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Anniversaire à Paris

1. Le repas

Cette année, j’ai tenu à fêter ton anniversaire d’une manière particulière en t’offrant une nuit dans un palace à Paris. Après un voyage en Thalys sans encombre et une promenade en ville, nous découvrons une superbe chambre composée d’un immense lit de 1m80 de large, un salon et une grande salle de bain avec jacuzzi tout en marbre et en décoration raffinée. Après une soigneuse toilette, nous avons choisi de prendre le repas dans le restaurant gastronomique de l’établissement. L’atmosphère est feutrée, le repas est excellent et les vins sont délicieux. Durant notre conversation, nous remarquons deux superbes Noirs élégamment vêtus accompagnés d’une blonde aux yeux verts assis à une table proche. Discrètement, tu ne peux t’empêcher de me dire que cette femme a beaucoup de chance d’être ainsi entourée. Tu portes les sous-vêtements que je t’ai offerts pour la soirée : un soutien-gorge demi-bonnets sans bretelles qui te moule avantageusement les seins, un string en dentelle noir au travers duquel on peut apercevoir ton sexe rasé le jour avant notre départ. J’aime que ton sexe soit lisse, lisse et nu, aussi souvent que possible. Une paire de bas, couleur chair, sans attaches vient compléter la parure, cachée par une petite robe noire à fines bretelles.

À la fin du dessert, je te laisse quelques instants pour me rendre aux toilettes. La blonde se lève et quitte sa table dans la minute qui suit. Elle te salue. Lorsque je reviens, je constate que les deux Noirs prennent congé de toi en te souhaitant une excellente soirée. Réflexion : s’ils rejoignent la blonde, elle risque d’être bonne (la soirée). Tes seins nus à travers le tissu de ta robe pointent de manière significative. Nous prenons un café et choisissons de regagner notre chambre. Il est 23h15.

2. Le paravent

Je te demande d’ouvrir la porte de notre chambre avec ta carte magnétique. Le vestibule donne sur la chambre luxueuse peu éclairée, ce qui te surprend. Tu remarques immédiatement une anomalie : dans un coin, un paravent blanc d’où surgissent à travers deux trous circulaires des excroissances que nous distinguons difficilement dans la pénombre. Tu me dis, étonnée, que nous nous sommes trompés de chambre et tu tournes les talons. Pour toute réponse, je t’embrasse tendrement sur la bouche et te dis :

• — Non, non, c’est ta surprise, Bon anniversaire ma chérie, j’espère que tu apprécieras… !

Je découvre ton étonnement, ton trouble même et j’ai un doute sur l’issue de la soirée : je ne sais si tu vas accepter ou exploser en rejetant la situation. Finalement, ta curiosité l’emporte et tu t’avances pour découvrir ce qui dépasse de ce panneau vertical : cela ressemble à des entrelacements de branches, à moins que cela ne soit… deux sexes d’hommes sculptés ???

Tu es comme figée devant cette vision, sans voix, sans réaction et je t’incite à t’agenouiller devant ce spectacle qui te paralyse. Un coussin est prévu à cet effet. Après trente secondes d’observation, tu remarques un léger mouvement de chacun des deux objets : tu te trouves bien devant deux verges humaines, que tu découvres tant ton inexpérience en la matière est grande.

Celle de droite est noire, très épaisse, frisée, discrètement velue, de taille normale. Celle de gauche est comme de l’ébène, longue et fuselée au repos, avec des poils courts et crépus.

Je vois que tu t’interroges. La coïncidence est étrange.

Soudain, je saisis ta main droite et la pose sur la grosse sculpture. Je vois que tu frémis, car elle commence à se développer sous l’effet de ta caresse. Je t’effleure les fesses à travers ta robe. Ceci a pour effet de renforcer ton geste sur le membre qui se dresse presque à l’horizontale. Puis surprise pour moi, tu avances ton visage, ôtes ta main droite et poses tes lèvres sur le gland énorme qui te rend hommage. Simultanément, ta main gauche va se placer sur l’autre sexe et entame un mouvement régulier de la base de la verge jusqu’au sommet. Celle-ci se transforme en une canne d’ébène atteignant au moins 20cm de longueur. Ta bouche après avoir englouti le gros gland passe à l’autre queue dont tu découvres la fragrance inconnue et presque sauvage. Tu prends goût à la situation.

