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n° 11297Fiche technique48003 caractères48003
Temps de lecture estimé : 25 mn
09/04/07
Résumé:  Comme chaque année, François pensait tranquillement faire sa route avec sa vieille 2CV rouge... mais les mini-trucs surgirent sans crier gare.
Critères:  f fh ff inconnu vacances voiture autostop voir noculotte fmast pénétratio fsodo humour
Auteur : Azureus      
Les Mini-Trucs en vadrouille

Perdue au milieu de nulle part, bordée sur un côté par des arbres broussailleux et sur l’autre par le flanc de la montagne, l’étroite langue de bitume noir serpentait langoureusement sous le soleil d’été, propageant la civilisation depuis le bas de la vallée jusqu’en haut du massif montagneux.


À mi-chemin, François et sa deudeuche rouge montaient à leur rythme, au son pétaradant d’un pot d’échappement parfois bien prêt de rendre l’âme.


Seul dans sa vieille auto, il sifflait joyeusement un vieil air populaire, sa main passée à travers la fenêtre rabattue reprenant souvent le volant tandis que l’autre s’escrimait sur des vitesses scabreuses.


En jean et torse nu, il avait depuis le début de la montée rabattu la capote de la 2CV, se grisant du vent frais qui venait le chatouiller pendant le trajet.


« Dieu que c’est bon… enfin les vacances, » pensa-t-il en respirant à plein poumons les senteurs qui lui arrivaient des bois tout proches. « Et surtout… le calme. »

Instituteur dans un petit village de la région, il était aussi excité que les gamins de son école.

« Un mois de vacances aaahh… les nuits étoilées, les truites à pécher, les grasses matinées… vivement que j’arrive au chalet, » soupira-t-il.


Presque tout en haut du massif montagneux, sur un petit plateau parcouru d’herbes folles, François possédait en effet, de par son berger d’arrière-grand-père, un de ces vieux chalets pratiquement tout en bois qui faisaient le charme de la région. Soigneusement entretenu, il était une des seules habitations encore debout dans ce coin perdu, les permis de construire ayant été suspendus pour préserver cet écrin de verdure et de douceur. Mis à part une chambre d’hôtes rustique qui d’ordinaire était pendant l’été prise d’assaut par les touristes, il n’y avait guère de monde dans ce havre de paix.


Le seul petit problème était que le chalet était haut, très haut… Chaque fois François se demandait si ça serait cette année que le moteur de sa Titine allait lui exploser à la figure. Et chaque fois, bien qu’au bord de l’apoplexie, la vieille carcasse métallique tenait bon et hissait François et son barda jusqu’au bout de la route. Après ça il fallait encore gravir à pieds une dernière petite côte de quelques centaines de mètres avant d’arriver enfin à l’ancien domicile du berger.


« Allez ma vieille… » encouragea-t-il en tapotant sur le volant. « Ce n’est pas cette année que tu vas flancher hein… »


Prenant un virage, il rétrograda en première, puis relança la machine en appuyant sur l’accélérateur :


« Tiens, voilà une ligne droite pour souffler ma belle… »


À la sortie du virage, un groupe de trois filles apparut sur le bord de la route, agitant frénétiquement un pouce levé vers le ciel et criant :



Interloqué, François eut tout le temps d’admirer les trois phénomènes qui venaient de surgir, puisque, n’ayant toujours pas repassé de vitesse, il se traînait lamentablement à quelques 15 km/h.


Une blonde, deux brunes… Son pied s’approcha du frein. Deux mini-shorts, une mini-jupe…


« Ok des Parisiennes… » pensa-t-il. « Y a vraiment que les Parisiennes pour se balader en mini-trucs sur une route de montagne… »


Malgré tout, son pied appuya sur la pédale centrale, et la Citroën ralentit cahin-caha.



