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Temps de lecture estimé : 8 mn
25/02/07
Résumé:  Quand deux hommes se rencontrent en montagne, il n'y a pas que les bouquetins qui sont en rut !
Critères:  montagne hh inconnu exhib hmast fellation hdanus
Auteur : Alpin en string  (La trentaine, Haute-Savoie, aimant les balades...)            Envoi mini-message
Le rut du bouquetin

Grand soleil aujourd’hui sur les Alpes ! J’ai bien fait de mettre le réveil un peu plus tôt et de filer vers la montagne. Il faut dire que la saison du rut du bouquetin débute et j’espère bien en observer quelques-uns. Le spectacle des vieux mâles s’élançant les uns contre les autres est vraiment impressionnant. Et si la chance est de mon côté, peut-être aurais-je le privilège de voir une saillie…


Je ne suis pas le seul à être attiré par ce spectacle malgré l’heure matinale : après quinze minutes de marche, une fois la bergerie passée, j’aperçois un homme observant en direction de la falaise. Je prends en main ma paire de jumelles en tentant de repérer à l’œil nu l’objet de tant d’attention mais ne distingue pas grand-chose. Je m’approche alors de lui et j’en profite pour le regarder un peu mieux : la quarantaine, assez grand, plutôt costaud, bref taillé pour la montagne, il est plutôt bel homme.


À deux mètres, j’engage la conversation :



Je pointe mes jumelles dans la direction indiquée, effectue un réglage minutieux et enfin aperçois les animaux tant convoités.



Nous voilà partis pour une ascension le long de la pente raide. Régulièrement nous faisons une halte pour reprendre notre souffle, repérer les éventuels mouvements de notre troupe de bouquetins et boire un peu d’eau. Il faut dire que la montée est difficile. Hélas, après vingt minutes de marche, nous sommes obligés de nous arrêter : le sentier rendu glissant par les premières neiges devient dangereux et il ne serait pas prudent d’aller plus loin sans être sûr de pouvoir redescendre par un autre chemin. Le pire est que le chemin nous a conduits à l’autre extrémité de la combe où se situent les animaux. Nous sommes certes montés à leur altitude mais nous ne nous sommes pas pour autant rapprochés d’eux !



Je pose alors le sac à terre et je m’accroupis pour y ranger ma paire de jumelles qui risquerait de me gêner dans la descente.



Je me retourne, autant surpris par ce tutoiement soudain que par l’allusion à mon string, et réalise qu’en me penchant mon polo était sorti de mon pantalon dévoilant le haut de mon slip. Il faut croire qu’il est suffisamment visible pour que mon compagnon de randonnée ait bien pu voir le tissu qui se resserre et plonge entre mes fesses. Je sens mes joues rougir.



Ses paroles douces me rassurent et je reprends un peu confiance en moi. Je tente une justification malheureuse :



Je lui lance alors, comme un défi :



Je lui montre alors le bas de la combe où nous apercevons d’autres randonneurs qui suivent le sentier en aval. Son regard, après avoir suivi le chemin sur toute sa longueur, semble chercher quelque chose…



Nos regards se croisent. J’esquisse un sourire complice en hochant de la tête pour lui signifier mon accord.


Nous redescendons prudemment de la combe. Mon esprit ne cesse de penser à ce qui va sans doute arriver et je commence à m’exciter. Je sens d’ailleurs par moment que des gouttes se forment sur mon gland et viennent humidifier mon string. Nous traversons bientôt un pierrier et finissons par arriver au beau milieu des éboulements. L’endroit est idéal, entouré de blocs de pierre de dimension impressionnante provenant de la falaise qui nous surplombe. Nous y sommes à l’abri du vent et des regards indiscrets, baignés par le soleil qui, en se reflétant sur les rochers, nous réchauffe délicatement.



Je lui lance, en souriant, un regard complice avec une lueur coquine dans les yeux.



Je ne lui laisse pas le temps de répondre, lui tourne le dos, enlève mon sweat pour ne garder que mon t-shirt que je remonte en roulant le bas pour bien dégager mes hanches. J’entreprends alors de déboutonner mon pantalon et, en me cambrant pour bien mettre en valeur mon cul, je le fais doucement glisser sur mes fesses dévoilant petit à petit mon string en coton. Je laisse mon pantalon glisser jusqu’à mes chevilles avant de le retirer complètement. J’ai bien fait d’en acheter un suffisamment large pour pouvoir l’enlever sans ôter mes chaussures, en prévision de ces petites envies coquines qui me prennent assez souvent en montagne. J’écarte bien mes jambes, les raidis, me cambre et écarte mon cul avec mes mains.



Je jette un coup d’œil dans sa direction et je le vois en train de se palper le sexe à pleine main à travers le pantalon. Je ne suis pas mécontent de l’effet que je produis et décide de ne pas en rester là. Je me retourne face à lui et me malaxe lentement la bite à travers le string tout en me caressant l’intérieur des cuisses. Ma queue grossit à vue d’œil. Elle se dessine maintenant clairement sous le tissu qui ne tarde pas à être imbibé de la mouille que mon gland ne cesse de cracher.



