau autour, puis me les aspira l’une après l’autre dans sa bouche en les titillant du bout de la langue. Le plaisir était intense, des frissons montaient le long de mon corps et je poussais des soupirs de plaisir.



Elle se mit à branler frénétiquement la base de mon sexe tout en tournant sa langue autour de mon gland. Le résultat fut rapide et, après que l’aie prévenue, elle se décala et je déversai dans un grand râle ma semence au pied du banc. Elle continua à me branler pour vider complètement ma queue. Je me remis doucement de cette pipe de haut-vol et elle s’assit à côté de moi ; en caressant mon torse, elle me demanda :



Je remontai vite mon pantalon et nous repartîmes en direction de chez elle, main dans la main. Elle habitait un appartement au deuxième étage d’un vieil immeuble. Je grimpais l’escalier derrière elle et j’en profitais pour mater son cul. Je sentis que ma bite reprenait déjà de la vigueur. Alors qu’elle glissait la clé dans la serrure, je me collai à elle pour qu’elle sente la forme que je tenais.



Je la suivis dans son appartement et elle me fit asseoir dans son salon.



Elle allongea la jambe pour venir caresser mon entrejambe avec le bout de son pied. Ce traitement revigora ma queue qui était un peu retombée.



Elle se leva et je la suivis jusqu’à la chambre. Là, elle se planta face à moi et se déshabilla lentement pour me faire admirer son corps. Ses seins tenaient encore bien fermement pour son âge. Elle avait une chatte légèrement poilue que je devinais humide. Je me déshabillai aussi face à elle. Elle prit ma main et me tira jusqu’au lit. Je m’assis sur le bord et elle vint s’asseoir sur moi en me chevauchant. Elle me présenta ses seins que je m’empressai de dévorer. Ils étaient fermes et ses tétons étaient tout durs. Je soupesai ses globes tandis que ma bouche excitait ses pointes. Ce traitement ne la laissait pas indifférente et elle se mit rapidement à gémir de plaisir. Ma main droite lâcha le sein qu’elle tenait pour aller caresser son dos. Elle atteignit vite ses reins et passa sous ses fesses pour imprimer à son corps un léger mouvement qui permettait à son sexe de frotter ma queue. Je sentais la mouille qui dégoulinait sur ma bite. Elle était tellement humide qu’en un coup de reins, je l’aurais pénétrée jusqu’à la garde. Mais je voulais faire durer ; après la pipe qu’elle m’avait prodiguée dans le parc, je me devais de lui rendre la pareille. Au bout d’un moment, elle me poussa en arrière et nous roulâmes sur le lit. Une fois allongé sur elle, je descendis ma bouche sur son ventre.

Tout en continuant à l’embrasser et à la caresser, je me rapprochai de son mont de Vénus. Ses lèvres étaient bien écartées et j’aperçus son bouton de plaisir. Je passai d’abord ma main sur son sexe pour voir sa sensibilité ; un frisson la parcourut aussitôt. Je remis mes deux mains sur ses seins pour les pétrir pendant que ma langue léchait sa fente de haut en bas. J’appuyai un peu plus au fur et à mesure et je sentis ma langue s’enfoncer en elle. Elle gémissait doucement et ses cris furent plus prononcés quand ma langue darda son clito. Je sentis sa cyprine couler sur mon visage et je me délectai de ce breuvage. Entre deux gémissements, elle me demanda de glisser un doigt dans sa chatte. J’allais enfin pénétrer au plus profond de son intimité. J’insérai donc mon index. Il glissa tout seul dans sa fente mouillée. Je commençai par un petit va-et-vient de mon doigt pour découvrir son vagin. Puis je courbai le bout du doigt et le tournai dans son intérieur. À la voir se mordre les lèvres de plaisir, j’imaginais son excitation. Je glissai bientôt deux puis trois doigts dans son vagin tout en continuant de sucer son bouton. Je sentis son bassin onduler, ses mains plaquèrent ma tête sur sa chatte et, dans un violent cri, elle explosa de plaisir. Je la léchai encore quelques instants, recueillant son nectar avec ma langue. Alors qu’elle reprenait son souffle, elle me félicita :



Je me levai donc et allai chercher une capote dans mon portefeuille. Je la lui tendis et elle se fit une joie de l’enfiler sur ma queue bien droite. Après quoi, elle s’allongea et écarta les jambes. Je vins m’allonger sur elle et après avoir frotté mon gland sur ses lèvres, je me glissai en elle. Elle mouillait tellement qu’en deux coups de reins, je l’avais pénétrée jusqu’à la garde. Je la ramonai avec de grands et longs mouvements. Elle serrait ses jambes autour des miennes et me caressait d’une main dans le dos et de l’autre sur les fesses, me les serrant pour que je rentre à chaque fois bien au fond. Je sentais le plaisir monter en moi et, à entendre les soupirs qu’elle poussait, je me doutais bien qu’il en était de même pour elle. Au bout d’un moment, je me retirai et lui demandai de se retourner. Aussitôt dit, aussitôt fait, elle s’accroupit, me présentant son cul. Elle cambrait son dos et me regardait faire.