La blonde aux jolis yeux bleus ajouta sur un ton à moitié inquiet :



François acquiesça de bon cœur, un sourire flottant sur ses lèvres, n’en pensant pas moins :


« Des petites écervelées… c’est bien ma veine… manquerait plus qu’elles soient pipelettes maintenant grmbbl… »


La brune plus petite rajusta innocemment sa mini-jupe noire avant de demander, l’air de rien :



L’alerte se déclencha immédiatement dans le cerveau de l’instituteur : ces méthodes mielleuses… À coup sûr elles allaient lui demander s’il pouvait les emmener.


Se coltiner pendant trois-quarts d’heure des pépiements intempestifs, très peu pour lui ! Ah ces dames voulaient se servir de lui et de sa Titine, eh bien il allait leur sortir le grand jeu !


Admirant ouvertement les trois paires de jambes fuselées, il siffla de son plus bel air campagnard en mentant pour réduire la durée :



La plus grande s’exclama :



Se penchant en avant, elle s’appuya à la fenêtre de la portière, dévoilant ce faisant une large échancrure dans son chemisier blanc :



Jouant jusqu`au bout le rôle qu’il s’était octroyé, François reluqua ouvertement les seins blancs nacrés de dentelles qui lui étaient en partie dévoilés, avant de revenir fixer les yeux verts qui le dévisageaient.



La grande brune se releva derechef, les sourcils levés en une expression de surprise :



Il allait remettre le contact et s’escuser de ne pouvoir dès lors les emmener lorsque la grande mini-short bleu se tourna vers ses amies en disant :



La blonde prit un air horrifié, agitant ses longs cheveux :



La brune en mini-jupe répliqua :



Sa consœur capillaire appuya :



La blonde recula, montrant du doigt l’instituteur en criant :



Jetant un coup d’œil au torse nu du conducteur ébahi, la petite brune répondit :



Refusant d’abdiquer, la blonde rétorqua :



Boudeuse, la blonde leur tira la langue en murmurant quelque chose du genre « Bande d’inconscientes » avant de saisir son immense sac à dos et de repartir aussi sec avaler de l’asphalte.


Dans son siège aux ressorts grinçants, François n’en croyait pas ses oreilles… Ah non ! Elles n’allaient pas venir quand même !


Poussant le bouchon plus loin, il ajouta d’un air qui se voulait plein de frénésie impatiente.



« Je rêve… pensa François. On dirait qu’elles s’amusent… »


La grande dont il avait déjà vu une partie de la poitrine commença à déboutonner son mini-short bleu, regardant fixement le conducteur de la Citroën qui déglutit péniblement.


Le bouton défait, elle entrouvrit l’ouverture ainsi libérée, dévoilant un sous-vêtement rouge qui semblait décoré de relief. Se déhanchant doucement, elle passa ses pouces dans la taille du vêtement bleu et descendit le mini-short, montrant ainsi au grand jour un joli triangle effectivement décoré de motifs floraux. Quittant le regard de l’instituteur, elle pouffa avec sa copine devant la mine abasourdie du propriétaire de la 2CV. En peu de temps le mini-short finit sa course à ses pieds, d’où elle l’enleva rapidement avant de se retourner, présentant ainsi ses belles fesses simplement séparées par l’étroite bande rouge :



Refermant la bouche, ce dernier se recala dans son siège à grand renfort de grincements de ressorts et répondit sur un ton blasé :



Avec un clin d’œil pétillant de vert, elle répondit :



Puis elle se tourna vers sa copine :



Farfouillant dans son sac, elle en extrait rapidement une sage petite culotte blanche comme la neige, véritable symbole de pudeur.



Rougissante, la petite brune ne répondit pas.


Regardant prestement à droite, puis à gauche, elle baissa rapidement sa mini-jupe noire, dévoilant à tous les lapins environnants qu’elle ne possédait absolument rien en dessous.


L’instituteur rouvrit la bouche, la grand brune poussa un « Oh ! » légèrement outragé tandis que l’indécente continuait sa gymnastique, dévalant ses jambes bronzées et retirant rapidement le morceau de tissu noir qu’elle écarta du bout du pied. Son intimité entièrement nue ne resta qu’un instant sous le soleil et les regards brûlants, rapidement recouverte par une étoffe blanche qui remonta les jambes encore plus rapidement que la mini-jupe ne les avait descendues.

