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Temps de lecture estimé : 16 mn
03/04/07
Résumé:  Je me préparais à une soirée en amoureux avec mon conjoint. La rencontre avec un de ses principaux clients la fera évoluer dans une direction complètement imprévue...
Critères:  fh hh fhh hbi hplusag couplus inconnu collègues hotel massage fellation pénétratio
Auteur : Voisine  (J'ai juste envie de me raconter un peu)      
Ma dernière soirée de Saint-Valentin

Je ne sais trop comment commencer ce récit. Qui aurait cru qu’un jour je ressentirais le besoin de raconter une aventure sur un site tel que celui-ci ?


Ces dix dernières années, et jusqu’à ce jour de la Saint-Valentin 2007, ma vie avec mon conjoint a toujours été des plus banales. J’ai ma petite entreprise en esthétique et soins de beauté, qui fonctionne assez bien, et lui est directeur adjoint d’une agence d’enquêtes pour assurances.


Cette journée a commencé comme toutes les autres : réveil, déjeuner et ensuite on se tape un bon trente minutes de trafic intense pour arriver au boulot. Aujourd’hui toutefois, je n’ai pris aucune cliente après 14 heures, car je veux rentrer tôt pour me préparer à notre sortie habituelle de la Saint-Valentin. Comme chaque année, Mike doit m’emmener dans un grand restaurant de la ville, et nous finirons notre soirée dans la suite qu’il a réservée il y a quelque temps déjà au Château-Frontenac.


La journée se déroule assez bien, les clientes et clients sont tous d’excellente humeur et les pourboires de la journée sont généreux. On souhaiterait qu’il y ait plus de Saint-Valentin durant l’année. Enfin 14 heures, je termine ma dernière cliente de la journée, ferme ma caisse, prends mes affaires et saute dans mon auto pour rentrer aussitôt.


Quelque trente-cinq minutes plus tard, me voici donc chez moi. J’entre, et après avoir déposé mes choses, je démarre le système audio sur un disque de musique douce. Je me dirige ensuite à la salle de bains et me fait couler un bain chaud. Je passe ainsi le reste de l’après midi à me relaxer et à me préparer pour notre sortie. Il faut dire que les dernières semaines ont été très occupées, de mon côté par un surplus d’achalandage, et Mike a dû s’absenter à l’extérieur de la ville pour de longues périodes. L’idée de passer ces quelques heures ensemble à nous aimer m’enchante beaucoup, et pour être franche j’ai envie de sexe. Je trouve que nous nous sommes négligés sur ce plan depuis le début de l’hiver. Je veux réanimer la flamme.


Après m’être bien relaxée et pomponnée, je retourne à notre chambre pour décider ce que je vais revêtir pour la soirée. Devant la glace, je me regarde. Il faut dire que je me trouve assez bien malgré mes 43 années de vie et mes deux grossesses. On me dit que je ne parais pas mon âge, on me donne généralement de 33 à 36 ans. Mes 5’7’’(1,70 m) et mes 128 lbs (58 kg) font que j’ai encore une belle taille. Mes jambes sont bien élancées et tout de même assez fermes, mon ventre est plat, mes seins de taille moyennes se maintiennent encore très bien, et que dire de mes fesses, un brin rondes, mais juste assez pour attirer le regard, dixit Mike. Quant à mon sexe, que je rase soigneusement depuis nombre d’années, il fait encore penser à celui d’une jeune adolescente. Bon, c’en est assez pour l’auto-admiration, il faut bien que je décide ce que je vais porter.


Tout d’abord, côté sous-vêtements, j’opte pour mon ensemble string et brassière demi-buste de couleur chair. Je prends aussi mes bas Dim Up. Je mets ensuite un chandail noir au décolleté assez profond et qui me moule parfaitement. Une petite jupe grise, ample et courte, vient compléter le tout. Je me regarde et me trouve franchement bien. Mais je remarque aussi qu’il faut absolument que j’évite de me pencher car on voit le haut de mes bas assez facilement.


