n° 11124 | Fiche technique | 32504 caractères | 32504Temps de lecture estimé : 19 mn | 23/01/07 |
Résumé: Au cours d'un week-end de biologie en forêt, une beau-frère retrouve sa belle-soeur dans des situations assez chaudes. | ||||
Critères: fhh alliance fellation cunnilingu pénétratio sandwich fsodo hdanus tutu | ||||
Auteur : Tanis Envoi mini-message |
Quelle idée m’avait poussé à monter les marches ! J’aurais dû rester en bas… avec les autres ! Mais je me disais qu’ils étaient tellement occupés qu’ils ne remarqueraient pas mon absence.
Il faisait une chaleur lourde de plein mois de juillet, les portes étaient grandes ouvertes pour créer un semblant de courant d’air que même ce milieu de soirée ne rafraîchissait pas. Un va-et-vient continuel des invités entre le gîte et le jardin m’avait permis de m’éclipser délicatement… fuyant pour quelques minutes les amis.
Je t’entendais encore dire à une amie :
Pas facile de se retrouver au milieu de cette bande d’amis ! Difficile de s’isoler ! Difficile de dire que l’on va se promener à deux ! Pourtant l’envie de te retrouver était la plus forte… et je prenais des risques.
Arrivé au-dessus des marches, j’entendis l’eau des douches couler. Tu devais certainement repasser par la chambrée commune pour prendre des vêtements neufs. Je poussai la porte, et le dortoir avec ses rangées de lits superposés m’apparut seulement éclairé par un petit lustre. Ces gîtes, sans être luxueux, étaient quand même de tout confort. Seul ennui, les chambrées communes… où l’intimité de chacun se réduisait à sa plus simple expression.
Avançant à pas prudent, évitant les sacs et les valises qui jonchaient le sol, je me dirigeai vers le seul éclairage central de la pièce, et délicatement j’en dévissai l’ampoule. L’obscurité se fit.
Prudent, je tendis l’oreille, attentif à l’arrivée éventuelle de quelqu’un…
Tout à coup, je fus surpris du calme qui régnait… « C’est la douche… la douche s’est arrêtée… »
La porte des douches s’ouvrit… ta main devait chercher l’interrupteur…
À pas prudents, évitant de te cogner les orteils, les mains tendues devant toi, tu te dirigeas à tâtons vers ce qui te semblait être ta couchette.
Je faillis laisser échapper un cri : tu étais complètement nue ! Ton profil se découpait comme une ombre chinoise à travers la fenêtre ouverte… tes épaules, la courbe de tes seins, et tes petites fesses mignonnes… En quelques pas je fus derrière toi, et t’écrasant contre moi, je plaçai une main devant ta bouche pour t’empêcher de crier…
Déjà mes mains s’emparaient de tes seins, les englobant totalement pendant que les lèvres s’écrasaient dans ton cou…
Cette situation m’excitait assez fort, et sans te relâcher, une de mes mains glissa sur ton pubis encore parsemé de fines gouttes d’eau…
Je frôlais sa toison noire, sans toucher sa vulve. Son désir était très présent ; elle le contenait, sachant ce qui arriverait finalement. Ma main, descendant le long de son ventre, toucha ses boucles, pour se poser finalement à plat sur son vagin. Je sentis la chaleur et la moiteur qui s’en dégageaient. Le ventre d’Elise se gonfla légèrement à ce contact ; sa respiration devint haletante. Les lèvres béantes et pleines de passion de sa vulve étaient prêtes à recevoir le ravissement tant attendu. Mes doigts s’amusèrent un peu avec ses belles lèvres charnues, les étirant délicatement.
Glissant entre tes cuisses, deux de mes doigts prirent le chemin de ta fente, et suivant le petit creux humide s’enfoncèrent profondément en toi… Lentement tu te retournas et tes bras m’enlacèrent tendrement, puis ce fut un long baiser qui se voulait doux mais qui devint vite très passionné… Tu glissas ta main sur le devant de mon short pour tâter mon membre raide…
Te poussant à reculons, tu heurtas un lit sur lequel on s’écroula tous les deux, je t’écartai tes jambes et tes cuisses, et j’enfouis ma bouche dans ta fente chaude gonflée de ce miel aromatique. Tes mains se perdirent dans mes cheveux, avant de remonter lentement sur ton ventre et d’englober tes seins.