Légèrement essoufflée, la demoiselle souffla, mi-embarrassée, mi-triomphante :



N’attendant pas les éventuelles remarques, elle ramassa sans plus tarder sa mini-jupe noire, prit hâtivement son sac et ouvrit la portière arrière droite pour s’y engouffrer aussitôt, demandant d’une voix vive :



Sous son regard enjoué, sa copine ramassa elle aussi son paquetage, balançant le tout sur la banquette arrière en visant soigneusement la culotte blanche, et lançant un sonore et appuyé :



La portière avant claqua et la belle créature s’assit à côté de l’instituteur, le regardant avec un grand sourire tout en croisant ses longues jambes :



Secouant la tête d’un air groggy, François leva les yeux au ciel, pensant sans sourciller : « Sainte Mère… Dans quelle galère me suis-je encore fourré… » avant de se résigner à mettre le contact.


Titine, visiblement toute émue, démarra au quart de tour, et c’est à plus de 35 km/h qu’ils dépassèrent la blonde surchargée, que ses copines saluèrent en poussant de grands cris perçants et en faisant de grands mouvements de bras.


Dire que le voyage fut calme eût été un doux euphémisme : comme prévu les deux oiselles rivalisèrent de bavardages intempestifs, troublant le silence de la nature par leurs rires légers et fréquents. De son côté, François eut toutes les peines du monde à se concentrer sur sa conduite, son regard lorsqu’il passait une vitesse étant à chaque fois attiré par un entrecuisse habillée de rouge.


Qui plus est, la garce semblait faire exprès de le troubler, lui posant sans cesse des questions pour l’obliger à regarder ses yeux verts malicieux, et décroisant régulièrement ses jambes lorsqu’il allait se saisir du manche à vitesse.


Malgré tout, il apprit donc que ces demoiselles, parisiennes comme prévu, étaient en vacances pour une semaine dans la région, que Mademoiselle String Rouge s’appelait en réalité Justine, Mademoiselle Sans Culotte Christine et la blonde boudeuse Alexandra.


Christine donc, s’avança sur la banquette et vint insérer son buste entre les deux sièges avant, exhibant un bouquin qu’elle brandit comme un trophée :



Son regard s’arrachant difficilement du tissu qui semblait bien petit et bien serré entre les jambes de la belle brune, François les interrompit :



Le reste du voyage fut beaucoup moins joyeux, les deux Parisiennes se disputant sur des sujets divers tel que « Tu aurais dû réserver ! », « T’aurais pu vérifier la date ! », « Pourquoi je dois porter tous les torts, t’étais là aussi ! »


Les interrompant, François lança :



Les deux donzelles se turent, chacune boudant l’autre et s’absorbant dans la contemplation du paysage vert.


Finalement, après dix minutes de calme retrouvé, François rompit le silence en annonçant :



La voix de Justine lui répondit :



S’ensuivirent des bruits de farfouillis, quelques déhanchements que le jeune instituteur ne put s’empêcher d’admirer, et les mini-trucs firent leur retour en leur lieu et place habituels.


Quelques minutes plus tard, la 2CV prit le petit chemin de terre qui menait à l’auberge, et s’arrêta dans un nuage de poussière devant l’entrée du bâtiment de pierre. Les filles descendirent en toute hâte de la voiture, laissant là leurs affaires pour se précipiter dans le hall d’accueil.


Un peu étonné par leur vitesse d’exécution, François se décida en maugréant à les attendre. Il ne pouvait décemment pas planter leurs affaires au beau milieu de l’entrée et s’enfuir comme un malpropre.


