n° 11203 | Fiche technique | 37072 caractères | 37072Temps de lecture estimé : 23 mn | 28/02/07 |
Résumé: Ce soir, Mariette sent son amie Pauline un peu déprimée et décide de lui parler mecs pour lui changer les idées. | ||||
Critères: fh fhh fplusag grosseins poilu(e)s travail soubrette entreseins fellation cunnilingu pénétratio fsodo hdanus jeu init | ||||
Auteur : Termanic |
Pauline a la cinquantaine bien tassée, elle est très blanche et un peu grasse. Le soir, elle travaille dans les bureaux pour une société de nettoyage. Le jour, elle complète son salaire en faisant de la couture. Depuis que son mari l’a quittée, elle a du mal à joindre les deux bouts.
Pendant qu’elle fait le ménage, elle téléphone fréquemment à sa copine Mariette, technicienne de surface tout comme elle, et pour la même société, sauf que Mariette travaille dans d’autres bâtiments, à l’autre bout de la ville. Les deux femmes ont le même âge et sont plutôt complices. Elles se connaissent depuis quelques années et ont connu les mêmes galères.
Ce soir, Mariette a décidé de parler sexe à sa complice. Elle sent son amie un peu déprimée et pense que cela lui ferait du bien de penser un peu plus aux hommes.
Pauline ne répond pas, elle regarde ses doigts boudinés et surchargés de bagues.
Comprenant que son amie ne la lâchera pas, Pauline préfère obtempérer de suite. Oui, elle s’était déjà masturbée en pensant à cet homme, oui, elle a parfois eu envie de lui.
Une fois de plus, Pauline préfère ne pas répondre.
Mariette délaisse un instant le téléphone. Pauline l’entend fermer une porte, puis sa copine revient :
Pauline, une fois seule, pense à Christian et à Mariette. Ce garçon un peu gauche et boutonneux, à peine sorti de l’adolescence, semble quand même bien maladroit. Il en est vraiment touchant. D’un autre côté, Pauline a du mal à imaginer sa copine de cinquante-cinq balais, en train de se taper un petit jeune. Non pas que Mariette n’ait pas encore de beaux restes, mais elle préfère les gars un peu plus mûrs.
Ah, si ce n’était ce satané concours ! Pauline n’aucune envie d’y participer. Elle laissera sa copine gagner, et ce sera avec plaisir qu’elle lui paiera un bon repas. Pourtant, inconsciemment, ses pas l’entraînent vers le bureau de son cadre favori, comme toujours fidèle à son poste. Elle stoppe net au seuil de sa porte pour l’observer dans l’entrebâillement. Comme à son habitude, il est plongé sur l’écran d’ordinateur qui requiert toute son attention. Que fait-il ? Il y a probablement du cul derrière tout ça. Pauline en est intimement persuadée, rien qu’à voir la façon dont il se cache quand par malheur il y a encore un autre cadre qui passe dans les parages.
Mais ce soir, la femme de ménage veut en avoir le cœur net, finies les cachotteries. Elle épie ses moindres réactions. Concentré comme il est, si elle rentre sur la pointe des pieds dans la pièce, elle pense avoir le temps d’atteindre le bureau sans qu’il s’en aperçoive. Elle glisse à pas de loup, sans faire le moindre bruit. Rivé sur son ordinateur, plongé dans un monde qui lui est propre, il ne l’entend qu’au dernier moment, lorsqu’elle est déjà tout près de lui. Paniqué par cette intrusion, il se hâte de tout planquer mais il est déjà trop tard : Pauline a eu le temps d’apercevoir quelques images du film qu’il était en train de visionner. Cela ne fait aucun doute, il s’agit bien d’un film de cul.
Le pauvre est en situation de panique et rouge jusqu’aux deux oreilles.
Comment ose-t-elle lui dire tout ça ? C’est vrai que le fait de l’avoir surpris en train de visionner un film porno, l’a passablement excitée. Pris en faute, elle le sent à sa merci. Ainsi c’est bien un vrai cochon, un petit cochon qui s’intéresse au sexe et, à vrai dire, ce n’est vraiment pas pour lui déplaire.
