n° 11215 | Fiche technique | 11289 caractères | 11289 1810 Temps de lecture estimé : 7 mn |
05/03/07 |
Résumé: J'ai eu du mal à trouver une femme de ménage, mais je n'ai pas perdu au change. | ||||
Critères: fh extracon soubrette exhib lingerie cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Weakl |
Vieux célibataire endurci, j’avais tendance à me laisser aller et, dans les derniers temps, mes copains ne voulaient carrément plus venir chez moi tellement il y avait de bordel. Je me laissais aller.
Pour entretenir mon petit chez-moi, j’avais donc décidé de faire appel aux services d’une femme de ménage. Je me suis mis en quête de quelqu’un en collant une petite annonce chez la boulangère. Je n’ai pas eu beaucoup de choix, dans mon coin, les femmes de ménage étaient manifestement presque aussi rares que les plombiers.
La troisième qui s’est présentée m’a annoncé d’emblée la couleur, elle souhaitait être payée au black et refusait de faire les vitres. Très bien madame, on fera comme vous le souhaitez. Contrairement aux deux autres, elle me semblait quand même beaucoup plus sérieuse. C’était une femme entre deux âges avec de longs cheveux châtains et des épais sourcils. Elle paraissait droite et honnête.
Quand « Madame Propre » a constaté de visu l’étendue des dégâts, elle m’a demandé une petite rallonge. Elle voulait bien trier mon fatras, mais à condition que je lui laisse les coudées franches et que je lui donne l’autorisation de mettre certaines vieilleries à la poubelle, car j’avais tendance à tout garder.
Nous n’avions pas vraiment sympathisé, c’était une femme assez bizarre, très effacée et qui parlait au minimum. Elle faisait son travail, un point c’est tout. Mais je la trouvais particulièrement efficace et j’étais vraiment content de ses services.
Je lui avais demandé si elle était mariée, elle m’avait répondu « vaguement », avec une moue boudeuse, j’avais tout de suite compris qu’il y avait un petit malaise de ce côté. Pour autant, il ne me serait jamais venu à l’idée de la draguer. Elle avait beau avoir mon âge, nous ne vivions pas dans le même monde et puis, à part son épaisse crinière et ses sourcils épais qui lui donnaient un air assez étrange, elle n’avait vraiment rien d’exceptionnel.
Je lui avais donné une clef, parce que j'étais absent toute la journée et parce que je rentrais souvent fort tard le soir. Je ne la croisais pratiquement jamais, elle passait le samedi matin pour que je la paye de la main à la main et que je lui laisse mes recommandations pour la semaine suivante.
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Quelques mois plus tard…
Ce jour-là, j’avais pris un RTT pour m’occuper de formalités administratives. Je l’avais prévenue la semaine précédente :
Comme convenu, j'étais donc rentré un peu plus tôt chez moi. Il devait être à peine quatorze heures.
La porte était ouverte, mais il n'y avait personne en bas, alors j’avais appelée :
Intrigué, je gravis l’escalier, qu’avait-elle donc encore inventé ? À force de briquer partout, je ne me sentais plus chez moi…
Je la trouvai dans ma chambre… allongée de tout son long sur mon lit. Elle était en petite tenue, je n’en croyais pas mes yeux. Elle portait bas, porte-jarretelles et soutien-gorge affriolant, le tout en dentelle noire plutôt chic.
Pour une surprise, c’était une surprise et elle était de taille !
Avec ses doigts, elle écarta alors sa culotte et dévoila une toison fournie, toute aussi noire que ses sourcils. Nul doute que ce n’était pas pour faire un scrabble qu’elle m’attendait dans cette position. Je m’approchai alors prudemment et remarquai qu’elle avait pris soin de placer une boite de préservatifs bien en évidence sur la table de nuit. Ses intentions étaient on ne peut plus claires. J’en fus vivement étonné, car jusqu’alors il n’y avait jamais eu la plus petite ambiguïté entre nous.
J’adorais les femmes en porte-jarretelles. Je remarquai au passage que ses cuisses étaient assez grosses et ses hanches plutôt larges. Elle tapota le matelas avec sa main et me fit signe de venir m’asseoir à ses côtés. Visiblement, elle avait de la suite dans les idées.