Environ vingt minutes plus tard, les deux jolies brunes sortirent dépitées de l’hôtel :



La dispute menaçait de repartir de plus belle, aussi François coupa court à toutes les hostilités en klaxonnant :



Se rapprochant de la deudeuche, Justine lui sourit pâlement :



Ouvrant la portière pour prendre son sac, Christine opina, des éclairs passant dans ses yeux :



Les prenant un peu en pitié, et aussi parce que davantage de temps en leur compagnie ne lui était finalement pas si inconfortable que ça, François répondit :



Les deux paires d’yeux, verts et marrons, se rallumèrent soudain :



Rigolant, François reprit :



Les deux filles sautillèrent de joie :




L’instituteur haussa les épaules, souriant comme pour dire « Y a pas d’quoi » :



Les portières claquèrent joyeusement, les deux créatures reprenant avec entrain les mêmes places qu’à l’aller, et c’est dans un crissement de pneu et un rugissement de moteur que la deudeuche rouge repartit.



Quittant le chemin de terre et reprenant la route, le propriétaire de la Citroën bafouilla :



Embarrassé, François répondit :



Christine renchérit :



Riant jaune, François répliqua :



Justine mit la main sur sa bouche en une expression horrifiée :



Passant une vitesse, François tenta bien de l’interrompre :



Mais s’invitant entre les deux sièges avant, Christine vint se lamenter d’une voix aigüe :



La situation avait complètement dégénérée, François secoua la tête en répétant :



Enlevant son chemisier, Justine lui fit un clin d’œil et dit :



Soupirant, François rendit les armes, aidé en cela par la vision qui venait d’apparaître : deux beaux seins généreusement soutenus par un soutien-gorge blanc qui lui ôtèrent ses derniers arguments. Le string rouge apparut bientôt, et jetant un coup d’œil dans le rétroviseur il s’aperçut que la petite brune avait fait de même, arborant fièrement dans le vent un soutien-gorge sans bretelles à moitié transparent.


Lorsque Christine s’aperçut qu’il la reluquait dans le rétroviseur, elle lui envoya un baiser de la main et écarta légèrement les jambes en disant à sa copine :



Ce à quoi Justine répondit :



François rougit mais ne pipa mot.

Sauf quelques minutes plus tard, quand il aperçut la blonde qui traînait son fardeau sous le soleil brillant de mille feux :



Celle-ci parut surprise de les revoir.


Stoppant la vieille auto à sa hauteur, il allait lui expliquer la situation lorsque Christine se leva. Sa petite culotte blanche à hauteur du haut de la portière elle prit appui sur celle-ci et commença son speech à la vitesse de l’éclair :



Essayant de reprendre la main, François acquiesça :



La blonde, qui n’avait pas eu le temps de placer un mot, reprenait toujours son souffle lorsque Justine se leva également, se tournant vers sa copine et offrant ainsi à François la vision enchanteresse de son postérieur presque nu :



François allait parler mais Justine lui écrasa la cuisse avec sa chaussure gauche. Le « Aouch ! » fut couvert par la voix de la grande brune :



La portière arrière droite s’ouvrit, Christine s’apprêtant à descendre sur la route en petite culotte et soutif quasi-transparent pour prendre le sac de sa copine.


Alexandra balbutia :



Ne la laissant pas terminer, Justine agita sa poitrine en se balançant d’un air sévère :



La débarrassant de son sac malgré une petite résistance, Christine envoya le tout sur la banquette arrière :



La blonde émit encore quelques faibles protestations, rapidement étouffées par le petit top que faisait remonter une Christine hyper-active, dévoilant à qui voulait le voir deux superbes seins dans un écrin de dentelle bleu, qui retombèrent lourdement une fois débarrassés de la couche supérieure de tissu.


Ses deux copines exprimèrent bruyamment leur approbation en poussant des « Aaah » enthousiastes.


Alexandra sourit faiblement, évitant de croiser le regard ébahi mais admiratif de François, et vint se placer sur la banquette arrière où la rejoignit Christine.


Justine se rassit et lança joyeusement :



Ayant déserté le commandement, François obéit, remettant le contact et manœuvrant pour reprendre la montée qui menait au chalet.


Au cours du voyage, François devisa agréablement avec Justine, la conversation portant essentiellement sur leurs vies respectives, bien que de temps en temps il laissa ses yeux s’égarer sur une des trois poitrines qui tressautaient au rythme des cahots de la route, ou qui se balançait suggestivement dans un virage à tel point que François faillit caler plus d’une fois, oubliant de repasser une vitesse pour reprendre de l’élan. À chaque fois, la grande garce brune rigolait sans retenue, le scrutant impunément pour le mettre mal à l’aise.