Je suis prête, et Mike n’est pas encore rentré. Il ne devrait pas tarder cependant, il est déjà presque 18 heures et notre réservation est pour 19 heures.


18 heures 30, et Mike n’est toujours pas rentré. Je commence à m’inquiéter un peu. Généralement, il est rentré à cette heure.


18 heures 40, le téléphone sonne, c’est Mike sur son portable. Il m’avise qu’il y a un changement au programme : il est en route pour la maison, mais son patron lui a demandé de dîner avec le directeur d’une compagnie d’assurance de passage en ville. Et comme il s’agit d’un de leurs plus importants clients, il n’a pas d’autre choix que d’accepter.



Oui, la soirée va certainement être agréable : un dîner d’affaires avec un gros bonnet de ses clients pour la Saint-Valentin… Moi qui voulais rallumer la flamme, c’est plutôt les pompiers qui arrivent.


J’ai pensé pendant un moment à me changer, pour me vêtir de manière plus classique. Mais tout en cherchant dans mes armoires quoi me mettre, je me souviens qu’il m’avait demandé de préparer des apéros. Je me dirige donc vers le salon, ne pensant plus à me tenue vestimentaire. J’ouvre notre bar et prends la bouteille de vodka.


J’ai à peine le temps de préparer les trois apéros que je vois l’auto de Mike arriver. Il en sort accompagné d’un homme plus âgé que lui, mais tout de même d’apparence convenable.


Ils entrent, et Mike me présente Réal J… directeur de la compagnie I… Ils enlèvent tous deux leur pardessus, et j’invite Réal à me suivre au salon, ce qu’il fait pendant que Mike range les vêtements.


Réal est un homme dans la fin de la cinquantaine. Ses cheveux sont poivre et sel, il est un peu plus grand que moi, ses épaules sont larges, il n’a presque pas de ventre et semble avoir pris soin de son apparence depuis longtemps. Son sourire révèle de belles dents blanches bien alignées. Il a un style tout à fait businessman, complet rayé et chemise blanche avec cravate. Il dégage un certain charme, dû peut-être à sa position de direction, mais charmant tout de même.


Mike vient nous retrouver au salon. Je prends les verres de vodka que j’ai préparés et leur en donne un à chacun. Pendant que nous dégustons ces apéros, Mike raconte que Réal a dû se déplacer du siège social de leur compagnie à Montréal pour venir régler un important dossier dans notre ville – dossier sur lequel Mike a travaillé de longues heures. Comme Réal s’est déplacé seul, il a insisté pour qu’il vienne tout au moins dîner avec nous afin de ne pas trouver la soirée trop longue. En effet, il ne connaît rien de notre ville, si ce n’est l’agence d’assurances.


Après ces explications et avoir pris quelques gorgées de son apéro, Mike me laisse seul avec Réal le temps de prendre une douche et se changer.


Il faut bien que j’admette que Réal savait converser; et qu’il avait dans le regard une étincelle qui me troublait. Il me parlait de sa femme, de ses enfants, maintenant tous universitaires, et de la compagnie qu’il dirigeait. Ses propos étaient toujours intéressants ; il se dégageait une grande assurance de cet homme. Et bien qu’au début je l’écoutais pour plaire à Mike et ne pas nuire à sa carrière, je me laissais maintenant charmer par cet homme sûr de lui.


Il se passa ainsi un bon trente minutes avant que ne revienne Mike, prêt pour le reste de la soirée. Il demanda d’abord à son invité s’il voulait prendre un autre apéro, ce que refusa Réal. Ensuite il appela un taxi – pas question de conduire lorsqu’on sort, c’est un de ses principes.


En attendant le taxi, Réal complimenta Mike sur notre petite maison et sur la façon dont je l’avais décorée. Il lui dit aussi que l’attente en ma compagnie lui avait été fort agréable. Je rougis un peu à ce compliment.


