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n° 11306Fiche technique17071 caractères17071
Temps de lecture estimé : 11 mn
13/04/07
Résumé:  Un mari réussit à convaincre sa femme de passer à l'acte et de faire l'amour à trois.
Critères:  fh fhh couplus cocus hotel strip fellation pénétratio double sandwich fdanus fsodo
Auteur : Léopold      
La révélation

Ça y est ! Elle l’avait fait.


Comment décrire l’état dans lequel je me trouvais en sortant de cet hôtel où nous venions de concrétiser un fantasme ancien que ma femme n’avait jamais encore voulu assouvir : faire l’amour avec deux partenaires.


Sur le chemin du retour, nous étions silencieux ; trop d’images, de sensations imprégnaient encore nos corps et nos esprits. Lina était radieuse, un léger sourire éclairait son visage, et bien que fatiguée elle semblait sereine et ravie de l’aventure partagée.


Revenons au début. J’ai rencontré Paul il y a quelques années au cours d’un voyage d’affaires. Grand, athlétique, bronzé, il inspirait la sympathie au premier regard. Nous avons partagé quelques repas à l’hôtel où nous étions tous deux descendus pour notre travail. Rien n’est plus triste que les tables de cadres en déplacement, dînant seuls, dans les hôtels « business ». Alors après un verre partagé au bar, nous avions dîné ensemble et fait connaissance. Très vite nous sommes devenus de bons amis, et même sans se voir souvent, nous échangions un mail ou un appel téléphonique de temps en temps, pour garder le contact.


Il m’avertit qu’il passerait quelques jours dans notre ville, et qu’il serait heureux de me rencontrer. Je n’avais jamais parlé de Paul à Lina, mais d’un coup surgit en moi une idée saugrenue, qui bien vite m’excita au plus haut point. Et si j’arrivais enfin à la convaincre de faire l’amour devant moi, avec un autre homme ?


Nous avions parfois abordé le sujet, mais elle laissait cela au stade de fantasme, et me disait que j’étais un « coquin » qui voulait lui faire faire n’importe quoi. Cependant elle ne disait pas franchement non, et semblait toujours plus excitée quand nous faisions l’amour ensuite, et que je lui susurrai à l’oreille qu’une deuxième bite la ferait jouir encore davantage.


Je lui expliquai donc qu’un ami était de passage et que je serais content de le lui présenter. Ne voulant pas brusquer les choses, et pour voir sa réaction, je préférais une rencontre dans un restaurant en ville plutôt qu’une invitation à la maison.


Lina était particulièrement en beauté pour sortir. Elle avait mis son tailleur bleu et un caraco échancré laissant voir sous la veste ouverte un décolleté ni trop sage ni trop provocant, qui mettait encore plus en valeur la plastique irréprochable d’une femme dans la plénitude de son âge. Après vingt-cinq ans de mariage, je m’étonne encore de la beauté radieuse de Lina, grande et mince brune d’1,72 m et de 63 kg, avec des cheveux bouclés qui tombent sur ses épaules. Je la trouve toujours aussi désirable, et c’est pour cela que mettre un peu de piment dans nos jeux amoureux me fait fantasmer, et la désirer plus encore.


Nous retrouvâmes Paul dans un excellent restaurant de la ville. Les présentations faites, je vis que le courant passait bien entre Lina et lui. Il semblait sous le charme de cette jolie femme élégante et souriante ; elle de son côté ne semblait pas insensible à cet homme sympathique et charmant, dont elle venait de faire la connaissance.


J’avais appelé Paul dans l’après-midi pour le mettre au courant de mon projet et lui dire que ce serait bien de pouvoir faire basculer ma femme dans une rencontre à trois, avec lui. Il me posa bien sûr la question « pourquoi lui ? ». Je lui expliquai qu’un parfait inconnu, trouvé sur le Net par exemple, ne conviendrait pas à ma femme, que dans nos proches je n’imaginais pas faire de telles propositions, et que lui, ne connaissant pas Lina mais ayant une certaine amitié avec moi, rendrait peut-être la suite plus facile, si Lina franchissait le pas. Il ne parut pas choqué, et même appréciait que j’ai pensé à lui pour cette expérience. Du moins ce projet, car il fallait encore obtenir l’approbation de Lina, et là je ne présageais de rien.