À l’arrière les sacs à dos étaient bien sages et les deux copines serrées l’une contre l’autre se contentaient de regarder le paysage. Jusqu’à ce qu’Alexandra murmure :



Sans se formaliser, François continua de conduire.


Mais Alexandra chuchota à nouveau :



Justine se retourna pour demander ce qu’il se passait, mais aucun son ne sortit de sa bouche lorsqu’elle vit le spectacle qui se déroulait sur la banquette arrière.


François demanda :



Les yeux pétillants, Justine darda ses prunelles vertes vers le conducteur et déclara avec aplomb :



Coupant court à cette indignation, un gémissement très distinct monta de l’arrière de la voiture, suivit d’une voix plaintive :



Pour tout réponse, Christine se leva, prenant d’une main appui sur le bord du toit décapotée, l’autre étant plongée dans la prude culotte blanche déformée par la main aventurière.


Justine éclata d’un grand éclat de rire :



Christine répondit :



D’un geste, elle tira sur son soutien-gorge, libérant ainsi ses seins qui vinrent s’étaler au grand air :



Regardant malgré lui dans le rétroviseur, François ne perdait pas une miette du spectacle, du moins autant que sa conduite le permettait. La brunette décida alors de baisser sa culotte pour se masturber plus facilement, la faisant prestement glisser le long de ses cuisses bronzées. Pire même, elle l’enleva carrément, la fourrant entre les mains d’une Alexandra effarée qui ne savait plus ou se mettre.

La chatte à l’air, elle écarta rapidement les jambes, se plaçant de part et d’autre de celles d’Alexandra qui avait ainsi une vue imprenable sur le minou parfaitement épilé qui ruisselait devant ses yeux.


Car la brunette était excitée au plus haut point. Ses seins se dardaient dans le vent, dressant leur pointe et sautillant au rythme de la route. Si, d’une main elle se tenait au bord du toit, son autre main allait et venait sur son clitoris, cherchant puis trouvant le petit capuchon qu’elle titillait fréquemment, ses doigts longeant sa fente dégoulinante et plongeant dans son intimité pour en ressortir luisants de plaisir.


Haletante, brûlante, elle ordonna à la belle blonde aux si jolis seins :



Estomaquée, celle-ci nia farouchement de la tête, répondant :



Justine, qui s’était retournée, caressait le mollet de sa copine sans dire un mot. Ses yeux verts allant régulièrement de l’entrejambe de la brunette jusqu’aux yeux bleus troublés, non sans avoir remarqué la poitrine sertie de bleu qui se soulevait plus vite qu’auparavant. Sans répondre, ou plutôt en gémissant, Christine retourna caresser son clitoris, essayant de trouver un équilibre précaire en lâchant le bord du toit. Voyant qu’elle n’y arrivait pas, Justine chuchota à la blonde :



Christine reprit d’une petite voix plaintive :



Détournant pudiquement les yeux vers le paysage, elle tendit avec un petit sourire sadique quatre doigts rapprochés, et les appuya doucement à l’entrée du vagin trempé :



Arquant les jambes, cette dernière se laissa retomber sur le pal de chair ainsi formé, poussant un râle rauque lorsque les doigts s’enfoncèrent sans ménagement dans ses chairs intérieures. Gémissante, Christine entreprit alors de se branler en profondeur sur ce que lui offrait son amie, répandant sa cyprine sur les doigts fins en d’abondantes traînées qui ne tardèrent pas à couler le long du poignet.


François conduisait maintenant à 10 km/h, regardant le moins souvent possible la route, et n’ayant pas repassé la seconde depuis au moins cinq bonnes minutes. Il bandait si fort que la résistance du tissu de son jean lui faisait mal.

« Bordel, c’est quoi ces nanas ? » pensa-t-il.


