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n° 11250Fiche technique19794 caractères19794
Temps de lecture estimé : 12 mn
24/03/07
Résumé:  Une femme belle, sensuelle et sexy, un homme simple et prévenant, un couple amoureux.
Critères:  fh couple amour volupté intermast fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Revede
Une soirée ordinaire

Une soirée ordinaire



19H, après une journée de travail classique, le moral dans les chaussettes, je rentre à la maison. Dans la voiture, je pense à ce soir, nous n’avons rien de prévu, pas de barbecue entre amis, pas de soirée cinéma, demain on bosse donc, pas de sortie. Bref, une soirée qui ne s’annonce vraiment pas passionnante, comme la plupart des soirées de la semaine d’ailleurs. Julie ne sera surement pas encore rentrée, elle m’a prévenu qu’elle avait une réunion qui ne se terminera pas avant 20H. Je vais donc devoir l’attendre pour manger, d’ailleurs ça serait sympa pour elle que tout soit prêt a son retour, il va falloir que je m’y colle.

J’arrive a la maison, je rentre la voiture au garage, je vais chercher le courrier, encore des factures, toujours de la publicité… Mince alors, faut pas que je me laisse gagner par le cafard sinon ça va être encore pire que prévu et Julie va passer une mauvaise soirée aussi. Alors je vais m’occuper du repas. Pour les factures on verra ça ce week-end, et les publicités vont suivre le chemin habituel, celui de la poubelle à recyclables.


Qu’est-ce que je vais pouvoir préparer ? Étant un piètre cuisinier, il vaut mieux que je ne me lance pas dans quelque chose de compliqué, un plat de pâtes au thon, ça ça va l’étonner, ça lui changera des carbonaras habituelles que je fais quasiment à chaque fois que c’est moi qui cuisine, et en plus c’est dans mes cordes. Bon d’accord c’est toujours des pâtes mais y’a quand même un peu de changement. En entrée, un peu de foie gras de la mémé, avec du pain de mie grillé et quelques feuilles de salade pour la présentation, il reste un peu de vin blanc doux d’hier, il faut le finir, ça tombe bien. Un repas simple, c’est tout ce que je peux faire mais le menu devrait lui convenir. Peut-être qu’une glace en dessert ? Bon on verra le moment venu, ici tout est prêt il n’y aura plus qu’a réchauffer les nouilles.

En attendant, je vais mettre la table dans le salon, je sors les couverts, les assiettes… Tiens des bougies, un petit repas aux chandelles ? Pourquoi pas. Mais alors, lumières tamisées et petite musique de fond obligatoires, style décontracté c’est ce que nous préférons tous les deux. Super, à mon avis, il y a deux solutions, soit elle est fatiguée et va trouver ça nul, soit elle est en forme et va trouver ça gentil. La deuxième option est la meilleure, je ne sais pas comment elle fait, elle est toujours en forme olympique, enfin j’espère que ça sera comme ça ce soir.


Elle ne devrait plus tarder maintenant, je sors deux verres et de la glace pour l’apéritif si elle en a envie. Tout est paré, il ne manque plus qu’elle, je vais aller prendre une douche rapide et me changer, pour me rafraichir. J’enfile un jeans propre et une chemisette, je sors de la salle de bain et je l’entends qui arrive. Je vais l’accueillir et l’embrasser.



En me disant ça elle enlève sa veste, la pose sur le porte-manteau et rentre dans la salle à manger :



Et là, elle se met à rire, je ne sais pas pourquoi, c’est toujours un plaisir de la voir rire, j’aurais au moins réussi ça ce soir. Et quand elle rit, je ne peux m’empêcher de la prendre dans mes bras et de la serrer très fort en l’embrassant dans le cou.



Encore un câlin et là c’est elle qui m’embrasse dans le cou.



Et elle s’en va. OK alors j’attends. Le cafard de la fin d’après midi a l’air de s’être fait marcher dessus, tant mieux, il ne me manquera pas. Par contre, j’ai des idées qui se bousculent dans ma tête, j’ai envie de Julie.