Au cours du dîner, Paul s’absenta un moment, et je décidai de me jeter à l’eau en proposant à mon épouse de finir la soirée avec Paul pour une fantaisie sexuelle à trois. Elle rit en me disant que décidément j’avais de la suite dans les idées, et que je plaisantais toujours sur ce vieux fantasme.



Toujours sur le ton de la plaisanterie, mais en la regardant droit dans les yeux, je lui répondis :



Sur ces entrefaites Paul revint à table, et Lina lui lança un regard profond en disant :



La fin du repas changea imperceptiblement les attitudes et la conversation. Quelques confidences s’échangeaient. Sans être explicites, mais par allusions, nous parlions presque de notre sexualité. Lina expliqua à Paul que j’étais un mari attentif et amoureux, et elle se demandait comment, au bout de tant d’années, je pouvais encore fantasmer autant. Paul était divorcé, et malgré quelques aventures, il n’avait pas refait sa vie. Tout était dit sur le ton léger d’une conversation de fin de repas, mais on percevait une tension certaine, et les sous-entendus électrisaient l’atmosphère.


Tout aurait pu en rester là, mais je voulais tenter d’aller plus loin. Je dis à Lina que Paul était descendu à l’hôtel REA, tout nouvel établissement d’un grand confort et à la décoration originale. Ce serait une bonne occasion de visiter cet hôtel si Paul nous conviait à prendre un dernier verre.


Nous partîmes donc vers son hôtel, qui n’était pas très distant. Le hall ultra-moderne, dans des teintes de rose vif et de beige, était assez surprenant. Paul nous proposa de voir sa chambre, où le mobilier très design n’empêchait pas un bon confort. C’est ainsi que vers 22 h 30, nous étions dans la chambre à siroter une coupe de champagne et à faire l’éloge du modernisme du lieu et de la magnifique salle de bains, toute carrelée de gris et de noir du plus bel effet.


Paul nous indiqua que pas mal d’électronique et de gadgets fonctionnaient avec une télécommande. D’un geste, il abaissa en un instant la lumière ambiante et mit en marche une chaîne radio qui diffusait de la musique douce.



Joignant le geste à la parole et sans lui laisser le temps de répondre, il entraîna ma femme dans un slow langoureux. Elle gardait les yeux fermés et se laissait guider par ce bon danseur. Après quelques instants, je me rapprochai d’eux et c’est dans mes bras que Lina dansait maintenant. Paul alla s’asseoir dans le fauteuil, en attendant la suite. Je me faisais très tendre avec ma femme et l’embrassais à la limite du cou et de l’oreille tout en lui caressant le bras et le dos tendrement. Elle se serrait contre moi, et dans un souffle je lui dis qu’elle serait plus à l’aise en retirant sa veste. Elle me regarda droit dans les yeux et fit glisser lentement la veste de son tailleur, qu’elle lança presque sur un petit meuble bas.


Paul fit mine d’applaudir, en disant que c’était peut-être le début d’un strip-tease. C’est alors que la situation bascula. Lina, d’un air de défi, dit que si c’était ce que je voulais, elle en était capable. Elle continua de danser seule sur la musique douce, et tournait lentement et lascivement en nous regardant tous les deux. Le champagne, l’ambiance de la soirée, la musique avaient transformé ma ravissante et sage épouse, qui pour la première fois jouait le registre de la séduction en présence d’un autre homme.


La tension est montée d’un cran lorsqu’elle a baissé la fermeture de sa jupe, qui est allé rejoindre la veste, non sans avoir fait durer le plaisir en prenant des poses suggestives pour la retirer.


Lina avait maintenant pour tout vêtement son caraco presque transparent, un porte-jarretelles et des bas, et une ravissante culotte en dentelle qui soulignait les courbes de ses fesses rondes et fermes. Elle dansait toujours, et je la rejoins en me plaçant dans son dos et en accompagnant la danse de plus en plus lascive qu’elle nous offrait. Elle frissonna lorsque de nouveau je couvris de baisers son cou, ses cheveux et ses épaules.