Je me redressai et la bouche détrempée, je vins coller mes lèvres aux tiennes dans un long baiser fougueux.
Deux de mes doigts plongèrent en toi, fouillant ce petit antre chaud… tu mouillais abondamment. J’entamai un léger va-et-vient, veillant à bien frotter mes doigts contre les parois vaginales de ton sexe…
Brusquement la porte du dortoir s’ouvrit, et une main tâtonna pour trouver l’interrupteur…
On se figea tous les deux, retenant notre respiration…
Une voix féminine déclara :
Heureusement sa couchette était proche de la porte d’entrée, et elle ne s’aventura pas plus avant dans la chambre… Impossible de bouger, piéger… On l’entendit farfouiller dans une valise…
Ravis de la situation un peu folle que l’on vivait, je repris mes mouvements dans ton vagin, lentement… Mon pouce écarta tes lèvres et s’insinuant dans le haut de la fente attaqua par petites touches le petit bouton qui se raidissait… Je sentis monter ton orgasme, violent, sans doute en partie provoqué par l’excitation du contexte… Je bloquai tes gémissements en t’écrasant la bouche d’un baiser…
La porte se referma…
Tu bondis sur tes jambes !
Puis tu murmuras en me poussant vers la porte :
J’imaginais déjà ce week-end à l’eau ! Avoir été deux jours près de toi sans même avoir pu te donner de plaisir.
Tu souris ! Et me chuchotas :
Tu m’attiras contre toi avec le petit sourire coquin que tu prenais de plus en plus souvent :
Ta bouche se colla à la mienne…
Je redescendis, attentif, cherchant du regard qui avait bien pu monter dans le dortoir… Ça ne pouvait être que Julie… Elle portait à présent un T-shirt bleu à courte manche.
Je souris, excité à l’idée qu’elle aurait pu nous surprendre, te voir nue, mes deux doigts plongés en toi…
Ce genre de situation devait arriver assez souvent aux couples ! Heureusement la chance était souvent de leur côté !
Cela aurait pu se terminer par :
Situation délicate que celle de réapparaître devant les amis comme ça ! Peut-être sous les regards envieux de certains… et jaloux de certaines filles !
Je frémissais à l’idée de ce qui allait se passer cette nuit ! Il suffisait que quelqu’un n’arrive pas à dormir, reste éveillé, et il me serait impossible de rejoindre Elise… Puis dans cette chambre ! Vingt personnes dormaient dans des lits séparés de deux mètres ! Le moindre gémissement, le moindre ressort qui grince pouvait réveiller toute la chambrée ! Le risque d’être surpris, restait néanmoins un terrible facteur excitant ! Mais j’aimais autant que notre relation reste discrète et surtout secrète…
Sylvain la regarda avec un sourire aux lèvres puis lui dit en chuchotant :
Les amis éclatèrent de rire, voyant Sylvain embarrassé…
Sylvain essayait de se tirer de ce mauvais pas… peu aidé par ses amis qui en rajoutaient, il faut le dire…
Sylvain reculait ! Visiblement embarrassé…
Je savourais ces petites discussions polissonnes avec délectation !
Je ne répondis pas de suite… Nous avait-elle vu dans la chambre et faisait-elle semblant de rien ? Je décidai de jouer le jeu. Puisqu’elle en voulait, elle allait en avoir !
Julie me regarda étonnée. C’est à cette réaction que je vis qu’elle ne s’était aperçue de rien dans le dortoir…
Les amis s’esclaffèrent, se tenant les côtes… Julie recevait la réplique !
À ce moment, tu arrivas, toute pimpante, jolie, attirante, et tous se tournèrent vers toi !
La conversation fut interrompue par un groupe assez éméché qui rentra dans le gîte en titubant… Ton regard m’interrogea… je n’eus pas l’occasion de t’en dire plus à ce moment.
Petit à petit les groupes montaient, fatigués. Finalement l’heure devenant tardive, tu décidas également de rejoindre les autres. Maintenant il me fallait attendre… Je surveillais ceux de ta chambrée, attendant qu’ils soient tous allés se coucher… et surtout qu’ils dorment à poings fermés !
Je sortis prendre l’air. Il faisait encore chaud. Me retournant, je vis les fenêtres des chambres éteintes… seules les lumières des douches éclairaient encore la cime des arbres bordant le gîte… bientôt tout serait dans l’obscurité !
