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Temps de lecture estimé : 13 mn
30/03/07
Résumé:  Suite à un défi, je vais pour la première fois en club libertin avec une amie.
Critères:  fh fff fhh couleurs copains boitenuit voir exhib fellation cunnilingu 69 préservati pénétratio fsodo
Auteur : Aphrodis            Envoi mini-message
Une soirée en club

Il y a quelque temps, j’ai passé un week-end prolongé chez une amie. Je précise tout de suite que ce n’était qu’une amie. Nous avons passé le week-end entier en tête-à-tête, c’était super sympa. À un moment, dans la conversation, elle m’a raconté qu’avec des amis, dont un journaliste qui venait de faire un article sur le sujet (la bonne excuse !), ils étaient allés faire une sortie en club échangiste. Ils étaient un petit groupe d’une demi-douzaine, et l’émulation réciproque avait eu raison des derniers réticents pour aller voir en vrai. À priori, il y en a un ou deux qui sont restés plus longtemps que nécessaire pour voir. Mais ce n’est pas le sujet, puisque je n’y étais pas.


Quelque temps plus tard, cette amie est venue passer quelques jours chez moi. Au programme, tourisme et sorties. Lors de la préparation du week-end, je lui ai malicieusement demandé si elle voulait sortir dans un club échangiste, histoire de comparer l’ambiance de nos deux villes. Je m’attendais à ce qu’elle le prenne sur le ton de la plaisanterie, mais elle m’a mis au défi. Autant vous dire que j’ai passé quelques jours sur Internet pour trouver l’endroit qui conviendrait !


Elle arrivait un mercredi soir et repartait le samedi : deux soirées seraient donc disponibles. Dans ce genre de club, chaque soir propose un thème différent. Préférant éviter un maximum les « gros mecs lourds », j’ai refusé les soirées gang-bang du vendredi. Le but était d’aller voir, mais quand même…


J’ai donc jeté mon dévolu sur un club sympathique (du moins en avait-il l’air d’après son site) et une soirée trio (quelques mecs seuls, mais ça devrait aller). Ce club était aussi censé présenter des spectacles, ce serait déjà ça.


J’ai donc annoncé à mon amie que j’avais organisé ce qu’elle attendait, et lui ai donné rendez-vous.



***



Le mercredi de son arrivée, nous étions contents de nous revoir, mais nous ressentions une légère tension. Pas trop au début mais, quand elle a vu que j’avais navigué sur plusieurs sites et lu les avis des clients pour choisir, elle m’a pris plus au sérieux.


Et, après une journée de jeudi passée dans les musées et en balade, nous voici arrivés au fameux jeudi soir.


Préparation un petit peu fébrile. Nous avions prévu une soirée ’chic’, même sans aller dans ce genre d’endroit, mais là, l’effort se devait d’être particulier.


Je ne me faisais pas trop de souci pour elle. C’est une très belle femme, grande – pas loin d’1 m 80 –, brune. Elle aurait pu être mannequin, si ce genre de métier l’avait intéressée. Elle avait choisi une très belle robe noire, avec un décolleté très avantageux. Pas de soutien-gorge, ça n’aurait pas été avec la robe. Je l’avais déjà vue dans une tenue similaire, et il faut bien avouer qu’elle faisait de l’effet. Je l’ai aussi vue en bikini ou en serviette à la sortie de la douche, et là aussi elle fait de l’effet !


Quant à moi, je comptais sur sa présence pour accroître fortement mon charme. Le reste, je le confiais au seul de mes costumes qui ne fasse pas trop « boulot » et à la plus belle chemise de ma garde-robe.


Nous avons commencé la soirée au restaurant, à proximité de mon appartement. Tension palpable, même si on essayait tous les deux de plaisanter. Je la sentais un peu plus à l’aise que moi, pour qui c’était une première dans un club de ce genre.


Vers 22 h 30, départ en taxi pour le club – enfin, pour une adresse voisine du club, derniers mètres en marchant… L’entrée du club est une grande porte métallique noire, avec juste un petit encart sur le côté qui confirme que nous sommes bien arrivés. Nous sonnons, on nous ouvre. Le videur est impressionnant, mais l’accueil est plutôt chaleureux. Nous payons l’entrée et déposons nos affaires au vestiaire. Derrière le rideau qui nous masque encore la salle, on entend de la musique assez forte et quelques applaudissements. Enfin, nous entrons.



