n° 11286 | Fiche technique | 13451 caractères | 13451Temps de lecture estimé : 9 mn | 06/04/07 |
Résumé: Des mois que je la drague. Elle se décide enfin, et avec une grosse envie... | ||||
Critères: fh fplusag fagée grosseins groscul fmast pénétratio coprolalie | ||||
Auteur : Parlou |
Son air gourmand et un peu ridicule, ainsi que le ton de sa voix ont fait tilt dans ma tête. Elle est en rut, ça se sent. Ça tombe bien : moi aussi. « Bientôt », cela pourrait vouloir dire juste après déjeûner… Elle a profité que nous étions seuls quelques instants dans le magasin pour me faire cet appel du pied. Plus que les mots, c’est l’air qu’elle a pris qui n’a fait aucun doute. Des mois que je la drague discrètement, elle se décide enfin, elle a envie de sexe !
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Denise, l’épicière, avec sa croupe de jument enserrée dans une jupe fendue en feu, ça irradie de toutes parts. Juste avant d’y retourner, je me suis branlé en pensant à elle, mais sans aller jusqu’à la conclusion, pour maintenir la tension, pour me gonfler les couilles, pour les saturer et augmenter le plaisir du dégorgement. Et Denise vient de les rappeler à mon bon souvenir.
Elle est seule cet après-midi. Le village est désert. Elle a la cinquantaine généreuse et opulente, mais sans excès. Juste les appétissantes manifestations de son âge.
Quand je me repointe dans la boutique, son chemisier a du mal à dissimuler sa grosse poitrine de veuve délaissée, ses seins lourds aux pointes un peu basses. Ils sont nus sous la chemise, cela se voit à travers le tissu. Elle l’a fait exprès, elle portait un soutien-gorge dans la matinée, mais elle se doutait bien que j’allais revenir, vite, très très vite… Elle l’espérait, elle le souhaitait, elle avait mis tous les sous-entendus possibles dans ce « A très bientôt » pour ne laisser aucun doute quant à ses intentions.
Quand elle m’aperçoit, la toile tendue par ses mamelles manque d’éclater. J’ai volontairement calé mon chibre en haut de ma cuisse et en apercevant le bourrelet de mon pantalon, ses yeux s’agrandissent et sa bouche s’arrondit.
Elle détache à contre-cœur son regard de ma braguette et me regarde un peu hagarde.
Elle ne sait plus très bien où elle en est, ni vraiment ce qu’elle veut.
Puisqu’elle préfère jouer la petite pimbêche, je fais mine de vouloir m’en aller.
Elle sort de derrière sa caisse et se rapproche brusquement de moi. Elle semble se raviser.
Je lui attrape le poignet et plaque sa main sur ma zone génitale.
Elle rougit à plein tube, ouvre à nouveau des yeux à les faire sortir des orbites. Elle jette un regard furtif dehors, paniquée à l’idée que l’on puisse nous surprendre. Mais elle ne retire pas sa main, bien au contraire. Je sens la pression avide de ses doigts sur mon mandrin tout dur.
Elle a le regard humide.
Elle a mis sa main sur sa bouche, surprise par les mots qui en sortent.
Elle a alors un regard de gourmandise lubrique sur sa main qui tranquillement me besogne. Elle reluque ma bosse avec appétit…
Maintenant, elle semble fermement décidée. Elle s’en va tourner la clef dans la serrure et descend rapidement le volet métallique. La lumière des néons emplit alors le magasin. Puis elle s’en revient vers moi.
Elle hésite un instant, puis relève lentement sa jupe sur ses jambes un peu déclassées. Le haut des cuisses un peu bourrelées emprisonne le bas d’une culotte vieillotte de ton pastel, avec une tache plus que suggestive à l’entrejambe.
Elle baisse la tête et, en voyant la carte liquide sur sa cramouille, elle devient cramoisie de honte hypocrite.
Je perçois difficilement :
Lorsque je brandis l’engin, sorti de sa prison, de son côté elle se jette comme une folle sur sa chatte inondée. Sa main presse sur ses chairs. Je me cale la pine dans la paume et commence un massage en règle. Nous nous masturbons de concert.
Comme possédée, elle entreprend une rotation obscène sur le vaste triangle de son sexe, elle se rapproche de plus en plus de l’orgasme.
Elle se tortille en se démenant entre ses cuisses, à travers la culotte qui a de moins en moins de surface sèche. Son arrière-train s’est posé sur le rebord de l’étal de la caisse. Ses gros nibards tressautent sous ses spasmes et l’intérieur de ses cuisses draine un flot de jus épais et abondant.
Elle en semble assez fière de sa toison. Elle l’encadre alors de ses deux mains, se caresse doucement la moumoute qui se hérisse sous ses doigts.
Elle m’exhibe alors deux belles miches un peu flasques, mais aux tétons terriblement érectiles.
Je lui montre mon membre qui glisse entre mes doigts. Mon gland est écarlate, prêt à me péter dans la main.
Elle se retourne alors, passe ses mains sous sa jupe et fait descendre sa grande culotte jusque sur ses chevilles.
Fluik ! Fluik ! Fluik ! Le bruit de succion remplit le magasin, qui décuple son délire verbal, on dirait le bruit d’une ventouse. Je lui redresse le buste et empogne sa gorge laiteuse à pleines mains. Ses seins sont doux comme des pêches.
La sortie de mon gland dilaté de sous son clitoris bandé s’est accompagnée d’une fine giclée de sa liqueur brûlante.
Je m’empare de sa panse à deux mains pendant qu’elle m’assène de grands coups de cul dans le bas-ventre en cherchant de nouveau à s’empaler.
Elle n’en peut plus, elle devient hyper vulgaire tellement elle a envie.
D’un coup, sans prévenir, elle m’avale le queutard dans sa moule béante, d’un coup de reins bien ajusté, en s’aidant de ses doigts qui m’accompagnent un bout de chemin dans son conduit juteux. Elle me tripote la hampe en même temps que je la pistonne.
Elle est déchaînée. La caisse vacille sous nos allées et venues. Et moi, je lance au fond de son ventre un jet continu de foutre. Les bourses remontent à me faire mal, et j’ai l’impression de ne plus pouvoir m’arrêter. Au bout de quelques secondes, son vagin se contracte involontairement, m’éjectant hors d’elle. Puis elle ouvre de nouveau les vannes et le trop-plein s’évacue de l’intérieur de sa vulve. Le sperme encore chaud s’extirpe de son organe palpitant et s’écoule lentement entre ses lèvres gluantes.
Elle en recueille un maximum dans le creux de sa main et s’abreuve à la louche. Elle mange toutes les premières lampées, se comble de ce festin lubrique, et se tartine ensuite le ventre avec tout ce qui reste, m’en étalant sur les mains qui la malaxent toujours.
L’épicière a désormais fait place à la grosse cochonne qui a envie de s’envoyer en l’air. Dommage pour les premiers clients qui, cet après-midi là, trouveront porte close.