Mon short commençait à serrer, je sentais les prémices d’une formidable érection rien qu’à la pensée de ce qui allait se passer, à l’insu des autres…
À mon tour je montai doucement. Je pris le temps de me doucher, le temps d’entendre les premiers ronflements, et je rejoignis mon lit. Allongé j’attendis, mon cœur cognait à grands coups dans ma poitrine. Surtout ne pas faire de bruit en quittant la chambre… je redoutais les désordonnés qui laissaient leur valise ouverte, des bottines dans le chemin qui devenaient autant de piège pour quitter la chambre dans le noir !
Je laissai passer encore un peu de temps… le calme était absolu. Parfois un dormeur se retournait en grommelant… J’aurais voulu plus de ronflements pour masquer un bruit éventuel… Je me redressai, et nouai une serviette autour de mes reins. À pas de loup, je me dirigeai vers la porte… « Ouf ! Elle ne grince pas ! Merci les employés de bien entretenir le bâtiment ! »
Arrivé dans le couloir, j’éteignis le plafonnier pour que la lumière n’inonde pas ta chambre lorsque j’ouvrirais la porte. Rapidement je l’ouvris, et me glissant derrière, je la refermai. J’y étais ! Tremblant presque, je laissai mes yeux s’habituer à l’obscurité, essayant de repérer ta couchette. Heureusement elle était en bas ! Je me voyais difficilement escalader ces petites échelles inconfortables pour accéder à la couche supérieure.
Quatrième couchette… une… deux… trois…quatre…
Je me mis à genoux, m’approchant du lit. Je vis juste la couverture s’écarter et je me coulai à tes côtés. Rapidement tu rejetas la couverture sur nos têtes.
Quelle merveilleuse sensation d’être contre toi ! Impatiente, tu avais déjà ôté ta chemisette, et c’est contre ton corps nu que je me pressai. Mes mains gourmandes effleuraient déjà ton corps, à la recherche des petites zones chaudes et cachées. Tu m’enlevas la serviette, et ta main enserra de suite la formidable érection qui se dressait contre mon ventre.
Plongeant sous les couvertures, je sentis bientôt une chaude douceur envelopper mon gland… ta bouche s’était refermée sur ma verge. Avec une infinie douceur, tu la faisais pénétrer millimètre par millimètre, serrant puis relâchant tes lèvres, l’enfonçant un peu plus, la retirant, y faisant tournoyer ta langue comme sur un sucre d’orge. Je n’apercevais que le drap qui bougeait lentement comme une longue vague. Il montait et descendait graduellement au rythme de tes mouvements, au rythme de mon plaisir. J’imaginais tes petites lèvres serrées sur ma queue, humides de salive. Ta langue s’enroulant autour de mon gland, titillant l’entrée, essayant d’y pénétrer.
Le plaisir montait en moi, je me forçai à rester calme, attentif également aux bruits de la nuit. Un de tes doigts prospecteurs partit fouiller le sillon de mes fesses. Très vite il s’immobilisa sur l’anneau plissé de mon anus. Par petites pressions, il en tâta la résistance, tournant autour, cajolant la chair délicate… À présent, mon membre était en entier dans ta bouche, et les longues allées et venues de tes lèvres commençaient à m’étourdir… Tu avais saisis mes bourses dans ta main droite, et suivant le tempo de tes lèvres, tu les étirais fortement, faisant saillir le gland contre ton palais. Parfois fermant la bouche, tu immisçais mon phallus entre ta mâchoire et ta joue, comprimant délicieusement celui-ci.