Le taxi arrive finalement et nous voilà partis. Je m’assois à l’arrière entre les deux hommes. Je ne m’explique pas pourquoi Réal dégage une sorte d’attraction que je ne peux vous décrire. Je ne sais pas si c’est sa position sociale ou son charme naturel, mais cet homme a un pouvoir d’attraction certain.


Durant le trajet, Mike commente le paysage à Réal qui en est à une de ses premières visites à Québec. Il lui parle des points touristiques et aussi des points chauds, sans trop insister toutefois.


Nous voilà finalement arrivés devant le Graffiti, rue Cartier, un des meilleurs restaurants de la ville. Je comprends l’importance que ce client représente pour l’agence qui embauche mon conjoint. Son patron lui a certainement consenti un compte de dépense illimité pour cette sortie.


Nous entrons. Mike avise le placier de notre réservation et celui-ci nous conduit à notre table immédiatement, une des meilleures du resto. Humm, ils mettent le paquet pour impressionner Réal. Le temps de nous asseoir, la carte des apéros est déjà devant nous.


La soirée, qui a commencé bien calmement, devient de plus en plus intéressante. Réal crée l’ambiance, sa conversation est toujours captivante. Il a beaucoup voyagé et a tout au long de sa carrière dirigé plusieurs bureaux et vécu des anecdotes toujours plus intéressantes les unes que les autres. Je remarque aussi qu’à chaque occasion son regard plonge directement dans mon décolleté ou bien se pose sur mes jambes. Cela ne m’embête pas du tout, au contraire : quand il est quelques minutes sans me porter attention, je crois qu’il a perdu intérêt. Je m’étonne de réagir ainsi, car j’ai toujours été une femme fidèle et je n’ai aucune intention d’avoir une aventure avec cet homme. Pourtant j’aime l’attention qu’il me porte.


Plus la soirée avance, plus la conversation devient joyeuse. Il faut dire qu’après les apéros nous avons dégusté deux excellents bordeaux avec l’entrée et le plat principal. Nous sommes maintenant devant un excellent dessert et un porto tout aussi délectable.


Le repas terminé, Mike convient avec Réal d’aller prendre un dernier digestif dans un bar réputé de la ville. Cependant Réal tient à passer auparavant à sa suite, car il doit donner un ou deux appels téléphoniques importants. Le taxi nous dépose devant le Château, et Mike dit à Réal que nous allons l’attendre dans le lobby pour ne pas le gêner durant ses conversations téléphoniques. Cependant celui-ci insiste pour que nous montions avec lui dans sa suite.


Nous prenons donc l’ascenseur tous les trois. Comme ils sont tous les deux montés en premier, je me retrouve face à la porte, et tout en montant les cinq étages j’ai l’impression, même si je ne le vois pas, que Réal détaille mon corps du regard pendant que Mike lui raconte des faits divers.


Nous entrons dans sa suite et Réal, en hôte sachant vivre, nous débarrasse de nos pardessus, nous fait asseoir au salon puis nous offre un verre de whisky. Ensuite il s’excuse et se rend dans une autre partie de la suite pour faire ses appels.


Pendant l’attente, je dis à Mike que bien qu’imprévue la soirée est quand même agréable. Mike me fait remarquer qu’il a bien vu comment Réal me regardait et l’intérêt qu’il semblait me porter. Je lui souris et lui dis que cela sera sans aucun doute bon pour ses affaires. Il me sourit et continue à déguster son whisky.


Quelques minutes passent ainsi, silencieusement. Puis Réal revient se joindre à nous. Il a ôté son veston et se masse l’épaule droite avec sa main gauche. Je ne peux m’empêcher de lui demander s’il ressent une douleur. Il me répond :



Je lui réponds :



Il se retourne alors dos à moi. Je m’approche et lui palpe les muscles du haut du dos. Mon expérience antérieure en massothérapie me permet immédiatement de constater que tous les muscles du haut de son corps sont noués. Je ne peux que lui dire :



Il regarde Mike et dit :



Il regarde alors Mike et lui dit :



Mike me regarde, il me sourit et puis répond :



Sur ces mots, Réal commence à défaire sa cravate et me regarde en disant :



Pendant qu’il va téléphoner au service de chambre pour demander de l’huile de massage, je regarde la chambre et me demande de quelle façon m’installer de manière décente. Le lit est trop bas et beaucoup trop mou. Je ne vois qu’une solution, pas très professionnelle, mais c’est la seule façon de faire.