***



Par rapport aux photos vues sur le site, ce qui me surprit fut la taille. D’une part, les photos avaient été prises alors que le club était vide, et d’autre part elles avaient le défaut d’écraser les reliefs. Bref, ça me parut très grand.


Sur scène, trois strip-teaseuses – deux blondes, une brune – étaient en plein show et ne portaient plus que quelques sous-vêtements. La salle était bien garnie. Presque toutes tables étaient occupées, par des couples le plus souvent. Les femmes étaient vraiment habillées grande classe et très sexy, et les hommes presque tous en costume. Ces gens étaient venus dîner. Nous avons préféré aller nous asseoir au bar pour suivre la fin du show.


La barmaid, en tenue très provocante – perruque rose, débardeur très léger qui laissait voir une grande partie de ses seins en poire – a très vite compris que nous n’étions pas des habitués. Elle engagea la conversation sur le sujet. Comme nous avions décidé de jouer franc-jeu, elle nous dit que nous allions passer une très bonne soirée, et nous proposa de nous accompagner pour un tour du propriétaire.


Alors que les dernières culottes volaient sur la scène sous quelques sifflets, pas seulement masculins, elle nous entraîna vers un escalier dans un coin de la pièce. Durant la montée, je ne restais pas insensible à la scène très torride entre les trois danseuses : un joli triangle, chacune la tête entre les cuisses de sa copine. Mon amie surprit mon regard et me fit un clin d’œil amusé. La soirée s’annonçait bien…


L’étage présentait un grand nombre de salles de toutes tailles et toutes luminosités. Mais à cette heure-ci elles étaient encore vides. La plus grande avait un miroir sur l’un des côtés. Deux salles moyennes, avec juste un lit, étaient séparées par un mur de barreaux, lesquels permettaient de passer les mains. Il y avait également une toute petite salle, clairement faite pour qu’un couple puisse s’isoler. Mais notre guide attira notre attention sur les vitres qui permettaient aux autres visiteurs d’observer les ébats du couple. Dans un coin, une salle avec une grande croix en bois avec des fixations qui ne laissaient guère de doute sur leur utilité. Une autre pièce m’a été interdite : « Ici, femmes uniquement ».


Après avoir fait le tour, nous redescendîmes voir les toilettes et la douche qui jouxtaient le bar. Notre guide nous laissa à une table à gauche de la scène pour retourner à ses activités. Les trois filles étaient en train de saluer, mais on voyait déjà se préparer la suite du spectacle.


Il s’agissait d’un homme, à rendre jaloux tous ceux présents dans la salle, et d’une blonde très plantureuse. J’avoue que je ne suis pas spécialement attiré par le stéréotype « blonde aux gros seins », mais son visage était très agréable, même si rapidement ce n’était plus son visage qu’on regardait.


La musique au rythme exotique permettait au couple de se déhancher langoureusement, et leur spectacle a duré au moins une vingtaine de minutes. Alors qu’ils étaient en train de danser et se frotter l’un à l’autre, encore (légèrement) habillés, mon amie me fit signe : à la table voisine, à quelques mètres, une petite brune, un peu ronde à mon goût mais très énergique, prodiguait une profonde fellation à son homme. Ce dernier lui caressait doucement la nuque en regardant le couple sur scène. J’avoue que j’ai loupé le déshabillage de ces deux acteurs. De ma position, je voyais parfaitement le parcours de la langue de la petite brune tout au long de la hampe de son compagnon, et les doigts qui massaient les testicules et s’aventuraient régulièrement plus bas. Elle essaya plusieurs fois de faire une gorge profonde, mais le succès ne fut pas au rendez-vous.


Je fus tiré de ma contemplation par mon amie. En me souriant magnifiquement, elle me lança un « c’est là que ça se passe », me désignant la scène. Et c’est vrai que la situation était torride, là aussi. Les deux artistes étaient entièrement nus. Ils s’embrassaient avidement, avec passion et appétit. La main gauche de la femme masturbait fermement l’homme, tandis que la droite lui caressait la cuisse. De son côté, l’homme avait soulevé une jambe de la femme, la jambe face à nous, et deux doigts de son autre main étaient plantés dans le sexe féminin ainsi offert.