Une femme qui s’offre, cela ne se refuse pas, j'aurais été difficile de dire « non ». Alors je vins tout près d’elle sur le lit et posai ma main doucement le long de sa jambe. Visiblement elle n’attendait que cela. Je remontai lentement jusqu’à son sexe et glissai ma main sur sa toison. Sa fourrure était excitante, je passai mes doigts dedans.
D’un geste de la tête, elle me montra les papiers qui traînaient par terre sur la descente de lit. Ah d’accord, je comprenais tout car il s’agissait d’une correspondance très chaude que j’avais entretenue tout au long de ma vie avec diverses femmes, et que je conservais religieusement. J’ignorais qu’un jour elle ouvrirait cette boîte de Pandore. Celle-ci ne fermait pas à clef, et ne contenait en fait qu’un grand tas de papiers. Je relisais rarement ces lettres mais les conservais en souvenir. Certaines d’entre elles étaient plutôt osées.
Cette coquine de femme de ménage était en train de les lire en m’attendant.
Et maintenant que je la voyais ainsi offerte sur le lit, je dois dire que son envie était très communicative. Je remontai lentement le long de son corps, ses seins plutôt larges étaient malgré tout excitants.
Même si elle paraissait décidée, je la sentais malgré tout un peu crispée.
Mes mains caressèrent doucement ses seins que je sortis bientôt du soutien-gorge. Ma langue mutine passa et repassa sur deux petits tétins tous durs. Je l’embrassai partout en jouant d’une grande sensualité, avant de descendre lentement vers sa corolle. J’écartai doucement sa culotte et embrassai sa toison. Je la sentais qui se décontractait peu à peu. J’en profitais pour me délecter de ses délicieuses effluves. Elle avait une odeur assez particulière que j’appréciais, qui me donnait envie de pousser plus loin mes investigations. J’écartai ses chairs et rentrai en elle avec une langue mutine.
Ce cunnilingus fut un moment de vrai bonheur. Je sentais le plaisir monter chez ma partenaire par vagues successives, il se renforçait, je la sentis se cabrer et tous ses nerfs se tendre. Ma bouche se mit au diapason de son ressenti qu’elle me faisait partager ; j’accélérais ou ralentissais suivant ses réactions, mais elle était déjà tout au sommet de la vague et prête à exploser. Elle me demanda de la libérer, elle n’en pouvait plus, je la fis encore languir quelques instants, mais c’était déjà trop tard, je sentis sa jouissance arriver. Elle éclata en rugissant, avec une voix rauque et caverneuse, tout son corps se tendit et fut secoué de spasmes. Elle resta tétanisée par le plaisir.
Ma tête toujours posée entre ses cuisses, ma bouche s’acharnait sur elle ; le moindre petit bisou lui procurait de nouvelles sensations et je ne me privais pas de la torturer par le plaisir.
Elle me prit finalement la tête et me demanda de venir à elle :
J’enfilai la capote et la pris en missionnaire en regardant ses épais sourcils, elle me faisait penser à une belle ténébreuse. Elle ferma les yeux et lorsqu’elle les rouvrit, je m’aperçus qu’ils étaient déjà presque révulsés. Nous fîmes l’amour un long moment dans cette position, puis elle se tourna pour que je la prenne par derrière. Apparemment, elle appréciait beaucoup la levrette, car elle gémissait comme une dingue au rythme de mes coups de boutoir, ce qui contribua encore à mon excitation. Cette étreinte fut courte, mais bestiale. Nous jouîmes de concert en nous exprimant à grands bruits.
Puis elle se glissa sous les draps et m’attira tout contre elle, manifestement, elle avait besoin d’un gros câlin. Épuisés par cette étreinte nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Une heure plus tard, je fus à peine surpris de me réveiller auprès d’elle :
Elle m’expliqua alors que son mari la délaissait depuis des mois, qu’elle le soupçonnait de la tromper avec d’autres filles, qu’elle en était presque certaine, mais qu’elle n’avait jamais pu prouver quoi que ce soit.
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Depuis cette aventure, non seulement j’ai une femme de ménage, mais j’ai également une nouvelle maîtresse qui a pris ces derniers temps de plus en plus de place dans ma vie.
Mais attention, il ne faudrait pas que je me laisse passer la corde au cou. Cette femme aux sourcils épais a beau être une sacrée affaire, je ne voudrais pas qu’elle me prive d’autres plaisirs.