J’écartai ses lèvres et je glissai à nouveau ma bite dans sa chatte. J’eus vite fait de la pénétrer complètement. Je la tenais fermement, serrant ses hanches de mes deux mains et la tirant vers moi à chaque coup de reins. J’alternai des coups rapides et des plus lents tout en caressant son dos. Puis je pris ses seins dans mes mains, les massant vigoureusement. Elle en profita pour se relever et se coller à moi. Mon va-et-vient devint plus lent, mais plus prononcé, elle suivait tous les mouvements de mon bassin, plaquant ses fesses contre mon ventre. Je l’embrassais dans le cou en lui susurrant à l’oreille mon plaisir. Elle me répondait par des petits sourires et respirait fortement. Tandis que je continuais à caresser ses seins avec une main, l’autre titillait son clito. Quant à elle, elle me caressait les fesses et les cuisses. Elle se pencha en avant et je pris à nouveau ses hanches dans mes mains. Elle respirait de plus en plus fort et ses cris étaient de plus en plus prononcés. À son tour, elle donnait des coups de reins pour que mes couilles aillent taper sur ses fesses. Je sentais que j’allais bientôt jouir, mais je me retenais pour l’emmener elle aussi à l’explosion. Cela vint assez vite : je sentis son vagin se contracter autour de ma queue et je l’entendis crier son plaisir. Je me lâchai à mon tour et je déchargeai de ma semence dans la capote tout en continuant à la pilonner. Quelques instants après avoir joui, je retirai la capote et je m’allongeai à côté d’elle. Elle posa sa tête sur sa poitrine et me dit :



Tout en parlant, elle caressait ma queue qui reposait initialement sur mes couilles. Mais sous ses doigts experts, elle retrouva vite du poil de la bête pour se durcir comme avant.



Nous nous dirigeâmes vers la chambre de sa belle-fille, nus comme des vers. Alors qu’elle regardait dans la table de nuit, j’ouvrai les tiroirs d’une commode ; je tombai sur les sous-vêtements. Malgré les protestations d’Annie, je pris tout mon temps pour regarder la lingerie fine de sa belle-fille. Elle possédait de très beaux ensembles en dentelle, ainsi que des strings originaux. Je pus voir sur les soutiens-gorge qu’elle faisait un 85 bonnet C. Elle possédait aussi un porte-jarretelles et des bas noirs. Cette fille devait être aussi coquine que sa belle-mère. Alors que j’allais arrêter avec ce tiroir, je découvris une boîte de capote avec à côté, oh surprise, un gode ! Je montrai donc cela à Annie.



Alors qu’elle allait sortir, je la plaquai contre le mur et me collai à elle. Je mis une main sur ses seins et l’autre sur sa chatte encore trempée.



À ces mots, mon visage s’illumina ; non seulement, je couchais avec une femme mariée, mais en plus, j’allais l’enculer.



Elle sortit de la chambre de sa belle-fille devant moi et se dirigea vers la salle de bains. Je me dirigeai vers la chambre, le godemiché à la main. Elle revint au bout de quelques minutes, avec le porte-jarretelles ainsi que des talons aiguilles et avec un tube à la main. Je devinai rapidement qu’il s’agissait de lubrifiant. Elle se mit à quatre pattes devant moi et me tendit le tube.



Tout en parlant, elle commença à se titiller l’anus avec un doigt. Je mis du gel sur mon index et l’étalai sur son orifice. Petit à petit, je rentrai dans son anus. Je glissai rapidement un doigt et cela ne fut pas pour lui déplaire. Elle n’éprouvait pas un plaisir intense, mais semblait satisfaite. Je pris alors le gode dans l’autre main et je caressai sa chatte avec. J’excitai son clito et sa réaction ne fut pas longue à venir ; elle soupira aussitôt de plaisir. Elle était encore tellement mouillée, que le gode glissa tout seul dans son vagin.