La scène était excitante au plus haut point. Mon sexe, qui était déjà à l’étroit suite à la fellation du couple dans le public, grossissait fortement dans mon pantalon. À côté de moi, je sentais mon amie excitée également. Ses jambes étaient croisées, mais la robe dévoilait une partie de ses cuisses, et on voyait ses muscles se contracter de temps en temps. Je me risquai à lui demander discrètement si ça lui plaisait, et elle répondit d’un franc « oui, beaucoup ».


Les choses s’accélérèrent ensuite. La blonde s’agenouilla pour prodiguer une fellation, cuisses grandes ouvertes. J’avoue que mon regard s’attarda plus sur son entrecuisse, qu’elle avait complètement épilé, que sur son visage déformé par le vit. Mais, très vite, le monsieur voulut aussi utiliser sa langue, et, s’allongeant sur le dos, il entreprit sa partenaire en 69. Malheureusement, les cuisses des deux protagonistes gênaient trop mon angle de vue. J’en profitai pour jeter un œil à nos voisins. La situation n’avait guère évolué, même si je suis à peu près certain que la fille avait un ou deux doigts dans l’anus de son compagnon. Chose qui semblait plutôt plaire à ce dernier, puisque ses yeux étaient complètement dans le vague.


Je fis un tour de salle du regard, pour essayer de voir qui étaient les différents clients. À l’opposé de la salle, dans une zone un peu moins éclairée, deux couples semblaient avoir de l’avance par rapport à la scène. Les deux femmes étaient de dos, assises sur des genoux masculins. Leurs bouches unies dans un baiser enflammé et leurs mouvements verticaux, langoureux, synchrones, ne laissaient aucun doute sur leurs activités.


À leur côté, un couple les regardait. La main de l’homme avait disparu sous la jupe de la femme qui ouvrait légèrement les lèvres, à la recherche d’air ; ses yeux ne quittaient pas le ballet des deux bouches féminines.


Mon regard continuait à balayer la salle. Sur la scène, la blonde pulpeuse chevauchait maintenant l’homme. Son rythme s’accentuait peu à peu. Son sexe était grand ouvert, à la vue du public. Son amant avait revêtu un préservatif bleu, dont la tache de couleur, contrastant avec les chairs roses voisines, apparaissait ou disparaissait au gré des mouvements de sa partenaire.


Mon regard fut attiré par un mouvement du côté de l’escalier. Une superbe noire montait vers les chambres du haut, suivie de près par deux hommes. Plus exactement, elle les tirait, une main dans le pantalon de chacun. Je ne m’en étais pas aperçu, mais plusieurs groupes étaient déjà montés à l’étage. Il serait bientôt temps d’y retourner faire un tour.


Sur scène, la levrette était lancée. La femme nous faisait face et regardait le public. Après quelques va-et-vient, elle croisa le regard de mon amie. Elles restèrent ainsi les yeux dans les yeux pendant de longues minutes. On avait l’impression que l’une se nourrissait du plaisir de l’autre. Négligemment, peut-être inconsciemment, mon amie se caressait la poitrine, d’abord à travers ses vêtements, puis en glissant la main dans sa robe. Je n’en perdais pas une miette, en tentant d’apercevoir le plus de peau possible. J’eus même la chance de voir un téton dressé, tendu lui aussi vers la scène.


Je m’aperçus que mes mains, elles aussi, avaient agi en autonomie : elles massaient doucement au travers du pantalon mon sexe érigé. Mon pantalon était clairement trop serré, mais je ne voulais pas encore céder à la tentation de l’ouvrir.


Sur la scène, le spectacle se conclut par une éjaculation abondante sur le dos de la jeune femme. Quelques spectateurs applaudirent, les autres étaient trop occupés. Mon amie reprit une position plus convenable et réajusta sa robe.



Sa proposition était la bienvenue, je mourais d’envie de savoir où en était la belle black. Nous nous sommes dirigés vers l’escalier, précédés et suivis par d’autres couples. Je n’eus pas trop de mal à trouver celle que je cherchais. Elle était dans la première salle, celle au miroir. Nue, elle avalait alternativement les deux chibres qui se présentaient à elle.


