n° 11219 | Fiche technique | 7475 caractères | 7475Temps de lecture estimé : 5 mn | 07/03/07 |
Résumé: Sous prétexte de révisions, un moment court mais bien agéable qui a failli être perturbé par sa maman... | ||||
Critères: fh jeunes copains cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Bali Balo (Petit coup express entre amis) |
Révisions, révisions, que de crimes n’a-t-on pas commis en ton nom !
Pour le moment, ça va pour moi. Je suis venu chez elle en principe pour qu’on révise ensemble les math. Elle a des difficultés, alors je suis censé lui expliquer. Ce n’est pas gagné. D’autant plus que par ce bel après-midi de juin, on a un peu la tête à autre chose. Oh, on a bien révisé un bon quart d’heure. Maintenant, on est sur son lit, on se bécote gentiment. Elle n’a pas appelé au secours quand j’ai glissé une main sous son petit débardeur, ni quand j’ai dégrafé son soutien-gorge, ni quand j’ai dégagé un sein pour le caresser et en agacer la pointe. Pour le moment, ma main remonte le long de sa jambe, et de sa cuisse sous sa jupe et elle ne m’a pas encore giflé. Bon. On continue.
Allons, bon ! Voilà sa mère qui est revenue plus tôt que prévu. Martine fait un saut au plafond et, rajustant tant bien que mal soutien-gorge et débardeur, elle bondit à la fenêtre et se penche vers sa mère, en bas dans le jardin.
Prise de court, Martine bredouille :
Mais la maman a des tas de choses importantes à dire à sa fille, qui reste donc penchée à la fenêtre. Je la vois, à contre-jour, la lumière jouant dans sa jupe. Situation cent mille fois imaginée, cent mille fois décrite. C’est mon jour : j’y vais. Pernicieux, je me glisse jusqu’à Martine et m’agenouille derrière elle. Elle me fait un signe impérieux de la main, mais je n’en tiens pas compte. Je passe mes mains sous sa jupe, remonte vers ses cuisses, puis me glissant sous sa culotte lui caresse les fesses. Elle se tortille pour m’échapper, ce qui ne m’excite que plus.
Je m’enhardis, remonte sa jupe et regarde ses fesses. Je remonte jusqu’à sa taille et commence à faire glisser l’élastique de son slip. Je commence à voir la raie des fesses, mais elle serre désespérément les cuisses pour m’empêcher de continuer. Mais j’insiste et, petit à petit, j’arrive à enrouler la culotte sous ses fesses et je contemple ce délicieux derrière, bien rebondi et sympathique. Ma main essaye de faire le tour pour découvrir sa toison, mais elle se plaque à l’appui de la fenêtre. Alors, je dépose des tas de gros baisers sur son postérieur, en caressant ses cuisses. Et puis je change de tactique : mes baisers se font très doux, fondants, mes caresses plus subtiles. Alors, tout d’un coup, elle se relâche. Je sens les muscles de ses fesses se décontracter, les cuisses se détendre. Je peux faire glisser la culotte jusqu’en bas sans difficulté et elle lève même un pied pour s’en dégager. La jupe suit rapidement. Elle reprend appui, les jambes un peu écartées et décolle son ventre de l’appui de la fenêtre, cambrant les reins.
Alors là, c’est la fête. Je découvre sa chute de reins et, n’ayons pas peur des mots, son cul, dans toute sa splendeur. Entre les cuisses je distingue le renflement du sexe bordé de poils. Hyper bandant. Je reste un moment contemplatif et puis je pars à l’attaque. Je reprends les baisers tout doux, j’écarte un peu ses fesses pour de petits coups de langue indiscrets. Le tranchant de ma main part en exploration entre ses cuisses, découvre la douceur des lèvres, la chaleur et l’humidité. J’insinue même un doigt, le glisse en crochet dans son vagin, fais quelques va-et-vient. Cette fois, Martine frétille comme un gardon, elle se cambre encore plus, a carrément les jambes entre parenthèses. Il me semble que sa voix a blanchi…
Gardant un doigt dans son vagin, j’écarte ses fesses avec les doigts de mon autre main et, du bout de ma langue mutine, je vais lui titiller l’anus. La position n’est pas très confortable. Alors je me retourne, me mets sous elle et, lui agrippant les fesses, j’embrasse et lèche furieusement sa toison. Et puis un doigt s’aventure vers son petit trou déjà passablement sollicité. Elle serre les fesses, puis relâche. Sans avoir l’air de rien, le doigt tourne un peu autour, puis appuie doucement, elle resserre les fesses, relâche encore… Le doigt refait quelques tours, appuie encore un peu. Elle ne serre plus. Le doigt appuie encore, un peu plus fermement, un peu plus autoritaire et puis, comme sans faire exprès, comme par accident, va s’enfoncer. Immobilité, attente. Autre va-et-vient. Elle ne bouge plus, mais on sent tous ses sens en alerte, à l’affût de ces sensations nouvelles. Alors doucement, je glisse le pouce de la même main dans son vagin. Elle est complètement trempée. On déguste cette caresse à deux doigts. Avec l’index de l’autre main, je vais alors glisser vers son petit bouton.
Évanescente, Martine essaye de répondre :
Martine essaye de ne pas bouger pour éviter l’orgasme en tête-à-tête avec sa mère.
Vivement, Martine se dégage de mes doigts, se retourne et, reposant cul nu sur le rebord de la fenêtre, elle écarte largement les cuisses et, me traitant de salaud, elle agrippe ma tête pour l’enfouir dans sa minette. Je joue furieusement à broute-minou, des lèvres, des dents, de la langue. Alors, là, elle se lâche, remue, geint, jouit… Elle n’appelle pas sa mère, quand même, faut pas exagérer. Je vais en prendre une crampe dans la langue, je sens. Mais tout à coup, elle me repousse, elle fait voler son débardeur, son soutien-gorge. Elle est complètement nue. Je l’accompagne aussitôt. Ma bite est toute heureuse d’être libérée d’un slip coercitif. Elle a rejoint le lit, s’est couchée sur le dos, les cuisses écartées et fléchies :
J’obéis encore, mais avant de conclure, je veux lui caresser les seins, les baiser, je la retourne pour revoir ses fesses, le peloter encore, frotter ma verge contre son cul, baisoter son cou, caresser ses épaules, passer ma main encore entre ses fesses qu’elle soulève pour m’aider. Je les écarte furieusement pour la baiser, la lécher, la caresser, la peloter, la déguster. Je la retourne encore pour un peu de re-broute-minette et puis je me glisse entre ses cuisses et mon sexe pénètre dans le sien, si bien préparé. Son jeune vagin est délicieusement étroit, me malaxe divinement la verge. Elle remue le bassin comme une folle, et quand nous jouissons (presque ensemble, mais si !) nous nous serrons très fort, à s’en faire péter les côtes.