Elle vient derrière son dos et renouvelle sa demande. Elle se fait plus implorante :
Bon gré, mal gré, il consent à accéder à sa requête et l’écran rebascule sur le film. On y voit une petite secrétaire brune et plutôt typée se faire prendre par trois collègues dans une salle de réunion. Ils usent et abusent d’elle et elle en redemande encore. Classique mais efficace. Pauline se rapproche encore de Franck Legendre pour mieux voir mais aussi pour mieux toucher, elle se colle à lui pour sentir sa chaleur.
Lorsque le petit film est terminé :
Il lui répond par l’affirmative sans toutefois oser la regarder. Et tandis qu’il recherche parmi les documents qui remplissent son disque dur, elle enfonce encore le clou :
Mine de rien, elle lui tend une sacrée perche : elle lui avoue qu’elle est seule, libre de toute contrainte et qui plus est qu’elle aime le sexe. Elle plaque son corps un peu plus encore contre celui du cadre. S’il ne comprend pas, c’est qu’il est sacrément bête.
Est-ce en référence à sa personne ? il a choisi cette fois-ci une séquence avec une femme à la poitrine énorme. Celle-ci fait l’amour avec un noir, sur une couverture, en plein milieu d’un champ.
Il cherche à nouveau dans un dossier intitulé « Vieilles cochonnes ». Tout un programme !
Cette fois-ci une brune dont la maturité est indiscutable est entourée de jeunes hommes à moitié nus. L’un d’entre eux la baise tandis qu’elle en masturbe un autre et en suce un troisième. Deux autres encore regardent en se branlant la bite.
Il ne répond pas, aussi insiste-t-elle :
Elle se détache de lui et vient planter ses deux obus devant son regard incrédule. Le décolleté de la blouse, quoique pas spécialement sexy, laisse entrevoir le galbe de des mamelles. Une croix, signe de fervente chrétienté, attachée au bout d’une longue chaînette, se perd dans sa gorge mammaire, elle met encore plus en évidence le profond sillon de ses seins lourds et tièdes. Certes, rien de tout ceci n’est de première jeunesse, mais cette générosité est accueillante.
Les yeux de la belle en disent long sur ses envies salaces. Maintenant qu’elle s’est lancée, on ne peut plus la retenir. En plus, excitée par les petits films cochons, elle a envie de se faire baiser, là, maintenant, sur le bureau comme la secrétaire, et si possible par plusieurs hommes.
Elle défait un à un les boutons de sa blouse et extrait de son soutif ses seins lourds aux larges aréoles. Ils sont auréolés d’une grosse pastille sépia. Perverse, elle mouille bientôt ses doigts et fait reluire ses mamelons de salive.
Franck n’en croit pas ses yeux, combien de fois s’est-il masturbé le soir dans sa piaule en imaginant les deux obus obèses, ces deux rondeurs qu’il ne parvient à entrapercevoir que de temps à autres et succinctement. Combien de branlettes espagnoles a-t-il imaginées entre grosse poitrine ? Dans son lit, il se finissait généralement en fermant les yeux, et en imaginant cette femme de ménage lubrique devant lui, le visage couvert de son sperme gras. Par contre, dans ses rêves les plus fous, il ne l’imaginait pas aussi délurée mais beaucoup plus réservée et craintive. Maintenant, elle est là, à deux pas, devant ses yeux qui n’en reviennent pas, avec ses grosses doudounes généreuses et offertes. Et la cochonne se masse les seins pour exciter sa convoitise.
