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n° 11260Fiche technique14329 caractères14329
Temps de lecture estimé : 9 mn
27/03/07
Résumé:  Un jeune homme est surpris par sa voisine au bord de sa piscine. Cette femme plantureuse, de vingt ans son aînée, va se charger de lui faire découvrir des plaisirs insoupçonnés.
Critères:  fh fplusag voisins piscine volupté nudisme hdanus init
Auteur : Ludo1227  (Auteur de nouvelles)      
Une initiation singulière

Des talons claquèrent soudain sur le chemin de pierre qui conduisait à la piscine. Je sortis brutalement de ma torpeur et la panique, terrible, m’envahit. Qui pouvait bien me rendre visite en milieu d’après-midi ? Depuis plus de deux heures, j’étais installé dans un transat, avec les oiseaux pour seule compagnie. La chaleur était si intense que je plongeais régulièrement dans la piscine afin de me rafraîchir. À l’extérieur, les rayons brûlants du soleil me séchaient en quelques secondes ; je n’avais donc bien évidemment pas pris de serviette. Surtout, j’avais laissé mes vêtements à l’intérieur de la maison et je ne portais pas de maillot de bain. Depuis deux ans que ma mère avait acheté cette villa, j’avais pris l’habitude de profiter de ses absences pour bronzer dans le plus simple appareil. Le fait de me baigner nu et de m’étendre au bord de la piscine sans le moindre carré de tissu suscitait en moi un trouble sans pareil. À chaque fois, je laissais l’excitation me gagner pendant des heures avant de me masturber enfin, lorsque le soleil venait à se coucher.


Mais ce jour là, je me maudissais d’avoir cédé à mon fantasme. Les pas se rapprochaient à vive allure. Me précipiter dans la maison aurait été inutile : le nouvel arrivant m’aurait forcément vu courir nu dans l’allée. Mon épouvante me paralysait. Au point que je ne parvenais même pas à dégrafer les élastiques qui maintenaient en place le coussin enveloppant mon transat. Je n’avais donc rien pour nous dissimuler, moi et mon embarras. En désespoir de cause, je me jetai à plat ventre sur le transat, au moment même où mon visiteur débouchait de l’allée.


C’était Nicole, notre voisine. Ma mère et cette brune plantureuse avaient sympathisé dès notre aménagement dans ce petit village du Lubéron. Toutes deux célibataires, elles passaient de nombreuses soirées ensemble. Ma mère la conviait souvent à dîner et, sitôt le repas achevé, alors que j’avais à peine quitté la table, les éclats de rire débutaient : Nicole racontait à ma mère ses multiples aventures de bisexuelle parfaitement assumée. Masqué par la porte de la salle à manger, je n’en perdais jamais une miette. Et de retour dans ma chambre, je me masturbais consciencieusement.


Tout en Nicole transpirait le sexe. Sa manière de se vêtir, notamment. Alors qu’elle s’approchait de moi, je vis qu’elle portait ce jour-là un tailleur gris perle sur un chemisier blanc. L’échancrure de ce dernier laissait largement entrevoir une poitrine d’une fermeté exemplaire pour une femme de 42 ans. Les talons aiguilles dont elle se parait chaque jour la grandissaient d’au moins 10 centimètres, ce qui lui permettait de franchir allègrement la barre de 1,75 mètre. Parvenue à mes côtés, cette femme d’une somptueuse élégance m’adressa un sourire désarmant et me lança de sa voix délicieusement rauque :



Certainement étonnée par mon silence, elle s’assit sur le bord de mon transat et répéta :



J’osais d’autant moins regarder cette femme divinement voluptueuse qu’elle était en train de me provoquer une érection naissante. Je trouvai néanmoins la force de lui répondre :



Je lui lançai un regard à la dérobée, espérant qu’elle comprendrait mon embarras. Mais Nicole me regardait exactement comme à l’accoutumée, sans paraître remarquer que je me trouvais intégralement nu devant elle.