Cinq minutes plus tard, j’entends qu’elle m’appelle :



Elle sort de la douche, je la regarde, elle est belle, ses jambes sont magnifiques, longues et fines mais pas trop, juste de quoi porter avec élégance une très belle paire de fesses, un ventre quasiment plat, une poitrine qui me fait toujours autant d’effet. Et bien sûr quand je la regarde comme ça, je me fais remettre en place, un sourire espiègle et un faux ton de reproche :



Encore un de ses regards à la noix, avec celui là je ne sais jamais à quoi m’attendre, elle me pousse vers la sortie :



Encore cinq minutes plus tard, l’apéritif est servi, Julie rentre dans le salon et me regarde en souriant :



Ouf, si je m’attendais a ça. Elle s’est rhabillée effectivement, elle a mis sa robe bleue, celle qui lui va si bien. Je suis verni ce soir, elle m’a sorti le grand jeu, son décolleté me semble vertigineux, ses jambes haut perchées sur des talons sont gainées par des bas attachés à un porte-jarretelles, ce qu’elle me montre dans un mouvement interdit au moins de 16 ans.



Je m’approche, la prend par les bras. Je la regarde en la faisant tourner sur elle-même, puis je me serre contre elle et l’embrasse, je suis content. Elle me rend mon baiser et se love contre moi. Mes mains se font baladeuses, tour à tour, elles descendent pour caresser ses jambes puis remonte le long des bas en tirant la robe vers le haut, passent sur la peau nue jusqu’à ses fesses, effleurent le string de dentelle puis s’échappent vers son dos et ses épaules, nues elles aussi. Je la sens qui frissonne, l’excitation la gagne elle aussi, elle me caresse le dos et les fesses.



Elle se rapproche encore de moi, son ventre se colle contre mon sexe, elle me sourit, puis s’écarte un peu et sa main se glisse entre nos corps, et me recouvre doucement.



Elle m’embrasse de nouveau, je la sens très amoureuse, je suis aux anges.



Bon d’accord, bon gré mal gré, je vais attendre.

L’apéritif, le foie gras, le vin blanc et les nouilles, si j’avais su j’aurais quand même essayé de faire un plat plus raffiné, je suis trop bête.

Quand elle parle de supplice, elle sait de quoi elle parle. Que de mouvements très sensuels, de gestes aguichants, de paroles prometteuses. Impossible de faire redescendre la tension. Dès qu’elle se penche un peu vers moi pour me parler, j’ai des sueurs froides. Dès qu’elle se lève pour aller chercher le sel, ou changer la musique, je ne peux pas détacher mon regard de sa démarche lente et sensuelle, ma femme est un hymne à l’amour à elle toute seule. Quand c’est moi qui me lève, et que je reviens, je vois ses jambes pliées sous la table, la robe est remontée juste assez pour que j’aperçoive la lisière de ses bas et l’attache des jarretelles. Ces artifices féminins la me rendent complètement fou, et elle le sait.



Elle se lève, encore son sourire malicieux, chargé d’érotisme, de désir. Et elle vient s’asseoir sur mes genoux, légèrement de profil, me prenant par le cou. Elle m’embrasse. Je l’embrasse. Je lui caresse les jambes, les genoux, mon autre main remonte vers son cou en passant par la courbe harmonieuse de sa poitrine.



Elle se lève, me prend par la main, et m’entraine vers la chambre à coucher. Tant pis, on débarrassera demain.


En arrivant, elle se tourne, de dos défait l’attache de sa robe au milieu du dos, elle se tourne de nouveau et se débarrasse de sa robe en me regardant. Bon sang ce regard, je ne m’y ferais jamais, tension maximale, je suis mal, j’ai chaud. J’enlève ma chemise et mon jeans, gardant juste le slip.

Elle revient vers moi, je me rapproche d’elle, on s’enlace, on s’embrasse, nos corps s’emboitent, se frottent l’un contre l’autre. Ma main gauche descend le long de ses hanches, vers sa jambe qui monte à sa rencontre. Son pubis se retrouve collé au mien, facilitant encore les caresses entre nos sexes.