Les yeux mi-clos, elle me laissa enlever sa légère blouse et le soutien-gorge qui cachait une magnifique poitrine, petite mais encoreferme. Le buste nu, le porte-jarretelles et la musique suave la rendaient encore plus désirable, et je bandais ferme en attendant la suite. J’imaginai que Paul était dans le même état.


Très doucement je l’entraînai vers le lit et l’allongeai sur le dos, en continuant de lui prodiguer caresses et baisers. Elle ne disait toujours rien, mais se laissait faire, et gémit doucement quand ma main caressa son pubis à peine protégé par la fine couche de dentelle. J’insinuai un doigt sous la culotte et trouvai sa fente trempée et brûlante.


Elle émit une légère plainte de contentement et me laissa continuer l’exploration de ses parties les plus intimes. Elle souleva doucement les fesses et je lui retirai ce triangle de tissu qui cachait son ultime rempart de pudeur. Elle était offerte sur ce lit d’hôtel, n’ayant plus que ses bas qui gainaient ses longues jambes et ajoutaient encore au côté torride de la situation.


Je lui pris doucement un sein tout en continuant de lui caresser le clitoris. Très vite la pointe de ses seins s’érigea, et j’en faisais rouler le bout sous mes doigts. Lina aimait cette caresse, qui la mettait en état de grande excitation.


Paul quitta le fauteuil et vint nous rejoindre sur le lit. Il s’allongea contre elle et lui embrassa la pointe d’un sein, déjà durcie et très sensible. C’était maintenant quatre mains qui affolaient son corps et cherchaient à lui donner tout le plaisir possible. Ma bouche vint se poser à la source de son désir, et j’effleurai à peine son clitoris qui commençait à gonfler sous les petits coups de langue mutine.


Chaque partie de son corps était l’objet de multiples baisers et caresses, et Lina se laissait aller doucement vers un plaisir jusque là inconnu.


Avec douceur et lenteur, et sans arrêter nos attouchements, Paul et moi avions fini de nous déshabiller. Et nos sexes pointaient fièrement, tant la situation nous excitait.


Lina, d’un coup, partit dans un premier orgasme, et libéra toute la tension de ce début de soirée électrique. Les cheveux défaits, le rose aux joues, les yeux brillants, le corps encore énervé du plaisir qui venait de la surprendre, elle prit mon sexe dans sa main et commença à me caresser avec ferveur.


Je l’embrassai à pleine bouche et elle me rendit mon baiser avec fougue. Elle lâcha mon sexe et tendit la main pour le remplacer par celui de Paul. Elle caressait donc un autre homme que moi et découvrait de nouveaux plaisirs. Nous n’avions pas encore joui, et ne l’avions pas encore pénétrée.


Paul s’allongea et Lina le chevaucha. Son sexe, pas plus long mais beaucoup plus épais que le mien, n’eut pas de mal à la pénétrer tant elle était mouillée par nos préliminaires. Ce sexe de forte largeur la remplissait totalement et ses grandes lèvres étaient écartées au maximum. Derrière eux, j’avais une vue imprenable sur la pénétration. Elle se redressait pour sentir au plus profond ce membre tendu en elle.


J’entrepris alors de lui caresser le dos et les fesses. Ma main s’insinuait dans le sillon et tout en frôlant ce membre impérieux qui la transperçait, je lui massai sa corolle froncée et insinuai un doigt dans son anus. Elle accompagna le mouvement en soulevant ses fesses et en avançant son ventre. Lina aime la sodomie et nous la pratiquons assez souvent. Nous avons quelques beaux spécimens de godes, et j’aime la pénétrer par tous les trous avec ces accessoires du plaisir. Mais ce soir, c’est avec une vraie bite qu’elle jouait, et elle semblait vraiment apprécier la chaleur de ce membre vivant et chaud qui la pénétrait.


