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n° 11282Fiche technique16072 caractères16072
Temps de lecture estimé : 10 mn
03/04/07
Résumé:  Hasard d'une rencontre à un arrêt de bus.
Critères:  f fh inconnu exhib fellation cunnilingu pénétratio fdanus hdanus uro
Auteur : Ailaima      
Arrêt de bus

C’était le début de l’été et elle se prélassait sur son balcon en tenue légère, laissant le soleil venir caresser sa peau déjà un peu hâlée.


Elle était là depuis un moment, s’étant même légèrement assoupie, faisant des rêves coquins, quand un bruit dans la rue la réveilla en sursaut. Rien de grave, mais elle se rendit compte que sa posture avait changé et que n’importe qui, posté sur le trottoir d’en face, aurait une belle vue sur son corps ainsi exhibé, son léger peignoir ayant largement glissé sur ses jambes. Se redressant un peu sur son fauteuil, elle remarqua alors un homme assis en bas à l’arrêt du bus. Elle se dit que d’où il était, rien n’avait dû échapper à son regard.




L’homme venait d’arriver à l’arrêt de son bus et s’assit sur la banquette pour l’attendre car il était un peu en avance. Ce faisant, ses yeux se levèrent machinalement vers les balcons de l’immeuble de l’autre côté de la rue.


C’est alors qu’il la vit. Une jeune femme se faisait bronzer sur un fauteuil et visiblement elle s’était assoupie. Son petit peignoir ayant glissé sur ses cuisses lui offrait une image des plus charmantes. Des jambes déjà bronzées et fuselées et une ébauche de sexe s’offraient à son regard, peu de détails, il était quand même un peu loin. C’est alors qu’elle s’est réveillée, apparemment surprise, et s’est un peu rajustée. C’est à ce moment-là que leurs yeux se sont rencontrés.




Elle a vu que l’homme l’avait vue, et réciproquement. Un peu gênée au début, cette situation l’amusait tout de même, surtout que l’homme était malgré tout un peu loin. Elle le trouvait assez à son goût et décida de poursuivre le jeu de celui qui épie et de celle qui est épiée… Qui mène la danse ?


Elle se pencha en arrière, juste assez pour que l’homme reste dans son champ de vision sans qu’il le remarque, et laissa à nouveau glisser le peignoir. Il commença à s’écarter sur ses cuisses, s’entrouvrant de plus en plus. Elle voyait que l’homme ne la quittait plus des yeux.




Elle venait de s’apercevoir de sa présence, c’était flagrant à sa réaction. Il se sentit un peu gêné de l’avoir un peu espionnée de cette façon. Il ne lui lançait plus que quelques œillades épisodiques, quand il la vit se pencher en arrière et le peignoir s’ouvrir de nouveau. Ses yeux ne pouvaient plus se détacher de la fourche de ses jambes, entre lesquelles il aurait bien aimé glisser sa tête. Un véritable film érotique commençait à se scénariser dans son esprit. Il ne fit même pas attention à son bus qui venait de passer et repartir sans lui, tout qu’il était à son spectacle. Il se demandait si elle le faisait exprès et si oui, il se sentait très flatté de son choix.




La situation commençait à l’exciter légèrement. Elle voulait allumer ce garçon de l’autre côté de la rue. Elle voulait un grand incendie dans son corps et dans sa tête, qu’elle pourrait alors essayer d’éteindre, étant tout à fait certaine d’y arriver.


Elle écarta un peu plus ses jambes, laissa sa main se promener sur son petit ventre et glisser jusqu’à son entrecuisse, lentement, très lentement, dans un geste qui semblait n’avoir pas de fin ; son sexe commençait sérieusement à s’humidifier à la seule pensée que celui du garçon d’en face durcissait dans son pantalon.




En face, la situation devenait désespérée. Les mouvements sur le balcon n’échappaient pas à son regard. Il se voyait déjà en train de laper le sexe de le jeune femme qui l’allumait depuis un bon moment déjà. Un grand incendie consumait son cerveau, et il n’y avait plus assez de place dans son pantalon pour son sexe qui ne voulait pas s’arrêter de durcir et de grandir.