L’huile nous est apportée par le garçon d’étage deux ou trois minutes après qu’il eut téléphoné. Je lui dis alors que la seule façon de procéder, étant donné l’emplacement, serait d’étendre quelques serviettes de bain par terre, sur la moquette de la suite. Il pourrait s’étendre avec un certain confort et moi, pour être efficace, je devrai placer une jambe de chaque côté de lui et probablement m’agenouiller et lui laisser supporter une partie de mon poids. Cela ne semblait pas le déranger le moins du monde.


Il étend donc deux serviettes par terre, et dit à Mike de ne pas se gêner pour se servir à boire à sa guise durant le traitement. Puis il se tourne vers moi, et attend que je lui dise quoi faire.


Je prends alors la bouteille d’huile qui nous avait été apportée et m’en verse dans les mains, en me les frottant ensemble pour les réchauffer. Je lui dis en lui indiquant les serviettes :



Il enlève sa chemise, et lorsqu’il défait sa ceinture, sans que je n’aie le temps de dire quoique ce soit, il enlève son pantalon qu’il envoie rejoindre sa chemise sur un fauteuil de la suite. Il s’étend à plat ventre sur les serviettes, vêtu seulement d’un boxer noir et d’une paire de chaussettes grises.


Faut bien admettre que malgré ses presque 60 ans, il semblait assez bien conservé. Il était presque imberbe, sans trop de graisses accumulées, et tout même assez musclé. Il avait dû prendre assez soin de son corps.


Une fois qu’il est installé, je m’approche de lui et place un pied de chaque côté de son buste, puis me baisse jusqu’à ce que je puisse porter sur le haut de ses jambes, presque sur ses fesses. Cette position était loin d’être professionnelle mais elle était presque la seule possible étant donné les circonstances. J’étais certaine qu’il pouvait sentir ma peau en haut de mes bas sur la sienne. Moi je sentais très bien la chaleur de son corps.


Je commence à le masser derrière le cou, puis les épaules et les omoplates en descendant comme cela jusqu’au bas du dos. De temps à autre je demande à Mike de me verser de l’huile dans les mains, ce qu’il s’empresse de faire. Je dois avouer que cette situation me procure une certaine excitation et que je sens une moiteur et une chaleur envahir mon intimité féminine. Je masse ainsi le dos de Réal pendant environ vingt minutes. Alors que je me soulève un peu, celui-ci en profite pour se retourner. Il me fait maintenant face et dans cette position, je sais bien qu’il peut voir sous ma jupe toute mon intimité. Je m’accroupis de nouveau sur lui et dis :



Je fais signe à Mike qui vient me verser un peu d’huile dans les mains. Ce n’est qu’en me frottant les mains que je m’aperçois de la position dans laquelle je suis.


Je suis assise une jambe de chaque côté d’un homme qui est un client de mon conjoint, et qui est presque nu. En baissant un peu les yeux, je vois bien à la déformation de son boxer que le massage que je lui ai prodigué ne lui a pas seulement soulagé les muscles endoloris. Il semble avoir une formidable érection.


Je fais celle qui n’a rien remarqué et recommence à le masser à la hauteur des épaules. Pour ce faire je dois me remonter un peu, et sans y avoir pensé je sens maintenant mon pubis, protégé seulement par le tissu d’un petit string et le matériel de son boxer, frotter sur le pénis en érection de Réal.


Je regarde Mike, qui a bien vu la situation et qui me regarde d’un air contemplatif. Je devrais changer de position, mais cette sensation est fort agréable. Cela fait plus de dix ans qu’une queue autre que celle de Mike n’est venue aussi près de ma chatte. Je continue mon massage et ne peux m’empêcher de sentir cette tige frotter contre mon bas-ventre. Je ferme même les yeux un court moment.