Toujours remplie par-devant, son anus se détendait et je pouvais maintenant faire des va-et-vient avec deux doigts. Paul se retira d’elle sans avoir joui, et présenta son sexe à sa bouche. Je le remplaçai dans le vagin de Lina pendant qu’elle le suçait avec application en caressant ses boules toutes dures et gonflées. Elle appréciait que je la pénètre, et bougeait en rythme son bassin pour me sentir au plus loin. Avec ma main, je lui écartai à nouveau les fesses et plaçai mon membre contre son anneau plissé. Elle ne se déroba pas mais me dit « Va doucement ». Sans la brusquer, je fis entrer le gland de quelques centimètres et elle s’ouvrit d’un coup. C’est elle qui d’un coup de rein s’empala complètement sur mon sexe, toujours en suçant avec avidité le membre de Paul.


Deux bites en elle, pour elle. Elle était dans un état second et son corps ondulait comme si des vagues de plaisir l’assaillaient.


Je n’en pouvais plus, mais voulais attendre encore pour jouir. Je sortis de son cul, et sans rien dire, avec un glissement des corps, Paul se retrouva derrière elle et la pénétra lentement mais profondément.


Ce gros sexe qui la remplissait si bien était à nouveau dans son vagin. Il allait et venait d’un mouvement ample et régulier, et elle semblait perdue dans l’abandon et l’attente d’un nouvel orgasme. Une idée folle me traversa l’esprit. Je m’approchai et retirai la bite de Paul du puits d’amour de Lina. Je la fis mettre à genoux, et écartai ses fesses, puis je guidai le sexe tendu de Paul vers le dernier refuge de ma femme. Je venais de l’enculer et le chemin était préparé, mais la largeur de l’engin était quand même d’un calibre bien supérieur.


Le gland était posé sur le bord de l’anus et paraissait démesuré pour ce petit trou. Malgré la préparation et les sécrétions abondantes de son vagin, qui coulait comme une fontaine, l’intromission d’un tel engin demandait de la patience.


Elle aida en poussant légèrement pour faire entrer le gland et aspira un peu de ce pieu de chair. Pendant quelques instants il ne bougea pas. Je pouvais voir ce gros mandrin enfoncé de quelques centimètres seulement et me demandais si le diamètre impressionnant pourrait entrer entier dans son cul. Lina aimait tellement se faire enculer que, contre toute attente, lentement mais sûrement, je vis le membre disparaître aux trois-quarts dans le cul adoré de ma femme. Elle poussa un léger cri de crainte et de plaisir mêlé, et répondit aux mouvements de Paul, qui avançait et reculait en elle, les deux mains posées sur ses fesses qu’il pétrissait et malaxait. Il ressortait presque d’elle, et s’enfonçait à nouveau. Toujours à genoux, Lina appréciait cette pénétration et à un moment, c’est elle qui poussa son cul vers son ventre pour absorber complément cette épée de chair dans son anus distendu. C’était fou, elle était totalement remplie par ce membre imposant et se donnait sans retenue.


En la maintenant et sans sortir de son anus, Paul bascula sous elle. Je les voyais maintenant, elle allongée sur le dos, lui dessous, et le mouvement de ce très gros calibre dans son anus distendu était un spectacle incroyable. Son sexe était légèrement ouvert par la pression de ce gros membre dans son cul, et c’est elle qui imprimait un léger mouvement d’avant en arrière pour ressentir au maximum la plénitude de cette pénétration.


Je les rejoignis alors, et Lina connut sa première double pénétration. Je sentais le gros sexe tendu de Paul au travers de la fine paroi qui nous séparait. Lina était en sueur, les yeux perdus ; elle ne bougeait presque plus, laissant ses deux hommes trouver la bonne cadence pour rester ensemble en elle et l’emmener encore plus loin et plus fort.


Un nouvel orgasme la terrassa et elle se cambra sous la vague de plaisir qui la submergeait. N’en pouvant plus, Paul et moi, presque simultanément, avons libéré un flot de semence trop longtemps contenu depuis le début de nos ébats.


Nous étions tous les trois anéantis par tout ce plaisir. Il nous fallut un certain temps pour émerger. Il était tard, nous avons laissé Paul. Sur le chemin du retour, nous savions que cette première expérience en appellerait d’autres. Mais ce sera là l’occasion d’autres récits.