Plutôt que de lui répondre, je me pris la tête entre les deux mains.



Un silence de quelques secondes s’installa entre nous. Les effluves de son parfum élégant titillaient mes narines. Je sentais le tissu de son tailleur effleurer doucement ma peau. Alors que je me trouvais toujours couché sur le ventre, le gonflement de mon pénis commençait à me gêner horriblement. Enfin, elle sembla prendre conscience de la situation et me dit doucement :



Comme je ne la regardais toujours pas, elle se pencha vers moi.



Me saisissant par les épaules, elle me força à lui faire face. Une fois étendu sur le dos, je découvris, horrifié, que mon érection était beaucoup plus imposante que je ne le craignais. Nicole jeta un œil amusé à mon pénis et chuchota :



Je ne trouvai rien à lui répondre, je fuyais le regard pénétrant de ses yeux bleus. Sa main gauche s’empara de mon menton et me força à la regarder. Quant à sa main droite, elle la posa délicatement sur mon ventre. Je sentis alors le sang battre plus rapidement dans ma verge.



J’hésitai un moment avant de me résoudre à lui confesser la vérité.



Elle sourit, comme si elle s’attendait à ma réponse. D’un geste, elle m’obligea une fois encore à planter mon regard dans le sien. Le contraste fut alors saisissant entre la brutalité des mots qu’elle prononça et la douceur du ton qu’elle employa :



J’ignore si c’est mon regard étonné ou le soudain soubresaut de ma verge qui lui laissa penser que j’acceptais sa proposition. Mais elle se pencha brusquement vers moi et posa ses lèvres sur les miennes. Sa langue pénétra doucement dans ma bouche et elle m’embrassa avec une incroyable sensualité.



Je sentis alors sa main droite descendre lentement le long de mon ventre. Après avoir joué quelques secondes avec les poils de mon pubis, elle évita soigneusement ma verge pour se diriger vers mes cuisses, qu’elle écarta d’un geste doux, mais ferme. Toujours assise à mes côtés, elle interrompit son baiser pour me sourire avec tendresse. Sa main continuait de s’immiscer à l’intérieur de mes jambes, s’attardant parfois dans le pli de l’aine. Elle s’empara lentement de mon scrotum, l’enveloppant avec une infinie délicatesse. Bien qu’elle ne l’eût toujours pas touché, je sentais mon pénis se raffermir comme jamais. Elle m’embrassa de nouveau, sa main droite redescendant le long de mes cuisses. Ses caresses se faisaient de plus en plus enivrantes : ses doigts effleuraient mes cuisses, puis saisissaient longuement mes bourses, l’arête extérieure de son pouce appuyant suffisamment fort sur la base de ma verge pour que je pousse un gémissement de plaisir. Je n’en pouvais plus. Plus que tout au monde, je désirais que ses longs doigts s’emparent de mon phallus et lui impriment enfin un délicieux mouvement de va-et-vient. Et je sentais que, dès qu’elle accéderait à ce vœu, je jouirai sans tarder. Pourtant, si elle regardait mon entrejambe avec appétence, Nicole continuait d’éviter savamment le membre que je lui tendais désespérément.


Tout en continuant de flatter mes bourses, elle pencha son visage sur le mien et m’embrassa avec gourmandise. Sa langue descendit ensuite dans mon cou et le long de mon torse, joua un moment avec mon nombril, puis poursuivit son chemin en direction de mon bas-ventre. Dans le même temps, elle quitta le transat pour s’accroupir près de moi. Je sentais ses lèvres posées sur mon pubis, espérant qu’elle allait enfin s’aventurer plus bas. Mais lorsque ma verge effleura légèrement son visage, elle se releva lentement. Elle me lança alors un sourire d’une extraordinaire sensualité, tout en essuyant de sa main gauche une minuscule goutte de liquide séminal que mon gland suintant de désir avait dû déposer sur sa joue.