3. La découverte

Je te regarde, occupée à sucer alternativement ces deux sexes qui paraissent détachés de leur corps puisque ceux-ci sont derrière le paravent et je m’étonne de ta réaction. Les membres sont maintenant au maximum de leur érection et je ressens le plaisir que tu commences à prendre à les sentir entre tes lèvres.

Alors, debout derrière toi, je te retire à ton action, je te redresse, je te sens frustrée et je te mets un loup sur les yeux qui te plonge dans le noir total. Je te demande de me faire confiance. Tu te sens attirée vers l’arrière et des mains très douces placent ce que tu imagines être un collier autour de ton cou. Une laisse métallique vient s’y accrocher. Tu sens son poids entre tes seins jusqu’à ton nombril. Les mains frôlent encore ton cou, s’écartent vers les épaules et font glisser simultanément les bretelles de ta robe qui en descendant découvre tes seins nus - malgré le soutien-gorge - qui sont une offrande à la caresse. La chaînette est froide.

Tu laisses échapper un gémissement. Le toucher des deux queues t’a mise dans un état de sensibilité extrême. Tu sens une bouche frôler un téton… Une main se pose sur l’autre sein, en entamant des mouvements circulaires. Soudain - oui, tu comptes bien - deux autres mains placées sur ton dos dégrafent ton soutien-gorge, aident ta robe arrêtée sur tes hanches à descendre sur le sol. Ton excitation monte encore d’un cran lorsque tu sens ces mains frôler tes cuisses, tes mollets, soulever un pied puis l’autre pour te débarrasser complètement de ton vêtement. Puis, dans un geste très lent, elle exerce le même mouvement vertical pour ton string qui quitte ton corps. La main quitte ton sein pour frôler ton nombril et effleurer ton clitoris ; la bouche abandonne le téton pour suivre le même trajet. Tu apprécies mieux la situation en percevant une langue qui touche ton petit bouton d’amour. Ton plaisir continue à croître. De nouveau, comme durant la double fellation, il y a quelques minutes, tout s’arrête.

Tu restes avec tes bas, au milieu de la pièce avec le sentiment que plusieurs paires d’yeux observent ta nudité presque indécente. Une traction sur la chaîne t’invite à avancer, ce que tu fais à pas hésitants, tu parcours quelques mètres et des bras t’invitent à t’asseoir au bord d’un fauteuil dans le salon. Le contact de tes fesses sur le cuir te donne un frisson qui parcourt ton corps entier. Tu entends le bruit caractéristique d’un bouchon de champagne et un verre vient se placer contre tes lèvres. Tu goûtes à ce divin breuvage que je te présente en te disant :

• — À ta santé, mon amour.

En enlevant le verre, quelques gouttes s’en échappent et coulent sur ta poitrine. Une langue se charge aussitôt de récolter le nectar. Puis une queue trempée dans le champagne force le passage de ta bouche. Cette impression te fait gémir et tu passes ta langue sur le gland épais qui produit un lent mouvement. Pendant ce temps, quelqu’un exerce une pression sur tes cuisses pour les écarter et des mains déroulent tes bas, les ôtent. Il te reste tes escarpins noirs.

Du liquide est versé sur la queue, coule à nouveau entre tes seins. Tu essaies d’en perdre le moins possible pendant qu’une langue suit une goutte jusqu’à ton sexe. Tu continues à lécher ce bâton de cannelle qui parfois quitte tes lèvres et revient aromatisé au champagne. Soudain, la queue s’éloigne et ne se présente plus. La traction sur la laisse t’invite à te relever. Tu marches toujours dans le noir complet. On décroche la laisse et des bras te soulèvent pour t’étendre sur le lit. Une pression est exercée pour écarter tes cuisses et te voici sur le dos en croix, dans cette chambre de palace, les mains attachées par des foulards de soie aux montants du lit complètement soumise aux désirs des personnes présentes dans la pièce. Tu n’as plus qu’une idée : qu’on s’occupe de ton corps… partout… Puis, on enlève le bandeau et tes yeux doivent se réhabituer à une douce lumière et là… Stupéfaction…

De part et d’autre de toi, à genoux sur le lit, les deux superbes Noirs du repas commencent à te caresser les seins. Tu relèves un peu la tête et que vois-tu ? Tu crois défaillir. La blonde qui les accompagnait est occupée à me sucer le sexe au milieu de la pièce !!! Elle est accroupie devant moi, presque nue ; seul un serre-taille en cuir noir met en valeur une poitrine au même volume que la tienne. Tu es partagée entre le désir et la colère.