Depuis que sa femme l’a largué, Franck vit seul dans un petit studio. Du temps où ils étaient ensemble, il reprochait souvent à son épouse d’être beaucoup trop froide et de ne pas avoir assez d’envies. Déjà à cette époque, il passait des nuits blanches à surfer sur Internet. Résultat des courses, Maryse s’est trouvé un autre mec avant de demander le divorce. Et, sa timidité maladive a fait que, plusieurs années plus tard, il vit toujours tout seul. Avant il ne baisait déjà pas beaucoup, maintenant il ne baise plus tout. Quand l’envie devient trop forte, il se rabat sur des professionnelles qui ne lui apportent qu’une maigre satisfaction. Il lui arrive même de regretter Maryse…
Maintenant ce sont les seins de la femme de ménage qu’il tient dans ses mains. Cette femme lui a toujours semblé un brin vulgaire, elle est en tout cas, de par ses réactions, relativement frustre et primaire, mais, en bon bobo, c’est ça qui l’excite, s’acoquiner avec une femme du peuple. Il ne voudrait plus avoir d’aventure avec une femme précieuse et qui fait trop de chichis, il en a vraiment soupé de ce genre de gonzesse. Il lui faut du solide, du concret, du physique, du bien lourd, et ces gros seins pulpeux correspondent en tous points à son besoin présent. Il les palpe, il les triture. Après les avoir épiés pendant des mois, il peut enfin jouer avec.
Pauline savoure, c’est tellement bon ces deux grosses mains d’homme sur sa poitrine bien chaude et, lorsqu’il se penche pour la téter, elle gémit sous la caresse. Il lui mordille les bouts avec ses incisives, il la mord à lui en faire mal, elle serre les dents et accepte passivement la brutalité de cet assaut qui fait durcir ses bouts.
Tandis qu’il continue à maltraiter ses roploplos, Pauline s’inquiète de sa virilité, et lui met carrément la main au paquet. Il est dur, il est gros, il est raide, d’une main experte, elle défait sa braguette et extrait un membre chaud et charnu. La verge est plus grosse que ce qu’elle avait prévu. Elle ne sait trop pourquoi mais pour elle, travailler dans un bureau, c’est synonyme de petite bite. Le gros gland tout violacé la met en appétit, elle le décalotte et Franck gémit un peu. Pauline branle doucement cette tige entre ses doigts bagués. La verge grossit encore, c’est vraiment un beau morceau, elle la sent gorgée de sève. Elle s’agenouille devant le mâle et lui rend hommage en léchant son gland avec sa langue. Un peu de liquide salé coule du méat, elle le goûte, les couilles sont lourdes et très pleines, elle les soupèse entre ses doigts.
Franck lui fait comprendre qu’il a envie de glisser sa queue entre ses seins. Elle lui procure ce petit plaisir. Comme dans ses rêves, il voit sa bite bien dure aller et venir entre les gros obus. C’est tellement bon que déjà il n’en peut plus. Quelques coups de langue plus loin, il est sur le point de non-retour. Il en devient comme fou. Il ne sait pas ce qui lui prend. D’une main, il saisit fermement la tête de la femme et l’attire vers lui à lui en faire mal, de l’autre il se branle comme un damné et ne tarde pas à jouir, giclant à gros bouillons sur le visage de la technicienne de surface. Il la couvre de sperme, il lui en met partout, un jus blanc très épais qui s’écoule lentement sur les joues de sa complice. Loin d’être dégoûtée, celle-ci savoure, puis elle reprend les choses en main et nettoie consciencieusement le sexe encore raide de son amant.
Mais il n’y a aucun reproche derrière ces propos, c’est juste une constatation, et elle a bon espoir de le revigorer rapidement.
Elle se baisse et prend le sexe encore ferme dans sa bouche. Franck se laisse aller, les yeux clos, pour savourer. Cette femme est une perle. Elle sort la queue de la bouche, aspire un peu les couilles et remonte lentement le long de sa hampe avec sa langue, puis elle l’embouche à nouveau, elle le prend tout au fond de sa gorge au risque de s’étouffer. Elle mouille de la bouche et sa salive coule en abondance.