Il faut avouer que j’adore me branler ainsi à travers mon slip, sentant de plus en plus de moiteur sur mes doigts qui caressent mon gland à travers le tissu léger. À chaque frottement de l’étoffe, il rejette une nouvelle perle grasse. J’en ai bientôt le bout de l’index et du majeur poisseux et de sentir ainsi grandir l’humidité entre mes cuisses m’excite encore plus. J’ai l’impression d’être une vraie salope. Je porte le doigt à ma bouche, le lèche goulûment, pour profiter pleinement de ce goût indéfinissable, rehaussé par cette petite odeur que j’ai toujours trouvée agréable.


Je cesse enfin de le nettoyer et le montre à mon compagnon :



Sans attendre sa réponse, j’humecte à nouveau mes doigts avant de me mettre à quatre pattes, le cul bien en l’air. J’écarte alors le string de ma raie, dégageant ainsi mon anus qui n’attendait que cela. Je me caresse doucement, faisant des ronds mouillés autour de ma rondelle, me rapprochant petit à petit. J’enfonce enfin mon doigt d’un coup, sur toute sa longueur. Je sens mon sphincter se resserrer au passage des phalanges visqueuses. Je me cambre davantage, poussant un râle de satisfaction, les faisant aller et venir en de longs mouvements entre mes fesses. Je prends un réel plaisir à trifouiller ainsi à l’intérieur de mon cul et cela s’en ressent à l’humidité de mon string qui ne cesse de s’accentuer à chaque mouvement dans mon anus.


J’arrête enfin mes caresses, me relève et porte à nouveau mon doigt à la bouche. Son goût est plus prononcé, relevé par l’odeur de mon rectum, mais loin d’être désagréable. Enivré par ce parfum âcre, je jette un coup d’œil à mon compagnon. Le plaisir semble être partagé car il se branle maintenant franchement, son pantalon sur les talons. Il a un sexe de bonne taille, long et épais, avec de grosses veines et un prépuce important qui va-et-vient sur son gland au rythme de ses caresses. À chaque mouvement, il ramène à son extrémité de grosses gouttes mousseuses qui finissent par dégouliner le long de sa verge et sur ses doigts.


Il me tend alors son index.



Sa question ressemble fort à un ordre que je m’empresse d’exécuter. Je m’approche suffisamment pour qu’il puisse poser son doigt sur mes lèvres. Je les entrouvre alors pour accueillir dans ma bouche ces phalanges baveuses que je lèche avec gourmandise. Pour ne rater aucune goutte et bien le nettoyer, je commence à faire des va-et-vient le long de ce doigt, lèvres fermées, aspirant légèrement, yeux fermés pour profiter au maximum de ce goût qui se répand dans ma bouche. Que c’est bon ! Mais au fond de moi je n’ai envie que d’une chose, remplacer son doigt par sa grosse bite !


Il faut croire que la transmission de pensée existe vraiment et en particulier pour les idées les plus cochonnes car au moment où j’ai envie de sa queue, mon compagnon écarte alors les cuisses !



Il a à peine le temps de terminer sa phrase que je pose déjà ma bouche sur son gland baveux. C’est la première fois que je lèche ainsi une bite. Je suis d’abord surpris par la tiédeur et l’onctuosité de la mouille qui le recouvre. Tant de douceur est très agréable et encore plus excitant. Aussi je ne tarde pas à faire glisser mes lèvres plus loin le long de cette tige drue et offerte. Je gobe bientôt tout le gland, le sentant frémir dans ma bouche et tressauter de plaisir. J’enchaîne alors sur des va-et-vient vigoureux, aspirant autant que je peux cette grosse queue qui me remplit la bouche. Est-ce la qualité de cette pipe ou l’endroit où elle est administrée, quoi qu’il en soit je sens très vite de gros jets crémeux se répandre sur ma langue. Je m’efforce autant que possible à continuer à le pomper pour le faire dégorger tout son foutre que j’avale au fur et à mesure, jamais rassasié. Malgré mes efforts, il y a bien quelques gouttes qui débordent de ma bouche et viennent dégouliner sur mon torse.


Je délaisse enfin la queue de cet homme qui, les yeux fermés, savoure encore l’orgasme qu’il vient d’avoir. Son sexe retombe doucement, une petite goutte perlant au bout de son prépuce.



Je me relève, lui tourne le dos en me cambrant un maximum pour bien dégager mon cul. Je sens ses mains qui écartent le string et enfin quelque chose de doux et humide parcourant ma raie de haut en bas.



Moi qui ai toujours apprécié d’avoir l’entrejambe humide voire poisseux, me voilà servi !


Nous nous rhabillons assez vite, reprenons nos affaires et entamons finalement la descente vers la vallée. Nous sommes tous les deux silencieux, plongés dans nos pensées, songeant encore à ces minutes folles que nous venons de vivre.



Nous sourions tous les deux à cette évocation alors que nous approchons déjà du parking. Nos chemins se séparent là et, après avoir échangé nos numéros de portable, nous regagnons chacun nos véhicules. En m’asseyant au volant, alors que ma raie poisseuse se rappelle à moi, je me dis que décidément, le rut du bouquetin réserve toujours de belles surprises !