4. Le massage

Un liquide chaud déposé sur ton corps te ramène à la réalité : une huile douce parfumée d’un subtil mélange de monoï et d’ylang-ylang. Les quatre mains prennent leur temps pour te masser délicatement sans brutalité. Chaque passage par ton clitoris électrise ton corps au rythme d’un fonds sonore invitant à la méditation. Tu ne parviens pas, dans un premier temps, à détourner ton regard de ma queue en pleine érection dans la bouche de cette inconnue. Et puis tu fermes les yeux et tu profites de ce moment spécial et excitant…Soudain, le matelas bouge entre tes jambes. Une langue habile se met à voleter autour de ton clitoris pendant qu’un doigt fin s’aventure à l’orée de ta chatte en titillant les terminaisons nerveuses. Tu en as un sursaut, toujours occupée à déguster les caresses du savant massage africain. Tes pupilles se dilatent lorsque tu aperçois la blonde qui enrobe ton petit bouton dans une délicieuse aspiration d’amour. Curieusement, tu sens que ton vagin s’inonde et tu te laisses aller à cette caresse orale, en écartant davantage les cuisses. L’instant se prolonge et tu sens ton plaisir monter lorsque le doigt pénètre maintenant vers la paroi interne de ton vagin pendant que les quatre mains continuent leur ballet incessant allant de ton cou à ton sexe et huilant maintenant tes cuisses. Tu entends le crépitement d’un flash. Je prends des photos numériques de ce moment unique. Elles se retrouveront sur un blog sexy sur le web. Deux colonnes noires s’approchent maintenant de tes lèvres. Ta langue fouille les bords des glands qui se présentent et tu voudrais les prendre ensemble dans ta bouche, mais ils sont trop gros, alors tu alternes… d’abord l’épais puis le long… l’épais… le long… l’épais… lequel est-ce… ??? l’épais ou le long ???

La blonde me fait alors un geste et me dit que tu es prête. Elle se positionne, à genoux, à la perpendiculaire par rapport à toi et je la remplace entre tes jambes. C’est elle-même qui introduit ma queue raide dans ton sexe liquéfié. Elle se met à nouveau à lécher ton clitoris pendant que j’exerce un lent va-et-vient. Parfois, elle sort complètement mon sexe, goutte à ton humidité en nettoyant le liquide blanchâtre qui s’y colle en l’engloutissant dans sa bouche puis le réintroduit dans ta chatte… Après quelques minutes dans cette situation, le Noir à la longue queue d’ébène t’abandonne, vient se placer derrière la blonde. Tu tournes la tête et tu assistes en direct à une pénétration en levrette, la femme écartant ses cuisses pour rendre celle-ci plus aisée. Le rythme est lent et régulier… tout en douceur… La pression sur ton clitoris devient plus insistante et tu peux te consacrer au gros gland qui prend totalement possession de tes lèvres distendues… Tu gémis à cris étouffés. Un masque de plaisir apparaît sur le visage de la blonde qui en s’appuyant sur ses bras se redresse et m’embrasse à pleine bouche… Gémissement de ta part… plaisir ou jalousie… ? Je propose alors que nous exercions une tournante !? Je sors de ton vagin pour me diriger vers ta bouche et soudain… tu ressens… un comblement extraordinaire. C’est la longue queue qui te pénètre tandis que le Noir à la queue épaisse se couche à tes côtés et que la blonde s’empale sur lui en regardant tes traits faciaux se transformer. Tu es occupée à défaillir de bonheur et ta chatte s’inonde pour lubrifier le poteau de chair coulissant entre tes lèvres intimes. Tu as l’impression qu’il n’en finit plus d’entrer. Tu n’as jamais été prise aussi… profond… même avec le gode… La situation est incroyable. Tu ne sais plus où tu en es… ! Tu te mets à t’acharner sur ma queue qui n’en finit plus de grossir entre tes lèvres. Tes aspirations sont entrecoupées de cris de plaisir.