J’abaissai le drap, voulant te regarder… ta joue grossissait sous les poussées de ma queue par mouvements réguliers. Tu me repris en bouche tout en me vrillant ton annulaire entre les fesses. Ton geste me raidit brusquement et une brusque poussée de mes reins t’envoya ma verge au fond de la gorge. Tu avais d’abord senti une certaine crispation de mes muscles, peu familiarisé à une telle perception, puis très vite un alanguissement avait fait place à une série de petites contractions sur ton doigt. Alors celui-ci commença à s’agiter, frétillant…et d’une poussée ton index rejoignit ton annulaire déclenchant dans mon anus une première série de spasmes affolants… Sentir tes doigts progressant en moi, m’ouvrant, me jeta au bord de l’orgasme…
Non ! Pas encore ! C’est trop bon ! C’est merveilleux… Se sentir investi, pénétrer, rempli, plein m’apportait une merveilleuse sensation de plénitude… Tu sentis aux mouvements de mes reins le plaisir monter en moi. Je poussai mes fesses sur tes doigts, cherchant à m’empaler encore plus loin. Mon membre se raidissait sur ta langue et tu maintins une cadence plus soutenue, y ajoutant cette fois un léger mordillement lorsque ma verge était au fond de ta gorge. Le pincement de tes dents eu raison de moi, et mon orgasme déferla au ralenti dans mes reins et dans ma verge…
Un spasme inouï surgit dans mes reins, étranglant tes doigts dans la bague de mon anus… tu tiras violemment sur mes bourses, étirant mon prépuce à la base du gland… Les contractions violentes de ma verge me firent prendre conscience comme dans un rêve de la montée de ma semence dans mon membre… et comme à retardement, la première giclée de sperme fusa au fond de ta gorge. Les autres suivirent, t’inondant les joues, se collant contre ton palais…
Puis sortant de ce rêve… je me rendis compte où l’on se trouvait… rien ne bougeait dans le dortoir. Alors ta tête émergea des draps, tes lèvres vinrent au-dessus des miennes, et ouvrant la bouche, lentement tu laissas couler des filets de sperme blanc entre mes lèvres entrouvertes avant de m’embrasser dans un baiser d’enfer, mélangeant nos langues dans le fruit de mon plaisir. Je t’enlaçai comme un fou, mêlant mes doigts dans tes cheveux que j’adorais, récupérant à petits coups de langue le sperme qui te barbouillait le visage.
Puis je t’attirai sur moi, te hissant, te faisant sortir des draps jusqu’à ce que tu sois à genoux près de mon visage. Tu compris ce que je voulais faire… alors tu saisis tes lèvres sexuelles, et les écartant, tu vins les déposer comme une corolle épanouie sur ma bouche gourmande…
De suite, un petit ruisseau de mouille me coula dans la bouche, légèrement acide, citronné… je reconnaissais ton parfum de femme entre mille… Tu frottas ton sexe sur ma bouche, m’imprégnant de ton odeur adorée…
Alors comme un lys, tu te redressas, belle dans le clair de lune qui éclairait la chambrée. Tes petits seins pointaient, accrochant des rayons de lumière à la pointe des tétons. Tes cheveux s’irradièrent de poussières d’étoiles… j’étais fou amoureux de toi mon Elise…
Ma langue darda, pointa, fouillant tes chairs intimes… Mes pouces firent éclore ton petit bourgeon entre son capuchon protecteur, et il s’épanouit entre mes doigts comme un bouton de rose éclos… Mes lèvres s’en emparèrent, délicatement, et ma langue avide lui asséna une série de petites pressions appuyées, l’entourant parfois, le happant, le titillant…
Parfois ma bouche glissait de haut en bas dans ta fente ruisselante, allant recueillir ton nectar qui ruisselait jusqu’à ton anus, fragile petite barrière de tes reins. Ta vulve… il faudrait des heures pour l’explorer, tendrement, passionnément, explorant chaque recoin, chaque courbe, chaque saillie… chaque creux… Ton sexe coulait de tes envies, régulièrement j’avalais ton nectar de fée.
Mes mains empoignèrent tes fesses, les emprisonnant, les malaxant pendant que ma langue plongeait dans ta petite grotte ruisselante. Je pénétrai loin, assez loin pour sentir les pressions de ton vagin qui se contractait spasmodiquement.
Mon pouce fouillait le sillon de tes fesses, s’attardant sur ton anus trempé, le dilatant, le massant. Puis lentement il franchit la petite barrière du sphincter, entrant dans le monde interdit, et d’une poussée vers le haut je t’enculai de toute la longueur de mon doigt… Tu réprimas un cri… abaissant tes hanches d’un coup pour t’empaler à fond… Ton orgasme surgit à l’improviste, je sentis les pulsations de ton vagin à travers ton anus dans lequel mon doigt s’enfonçait vigoureusement.
T’abaissant vers moi, dans un demi coma tu murmuras :
Alors comme une reine tu te redressas, plaçant tes mains derrière ta tête ce qui étiras tes seins.
Lentement tes genoux reculèrent, ta vulve se frottant contre ma poitrine puis sur mon ventre, y laissant une traînée de mouille brûlante. Ton sexe s’arrêta face au mien, comme prêt à un duel, à une joute… le tournoi allait commencer.
