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n° 11217Fiche technique21171 caractères21171
Temps de lecture estimé : 13 mn
05/03/07
Résumé:  Un homme part dans ses pensées pour atteindre le plaisir.
Critères:  fh frousses couple enceinte grosseins poilu(e)s fsoumise fdomine cérébral revede voir odeurs hmast fellation cunnilingu fdanus fsodo jeu sm attache baillon yeuxbandés fouetfesse humour
Auteur : Toma
Tout dans la tête...

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Zut ! Ça ne fonctionne pas ! Je pensais pourtant avoir trouvé la solution ! Il est 18h30, je m’en vais, il est suffisamment tard pour un vendredi soir. Je vais devoir discuter lundi avec mon chef de service, jamais mon programme ne sera près la semaine prochaine. Mais bon, il n’arrête pas de me dire que je suis un ingénieur prometteur, alors je ne pense pas qu’il me mettra des bâtons dans les roues : je vais pouvoir obtenir assez de délais pour terminer.


Fermeture de Windows en cours


Pendant ce temps, je range mon attaché-case en pensant au fabuleux week-end qui m’attend. Un week-end d’amour, à n’en pas douter.




* * *




Ma femme se love contre moi. Nous sommes tous les deux nus sous la couette, je suis sur le dos, les yeux fermés. Je sens son ventre tendu par ses huit mois et demi de grossesse…




* * *




Je descends de ma voiture, je sors de ma poche mon porte-clés et j’utilise la clé ad hoc pour ouvrir la porte d’entrée. Mon épouse est en train de regarder la télévision, elle est installée sur le canapé, enveloppée d’une couverture. Ce fait m’étonne :



Elle fait non de la tête, elle se dégage de la couverture et se dirige vers moi : elle est complètement nue ! Je la regarde en enlevant ma veste : je la trouve parfaite. Ses cheveux roux paraissent enflammés sur sa peau sans tain, une ligne de grains de beauté rejoint son épaule gauche et ses petites pêches blanches, son pubis est recouvert de poils roux et frisés. Je la serre en lui disant des mots d’amour et en lui caressant le dos. Je la remercie de s’être déshabillée pour m’attendre, cette situation m’excite énormément… et je ne suis pas au bout de mes surprises !

Mes mains atteignent maintenant le bas de son dos, se posent sur ses petites fesses douces et commencent à les peloter doucement. Je me rends soudain compte qu’il y a un truc étrange entre les deux :





* * *




Connaissant la fin de l’histoire, mon sexe commença à se tendre, surtout que ma femme ne peut pas être plus excitante que dans l’état où elle est…




***




Je ne finis pas ma question car j’ai deviné de quoi il s’agit : elle porte un plug ! Là, mon excitation monte d’un cran, je me sens à l’étroit dans mon pantalon de costard.



Elle hoche la tête. Décidément, elle n’a pas envie de parler aujourd’hui ! Dommage, j’aurais bien aimé avoir quelques précisions, car elle ne m’a jamais parlé de ce désir anal ; en plus, je la vois très mal aller dans un sex-shop et dire à la commerçante : « Bonjour madame, j’aimerais me pluguer le cul ! »… Elle l’a peut-être acheté sur Internet. Je finirai bien par savoir, elle ne va pas rester muette jusqu’à la saint Glin-Glin.


Elle se dégage doucement de mes bras et s’éloigne. L’objet placé dans son rectum provoque un léger balancement de son bassin lorsqu’elle marche. Qu’est-ce qu’elle est belle… Ses cheveux atteignent pratiquement son postérieur, leur couleur vive est soulignée par l’extrême blancheur de son dos. Je vois ses fesses tenues écartées par l’extrémité bleue de cet objet qui attire ma curiosité et mon afflux sanguin. Cette vision est brève, car mon épouse est aussitôt revenue, elle me tend le papier plié qu’elle est allée chercher. Je le déplie et lis :



Mon amour,


La situation actuelle correspond à un de mes fantasmes. Je ne devais pas t’en parler car ta surprise en faisait partie. J’espère que tu ne seras pas choqué, mais te connaissant, je ne pense pas.

Je veux que tu me baises.

Deux heures durant, je suis ta chose. Surtout fais bien attention que je n’ai pas d’orgasme.


Ensuite, s’il te plaît, fais-moi un cunnilingus dont tu as le secret et j’atteindrai le nirvana…




Cette interjection m’a échappé, je la regrette immédiatement. Mon sexe me fait mal tellement il est tendu. Je ne me rappelle pas avoir été aussi excité de toute notre vie sexuelle. Bon allez, je ne vais pas faire ma mijaurée :



Je suis pitoyable. Bon, je ne vais pas tergiverser, j’ai tellement envie de lui faire l’amour ! Je la prends par la main et l’emmène dans notre chambre, en signe d’acceptation.