Lorsque je les ouvre, je sens les deux mains de Réal se poser sur mes genoux. Elles n’y restent pas longtemps ; pendant que je lui masse les épaules, je les sens monter sur mes cuisses. Elles sont maintenant en haut de mes bas et se posent sur la peau de mes cuisses. Ces mains sont douces et chaudes. Je jette un coup d’œil à Mike qui me regarde et ne dit rien. Je ne sais que penser ou que faire. Mais j’apprécie cette situation. Je ne fais rien, je laisse aller.


Ses mains se posent sur mes fesses et les empoignent. Je voudrais le gifler, mais j’en suis incapable, et c’est un client important. En plus, ce que je sens frotter contre mon pubis m’excite. J’ai même peur que l’humidité qui se dégage de mon intimité ne traverse mon mince string et qu’elle n’imprègne son boxer.


Mike ne réagit toujours pas, il est comme figé – ou excité – par ce qui se passe devant lui. Et moi, je laisse aller, je suis comme hypnotisée par la situation.


Soudainement, une des mains quitte mes fesses, elle vient devant moi. Je retiens ma respiration. Je sens un doigt prendre l’élastique de ma culotte, le tirer un peu. Puis deux autres doigts le suivent et commencent à parcourir ma fente doucement. Ils réalisent vite mon degré d’excitation, et pendant que son pouce caresse mon bouton, son majeur et son index s’infiltrent en moi. Je n’ouvre plus les yeux, je m’appuie des deux mains sur ses seins et je me laisse aller à la douceur de cette caresse qui me donne des frissons.


Lorsque j’ouvre les yeux, je vois Mike. Il me regarde admiratif et ne dit rien. Il semble subjugué par la situation. Je sens la chaleur monter à l’intérieur de mon sexe, je pense que je vais avoir un orgasme. Mais non, les doigts qui me donnaient tant de plaisir se retirent de mon intimité. Franchement, je suis un peu déçue. Je regarde Réal droit dans les yeux et lui sourit. Son regard est tellement pénétrant que je ne sais quelle force me pousse ; je me penche sur lui et c’est moi qui vais poser mes lèvres sur les siennes. Sa bouche s’ouvre immédiatement et sa langue envahit ma bouche comme ses doigts ont envahi mon intimité. Je ne suis plus là, je n’ai plus aucun rempart, je voudrais arrêter que j’en serais incapable.


Ses mains chaudes sont sur mon dos pendant que nos langues se rencontrent et se découvrent. Je les sens descendre doucement. Elles me caressent maintenant les fesses, puis de sa main gauche il prend le mince string dans ma raie et le tasse. Son autre main descend sur mes fesses et je sens qu’il sort son sexe de son boxer. Une ou deux secondes passent, et je sens son gland à l’entrée de ma caverne. J’espère qu’il va me prendre, je me fous des conséquences, j’ai envie de le sentir en moi. Mais non, il est là, appuyé suffisamment pour que je le sente bien, mais il ne fait aucun effort pour entrer.


J’ouvre un peu les yeux, je ne vois plus Mike. Je me dégage doucement du baiser. Je soulève ma tête, et en regardant Réal je descends un peu mon bassin. Je veux lui faire sentir que je veux être prise. Ce petit mouvement permet à mon sexe de s’ouvrir un peu plus et je sens bien que deux ou trois centimètres du sien sont maintenant à l’intérieur du mien. Il n’a plus qu’à pousser un peu et tout va bien aller. Mais non, il ne fait rien. Je sens cette queue toute dure et chaude juste sur le bord de ma chatte qui la veut toute à elle. Il reste là, sans aucune tentative de sa part pour aller plus loin. Me veut-il vraiment, ou peut-être craint-il la réaction de Mike ? Je me soulève un peu plus, sa queue entre un peu plus dans mon vagin. Il ne me pénètre pas encore vraiment mais là, son éperon frotte sur mon point G.