Machinalement je tournai la tête…
Sur le lit d’à côté quelqu’un confortablement installé sur un coude nous regardait, à moins de deux mètres !
J’arrêtai tout mouvement… je rêvais peut-être… Mais non ! mes yeux habitués à l’obscurité distinguaient bien la silhouette d’un homme qui nous observait… Sylvain ! Tonnerre ! Installé dans son rôle de voyeur, il ne perdait pas une miette du spectacle. Sa couchette était à deux mètres de nous…
Et toi, insouciante tu t’étirais dans le clair de lune, déployant ton corps nu, t’offrant à son regard, lui offrant tes seins, ton ventre, tes fesses sans te douter de rien. Je ne pouvais rien faire… juste le laisser regarder ! Pas question de commencer à faire un scandale dans le dortoir ! Depuis combien de temps nous regardait-il ? Avait-il assisté à l’extraordinaire fellation que tu m’avais faite ? Avait-il vu le sperme qui s’écoulait de ta bouche dans la mienne ?
Je fis semblant de ne rien avoir vu… tant pis… il assisterait à toute la suite…
Lorsque tu saisis mon sexe turgide, Sylvain regardait, il te vit me masturber un long moment avant que tu ne m’enfouisses entre tes cuisses… et t’abaisser en ouvrant la bouche… Ton vagin me saisit, m’emprisonnant d’un coup comme une grande main qui se refermait autour de moi, et par petits mouvements de hanches, lentement tu m’enfonças au fond de ton ventre. Je me sentais emprisonné dans ta gaine chaude, lisse…
Je vis Sylvain repousser ses draps… entre ses cuisses s’élevait une érection qui sur le moment m’excita énormément… Il entoura son sexe d’une poigne ferme et commença à se masturber en nous regardant… J’imaginais facilement son degré d’excitation ! Il devait te voir à contre jour, ton corps nimbé du halo de lune, tes petits seins dressés, ton ventre ondulant…
Tu bougeais lentement, ondoyant sur le membre fiché en toi, chaloupant des hanches pour le faire heurter l’entièreté de tes parois vaginales… Mon corps s’arquait sous la jouissance, lorsque par mouvements vigoureux tu me clouais en toi brutalement. Ta vulve s’écrasait sur mon pubis rageusement m’aspirant dans tes profondeurs soyeuses.
Je fermai les yeux, emporté dans la houle des sensations, mes mains partirent à la rencontre de tes seins dont je roulai tendrement les tétons entre mes doigts. T’allongeant sur moi, tes lèvres recouvrirent les miennes pendant que ton corps par un lascif mouvement de pendule s’empalait à belle cadence sur mon pieu.
Je n’eus pas le temps de réagir lorsque je sentis une autre présence presque à côté de mon sexe… Je fus subitement serré, étranglé et je te vis relever la tête en ouvrant la bouche de laquelle aucun son ne sortit. Je vis Sylvain derrière toi, debout tenant sa verge en main… et c’est son gland à moitié enfoncé dans ton anus qui rétrécissait ton vagin !
Sylvain s’ajusta sur la petite ouverture et d’une puissante impulsion parvint à ses fins. Ton anus se resserra sur son membre à moitié rentré…
Un long feulement s’échappa de tes lèvres :
La pression sur ma verge à travers la petite paroi était énorme et je sentais les palpitations de son gland tuméfié dans ton rectum… Tu t’écroulas sur moi, frissonnante, figée par la terrible sensation d’être possédée des deux côtés à la fois… Deux sexes d’hommes plongés dans tes entrailles…
Tu gémissais doucement :
Sylvain t’empoigna les fesses, et les écartant pour assister au spectacle, entreprit par petites poussées rapides, de vriller le reste de sa queue dans ton anus. Je sentis lentement la progression de son phallus raide jusqu’à ce que ses bourses viennent s’écraser contre les miennes.
Alors, il commença un lent limage de ton rectum, savourant la puissance de ses entrées, la vigueur de ses sorties. Mon sexe était également masturbé par ce piston de chair qui s’activait puissamment entre tes fesses, enculant parfois d’une seule poussée, parfois par à-coups brusques, parfois lentement, prenant son temps pour t’investir de sa longueur.