Il ne me faut pas plus de deux minutes pour être nu ; j’ai laissé ma femme s’en charger : c’est une furie. Je ne sais pas ce qui m’excite le plus : la promesse d’une partie de cul mémorable ou de voir avec quelle force je suis désiré par la femme que j’aime. La fraction de seconde nécessaire pour me dire que je m’en fous suffit à mon épouse pour se mettre à quatre pattes sur le lit, ses orifices de mon côté.


Je m’aperçois à ce moment qu’une petite ficelle ressort de son vagin. Là, si elle a ses règles, ça va devenir franchement dégueulasse, je ne suis plus preneur…Pourtant je me rappelle que sa zone rouge était le week-end dernier. Elle m’avait même fait une crasse : elle s’était mise sur mon visage – bon, jusqu’ici rien d’inhabituel, c’est comme ça que je pratique le cunnilingus - sauf qu’aux moments rouges, elle met toujours des tampons ! Cette fois-ci, elle avait « omis » d’en mettre un. Et vu comme elle était excitée, ce n’était pas un oubli ! Par amour pour elle, j’ai accepté de me transformer momentanément en vampire, mais après, le goût dans ma bouche était atroce. J’avoue que je ne regrette pas, vu l’orgasme gigantesque qu’elle a pris…


Alors, cette ficelle, ce n’est tout de même pas…Et pourtant si !

Je tire doucement dessus et vois apparaître une boule rose d’environ trois centimètres de diamètre. J’observe la réaction de ma femme : son souffle est rapide, je vois des gouttelettes de cyprine chuter sur le dessus de lit. Ma femme prononce enfin une parole :



Oui madame, mais pas toute suite… Je laisse la boule à l’extrémité de son vagin, m’assois à côté d’elle et m’occupe de sa poitrine. Je caresse doucement ces petites pointes tombantes aux bouts rose clair. Ses tétons sont déjà très tendus ; lorsque mes doigts les frôlent, je vois un petit frisson se propager dans son corps. Je me glisse sous elle, ma tête au niveau des seins, et utilise sa poitrine à la manière de hochets pour nouveau-nés. Je ne peux pas résister à l’envie de téter ces merveilles. Ma bouche se dirige ensuite peu à peu vers la vallée aux plaisirs. Encore une étape avant de sortir de cet endroit merveilleux : son sexe. Je passe doucement ma langue tout au long de celui-ci, un gémissement me répond. Lorsque ma langue touche son clitoris, ce gémissement se transforme en petit cri, à peine audible.


Je me suis relevé. Je passe un doigt tout doucement le long de la fente de mon épouse en faisant osciller le plug dans ses fesses. Apparemment, ce traitement lui plaît. Je ne la savais pas anale, on en apprend tous les jours ! Je continue une petite minute puis, par surprise, j’arrache violemment les deux boules de geisha qui restaient dans son vagin, tout en donnant un petit coup sur le plug toujours enfoncé dans son rectum. Son cri est impressionnant. Simultanément, ce liquide que je connais bien maintenant, mais qui m’avait surpris au début de notre relation, a giclé de son vagin, atteignant ma cuisse gauche. Je sens son abondance couler le long de ma jambe : c’était bel et bien un cri de plaisir, je n’ai pas à en douter !

J’observe attentivement la scène : ma femme est toujours à quatre pattes, haletante, sa vulve ruisselle, ses tétons pointus, son anus maintenu dilaté par le plug…




* * *




Cette vision me fait bander au plus au point. Voyant cela, ma femme commence à me branler doucement avec ses mains fines et douces…




* * *




Mon sexe est maintenant tellement gorgé de sang que je peux le voir légèrement bouger à chaque pulsation de mon cœur. Elle voulait se soumettre ? Alors, c’est parti, mon kiki…

Je fais semblant de me fâcher :



Mon maître ??? Décidément, elle est davantage prête au SM que moi…


Elle descend du lit, se met à genoux devant moi et nettoie ses sécrétions avec sa langue, sans me quitter des yeux. Je suis son maître… Soudain, je la prends par la tête à deux mains, introduis entièrement mon sexe dans sa bouche et la bloque dans cette position, en appuyant fermement ma main sur sa nuque. Apparemment, cette fellation extrême est assez pénible pour elle : je sens sur mon gland des soubresauts de sa gorge, comme si elle voulait m’évacuer. De toute façon, ça ne va pas durer longtemps, cette sensation est tellement délicieuse ! J’imprime à sa tête d’amples va-et-vient, de plus en plus rapides, jusqu’à l’explosion finale. Mon épouse avale consciencieusement et me dit :