L’excitation qui nous envahit, nous fait perdre légèrement l’équilibre, et nous dirigeons la chute vers le lit. Je m’allonge de profil tout contre elle, ma main se glisse derrière le tissu de son string, explorant son derrière, malaxant une fesse, les doigts se perdant dans les profondeurs de son intimité. Elle soupire de plaisir, complètement offerte. Pendant ce temps, ma bouche quitte la sienne pour descendre dans son cou, le creux de son épaule, entre ses seins. Je dégage une bretelle de son soutien-gorge, la deuxième, et je lui mange les seins. Je défais tant bien que mal l’attache arrière et lui enlève cette dentelle qui ne sert plus à rien. Je lui mange de nouveau les seins pendant que mes mains repartent vers ses reins, elle adore, moi aussi. Je continue la descente, embrassant son ventre pendant que mes mains se positionnent pour enlever le string, plus j’approche du bas de son ventre, plus je la sens frémir, trembler, cela m’encourage à continuer. Ma langue arrive au bord de son string, que je fais descendre en même temps, doucement, elle m’aide en se levant un peu. Je l’enlève petit à petit, toujours en suivant sa progression avec ma bouche et ma langue.

Au niveau des genoux, je sens ses mains qui me prennent la tête et me ramènent vers le haut. Alors je remonte, toujours aussi doucement, vers l’intérieur de ses cuisses, celles-ci s’écartent au fur et à mesure, jusqu’à ce que ma bouche atteigne son sexe, déclenchant un tremblement encore plus fort. Je commence à lui lécher la vulve, titillant le clitoris, insérant ma langue vers son vagin, c’est divin. Julie gémit, sur le dos, elle attrape ses genoux afin d’écarter encore plus les jambes et de s’offrir encore plus. Son bassin se met à onduler sous mes caresses, je sens sa jouissance approcher, elle ne peut plus l’arrêter, elle vient. Son gémissement orgasmique me comble, je lève la tête pour la regarder profiter de son plaisir, j’aime la voir jouir.

Elle se redresse, me tire vers elle pour m’embrasser, et me dit simplement dans l’oreille :



Et là, renversement de situation, je ne sais pas comment, elle me retourne et m’allonge sur le lit, les jambes pendantes en dehors, elle allongée sur moi. Elle a décidé, c’est son tour, elle m’embrasse partout, front, yeux, bouche, menton, oreilles, puis le cou, la poitrine. Ses seins se promènent sur mon corps, jusqu’à frôler mon sexe, c’est trop bon, je ne vais jamais tenir la distance.

Enfin, ses seins quittent mon sexe, mais c’est sa main qui vient me caresser les bourses, le pénis, sa bouche arrive en renfort, elle m’embrasse d’abord le gland qu’elle joue à décalotter, recalotter avec sa main. Elle se lève, se met à genoux par terre devant moi et revient vers mon sexe en me regardant. Avec une douceur incroyable, elle me prend dans sa bouche, de plus en plus loin, jouant avec sa langue, mon sexe disparaît bientôt complètement dans sa gorge, ressort,… je ne vis plus. Elle continue à me regarder, elle semble contente de ce qu’elle lit sur mon visage. Elle continue, jouant de ses mains, de sa langue, de sa bouche, de sa gorge, de ses seins, de ses yeux.

Je sens que la jouissance arrive, je me redresse pour la tirer vers moi et la prendre dans mes bras. Elle se laisse faire, et viens m’embrasser puis elle se met à quatre pattes, perpendiculaire à moi et reprend sa douce fellation. Je glisse une main sous son corps, caressant ses seins, son ventre et son sexe, je joue un peu avec son clitoris, pénètre son vagin avec un doigt, puis deux. Elle est trempée et complètement ouverte. Elle remue son bassin au rythme de mes doigts et de sa fellation.

Tout d’un coup elle se soulève, et tout en continuant son va-et-vient avec sa main elle me dit :



Elle me regarde, se lève puis me tire vers le haut pour que je me lève aussi et me dis à l’oreille :



Je ne dis rien et je la regarde faire, elle s’allonge sur le lit, sur le dos, offrant son corps toujours vêtu de son porte-jarretelles, de ses bas et de ses chaussures, écarte légèrement les jambes dans un mouvement lascif, m’invitant à la rejoindre. Je reprends mes esprits et je viens m’allonger sur elle, ses jambes s’écartent au maximum, son pubis venant a la rencontre de mon sexe. Je la frôle avec mon gland, elle l’attrape avec une main et le fait frotter entre ses grandes lèvres, puis le positionnant à l’entrée de son vagin elle me fait la pénétrer. Elle s’abandonne complètement, poussant un petit cri lorsque j’atteins le fond de son intimité, suivi d’autres à chaque va-et-vient.