Tes bras s’étaient enroulés autour de moi, ta tête dans le creux de mon cou bougeait au rythme des ruades puissantes qui te défonçaient. Je posai mes mains sur ton dos, et je repris lentement mes allées et venues en toi… Sylvain épousa de suite ma cadence… sortant quand je rentrais et inversement, parfois le rythme se faisait syncopé, et nos deux pénétrations se suivaient à quelques secondes d’intervalles. Parfois d’un élan vigoureux, nos deux sexes se fichaient profondément en toi en même temps…
Emportée comme un bateau par la houle, tu te laissas emporté dans cette symphonie de glissements, de poussées, de pressions… J’avais peur que tu cries, je te serrais comme je pouvais contre moi lorsque je sentis les premières crispations de ton vagin, annonciatrices de l’imminence d’un orgasme…
Sylvain dut s’en rendre également, car il enferra sa verge profondément, ne bougeant plus que très peu… Ses petits mouvements accouplés à tes contractions avivèrent la venue de mon orgasme, et j’éclatai en même temps que toi… J’éjaculai plusieurs jets de sperme épais t’inondant l’entièreté du vagin… Celui-ci ruissela rapidement sur mes bourses et la base de ma verge.
Sylvain prit son temps… Maintenant immobile en toi, je savourais ses pulsions dans ton anus… il me limait en même temps que toi, nos verges se frôlaient, à travers la mince paroi séparant ton vagin de ton anus. C’était une caresse merveilleuse que le côtoiement de nos sexes en toi…
Sertie des deux côtés, tu ahanais régulièrement, tenaillée par nos deux épieux de chair. Je sentis que tu relevais les fesses, t’ouvrant à ses saillies.
Sylvain devait sûrement sodomiser une femme pour la première fois, il faisait durer le coït et le plaisir… Son regard fixé sur l’endroit où s’agitait son sexe fasciné de pénétrer à cet endroit. Il projetait son bassin contre tes fesses avec une régularité de métronome. Sortant parfois complètement, il prenait plaisir à forcer à nouveau l’anneau délicat de ton sphincter en écoutant tes petits cris. Parfois introduit bien à fond, il continuait de pousser, voulant t’investir plus loin encore. Ses bourses battaient contre la base de ma verge, et contre ta vulve, les accordant dans le même plaisir… Il fixait la jointure de tes fesses, là où son sexe entrait et sortait, hypnotisé…
Je t’entendis susurrer :
Un nouvel orgasme, anal cette fois-ci, commençait à s’emparer de toi… Tu m’excitais, offerte aux assauts. Tes fesses à présent relevées permettaient à Sylvain de s’enfoncer de toute sa longueur dans ton anus…
Je me sentis à nouveau dans un état proche de l’hébétude… j’aurais voulu être à ta place pour ressentir ce qui se développait à présent dans ton corps… Son piston entrait avec force et détermination, forçant l’obstacle. Je subissais sa puissance autant que toi… Il gicla d’un coup, libérant ses testicules de semence épaisse et chaude, balafrant en tous sens ton rectum de giclées blanches comme dans un tableau surréaliste… son sperme fusant de sa verge commença à sourdre de ton anus par saccades sous ses ruées…
À mon tour mon sexe cracha… son foutre chaud, gluant, collant entre tes cuisses… Tu poussas un gémissement rapidement calmé par ma bouche qui se colla sur tes lèvres, un nouvel orgasme prenant naissance dans tes reins, remonta dans ton vagin… faisant vibrer ton corps. J’eu du mal à te maintenir, le temps que tes mouvements s’apaisent… Sylvain achevait consciencieusement de se vider dans tes fesses… Tu restas longtemps pelotonnée contre moi, reprenant ton souffle. Ces orgasmes dévastateurs t’avaient laissée pantelante, épuisée. Nos sexes ruisselaient de semence mêlée de ton plaisir. Je t’allongeai délicatement dans le lit en t’embrassant. Je te recouvris du drap.
Sylvain dormait comme si de rien n’était… et… si on avait rêvé ? S’il avait toujours dormi ? Si c’était seulement mon excitation qui avait engendré ce fantasme fabuleux ? Je sortis précautionneusement du dortoir, allant rejoindre ma chambrée.
Au matin, on se retrouva tous au déjeuner. Je vis une interrogation dans les yeux de Julie. Elle me fixait, essayant de deviner s’il s’était passé quelque chose cette nuit avec Elsie. Se penchant vers moi elle murmura avant que tu ne nous rejoignes :
Tous les regards interrogateurs se tournèrent alors vers Sylvain…
Un sourire s’ébaucha sur mon visage pendant que je murmurai entre mes dents :