Je regarde dans la chambre et j’aperçois Mike. Il est maintenant assis derrière moi et regarde la scène. Son regard est fixé sur mon cul et sur le sexe que j’aimerais tant avoir en moi.


Réal ne fait rien. Ses mains me caressent, il me regarde, mais ne fait aucun mouvement pour aller plus loin en moi. Je commence alors un très léger mouvement des hanches d’avant en arrière sur quelques centimètres. Son éperon continuant ainsi de frotter mon point G, je sens venir en moi un orgasme fulgurant. Je ne peux vous dire combien de temps je continue ce mouvement mais une délicieuse jouissance m’envahit, et je sens mon jus couler de mon intérieur et se répandre sur l’objet de mes envies. Je m’en mords les lèvres tellement c’est bon. Je continue ainsi pendant plusieurs minutes. Je sens mon jus couler et se répandre sur Réal, mais c’est tellement bon que je jouis et jouis ainsi pendant un long moment.


Puis je me lève, j’en veux plus. J’enlève tous mes vêtements rapidement et j’aide Réal à se relever. Une fois debout, je lui enlève son boxer, je le prends par la main et l’entraîne avec moi vers le lit. Il me suit, je signale aussi à Mike de se dévêtir et de venir nous rejoindre, ce qu’il commence à faire.


Je m’étends sur le lit et ouvre les jambes. Réal s’agenouille, puis se penche et vient poser sa bouche sur mon sexe. Je sens sa langue parcourir mes lèvres et tournoyer autour de mon bouton.


Mais j’en veux plus. Je lui saisis la tête et l’oblige ainsi à monter, et dès que ses lèvres sont à la hauteur de ma bouche, ma langue envahit la sienne. Je saisis sa queue d’une main et la place directement à l’entrée de ma caverne. Mon autre main lui appuie alors directement sur les fesses pour qu’il s’enfonce en moi. Je sens mes chairs s’ouvrir et laisser le passage à son pieu. Il s’enfonce tout doucement en moi et cette fois en entier, enfin.


Mike, lorsque j’ouvre les yeux, est agenouillé juste à côté de mon visage. Je cesse mon baiser et lui signale de s’avancer. Je peux maintenant engloutir sa queue dans ma bouche.


Réal, lui, entre et sort de mon sexe en de longs et langoureux mouvements. Chaque fois qu’il sort, son gland vient se presser sur mon clito avant de s’aventurer jusque dans la profondeur de mon ventre. Lorsqu’il se retire, j’essaie de le retenir en serrant les muscles de mon vagin.


Puis soudain, je sens monter en moi un plaisir intense. Je cesse de sucer la queue de Mike, blottis ma tête dans le cou de Réal et laisse éclater en moi une jouissance fulgurante. Je sens toujours cette queue qui va-et-vient dans mes entrailles et qui me procure un plaisir intense. Je jouis, et jouis, encore, comme rarement auparavant. Puis comme ma jouissance commence à descendre un peu, Réal s’enfonce en moi et là, il reste bien enfoui au fond de moi. Je sens alors un premier jet m’emplir, tout chaud, suivi de plusieurs autres. Je le serre très fort dans mes bras et enroule mes jambes autour de ses hanches, je veux qu’il reste là. Mon sexe serre le sien comme pour être sûre de tout recueillir. La sensation est merveilleuse, j’en ai oublié tout ce qui se passe autour de moi pour bien profiter de ce moment. Puis finalement il finit de jouir. Je remarque alors que je n’ai entendu aucun son venant de lui pendant sa jouissance. J’ouvre les yeux et je comprends pourquoi.


Il a la queue de Mike bien en bouche, et Mike, les yeux fermés, commence à jouir. Je l’entends gémir, puis je constate qu’il répand toute sa liqueur dans la bouche de Réal.


Quelques minutes passent. Mike est assis à côté de moi. Je sens la queue de Réal qui ramollit et finit par glisser hors de moi.


Je ne sais trop quoi penser, mais une chose est certaine : plus rien ne sera comme avant.