n° 11197 | Fiche technique | 12496 caractères | 12496Temps de lecture estimé : 8 mn | 27/02/07 |
Résumé: Pour me faire un peu d'argent de poche, j'offre mon corps à un papi un peu lubrique. | ||||
Critères: fh hplusag hagé prost travail soubrette fellation pénétratio | ||||
Auteur : Joséphine |
Quand je repense à ce que je fais, j’ai parfois un peu honte de moi, mais la plupart du temps je dois avouer que je suis, au contraire, extrêmement excitée. Et je me caresse de plus en plus souvent, le matin, lorsque mon mari est parti, dans mon lit ou sous ma douche, en fermant les yeux pour savourer mon état de dépravation.
Petite brune aux yeux verts, je me suis mariée il y a de ça cinq ans avec un jeune homme de mon âge. J’étais enceinte de lui et nous avons très rapidement eu une petite fille. Nous formons ce qu’il est convenu d’appeler une belle petite famille. Nous nous aimons, nous nous entendons bien, je crois que nous sommes très heureux. Tout pourrait aller pour le mieux, si ce n’était ces soucis d’argent qui ne cessent de nous gâcher la vie. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je me suis mise en quête d’un travail.
Je n’avais pas fait de grandes études, et tout ce que j’ai pu trouver rapidement, c’est ce petit job d’aide aux personnes âgées. C’était ça ou garder des mouflets : or j’ai horreur de m’occuper des gamins des autres.
C’est ainsi que je me suis retrouvée à aller plusieurs fois par jour chez ce petit papi qui habite à deux pas de chez nous. Au début, tout se passait très bien, je faisais ses courses, son ménage, je préparais ses repas. Sa femme était hospitalisée depuis plusieurs semaines et il était incapable de se débrouiller tout seul, c’est typiquement le genre d’homme qui est totalement perdu sans son épouse.
À 70 ans, Roger était encore alerte et bien conservé. Il ne tarissait jamais d’éloges à mon égard. J’étais pour lui le prototype de la femme parfaite, belle, dynamique, souriante, il me trouvait pleine de qualités.
Évidemment, il connaissait tout de mes soucis d’argent, c’était un peu mon confesseur.
Jusqu’au jour où…
J’étais peut-être un peu plus fragile, ce matin-là. Il en profita lâchement, et ses propositions se firent soudain beaucoup plus précises :
Prenant cela comme une plaisanterie, j’ai aussitôt rétorqué :
Tout d’abord irritée par cette proposition indécente, je sortis de chez lui en claquant la porte, convaincue qu’il ne me reverrait pas de si tôt. Pour qui me prenait-il ? Pour une fille facile ? Pour une catin ? Pour une putain ?
Mais, la nuit portant conseil, je suis malgré tout retournée à son domicile dès le lendemain matin, après avoir cogité des heures durant… Les traites de la maison, le crédit pour la voiture, les frais pour la petite, j’en avais vraiment marre de cette vie miséreuse : manger tout le temps des nouilles, me serrer la ceinture, me refuser le moindre petit plaisir, j’avais envie de profiter de la vie !
Il ne s’agissait, après tout, que de satisfaire quelques rares désirs d’un vieux papi lubrique, rien à voir avec faire le tapin ou même la call-girl. Pour moi qui avais tellement besoin d’argent pour satisfaire toutes mes petites envies, l’occasion était vraiment inespérée et à ne pas rater. Dans mon esprit, cela ne devait en plus pas aller bien loin. Je ne pensais même pas que cela irait jusqu’à faire l’amour. À cet âge-là, les désirs devaient être quand même moins vivaces qu’à l’âge de mon mari…
Mais, contre toute attente, j’ai répliqué :
Que voulait-il donc, ce vieux cochon ? Me voir toute nue ? Me toucher ?
Il m’a alors longuement regardée, comme pour me sonder. Visiblement, il n’en croyait pas ses oreilles. Ma réaction inattendue le laissait assez perplexe. Je crois qu’il avait un peu bluffé en me faisant sa première demande, et qu’il n’avait pas imaginé une seule seconde que je puisse y répondre positivement.
Gênée par cette attitude ridiculement passive, j’ai alors insisté :
J’avais essayé de parler comme une vraie pro. Sans me démonter, et pour lui prouver toute ma bonne foi, j’ai commencé à me déshabiller très lentement et à lui faire un petit strip-tease, en plein milieu du salon. Le vieil homme semblait émerveillé par cet effeuillage. Je me suis retrouvée presque entièrement nue, avec juste mes mi-bas et mes chaussures. Le vieux Roger ne perdait pas une miette de mon anatomie et m’auscultait sous toutes les coutures.
Il avait du mal à avaler sa salive, il frisait la crise d’apoplexie. Maintenant qu’il s’était bien rincé l’œil, j’attendais sa proposition concrète :
Je n’avais pas imaginé tel scénario. Ainsi, à 70 ans, Roger était encore vaillant. Il entreprit de dégrafer sa braguette et en sortit un membre noueux, déjà à moitié dur, et qui me sembla, sur le coup, d’une grosseur impressionnante.
Avait-il des préservatifs au moins ? Oui, il avait ce qu’il fallait. Il courut en chercher une boîte dans la salle de bains.