Mes mouvements sont d’abords lents mais profonds, puis à mesure que l’excitation nous gagne et que nous sentons monter l’orgasme, ils s’accélèrent en accord total avec le bassin de Julie. Je suis en appui sur mes bras, je profite du spectacle, le visage de Julie, un petit sourire, les yeux embrumés de plaisir, ses épaules, ses bras de part et d’autre de ses seins, ses mains accrochées à mes hanches, accompagnant mes mouvements, ses jambes ouvertes, repliées aux genoux laissant totalement l’accès libre à son sexe que j’ai investi entièrement. C’est dans cette position que je ne peux plus retenir mon orgasme et j’éjacule en elle dans un concert de râles et de cris de plaisir, ma jouissance ayant provoqué la sienne.


Après quelques mouvements supplémentaires, pleins de douceur, nous nous embrassons en laissant retomber la tension de nos corps, toujours emboités l’un dans l’autre. Quelques mots d’amour partagés, je la remercie d’être ma femme, d’être aussi belle et désirable, elle me dit qu’elle m’aime…

Nous restons comme ça quelques minutes, parlant de notre désir d’enfant, des prénoms que nous envisageons, de notre avenir commun. Puis le plaisir étant complètement retombé, elle se lève, je la regarde s’avancer vers la salle de bain, en face de la chambre et du lit et commence à se démaquiller. Encore une vision exceptionnelle pour mes yeux, Julie est de dos, légèrement penché en avant pour enlever son rimmel (ou je ne sais quel produit de beauté). J’observe la cambrure de ses reins, rehaussée par le porte-jarretelles, ses jambes gainées, son dos nu et ses seins qui dépassent de temps en temps lorsqu’elle est de biais. Mon excitation revient. Je me lève et la rejoins dans la salle de bain. Je me colle à son dos et à ses fesses, l’embrassant dans le cou, mes mains jouant avec ses seins. Elle frotte ses fesses contre moi et se met à rire :



Elle m’embrasse par dessus son épaule, un baiser long et passionné. J’enlève une de mes mains de sa poitrine et la fais courir le long de son ventre, plaquant son bassin contre le mien, puis je recommence à caresser son sexe. L’effet est immédiat, la tension remonte, elle remue son bassin et ses baisers sont entrecoupés de gémissements. Je continue le traitement, malaxant son sein et son sexe. Elle m’interrompt, me prend par la main, me tire vers le lit ou elle s’agenouille sur le bord et me dis :



Je m’approche, elle se penche en avant, se cambrant, m’offrant l’ouverture de ses reins et de sa vulve. Je pose mon pénis contre son sexe ouvert, profitant encore du spectacle, et m’enfonce en elle, au plus profond. Elle gémit et m’encourage à la pilonner, son bassin se projetant vers le mien pour accentuer encore la pénétration. Le va-et-vient est rapide, puissant, la vue est imprenable, les cris de Julie résonnent à mes oreilles comme autant d’encouragements, elle jouit, elle jouit et je suis heureux, je continue encore un peu jusqu’à ce que je sente le point de non retour arriver, je sors de son sexe et je jouis à mon tour, entre ses fesses. Elle s’allonge sur le coté, moi derrière elle, nous récupérons doucement de cet orgasme.

Julie s’endort et moi je rêve éveillé. Elle dort maintenant profondément, alors je la déshabille, j’enlève son porte-jarretelles, ses bas. Ses chaussures étaient tombées, au champ d’honneur, pendant la bataille, elle est nue. Je la soulève un peu pour la remonter dans le lit, et la couvre avec le drap, j’éteins la lumière et me couche derrière elle, elle se retourne sur le dos et je profite du mouvement pour passer ma tête sur son épaule, la bouche contre un sein, la main droite sur l’autre, et ma jambe droite par dessus les siennes.

« Bonne nuit ma chérie.»



FIN