Voilà autre chose : je jouis dans sa bouche sans aucun égard pour elle et elle me remercie ! Ah ! oui, c’est vrai, c’est du SM, je n’arrive pas à m’y habituer…



Elle se remet dans la position initiale, à quatre pattes. Je commence par une claque pas très appuyée sur sa fesse gauche, pour voir l’effet produit. Elle ne bronche pas d’un poil : je peux y aller plus fort. La claque que j’entends pour la deuxième, sur sa fesse droite, sonne beaucoup plus fort. J’ai failli m’excuser de lui avoir fait mal : la marque de ma main est imprimée rouge sur blanc ! Je touche sa fente pour voir où ça en est de ce côté, mais apparemment la « punition » n’a pas fait retomber son excitation. Bien, continuons : quatre claques de la même force, rapides, deux par fesse. Son postérieur est maintenant bien rouge. Nouveau contrôle au niveau de sa vulve : purée, ça l’excite !



Houa, dites-donc, qu’est-ce que c’est bandant, comme position ! Bon, là, je vais y aller doucement, car ça risque de lui faire très mal. J’essaie de doser au mieux le prochain coup : il faut que ma main vienne taper le plug avec une force pas trop élevée pour ne pas la défoncer, mais tout de même suffisamment, sinon ce n’est pas drôle… Allez, un, deux, trois : clac !

Ma femme laisse échapper un cri qui me semble être un mélange de douleur et de plaisir. Je vérifie pour être sûr : c’est bon, sa vulve ruisselle toujours autant. Après ce traitement de choc, la sodomie ne sera plus un problème. Rien qu’à l’idée que je vais pouvoir la prendre par le cul sans restrictions, mon érection est repartie. La dernière fessée : clac ! Je garde ma main contre ses fesses, en appuyant sadiquement sur le plug. Là, le cri est bel et bien de la douleur, donc je ne reste pas ainsi, j’attrape le plug et le retire d’un coup de son cul.




***




Je sens le plaisir monter en moi, je respire maintenant d’une manière plus saccadée. Ma femme me branle toujours, sans jamais changer de rythme. Je pourrais lui dire d’accélérer afin de jouir tout de suite mais je préfère encore attendre, les yeux fermés, et poursuivre l’histoire…




* * *




Je vois un frisson – de plaisir, cette fois – parcourir son corps. Je me demande comment elle peut mêler les deux sensations extrêmes, cela me paraît impossible. Son trou du cul est tout dilaté : c’est vraiment bandant !



Mais elle commence à me canuler la tronche avec ses mon Maître ! J’en ai ma claque, maintenant, du SM ! J’ai envie de la câliner… Tiens ! J’ai une idée…



Trois minutes plus tard, je suis de retour. Je suis toujours nu, j’aurais dû m’habiller un peu avant d’aller au garage car maintenant, j’ai froid. Au moins, ça a quelque peu calmé mes ardeurs… Je pose les morceaux de ficelle que je suis allé chercher et prends dans la commode deux mouchoirs en tissu, un foulard et des tampons à oreilles. Quelques instants plus tard, mon épouse est bâillonnée, aveuglée et rendue sourde. Je l’observe : je ne me lasse jamais de mater ses aisselles jamais rasées, petites touffes de poils clairs et peu abondants, de même que son pubis. J’aimerai la serrer dans mes bras dès maintenant, en plus ça me réchaufferait… Bientôt.


Je défais le lit, prends ma femme par la main et la fais s’allonger. Je relie ses poignés à ses chevilles, deux à deux, ses bras passant entre ses jambes. Je vérifie que ses extrémités sont suffisamment irriguées ; apparemment c’est bon, mais il faudra que je fasse attention car elle ne pourra pas me dire si elle a mal. Dans cette position, ses cuisses sont écartées et ses orifices totalement accessibles. Je mets un doigt dans chacun. Je m’étonne de la facilité avec laquelle je peux entrer par son anus, ainsi que de la chaleur qui règne dans son vagin.


Enfin ! l’heure des câlins ! Je la bascule sur le côté et m’allonge ; elle est de dos par rapport à moi. Je la serre contre moi ; mes mains caressent l’ensemble de son corps - enfin, surtout sa poitrine, ses fesses et sa vulve. Sa respiration devient plus forte, son vagin plus chaud, son anus plus détendu, mon sexe plus dur, son clitoris plus gonflé.