Nous étions assez nombreux à l’entrée de la pièce, en train d’observer le trio. Dans la recherche de la position idéale pour suivre les ébats, je me retrouvai juste derrière mon amie, tout contre. Elle se retourna vers moi et, dans un clin d’œil, en plaquant ses fesses contre mon sexe encore dressé :



Je posai mes mains sur ses hanches pour la rapprocher encore de moi. Dans cette position, nous nous sommes replongés dans la contemplation du spectacle spontané devant nous. Les sexes masculins avaient maintenant chacun une paire de lèvres à leur disposition, à chaque extrémité de cette lionne. Sous les assauts vigoureux d’un de ses amants, elle avait parfois du mal à conserver en bouche l’autre hampe. La montée de son plaisir était visible sur son visage, et on voyait qu’elle faisait de gros efforts pour conserver son entrain vis-à-vis de l’amant face à elle. De mon côté, mes mains commençaient à quitter les hanches et à caresser l’ensemble du corps devant moi, à travers le tissu de la robe. Des caresses douces, lentes, peu appuyées. Je sentais parfois le corps de mon amie frissonner lorsque je passais à la base de ses seins ou lorsque la caresse sur le mont de Vénus était plus appuyée.


Le trio avait de nouveau changé de position, mais pas de principe. La jeune femme était maintenant sur le dos, mais avait toujours un sexe en bouche et l’autre profondément enfoncé en elle. Très vite, ce dernier quitta le sexe féminin pour tenter d’ouvrir l’autre porte. Il lui fallut quelques allers retours de l’un à l’autre pour suffisamment lubrifier la zone et permettre une pénétration profonde de ce côté-là. À cet instant, la femme ne put retenir un long gémissement de plaisir et dut abandonner son action buccale, tout entière à l’appréciation des nouvelles sensations.


J’avais commencé à embrasser doucement la nuque devant moi. Un frisson l’avait parcourue au premier contact de mes lèvres, et maintenant j’entendais le souffle de mon amie s’intensifier peu à peu. Mes mains descendirent le long de ses cuisses. En remontant, elles se glissèrent sous la robe. Ma main droite rencontra le tissu du dernier rempart, se posa sur le sexe et commença doucement à le masser. Le tissu était humide des nombreuses causes d’excitation déjà rencontrées dans la soirée. Un nouveau gémissement accompagna ce contact.


Dans une dernière expiration, elle me dit « Viens », m’attrapa la main et m’entraîna vers la salle isolée.



J’étais plutôt favorable à cette proposition, et heureusement pour nous la petite salle était libre. Nous nous sommes installés à l’intérieur et avons fermé la porte. Aussitôt, mon amie se jeta sur moi et m’embrassa avidement. Ses lèvres étaient douces et chaudes. Sa langue pénétrait ma bouche avec frénésie. Pendant ce temps, ses mains avaient entrepris de défaire mon pantalon, et, sitôt qu’il fut tombé sur mes chevilles, elle s’agenouilla pour prendre en bouche mon membre turgescent.


La sensation et la tension accumulée faillirent me faire jouir aussitôt. Une profonde inspiration me permit de me contrôler. Sa fellation était somptueuse. Sa langue s’enroulait autour de mon gland dans une danse endiablée. Ses mains caressaient mes testicules, que je rase régulièrement pour plus de douceur lors de ces moments.


Un mouvement derrière la porte me fit réaliser que nous étions sans doute espionnés à travers les vitres. Cela accrut encore mon excitation. J’étais fier qu’une aussi belle femme s’occupe ainsi de mon vit. Pour leur montrer un peu plus comme elle était belle, je me penchai en avant pour faire descendre le haut de sa robe jusqu’en dessous de ses seins. C’était en fait la première fois que je les voyais en entier. Ils étaient magnifiques, doux, les tétons érigés. Je les caressai longuement. Puis je me mis à en pincer les bouts ; quelques frissons supplémentaires me firent comprendre qu’elle appréciait le traitement. J’insistai. Finalement, le traitement était trop bon, et elle se releva en me lançant un « Prends-moi » qui ne laissait la place à aucune contestation. Elle attrapa un préservatif et me le mit d’un geste. Je lui ôtai sa robe et son string, jetai un rapide coup d’œil à son sexe à la toison soigneusement taillée, la soulevai sur le rebord prévu à cet effet et la pénétrai d’un coup. Là encore, la sensation m’amena au bord de la jouissance. Mais quelques instants sans bouger au fond de son puits d’amour me permirent de me contrôler de nouveau. De son côté, je pense qu’elle eut un premier orgasme à ce moment-là.