Il mourrait d’envie de rejoindre cette femme et de lui sauter dessus comme une bête primitive guidée par ses seuls instincts. Il voyait ces cuisses bronzées et maintenant aussi ce ventre si moelleux, cette main qui, on dirait, glissait vers ce sexe qu’il devinait plus qu’il ne le voyait. Ce mouvement presque imperceptible ne lui avait pas échappé tant il était aux aguets.

Qu’est-ce qu’il aurait aimé avoir une paire de jumelles pour que ses yeux puissent s’approcher très, très près…


Il plissa les yeux, il lui semblait apercevoir une brillance entre ses cuisses, il se dit qu’elle devait mouiller…




Elle mouillait maintenant en abondance depuis que ses doigts étaient tout près de son sexe, gorgé d’un sang qui lui faisait gonfler les lèvres et palpiter son clito. Elle n’osait aller plus loin dans son geste, ne voulant pas déclencher un orgasme prématuré. Elle voulait que le jeu dure encore un peu. Les idées les plus folles germaient dans son esprit. Elle se voyait courir nue vers l’autre côté de la rue, se jeter sur la queue de cet inconnu, elle les voyait se branler chacun de son côté, à celui qui craquerait le premier, et bien d’autres idées encore qu’elle n’aurait osé imaginer quelques instants auparavant. Elle semblait dépassée par ce désir qui grandissait en elle.


Le jus de son sexe coulait maintenant en petits filets le long de ses cuisses et ne voulait plus s’arrêter. Elle n’en pouvait vraiment plus. Elle se releva, vérifia que le garçon était toujours là, elle l’avait presque oublié, étant toute à ses pensées lubriques.


Ils se regardèrent droit dans les yeux et elle lui fit un léger signe de la main lui signifiant de la rejoindre…




Il se dit qu’il hallucinait, elle l’avait fixé dans les yeux. Il était comme un collégien pris la main dans le sac et était devenu tout rouge. Quelqu’un qui l’aurait vu à ce moment se serait sûrement dit qu’il allait avoir une crise cardiaque.


Elle lui faisait signe, un léger signe de la main, une invitation, une invitation à venir la rejoindre… Ses rêves les plus fous semblaient se concrétiser à ce moment là. Il se leva lentement, comme dans un nuage, et traversa la rue.


La porte s’ouvrit et il s’engouffra dans l’entrée de l’immeuble. L’air frais de l’intérieur calma un peu ses ardeurs flamboyantes. Il prit l’ascenseur jusqu’à l’étage de sa partenaire de jeu. Sur le palier, une porte s’ouvrit devant lui, laissant apparaître une divine créature, la trentaine, la peau halée par le soleil, des formes pleines et pleine de formes, un regard coquin, un sourire légèrement sadique et une bouche pulpeuse à mordre à pleine dents. Elle ne s’était pas donné la peine de rajuster son peignoir et semblait ressentir le même feu intérieur que lui, un feu qui ne demandait qu’à se développer pour embraser tout alentour.




C’est en ouvrant sa porte qu’elle le vit pour la première fois très distinctement. Il était un peu plus grand qu’elle, pas trop musclé mais juste ce qu’il faut, un mélange de force et de nerveux, avec des yeux qui voulaient la dévorer toute crue. Elle n’avait à aucun moment envisagé des séquelles ou ennuis quelconques suite à ses actes non réfléchis ; elle était seulement portée par cet instinct et cette envie irrépressible de femme en chaleur qui ne veut qu’une chose, baiser.