Il regarda Justine à côté de lui qui caressait le pied de sa copine en contemplant sa chatte dégoulinante. Elle avait passé une main dans son soutien-gorge, se pelotant avec douceur. Voyant qu’il la reluquait elle lui fit un grand sourire, avant d’écarter largement les jambes, ramenant ses pieds sur le siège pour lui permettre de mieux voir le string rouge qui venait s’insérer contre ses lèvres intimes.


François arrêta la voiture, étant plus en surchauffe que le moteur de la 2CV lui-même.


Avec un petit clin d’œil, elle ramena sa main depuis sa poitrine jusqu’entre ses cuisses, pointant un doigt qu’elle appuya sur le tissu rouge, pile à l’entrée de son sexe, et lui tira effrontément la langue.


Les mains crispées sur le volant, le sang de l’instituteur ne fit qu’un tour. Ouvrant la portière d’un geste rageur il se leva d’un bond et fit rapidement le tour de la voiture pour venir ouvrir la portière avant droite. Le doigt de Justine avait cessé de tapoter sur le string rouge et les grands iris verts le regardaient maintenant avec surprise. Sans un mot il l’attrapa par le bras, la levant et la tirant, sans d’ailleurs rencontrer grande résistance.

Il lui fit poser ses fesses sur le garde-boue de la Citroën rouge, puis farouchement il l’embrassa à pleine bouche, cherchant ses lèvres, sa langue en un baiser brutal. Toute raide, d’abord surprise par cet emballement soudain, Justine se détendit petit à petit, fondant avec plaisir sous la bouche affamée.


Avec rudesse, François lui pétrissait les seins : « Ah ! ces garces l’avaient allumé pendant presque tout le voyage ! Eh bien maintenant il fallait en payer les conséquences ! »


Elle allait passer ses bras autour de son cou lorsqu’il la remit sur pied et la retourna brusquement. Fiévreusement il la pencha en avant, lui écartant avec force ses belles jambes fuselées, ce qui l’obligea à prendre appui sur un des phares saillants de la 2CV. Sortant de son jean une bite dure comme du fer, il la saisit sans plus de ménagement par les hanches en appuyant fermement pour la maintenir cambrée et, d’une main autoritaire, il écarta le mince string qui lui bouchait le passage.


Justine le regarda, les yeux pleins de défi :



Respirant profondément, il prit son élan et la pénétra brusquement. Enfonçant puissamment sa colonne de chair dans la fente moite, il eut l’intense satisfaction de voir la lueur de défi s’évanouir dans les prunelles vertes, cédant la place à une expression où se mêlait la surprise de se voir ainsi prise sans plus de préparation, mais aussi le plaisir de sentir une bite conséquente bien enfoncée dans sa chatte.


Christine, qui se branlait toujours sur les doigts de la blonde, l’encouragea d’une voix hystérique :



François ne se le fit pas dire deux fois. Affermissant sa prise de part et d’autre de la croupe encore habillée du string rouge, il entama un puissant mouvement de va-et-vient dans le sexe de la belle brune. Ses mains la tenant avec force il la soumettait au rythme qu’il voulait imposer, se retirant presque entièrement puis la pénétrant à nouveau avec une vigueur brutale, s’enfonçant avec plaisir jusqu’à la garde pour sentir tressaillir ce corps féminin qui l’avait si longtemps nargué. Sous ce véritable déchaînement sexuel la belle combla rapidement son déficit de lubrification en mouillant abondamment, répandant son nectar féminin qui coula quelque peu le long de ses jambes galbées alors qu’elle accompagnait chaque assaut par un petit cri de plaisir.


Bientôt, le phare ne suffit plus à soutenir Justine qui ne savait plus à quoi se raccrocher pour ne pas tomber sous les violents assauts de l’instituteur si bien monté. Elle aurait voulu s’allonger sur le capot pour se faire prendre sans plus se soucier de chuter mais cela semblait vraiment trop chaud. Sous les coups de boutoirs ses mains glissaient : chaque fois qu’elle s’accrochait au pare-chocs, au phare ou au garde-boue un empalement brutal venait la déstabiliser.