Elle me demanda alors de glisser un deuxième doigt pour bien dilater. Je lui laissai alors le gode qu’elle continua à enfiler dans sa chatte. Je pris mes deux mains pour bien écarter ses fesses. Ses muscles peinaient à se détendre, mais je finis par glisser ces deux doigts. Le gel se répartissait bien dans son orifice et je sentis que son anus était prêt. En effet, en posant le gode, elle m’arrêta :



Je m’exécutai alors qu’elle s’agenouillait devant moi. Elle me suça quelques secondes pour bien faire dresser ma bite et enfila la capote. Elle me tourna le dos, écarta les jambes et se mit au-dessus de moi. Elle prit ma bite en main, la mit à l’entrée de son cul et tandis qu’elle se baissait, elle essayait de la rentrer. Malgré le gel, ma queue ne voulut pas rentrer de suite. Je sentais mon gland appuyer sur son anus, mais je ne la pénétrais pas. Elle prit ma bite fermement, l’appliqua bien sur son orifice et réussit à se l’enfiler. Au moment de la pénétration, elle poussa un soupir où se mêlaient plaisir et douleur.



Pendant qu’elle se mettait à effectuer un lent mouvement vertical en se tenant les mains tendues sur le lit, je la pris à la taille, serrant ses hanches, accompagnant ses mouvements. Puis je caressai ses seins à pleines mains. Elle accélérait doucement le rythme et je sentais ma bite rentrer plus profondément en elle, jusqu’à ce que ses fesses touchent mes couilles. Bien que son anus se soit dilaté, je sentais ses muscles contractés autour de ma queue. J’appréciais beaucoup d’avoir ma queue si serrée et, à l’entendre, elle semblait aussi se régaler de ma bite.



À ces mots, elle se releva et se remit à quatre pattes sur le lit. Je me plaçai derrière elle et l’enfilai d’un coup. La rapidité de mon entrée lui arracha un cri. Elle m’excitait trop dans cette position, offerte avec son porte-jarretelles. Je repris vite mon va-et-vient ; ses cris se firent plus présents. J’eus alors une idée quand mon regard se porta sur le gode resté sur le lit. Je l’enserrai et, après l’avoir embrassée dans le cou, je roulai sur le lit en l’emmenant avec moi, ma bite toujours en elle. Elle parut surprise :



Alors que je reprenais mon mouvement en elle, elle s’introduisit le gode. Mais elle n’osait pas y aller vraiment.



Cependant, sa mouille aidant, elle fit rentrer une bonne partie du sex-toy dans son vagin et commença à lui imprimer un va-et-vient. Elle se mit rapidement à gémir et de plus en plus fort. Elle appréciait vraiment ça, la petite coquine ! Moi aussi je prenais mon pied à fourrer son petit cul, mais elle, semblait vraiment être au septième ciel. Si bien qu’elle eut un orgasme très violent alors que je ne m’y attendais pas. Elle cria, tout son corps se mit à trembler et son anus se resserra autour de ma queue. J’en arrêtai de la limer. Mais elle me demanda de continuer à la fourrer. Je me mis alors à la pénétrer rapidement voire violement. Quand elle se fut calmée, je n’avais pas encore joui. Comme elle était épuisée par sa jouissance, elle restait passive. C’est alors que je décidai de la suite ; je me retirai d’elle et j’enlevai la capote. Elle s’agenouilla sur le lit et je me mis debout face à elle et enfournai littéralement ma queue dans sa bouche. Je limai comme si j’étais dans son vagin. Elle fut un peu surprise au début, mais se ressaisit rapidement et sa langue se mit à chatouiller ma queue. C’était formidable et je sentis vite ma sève monter. J’éjaculai alors dans un grand râle de plaisir. Je sentis mon sperme autour de sa langue qui continuait à exciter mon gland. Lorsque je retirai ma bite de sa bouche, je m’attendais à ce qu’elle recrache, mais elle avait tout avalé. Épuisé, je m’allongeai à côté d’elle. Elle se colla à moi et nous nous endormîmes rapidement. Le lendemain, je me réveillai seul dans le lit ; je descendis et je la trouvai dans la cuisine seulement vêtue d’une petite nuisette. Je m’approchai d’elle et la pris par la taille. Elle se retourna et me sourit. Elle me tendit un café et nous discutâmes de la nuit passée.



Après quelques minutes de silence passées à mater ses jambes, je lui demandai :



Alors qu’elle me raccompagnait jusqu’à la porte, je la serrai contre moi, une main dans le dos et l’autre empoignant ses fesses.



Elle me repoussa, enleva le string qu’elle portait sous sa nuisette et me le tendit.



Je pris le string en souriant et sortis. Je rentrai chez moi heureux, repensant à cette folle nuit et aux autres à venir…