Elle ne veut pas faire l’amour, non, elle veut juste baiser, des actes crus et passionnés, elle veut baiser avec cet inconnu. Elle veut qu’il éteigne le feu en elle. Elle veut qu’il la prenne comme une bête, comme une chienne. C’est comme ça qu’elle se voyait à cet instant, une chienne en chaleur qui veut se faire puissamment saillir par un mâle en rut. Elle veut de la sauvagerie et de la bestialité, ne pas avoir à réfléchir et se laisser aller. Elle sentait bien que ce sentiment était partagé, elle le voyait dans le regard de l’homme en face d’elle, cette façon qu’il avait de la manger des yeux, ce regard plein de désir. Elle voyait ses narines palpiter. Elle voyait sa poitrine se gonfler et expirer tel un taureau dans l’arène.




Ils s’approchèrent l’un de l’autre. La porte claqua dans leur dos. Ils n’étaient plus qu’à quelques centimètres, n’osaient se toucher.


C’est alors que la bouche de l’homme se jeta sur celle de la femme et ses mains sur son corps. Ils s’embrassaient à n’en plus pouvoir reprendre son souffle. Leur langues se mêlaient et s’emmêlaient dans un échange passionné. Il fit tomber son peignoir à ses pieds, ses mains parcouraient le corps de la femme, ne laissant aucun centimètre carré sans caresses. Sa peau chauffée par le soleil et le désir était aussi douce que de la soie.


Elle lui enleva sa chemise, caressa sa poitrine, pinça ses petits tétons et colla ses seins aux bouts gonflés contre ses pectoraux. Ce contact l’électrisa à un tel point qu’elle en eut un petit orgasme qui liquéfia sa petite chatte déjà brûlante. Une vraie fontaine coulait le long de ses cuisses alors qu’elle s’attelait à défaire le pantalon de l’homme qui lui caressait si savamment le corps.


Il n’avait pas encore caressé son sexe qu’il savait complètement inondé, ayant recueilli un peu de son jus en caressant les cuisses de sa partenaire.


Elle venait d’arriver à bout des boutons et ceinture du pantalon, faisant tomber le tout, sentant une verge bandée au maximum sauter hors des vêtements prête à l’assaut.


Durant tout ce temps leurs bouches ne s’étaient pas décollées un instant, leurs langues virevoltaient sans cesse, passant d’une bouche à l’autre, leur salives coulaient sur leurs mentons et leurs cous, comme le sexe de la femme sur ses cuisses.


Il lui caressa la chatte, ramena du jus avec ses doigts vers sa bouche et se délecta de l’échange qui s’ensuivit avec sa partenaire. Désormais sous l’action de leurs doigts et leurs baisers chargés de sécrétions sexuelles, elle avait orgasme sur orgasme. Elle n’avait jamais connu pareille sensation. Sa tête et son corps allaient exploser en un milliard de feux d’artifice.


Quand soudain, tout s’arrêta. Il la souleva et l’empala sur sa queue aussi dure qu’une tige d’acier, opération rendue facile tant elle mouillait. Puis il l’emmena vers le salon sans jamais se déboîter. Il la déposa délicatement sur le sol, les yeux dans les yeux, leurs pupilles dilatées à l’extrême, et il commença des va-et-vient dans son sexe.


Elle lui implora doucement à l’oreille :



Ces mots faillirent lui faire perdre tout contrôle. Il la baisa alors, comme tel était son désir, avec de puissants coups de reins qui la percutaient avec force. Il sentait son sexe taper au fond de sa matrice, il sentait sa bite coulisser dans ce fourreau doux et chaud, il sentait sa chatte le serrer de plus en plus fort, signe d’une jouissance toute proche. Il accentua ses mouvements, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ce fut lui qui partit le premier, aussitôt suivi par la femme qui se mit à crier son plaisir tellement celui-ci était fort et grand, sentant le liquide de son partenaire se répandre en elle, au plus profond de sa chatte. Leur plaisir ne semblait pas vouloir s’arrêter.


Ils étaient en nage, ils récupéraient leurs esprits. L’homme voulut lui dire combien il avait aimé mais fut arrêté par un signe de la femme, et ce fut aussi bien. Ils se dévisageaient à présent, repus, encore sous le choc de leur jouissance commune, le rouge aux joues, le sang qui palpitait à leurs tempes, la respiration forte, les cheveux tout ébouriffés et tout transpirants. Ils se souriaient à l’unisson.