François voyait bien qu’elle luttait pour rester penchée, pour malgré tout continuer à se faire défoncer dans cette position. Profitant de sa domination, il prit un malin plaisir à donner de grands coups de bassin pour la faire chanceler, ses cuisses venant bruyamment claquer contre les fesses de la demoiselle qui accompagnait ces tentatives sauvages par des gémissements toujours plus prononcés.


Dans un râle de plaisir, alors qu’un énième coup impérieux venait encore de la défoncer, l’orgasme ravagea Justine qui, prise de spasmes, lâcha pare-chocs et garde-boue pour s’effondrer à quatre pattes sur la route. Comme François était resté debout, sa bite fut abruptement extirpée du sexe féminin, luisante sous le soleil et raide comme un i.


Christine était également toute proche du nirvana, marmonnant à Alexandra :



François était certes essoufflé, mais il avait encore une érection superbe et cette garce n’allait certainement pas s’en tirer à s’y bon compte.


Se penchant vers Justine qui reprenait son souffle, il dit :



Haletante, elle lui sourit faiblement, et tout en se relevant lui dit :



Ce à quoi, il fit avec un franc sourire la même réponse qu’elle-même quelques heures plus tôt :



L’ayant amenée vers la portière arrière droite, il ouvrit cette dernière et annonça à la blonde qui le regardait d’un air inquiet :



Ce faisant, il poussa Justine sur les cuisses d’Alexandra, la faisant se pencher en avant pour reposer son buste sur ce support longiligne.


Pleine de bonne volonté, la grande brune s’exécuta en creusant les reins, sa joue se posant sur la peau pâle des cuisses de la blonde, et ses yeux verts demandant malicieusement :



Sans répondre, il lui baissa rapidement son string rouge jusqu’aux genoux, dévoilant son superbe postérieur et sa fente inondée.


Plongeant deux doigts dans son sexe trempé, il la masturba un moment, le temps de lui arracher quelques gémissements et de bien s’enduire les doigts de lubrifiant. Ressortant du vagin, il remonta un peu plus haut, imprégnant la rondelle rose de ce liquide intime.


Découvrant son projet, Alexandra ouvrit la bouche en un « Oh ! » de stupeur tandis que Justine fermait les yeux avec un peu d’appréhension.


À côté d’eux, les quatre doigts toujours profondément enfoncés en elle, Christine poussa un long cri aigu, atteignant enfin l’orgasme. Son vagin se contracta sur les doigts qui la baisaient, libérant un peu plus de cyprine qui vint dégouliner le long de l’avant-bras d’Alexandra.



Alors que la jolie blonde retirait doucement sa main du sexe de sa copine gémissante, il lui prit l’avant-bras pour la guider vers la rondelle de Justine. Comprenant son intention, Alexandra le fixa de ses yeux bleus avant d’approcher ses doigts gluants de sécrétions près de l’anus de Justine. Appuyant doucement, elle en lubrifia les contours, répandant la cyprine de Christine sur le petit trou rose de son amie. De son autre main elle lui caressait ses cheveux bruns, chantonnant doucement pour mieux la détendre.


Christine, qui était maintenant revenue sur terre, fouillait dans son sac d’où elle sortit un appareil photo numérique en disant :



Les douceurs de la blonde faisaient leur effet et Justine se détendait petit à petit, son petit orifice s’ouvrant sous les doigts luisants d’Alexandra, qui d’ailleurs s’employait à les nettoyer en les insérant l’un après l’autre dans le trou tant observé. Sous les clics des prises de photos, chacun allait plus profondément que son comparse, et lorsque le dernier, enfoncé jusqu’à la dernière phalange, en ressortit, la blonde murmura :



S’approchant, il tira vers lui les fesses un peu trop hautes de la grande brune, puis positionna sa bite rigide contre la rondelle rose. Il appuya légèrement, son gland s’enduisant des secrétions semées ça et là par ses doigts et ceux d’Alexandra. Une fois recouvert de lubrifiant, il s’enfonça légèrement plus fort, la rondelle déjà un peu dilatée s’ouvrant sous cette nouvelle contrainte, acceptant malgré la chair distendue de recevoir cette grosse chose en elle. Sur les cuisses d’Alexandra, toujours les yeux fermés, Justine se mordait la lèvre inférieure, savourant la sensation de se faire prendre par derrière.


