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n° 11276Fiche technique8289 caractères8289
Temps de lecture estimé : 5 mn
02/04/07
Résumé:  Une femme plus âgée tombe amoureuse d'un homme qui va bien le lui rendre.
Critères:  fh fplusag extracon intermast préservati pénétratio
Auteur : Rêveur80
La boulangère

J’habite un petit village, et j’ai pris l’habitude d’aller chercher mon pain au bourg voisin, distant d’une dizaine de kilomètres. Le pain y est bon et les vendeuses très sympathiques.


Depuis quelque temps, j’ai remarqué un changement dans le comportement à mon égard d’une de ces charmantes dames, à qui on peut donner entre 45 et 50 ans. En effet, à chacune de mes venues, c’est-à-dire deux, voire trois fois par semaine, elle était de plus en plus souriante, s’arrangeant pour me servir et faisant de plus traîner la conversation.


Il s’avéra en fait, après m’être renseigné, que c’était la patronne de la boulangerie. Liliane, puisque je la connais de « très près » maintenant, est une femme blonde aux longs cheveux ondulés, toujours maquillée à la perfection, et qui s’habille très simplement : chemisier blanc, jupe stricte noire et chaussures à hauts talons. C’est une femme assez discrète, très à l’aise avec la clientèle, et très bien proportionnée physiquement.


Le mois dernier, mes deux baguettes à la main, je sortais du magasin pour reprendre ma voiture, garée à quelques centaines de mètres. Au moment d’entrer dans ma fourgonnette « C15 spécial chasse », une voix me dit :



Je me retournai : c’était Liliane qui m’avait rejoint.



Je fus un peu interloqué, mais cette proposition me plut tout de suite.



Elle est vite repartie en ayant soin de me laisser l’adresse.


***


Nous voici vendredi. Je suis posté devant l’immeuble de Liliane, situé dans une petite ville à une trentaine de kilomètres de sa boulangerie. Soudain, une grosse berline allemande arrive. Liliane est au volant. Elle en sort, et là, c’est l’extase…


Elle était vêtue d’un pull rouge très moulant, d’une jupe noire comme à son habitude, mais cette fois-ci beaucoup plus courte et d’une paire de bottes en cuir. Elle était vraiment magnifique et très désirable !



Elle me fit entrer dans un petit meublé très coquet.



Elle s’assit face à moi, et commença à me raconter sa vie. En réalité, malgré sa vie confortable et aisée, elle n’était pas heureuse. Son mari ne s’intéressait plus à elle depuis longtemps, l’ignorait quasiment. Il n’y avait que le boulot qui comptait.



Liliane rougit, et me répondit, gênée :



Elle resta quelques instants sans rien dire, un peu dans le vague, puis me dit :



Heureusement que j’étais assis, car je m’attendais à tout sauf à cela !


Assise face à moi, Liliane était rayonnante de beauté. Son regard bleu clair, ses longs cheveux blonds naturels, ses cuisses bien galbées sous sa jupe courte très relevée étaient un appel à l’amour.


J’étais à cent lieues de penser que ma boulangère préférée avait dix-neuf ans de plus que moi… et une réelle envie de baiser.


Liliane se mit à me tutoyer :



Elle se leva et vint s’asseoir à côté de moi, me prenant la main pour la diriger sous sa jupe. Elle posa ses lèvres contre les miennes et nous avons échangé un long, très long baiser enflammé. Je me mis à bander comme un fou, mon pénis me faisait mal tellement l’envie de baiser Liliane était forte.


Ma main écarta délicatement sa petite culotte afin de plonger mes doigts dans sa chatte brûlante et trempée. J’exerçais un lent va-et-vient avec trois doigts dans sa grotte affamée, ce qui déclencha rapidement un orgasme phénoménal.


J’entrepris de retirer le pull de ma partenaire et de faire glisser son soutien-gorge, afin de pouvoir pétrir et sucer ses jolis petits seins durs aux longs tétons turgescents.


Liliane s’abandonnait complètement. Elle dégrafa mon jean afin de libérer le membre sur lequel elle allait s’empaler quelques instants. Ma belle se releva et retira sa culotte. Elle prit une capote dans son sac et releva sa minijupe sur son ventre.



J’étais assis sur le canapé, le pantalon baissé et ma queue dure remontée jusqu’au nombril. Liliane la saisit, et commença une brève fellation avant de m’enfiler cette fichue capote. Elle m’embrassa goulûment tout en s’asseyant à califourchon, s’empalant sur ma colonne d’amour.


Liliane prit les commandes de notre accouplement, en accélérant le rythme jusqu’à un point de non-retour. Elle hurlait de bonheur à chaque fois que je tapais au fond de son sexe, ce sexe féminin dont je ne pourrai plus me passer, étroit, blond, touffu et liquéfié à l’extrême.


Cet assaut dura dix bonnes minutes avant que nous ne changions de position et que je prenne ma jolie partenaire en levrette. Je pilonnais Liliane de toutes mes forces. Elle râlait, gémissait d’extase… mon Dieu, qu’elle était bonne ! Au bout d’une demi-heure, n’y tenant plus, je déversai une grosse quantité de foutre dans ce foutu capuchon de latex.


Liliane était maintenant allongée sur le dos, les yeux brillants de plaisir, les jambes légèrement écartées, laissant apparaître cette jolie chatte blonde aux lèvres bien ouvertes. Qu’elle est belle, ma Liliane, en cette position ! Elle me demanda de m’approcher, prit ma bite et entama une branlette énergique. J’éjaculai peu de temps après sur ses seins et son ventre.



Liliane avait vraiment du temps à rattraper. Tout en disant ces mots, elle se masturbait très fort en gémissant.


J’ai refait l’amour à ma tendre partenaire, bien plus fort qu’à la première étreinte. Ma belle boulangère était épuisée, moi aussi d’ailleurs !


Je me sentais bien, j’étais aimé par une femme de dix-neuf ans de plus que moi, mais une femme belle, tendre, à qui j’avais redonné du goût pour le sexe, et le plaisir de plaire.


***


Bien que mariés chacun de notre côté, nous vivons depuis une passion acharnée. Nous n’avions jamais trompé nos conjoints, mais nous nous désirons énormément, c’est plus fort que nous. Nous nous rencontrons le plus souvent possible, nous faisons l’amour de mieux en mieux, allant de la fellation à la sodomie.


J’éprouve un plaisir sans mesure à apporter à ma jolie Liliane ce bonheur du sexe et cette douceur de vivre.