Elle le fait se redresser, il se met debout contre la table, ce qui permet à Pauline de dégrafer son futal et de le mettre à l’aise. Elle baisse aussi son slip avant d’emboucher de nouveau son gros dard. Vicieuse, elle ose même un doigt dans la raie culière de son amant. Elle sait que la plupart des hommes aiment ça, même s’ils n’osent se l’avouer. Elle risque un doigt mutin dans l’anus de son compagnon après l’avoir mouillé avec sa langue. Elle aimerait bien qu’il se retourne pour lui lécher les fesses, elle est amatrice de ce genre de cochoncetés, Pauline est une vicieuse, une vraie vicelarde, grande amatrice d’images salaces et de pratiques obscures. Dans l’intimité elle n’a guère de limites. Mais, pour l’heure, elle n’ose pas, il est encore trop tôt.
Franck a eu à peine le temps de débander que le voici de nouveau viril et raide, il a retrouvé toute sa vitalité dans la bouche experte de cette suceuse de qualité. Il lui triture toujours les seins. Les tétons sont devenus gros et tout durs, tendus comme deux petites bites, les globes ont encore grossi. Il les pince un peu. Elle est à fleur de peau et gémit sous les caresses. Il est temps pour elle de passer aux choses sérieuses, elle se relève, défait entièrement sa jupe, dévoilant une grande culotte sans charme. Celle-ci rejoint bientôt le tas de vêtements sur le sol. Pauline vient s’asseoir sur la table et se penche en arrière pour mieux offrir sa vulve. Ses jambes sont très blanches, elle ne porte pas de collant et ses cuisses replètes entourent une chatte large et accueillante, poilue juste ce qu’il faut, quoiqu’elle n’ait jamais vu l’ombre d’une esthéticienne.
Pauline a juste gardé sa blouse, largement ouverte sur son corps entièrement nu, c’est une femme simple, qui ne se maquille pas, pas sophistiquée pour deux sous et qui s’offre sans fausse pudeur dans le plus simple appareil. Franck contemple cette odalisque dont les bourrelets sont plutôt gracieux. Les poils luisants de sa vulve charnue sont une invite pour une longue séance de broutage.
Franck se met entre ses cuisses, le sexe est odorant, une forte odeur de femme, il ressent ses envies, et la mouille est abondante. Il écarte les chairs et glisse la langue dedans, elle se cambre sous la caresse. Il saisit ses fesses mastocs et d’une blancheur immaculée, et dévore à pleine bouche cette belle grosse chatte poilue. Le fruit est appétissant, rouge brique à l’intérieur et le jus coule à flot. Il déguste cette liqueur divine en passant ses doigts entre les lèvres grasses, un peu gluantes. Le clitoris est saillant, durci, et sa grotte intime réclame un sexe d’homme viril.
Franck bande comme un taureau, il a envie de l’investir, il glisse en elle comme dans du beurre. Elle répond à ses coups de rein par quelques gémissements. Ce qu’elle peut être bonne, cette gourgandine ! Il la fait se retourner, il a envie de la prendre en levrette sur la moquette. Elle prend la position, le cul XXL tendu vers lui est accueillant. Le petit trou brun lui fait de l’œil. Il aimerait bien essayer, mais peut-être pas la première fois… Il glisse dans sa caverne secrète et la défonce sans ménagement, ses gémissements de plus en plus rauques montrent à quel point elle apprécie.
Pauline prend vraiment son pied, pistonnée par ce bon baiseur. Elle a envie que cela dure longtemps, elle ferme les yeux pour savourer. Quand elle les rouvre, elle voit soudain une bite apparaître devant sa bouche, elle ne comprend pas. Franck est toujours en train de la pistonner. Elle relève les yeux et constate qu’il s’agit en fait du gardien, qui s’est joint entre-temps au couple. Il la regarde avec un regard particulièrement lubrique.
Franck, qui était en train de baiser Pauline, a vu l’homme s’approcher et n’a rien cherché à faire. Il n’avait pas l’air hostile, manifestement il voulait seulement participer. Il s’est dit qu’ils ne seraient pas trop de deux pour satisfaire la frénésie qui s’était emparée de la femme de ménage.
L’autre lui a fait signe de se taire et il s’est approché lentement de la bouche de sa compagne en dégrafant sa braguette. Il a sorti une toute petite bite, pas très épaisse mais très poilue.