À nos côtés, la blonde s’enfonce de manière rapide et je vois ses seins se secouer au rythme de sa pénétration.

5. L’extase

Soudain, la blonde, tout en continuant son mouvement oscillant, se penche vers toi et entreprend de libérer une main de son foulard de soie. Je fais de même avec l’autre. Elles se placent instantanément sur les fesses musclées de ton Amant. Tu accompagnes chacune de ses sorties et entrées dans ta chatte… Ton plaisir s’approche du sommet… Puis tu m’entends dire ok et le Noir se retire de toi. La vacuité de ton vagin est énorme. La blonde t’invite à prendre sa place. Elle souhaite que tu te positionnes comme elle. La grosse queue reluit des sécrétions vaginales de la pénétration précédente et tu t’empales sans difficulté malgré la grosseur du gland.

Ton torse nu s’écrase sur celui musclé de ton partenaire quand un doigt titille ton petit anneau. Il y entre lentement… pour te préparer à… Il touche la queue à travers la fine membrane. Lorsque tu sens que la longue queue enduite d’huile cherche à s’introduire entre tes fesses, tu ne peux réprimer un cri et dire :

• — Doucement.

Tu ne bouges plus. La chatte largement remplie, tu laisses tes muscles internes s’habituer au membre qui te sodomise lentement. Tu n’aurais jamais cru que ton corps aurait pu accepter cette double pénétration réelle. Ta sensation d’être prise totalement est extraordinaire.

Tu te mets à jouir dès que les deux Noirs entament leurs mouvements. Tu as l’impression que ta chatte et ton anus explosent en même temps de deux orgasmes. Tu éjacules littéralement sur ces queues noires en expédiant ta cyprine avec force sur les ventres et les cuisses de tes amants. Alors la chevauchée reprend de plus belle. Je prends à nouveau des photos. Pour parfaire cette fête totale, la blonde se place en levrette à côté de toi et je la pénètre à 50cm de tes yeux. Cette vision te donne un deuxième orgasme. Mais je ne résiste plus et après quelques mouvements, je me retire, elle se retourne et j’éjacule dans sa bouche. Elle avale jusqu’à la dernière goutte.

Alors, la longue queue noire accélère son mouvement entre tes fesses. Ton plaisir monte à nouveau lorsque tu sens plusieurs giclées de sperme s’écraser sur ton dos, jusqu’à ton cou et la base de tes cheveux. L’autre Noir te soulève littéralement de sa queue et tu te retrouves à genoux sur le lit entre eux debout de part et d’autre de ton visage… Et là l’impensable pour moi… Pendant que tu nettoies la longue queue avec la langue, tu masturbes avec vigueur la grosse qui t’inonde de longs jets crémeux qui ruissellent sur ton visage, sur ton cou et tes seins gonflés… Tu es exténuée de plaisir… Ton clitoris est ultra sensible…

6. Le bain

La blonde nous prend alors tous les deux par la main et nous conduit vers la salle de bain dans laquelle le jacuzzi est en mode fonctionnement. Elle nous invite à y entrer et referme la porte. C’est le calme et nous profitons de ce moment relaxant. Nous y restons 20 minutes l’un à côté de l’autre sans parler enlevant toute trace de la soirée et nous caressant longuement. Lorsque nous sortons, le paravent a disparu, il n’y a plus personne dans la chambre, comme si rien ne s’était passé depuis notre retour du restaurant.

Nous décidons de nous coucher sur le lit dont les draps sont impeccables. Avons-nous vécu un fantasme ? Aurais-je donné ma carte magnétique à la blonde pour mettre en place le scénario ? Aurais-je payé ce trio pour notre plaisir et surtout ton anniversaire ? Toujours ta manie de poser beaucoup de questions. Il est 2h30 du matin.

Je suis heureux d’être en ta compagnie.

Le lendemain, à la réception de l’hôtel, nous recevons un petit colis contenant un DVD… Il y avait trois caméras dans la suite… Tout a été filmé…