Montant un peu sur ses genoux, François se laissa retomber en avant, sa bite s’enfonçant d’un coup de presque deux centimètres dans l’anus dilaté. Cette brusque intrusion arracha un petit cri de douleur à Justine, amenant Alexandra à le réprimander :



Justine bougea un peu, amenant une main entre ses jambes elle remonta vers sa vulve trempée pour se masturber. La jolie blonde approuva :



S’enfonçant millimètre par millimètre, François ressentait pleinement les chairs qu’il écartelait, chaque espace conquis lui procurant de délicieux frissons. Maintenant à moitié enfoncé, il entama de très légers mouvement dans l’anus, l’assouplissant pour pouvoir encore aller plus loin. Justine fit part de son agrément en gémissant :



Alexandra, lui caressant toujours les cheveux, se pencha vers le postérieur maltraité, lâchant beaucoup de salive sur le trou enfoncé. De sa main, elle la répandit autour de l’orifice distendu, en enduisant aussi la colonne de chair :



« Diablement étroit, » pensa François.


Chaque léger va-et-vient était tellement ressenti qu’il sentait l’explosion finale se rapprocher à grand pas.


À force d’efforts, François finit par se retrouver enfoncé à fond entre les fesses de Justine, la sodomisant jusqu’à la garde en lui arrachant des petits cris d’extase. Un peu plus bas, la main de la belle allait et venait frénétiquement contre sa vulve, flattant un clitoris dressé et enfonçant un ou deux doigts dans une chatte détrempée. Elle aussi se mettait à trembloter, signe que l’orgasme n’était pas loin.


Fixant d’un regard fixe l’entrée qu’il violait impunément, François se concentra sur la sodomie, sur sa bite fermement plantée dans le postérieur de Mademoiselle ex-mini-short bleu.


Sentant la jouissance arriver, il serra la mâchoire. Avant d’éjaculer en elle, il voulait quand même marquer son territoire sur cette petite allumeuse, lui faire comprendre qu’on ne peut pas impunément exciter les gens comme ça. Le souvenir des jambes se décroisant sur le petit string rouge, les seins qui se balançaient selon les virages et ses mensonges éhontés lui donnaient des envies de sauvagerie. Sentant la sève monter entre ses reins, il reprit plus de rythme en tamponnant puis pilonnant sous les râles féminins un orifice complètement offert, le martelant sans retenue de sa grosse colonne de chair en une vengeance aussi attendue qu’agréable.


Tournant sa tête, la bouche entrouverte pour laisser passer ses gémissement plaintifs, Justine le regarda brièvement de ses jolis yeux verts avant de se retourner à nouveau et de coller sa bouche sur les cuisses d’Alexandra, étouffant ainsi les plaintes qui sortaient de sa gorge.


Crispant ses mains sur les hanches, fermement planté au plus profond du cul conquis, il continua sans se laisser attendrir son pilonnage intensif. Sentant sa queue raidir et se gonfler encore plus, ce qui arracha un long cri à la demoiselle qui trouvait qu’elle s’en prenait déjà beaucoup, à moins que ce cri ne fut plutôt le symptôme qu’elle aussi jouissait, François poussa un puissant râle de contentement et se crispant sur sa croupe il éjacula enfin, quatre ou cinq jets de sperme venant remplir l’anus d’une Justine pantelante.

Exténué François se retira, son membre viril perdant rapidement son aplomb. Remontant le string de Justine sur son postérieur, sans faire attention qu’il l’imbibait du sperme qui coulait doucement le long de sa raie, il dit un peu gêné :



Les yeux verts vinrent accrocher son regard, pétillants de malice :



Un dernier clic conclut la scène, et Christine, ne portant toujours que son soutien-gorge coincé sous ses seins, lança joyeusement :