Quittant mon entrecuisse, sa main droite se porta soudain à sa bouche. Tout en me regardant, Nicole lécha ses doigts longuement, puis saisit de nouveau mon scrotum, qui s’humidifia progressivement. Elle recommença plusieurs fois ce manège. Elle avait légèrement relevé mes jambes, ce qui lui rendait l’accès à mes bourses plus aisé. De temps à autre, sa main se posait sur mon périnée et poursuivait sa route en remontant le long de mes fesses. Elle n’avait toujours pas daigné toucher mon phallus, mais j’avais pourtant le sentiment qu’il était prêt à exploser ! Une fois encore, elle souleva mon scrotum. Lorsque je relevai de nouveau mes jambes jusqu’à ce que mes pieds reposent à plat sur le transat, je sentis ses doigts lubrifiés par la salive s’immiscer dans ma raie. Avec légèreté, elle introduisit alors un doigt humide dans mon anus avant de le retirer aussitôt. Pour moi, la sensation était nouvelle, mais extrêmement savoureuse : j’eus alors le sentiment que mon gland avait soudain doublé de volume. Le gémissement que j’avais poussé avait dû l’encourager car, quelques secondes plus tard, Nicole renouvela brièvement l’opération. Et lorsqu’elle quitta mon intimité pour remonter le long de mon périnée, je me surpris à geindre de dépit.


Heureusement, il ne me fallut attendre que quelques secondes avant que son doigt ne se présentât de nouveau à l’orée de mon orifice. Cette fois, elle s’attarda plus longuement à l’intérieur, m’arrachant plusieurs soupirs de satisfaction. Quand son majeur se décolla une fois encore de ma chair, je la suppliai du regard. Mais le doigt marqua une simple pause à l’entrée de mon anus, puis y pénétra de nouveau, beaucoup plus loin qu’auparavant. Trois de ses phalanges étaient désormais enfoncées au creux de mes reins et je trouvais cela formidablement agréable. Au plus profond de moi, je sentis qu’elle imprimait un mouvement circulaire à sa main. Mon regard croisa le sien. Tandis qu’elle continuait de me sourire posément, son doigt fouillait mes chairs avec une régularité de métronome. L’incroyable délicatesse de cette caresse intime me révélait des sensations que je n’avais jamais soupçonnées jusqu’à lors. Tout mon corps était arc-bouté vers l’avant, comme pour accentuer cette délicieuse exploration.


Avec douceur, elle posa sa main gauche sur mon ventre, évitant toujours le moindre contact avec ma verge. Au cœur de mon intimité, le mouvement circulaire de son doigt se fit progressivement plus rapide. Mon anus se dilatait délicieusement au rythme de sa caresse. Ma respiration se fit saccadée, ponctuée de puissants gémissements. Je sentis soudain déferler sur moi une formidable ondée de plaisir et je poussai un cri rauque. Un long jet de sperme vint alors s’abattre sur ma poitrine, avant qu’un deuxième ne parvienne jusqu’à mon menton. Plusieurs autres suivirent aussitôt, suscitant un bonheur comme je n’en avais jamais connu. Proche de l’évanouissement, je trouvai néanmoins la force de songer que c’était la première fois que je voyais une telle quantité de sperme jaillir de mon phallus.


Pendant les quelques minutes que je mis à reprendre mes esprits, elle ne cessa pas de me sourire en me caressant le visage. Progressivement, ma verge reprit sa forme initiale, repue sans même avoir été effleurée. En prenant garde à ne pas me faire mal, Nicole retira lentement son doigt de mon anus et demanda :



Elle se releva brusquement, souleva sa jupe, retira rapidement le string noir qu’elle portait en dessous et me le jeta au visage.



Je ramassai le minuscule morceau de tissu qui venait de tomber à terre et le portai aussitôt à mes lèvres. Son humidité délicieuse était de bon augure pour l’avenir.