Je fis ensuite de longs et profonds va-et-vient, en me penchant sur elle pour embrasser ses lèvres ou ses seins. Son vagin était brûlant, je pouvais le sentir même à travers la capote. Les mains posées sur mes fesses, elle accentuait le contact de nos bassins.


Ce moment était proche du bonheur. J’aurais voulu rester en elle des heures durant, mais j’eus envie de goûter à son sexe. Pour quitter son fourreau, je dus vaincre la légère résistance de ses mains qui voulaient me maintenir en place, mais, quand elle vit que je me penchais, elle comprit et me sourit.


Son sexe était luisant de mouille. Il sentait le chaud et l’excitation, un parfum enivrant. Je voulais faire durer un peu son attente et, ses jambes sur mes épaules, je commençai par embrasser et lécher ses cuisses, en particulier la peau excessivement douce au pli de l’aine. En passant d’une cuisse à l’autre, je soufflais doucement sur son sexe, et je devais reculer la tête alors qu’elle avançait son bassin à la rencontre de mes lèvres. Mais non, pas tout de suite. Le supplice dura quelques passages, puis je cédai, d’abord par de petites touches de la langue sur le clitoris gonflé, puis à pleine bouche. Son goût était bon, indescriptible. Je m’abreuvai du nectar coulant de son sexe et entortillai ma langue sur le clitoris. Ma langue se faisait douce pour fouiller dans les moindres plis du fruit mûr qu’elle m’offrait, puis se faisait dure pour pénétrer l’entrée de son vagin.


Souhaitant la faire jouir une nouvelle fois, je décidai de la pénétrer de deux doigts, pour masser l’avant de son vagin, tandis que ma langue racontait une histoire au clitoris. Rapidement, ses mains vinrent sur ma tête pour clairement m’indiquer que je n’avais pas le droit de partir. Mais je n’en avais aucunement l’intention. Enfin, je sentis des contractions très fortes sur mes doigts et une lubrification intensifiée dans tout son sexe. Cela dura de longues secondes, pendant lesquelles ma langue ne cessa pas ses mouvements. Puis, elle attira ma tête vers son visage et m’embrassa passionnément. Je lui fis lécher les doigts qui quittaient tout juste son intimité. Elle sembla apprécier le goût et l’odeur de sa chatte.


Pendant quelques minutes, nous sommes restés à nous regarder, moi me masturbant légèrement, elle suçant mes doigts et caressant sa poitrine. Puis elle se leva, se retourna et me présenta sa croupe magnifique. Je lui caressai énergiquement le sexe et les fesses, en écartant les magnifiques globes. Derrière les vitres, les spectateurs devaient être très envieux de ma position. Placé derrière elle, j’utilisai mon bâton pour la caresser encore un peu avant de m’enfoncer de nouveau dans son sexe accueillant. Une main sur un sein, l’autre sur le clitoris, je la pénétrai de plus en plus vite, de plus en plus fort. Les images de la soirée revenaient dans ma tête : les trois filles se léchant mutuellement, les couples de spectateurs qui s’occupaient plus d’eux que de la scène, la blonde qui nous regardait au moment de jouir, les deux bites dans la bouche noire… Je sentais bien que je n’allais plus tenir longtemps.


Une dernière accélération des mains et du bassin, la bouche qui mordille et embrasse le cou de mon amie, la peau tendre juste derrière l’oreille… il ne fallut que quelques instants pour que nous jouissions dans un moment d’épilepsie synchrone (comme dirait Gainsbourg).



***



La suite est un moment de tendresse partagée. Nous avons quitté le club assez vite, préférant nous retrouver dans l’intimité de mon appartement pour finir la nuit de la plus belle des façons. Mais nous reviendrons sans doute… même si ce n’est que pour voir.