Ce ne fut que longtemps après qu’ils purent enfin se décoller en silence. Ils restèrent encore un moment côte à côte, allongés sur la moquette du salon. La fille se releva et se dirigea vers les toilettes. Il la suivit. Elle referma la porte et s’assit. Il ouvrit la porte et la regarda. Elle lui sourit à nouveau et entreprit sa miction. Il lui sourit et regarda ce liquide chaud et odorant s’échapper de son corps à elle. Il trouva ça beau, son sexe aussi qui recommença à pointer vers le ciel. La fille tout en pissant regardait cette bite qui se levait comme en hommage à sa beauté. Elle sourit encore et se pencha en avant pour l’emboucher.


Elle sentait le sexe, elle avait le goût du sexe. Elle l’empoigna à deux mains et lui prodigua une fellation dont elle avait le secret, et dont elle voulait qu’il garde un souvenir impérissable. Il se tenait aux montants de la porte et regardait cette tête qui allait venait sur sa tige bandée à mort. Sa langue parcourait sa bite de haut en bas, aidée par ses lèvres qui baguaient son sexe faisant des aller retour tout léchages et succions. Ses mains caressaient les bourses, les pressaient légèrement, caressaient ses fesses. Tous ses sens en éveil, l’homme savourait en silence.


Le sexe de la femme était encore tout mouillé mais ce n’était plus le même liquide cette fois ; le désir revenait, le plaisir revenait, l’envie de sentir le liquide chaud de son amant d’un jour couler dans sa bouche. Ses mouvements s’accéléraient, on aurait dit qu’elle avait plusieurs mains qui s’activaient sur le corps de cet homme, qui sentait qu’il n’allait pas tenir longtemps à ce rythme-là. Sa bouche allait et venait de plus en plus vite sur sa queue, une main pressait ses boules, l’autre s’était insinuée entre ses fesses où un doigt inquisiteur se faisait un passage.


Cette caresse nouvelle pour l’homme eut raison de ses dernières résistances et il jouit dans la bouche si douce, laissant échapper un long gémissement. Elle le sentit se contracter au moment où son doigt touchait sa prostate et accepta l’offrande de son sperme sur sa langue. Elle se releva, lui prit sa tête entre ses deux mains et échangea un long baiser, mélange de salive et de sperme.


Il abandonna sa bouche, se baissa, lui écarta les jambes et se mit à lui laper la chatte. Il lui lécha l’intérieur des cuisses et remonta jusqu’à ce triangle magique, y déposa un baiser et redescendit vers le bouton secret qui se cachait à peine dans ses replis intimes. Il y goûta sa propre liqueur qu’il reconnut après le baiser passionné qu’ils venaient d’échanger. Il reconnu aussi le goût de sa précédente miction. Il entreprit un nettoyage en règle des lèvres, grandes et petites. Il les lécha, aspira, mordilla. Sa langue se faisait un passage à l’intérieur de sa chatte, lapant tout son jus de femelle, ressortant et rentrant à nouveau ; il la baisait avec sa langue.


Il lui lécha l’entrejambe, s’égara du côté de son anus qui n’échappa pas aux caresses de sa langue, dedans dehors. Elle était désormais tellement mouillée dedans comme dehors, devant comme derrière. Ses doigts se firent des places dans ses deux trous et sa langue, qui maintenant ne quittait plus son clitoris, lui fit monter le plaisir qui éclata, monstrueusement ponctué d’un long OUI sonore. Elle jouit dans sa bouche. Il sentit le jus de sa chatte couler sur sa langue, il se régala de cette boisson enivrante.


Une fois repus, ils échangèrent encore une fois un long baiser empli d’essences féminines cette fois.


Il lui dit merci. Elle lui dit merci. Ils se sourirent. Ils allèrent prendre une douche… ensemble.




Ailaima (08/06)