Pendant ces préliminaires, j’hésite. Qu’est-ce qu’on peut réfléchir, lorsque l’on doit mener la danse seul ! Je n’aime pas cette position de dominateur, je préfère que l’amour charnel soit fusionnel ; là, le côté maître-esclave met de la distance entre les amants. Mais bon, je me mentirais si je me disais que je n’aime pas la voir pieds et poings liés, ses orifices dilatés par l’excitation et le port de sex toys ! Je ne me souviens pas avoir retrouvé autant de vigueur aussi vite ; mon sexe est pour la seconde fois tellement tendu !

Anus ou vagin ? Vagin ou anus ? Bon allez, je l’encule.


Aussitôt dit, aussitôt fait, je suis en elle. C’est curieux comme sensation : d’habitude cet endroit est tout serré… Tout en limant, je la mets à genoux. Je prends sa croupe, je peux ainsi m’enfoncer au plus profond de son rectum. J’adopte un rythme en deux temps, pour prolonger la pénétration : c’est tellement bon ! Premier temps : je rentre avec force jusqu’au fond ; deuxième temps : je me retire doucement jusqu’à avoir juste mon gland en elle. Je fais également quelques tours dans son vagin, ce qui la met à chaque fois au bord de l’orgasme. Mais à chaque fois, je suis revenu dans son cul avant qu’il soit déclenché, par un coup sadique qui calme un peu ses ardeurs.

Je sens mon plaisir monter, je suis dans son cul, je ne vais pas pouvoir tenir bien longtemps. C’est la dernière ligne droite, le sprint final. Il n’y a plus deux temps, plus aucune cohérence dans mes gestes, je suis animal. Je réussis à trouver encore assez d’énergie pour y aller comme un dératé et jouis violemment au fond de son cul.




* * *




À ce moment-là, j’ouvre les yeux, je regarde le corps énorme de ma femme, son ventre tendu, ses seins gonflés. Je respire un grand coup son odeur, pars d’un violent soubresaut et jouis longuement dans la couette et sur la main de mon épouse. Elle me laisse quelques minutes dans la torpeur de l’après orgasme. Elle m’embrasse sur la bouche et me caresse la joue de sa main trempée de mon sperme, puis me demande simplement :



Bien, ma chérie, tes désirs sont des ordres.



Elle se met sur ses genoux, appuie sa grosse vulve contre ma bouche et se redresse jusqu’à être bien assise. Heureusement qu’elle ne va pas prendre beaucoup plus de poids avant l’accouchement, car déjà la pression de son corps sur ma mâchoire est légèrement pénible. Je plie un oreiller en deux et le place sous ma nuque. J’ajuste également la position de ses grosses lèvres poilues de femme enceinte, pour que ma langue puisse être la plus précise possible sur son clitoris, pour que son orgasme soit le plus important possible.


J’aime beaucoup cette position, je peux profiter pleinement de l’odeur et du goût de ses sécrétions vaginales, je peux caresser son ventre et ses seins autant que je le veux, et tout ceci m’excite tellement ! Tout comme cette ligne de duvet sombre partant de son mont de Vénus recouvert de poils noirs, et arrivant à la jointure de ses gros seins. Tout comme ses tétons excités qui ressemblent à de grosses tétines sombres. Tout comme sa poitrine aujourd’hui tellement gonflée que des veines bleues sont apparentes. Lorsqu’elle n’avait pas un ventre aussi gros, je pouvais aussi profiter de la vision des traits de son visage traduisant son plaisir, mais depuis deux ou trois semaines, sa grossesse est trop avancée pour que je puisse encore avoir le bonheur de la regarder jouir.


Cette position de dominatrice doit également beaucoup lui plaire, car il ne lui faut à chaque fois pas plus que quelques minutes pour jouir intensément. Aujourd’hui ne change pas des jours précédents : ses muscles se tétanisent déjà. J’accélère donc le rythme de ma langue sur son clitoris, ce qui provoque son orgasme. Toujours le même orgasme, toujours la même quantité de cyprine coulant sur mon visage, toujours les mêmes soupirs, toujours le même arrière-goût dans ma bouche, toujours le même petit bisou sur mon front en remerciement.



Ce qui est vrai : je ne pourrais pas vivre sans elle, et bientôt sans le petit bout de chou qu’elle est en train de couver. Mais bon, au niveau sexe… Son anus est un sens interdit, la levrette une position dégradante. En plus, elle ne sait pas sucer…



C’est ça, toi aussi. Elle ne prononce jamais les mots « je t’aime », ça doit lui arracher la bouche. Elle se contente toujours du bien pratique « moi-aussi ».


Il y a des ombres dans je t’aime

Pas que de l’amour, pas que ça

Des traces de temps qui traînent

Et du contrat dans ces mots-là…

(Goldman, Sache que je)



Non, je n’ai pas fini ma chanson.



Ça, tu ne le sauras jamais.



Tu ne crois pas si bien dire !