Je profitai de ce court moment de solitude pour prendre bien conscience de ce que je m’apprêtais à faire. J’avais été naïve sur ce coup-là, en pensant que nos rapports se limiteraient à quelques attouchements et qu’il s’en contenterait. Mais lui désirait beaucoup plus, il désirait la totale. Il voulait se payer une pute à domicile et c’était bien ce que j’allais devenir.
Alors, j’y vais ou je n’y vais pas ? Après tout, maintenant que j’en étais là et que cet argent me tendait les bras… Et puis j’avais tellement envie de cette petite robe ! Ma décision était prise et il suffisait de sauter le pas.
Lorsqu’il revint, il bandait dur et droit. Pour son âge, il était incroyablement viril. Il l’était même plus que mon mari.
Il enfila alors un préservatif :
Je vins docilement m’agenouiller devant lui et restai un instant pétrifiée, comme hypnotisée par ce sexe volumineux et obèse que je saisis doucement entre mes doigts graciles. La texture de sa peau était douce et agréable, les grosses veines saillantes particulièrement excitantes. Il ne me fallut pas longtemps pour me jeter sur ce sexe, comme une affamée, et je l’engloutis prestement avec un appétit non feint.
Je n’avais vraiment pas l’impression de me prostituer, car j’avais vraiment très envie de cette queue, je pris beaucoup de plaisir à la sucer. Même le contact rugueux de ses mains rêches et ridées sur ma poitrine ne me semblait pas désagréable. Mieux, j’étais incroyablement excitée, je sentais mon entrejambe s’humidifier à vitesse grand V. La verge de cet homme me faisait baver d’envie, alors même que c’était souvent à contrecœur que je suçais celle de mon mari. Je me reconnaissais à peine dans ce désir salace.
Il me retourna bientôt sur le canapé et me prit sans ménagement, en levrette, en me traitant de petite catin. Il me baisa ainsi un long moment, avec force et violence, il semblait inépuisable et finit même par me faire jouir : comble du comble, une gourgandine qui prend plaisir avec son client !
Finalement, il se retira et se termina dans ma bouche avec la même violence. Je manquai même de m’étrangler.
Vidé et repus, il s’affala enfin dans son fauteuil et me laissa vaquer à mes occupations. Je décidai de préparer son repas en tenue d’Ève, poussant le vice jusqu’à me retourner de temps à autre pour voir s’il me matait toujours, ce qu’il ne manquait d’ailleurs pas de faire.
Ce jour-là, c’est avec un petit pécule que je repartis heureuse de chez mon petit papi. Il s’était vraiment montré très généreux. Tout ça pour avoir pris mon pied, c’était vraiment trop génial.
Je pris rapidement goût à cet argent facile. Vendre son corps était finalement assez aisé. Les semaines qui suivirent, j’ai souvent recommencé. Mon client était satisfait de mes prestations. Et quelle vitalité ! Il me baisait tout le temps avec force et ne débandait pas.
Il réclama mon cul, je lui offris mon cul et, quelques jeux "uro" plus loin, j’acceptai même d’être attachée et fouettée, d’être sa parfaite soumise. Du moment qu’il me payait, j’étais désormais prête à satisfaire ses moindres caprices.
Plus j’avais d’argent et plus j’en désirais, je ne pouvais désormais plus revenir en arrière. L’étape suivante fut pour moi de demander à cet homme si, par hasard, il n’aurait pas quelques amis qui auraient besoin, eux aussi, de mes services. Non seulement il me fournit des noms, mais il me proposa en plus d’organiser chez lui une après-midi coquine pour me faire connaître. J’en fus enchantée et m’arrangeai pour qu’aucun de ses invités ne soit déçu. Il en allait pour moi de mon avenir (professionnel, devrais-je dire). Non seulement ils me baisèrent tous les quatre une après-midi durant, mais ses copains furent probablement séduits par mes prestations puisqu’ils m’invitèrent tous par la suite pour des rencontres coquines, chez eux ou à l’hôtel.
Désormais, avec ces quatre clients, j’ai largement de quoi subvenir à mes besoins, et je peux m’offrir tout ce que je souhaite. Il m’arrive néanmoins, de temps en temps, de faire aussi quelques petits extras.
Mon mari ne se doute bien entendu de rien. Je lui ai simplement dit que je travaillais maintenant chez diverses personnes, cela me permet de justifier mes rentrées d’argent, qui ne sont après tout pas pour lui déplaire, cela me permet aussi d’expliquer que je suis parfois très fatiguée lorsque je rentre le soir, après une dure journée de labeur. Par ailleurs, j’ai quand même pris mes précautions, je me suis ouvert un compte à part où je place mes économies pour me constituer un petit pécule, une assurance, si jamais je divorce…
Je me sens beaucoup plus sûre de moi, beaucoup plus confiante aussi dans l’avenir, depuis que je me prostitue. Parfois, pour plaisanter, je me dis que si un jour je suis à la rue je pourrais toujours faire le tour des maisons de retraite. Alors qu’il y a quelques mois je voyais tout en noir.
La seule chose qui me manque, c’est une amie à qui me confier et avec qui partager mes joies et mes doutes, une mère de famille qui, tout comme moi, a choisi de vendre son corps pour arriver à joindre les deux bouts. Je ne pense pas être la seule dans mon cas.