Le temps pour elle de prendre conscience de la situation, et Pauline l’embouche sans rechigner. Après tout, pourquoi pas : deux hommes valent mieux qu’un, et ce soir elle a vraiment de très grosses envies à satisfaire. Le gardien relève son t-shirt et baisse son pantalon. Il est excessivement poilu, un véritable singe avec de longs poils noirs. Cela ne peut qu’exciter cette femme qui aime les hommes virils et qui apprécie à leur juste valeur les fortes odeurs de mâle.
De voir ainsi cette salope s’acharner sur la bite du Barthez local stimule encore plus Franck qui s’acharne sur l’imposant fessier. Il la bourre comme une brute en lui claquant les fesses. Mais il n’en peut plus, il est à bout, il ressort et s’épanche abondamment sur les fesses grasses de cette maîtresse lubrique.
Les deux hommes échangent leurs places et tandis que Pauline nettoie la queue du cadre, le gardien la laboure avec violence. Elle ne tarde pas à jouir comme une folle sous ses imposants coups de boutoir.
Mais Karim n’en a pas terminé. Il ressort de son vagin et mouille dans la raie culière de son amante. Pauline comprend de suite où il veut en venir, d’autant plus qu’elle sent bientôt deux doigts s’enfoncer dans son cul. Quand il présente sa queue devant son œillet brun, elle accepte la pénétration, elle se dilate et laisse passer cette petite bite. Une de ses mains vient juste, en complément, branler son clitoris, le bruit de clapotis que font ses doigts sur sa chatte est vraiment obscène, le bruit de Karim, ahanant dans son derrière ne l’est pas beaucoup moins. Franck s’est retiré et observe le spectacle en se touchant la queue. Il regrette de ne pas avoir lui-même enculé cette cochonne. En tout cas, pour la prochaine fois, il saura qu’elle aime ça. Il est un peu jaloux car, malgré la petitesse de son engin, son rival donne beaucoup de plaisir à la grosse femme qui n’arrête plus de crier son plaisir…
Pauline n’en peut plus, quand elle sent enfin son amant jouir en elle, c’est une libération. Elle s’effondre, pantelante, sur la moquette. Il faut qu’elle reprenne ses esprits. Quand elle se redresse, les deux hommes se sont rafistolés, elle le regrette un peu. Ils sont assis et la regardent. Elle aimerait bien encore un peu de plaisir avant de s’en aller :
Avec sa blouse ouverte, elle est encore plus excitante que si elle était entièrement nue. Les deux hommes ne peuvent résister à son appel. Elle s’agenouille sur la moquette tandis qu’ils s’approchent d’elle. Elle a tôt fait de ressortir leurs attributs et entreprend de les lécher, chacun leur tour, puis ensuite ensemble, elle prend les deux glands dans sa bouche et les suce avec appétit. Elle a envie qu’ils la couvrent à nouveau de sperme, elle a envie d’être engluée par leur semence et de sentir leur jus sécher sur son visage. Elle sait si bien y faire qu’ils ne mettent pas longtemps à exaucer une nouvelle fois ses vœux. Elle les vide entièrement, jusqu’à la dernière goutte. C’est la troisième fois pour Franck, qui est un peu plus tari. Elle est contente, elle est heureuse, elle en a jusque dans les cheveux. Elle lèche les bites jusqu’à la dernière goutte. Puis elle se relève, satisfaite, ramasse ses vêtements et abandonne les deux hommes qui s’en vont vaquer, chacun de leur côté, à leurs occupations.
« Dring, dring ! »
À peine rentrée dans sa voiture que le téléphone se met à sonner. C’est Mariette qui exulte, elle semble vraiment enjouée :
Pauline passe sa langue sur ses lèvres, encore un peu de sperme. C’était tellement bon !
Mariette la sort de sa léthargie.
À cette heure tardive, Pauline avait recouvré le moral. Tout d’un coup, ce simple petit coup de téléphone lui avait ouvert de nouvelles perspectives et l’avenir était radieux.