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Temps de lecture estimé : 10 mn
17/04/07
Résumé:  L'été dernier, lors de vacances à la campagne, nous avons fait une agréable rencontre.
Critères:  2couples fbi hbi couplus vacances campagne voir noculotte fellation cunnilingu 69 préservati pénétratio
Auteur : Hervé Valentino
Une soirée à la ferme

L’été dernier, fuyant les plages surpeuplées, nous avons loué un gîte dans un trou perdu. Les enfants sont maintenant grands et, dès la deuxième semaine, ils ont préféré partir chacun de leur côté, avec leurs copains respectifs. Nous nous sommes donc retrouvés seuls en pleine cambrousse, Marie-Odile et moi. L’endroit était calme, très calme, trop calme, il n’y avait pas grand’chose à faire, à part se reposer.


Nous en profitions pour passer des après-midi coquins, nous faisions l’amour en pleine nature lors de nos balades champêtres. Mon épouse adore ça, elle aime que je l’attache, entièrement nue dans les bois, et que je lui fasse subir des extravagances, elle aime ces contacts un peu rudes et ces rapports un peu bestiaux, quand par exemple je lui zèbre les fesses ou que je la soumets entièrement à mes désirs les plus salaces.


À bientôt cinquante ans, Marie-O est un sacré beau brin de femme, ronde à souhait, les mauvaises langues diraient grosse. Malgré de multiples régimes, elle a bien du mal à descendre sous la barre fatidique des cent kilos. Certes, ce n’est plus tout à fait la jolie rousse au buste avantageux et potelé que j’avais épousée à l’époque, elle a un derrière énorme et un ventre bombé. Il faut dire que quatre grossesses l’ont quelque peu déformée et que son solide coup de fourchette n’est pas là pour l’arranger. Mais, même si elle se laisse un peu aller, elle n’en est pas moins hyper-bandante et, quoiqu’elle en dise, je l’aime comme elle est, avec ses vergetures, ses seins tombants et ses bourrelets.


Mon épouse est très chaude et très sexe. Quand il m’arrive de la délaisser, c’est elle qui vient me solliciter. Elle adore vraiment baiser, elle a toujours aimé ça, mais je crois qu’avec l’âge, ses envies se font encore plus pressantes. Il suffit qu’un soir je sois crevé pour que la nuit suivante je la retrouve entre mes cuisses en train de me sucer, avant de venir me chevaucher. Nous sommes un couple très libéré, nous avons déjà tout essayé, y compris les parties carrées avec d’autres couples. Ces soirées entre amis sont souvent l’occasion pour nous d’explorer les rivages d’une bisexualité que nous nous sommes avouée. J’aime rendre hommage à la queue d’un homme qui honore ma femme tout comme je sais qu’elle ne déteste pas les longues séances intimes de broute-minou. J’aime son regard lubrique quand nous revenons de ces soirées torrides. De retour à la maison, nous refaisons souvent l’amour dans l’urgence, en évoquant ce qui nous a plu, ce qui nous a excités. Et, en règle générale, c’est à nouveau l’occasion pour nous de jouir comme des bêtes.


Près de notre gîte, il n’y a qu’une petite fermette. Ce n’est même pas un hameau, juste quelques maisons éparses. Nous avons pris l’habitude tous les matins d’aller chercher le lait à la ferme. C’est un couple de jeunes qui tient l’endroit, lui solide gaillard, basané et musclé, elle petite femme légèrement enrobée, elle fait, un peu plus que lui, campagnarde et rustique. Il n’est pas rare le matin de la trouver ébouriffée, voire complètement hirsute ; elle est un peu brute de décoffrage et ne doit pas consacrer beaucoup de temps à sa toilette. Ils ont deux beaux enfants en bas âge. Même s’ils ne montrent pas leurs sentiments en public, à leurs regards, on sent qu’ils sont très complices.



L’invitation est très gentille. Josette a les cheveux gras et crasseux mais un joli sourire qui la rend vraiment craquante. Je comprends que son David de mari ait tout laissé tomber pour elle. Même si ce n’est pas la plus belle des femmes, son sourire est désarmant et fait vite oublier ses allures un peu abruptes. La ferme était à ses parents, lui auparavant était courtier en assurances. Un jour, il est passé par là et a tout plaqué pour ce petit bout de femme. Comme je le comprends ! Il a appris le métier de la terre et, sans rouler sur l’or, ils ne se débrouillent pas trop mal. Le gîte leur appartient et leur assure un complément de revenus. « Ça met du beurre dans les épinards », comme dit la terre à terre Juliette.


Nous voici donc un soir à la table de nos hôtes. L’ambiance est à la bonne franquette, le menu est copieux et David a sorti quelques bonnes bouteilles qu’un de ses voisins lui a confiées. Une fois les enfants couchés, l’atmosphère devient nettement plus décontractée. Nous passons au salon pour le dessert. Une fois le café servi, Josette s’allonge langoureusement sur la banquette et pose sa tête sur la cuisse de son mari.



Il pose une main sur sa poitrine et lui caresse doucement un sein. Le petit sous-bois… celui-là même où nous avons été plusieurs fois pour faire l’amour. Marie-O, je l’y ai exhibée et fessée, c’est là également que je l’ai attachée à un arbre avant de l’enculer… Elle a dû en voir des vertes et des pas mûres, la Juliette. Maintenant son sein est complètement sorti de sa liquette, la coquine ne porte apparemment pas de soutien-gorge et est disponible aux attouchements de son mari qui fait rouler entre ses doigts le globe plutôt molasse.


Nous n’aurions jamais pensé que la soirée puisse se terminer ainsi. En venant ici, nous pensions beaucoup plus à un moment sympa, agréable mais très conventionnel. Mais quand Josette allonge à son tour son bras et que nous la voyons poser sa main sur la bosse de son mari, plus aucun doute sur leurs intentions. Forcément, cela nous donne à nous aussi des idées. Je remonte lentement le long du dos nu de ma femme, je sais que cela lui donne ainsi des frissons ; je vois qu’elle est un peu troublée. Elle se retourne vers moi et nous nous embrassons. J’en profite pour dégrafer son soutien-gorge :



Marie se laisse dépoitrailler. David n’en perd pas une miette, sa femme a sorti la queue de son homme et commence à la branler. De mon côté, je pétris les nichons de mon épouse qui gémit sous la caresse. Je la vois saliver, ce sexe d’homme lui fait envie. De mon côté, je m’occuperais bien de Josette. Cette dernière invite ma moitié à venir les rejoindre sur la banquette, l’invite est on ne peut plus claire, elle lui offre son homme. Marie-O ne se fait pas prier, elle s’approche, seins à l’air, de l’objet de ses désirs et s’agenouille sans plus attendre entre les cuisses du rude gaillard tandis que moi, profitant de la situation, je rejoins la belle Josette et remonte lentement sous les jupes de la fermière qui regarde mon épouse emboucher l’épaisse colonne de chair.

La fermière est poilue mais pas farouche, j’ai la surprise de la trouver aussi sans culotte. Décidément, elle est nature, sans sous-vêtement et aussi un peu coquine car sa chatte est mouillée et juteuse à souhait. Je glisse mes doigts en elle, elle gémit sous la caresse et entrouvre légèrement les cuisses pour mieux m’inviter à la pénétrer. Mais elle ne perd pas une miette du spectacle de ma femme qui pompe la belle queue de son homme. Elle en salive d’envie, elle en mouille de tous les côtés, je sens son jus s’écouler le long de ses cuisses. N’en pouvant plus, je la trousse d’un seul coup pour admirer cette belle chatte luisante et offerte que je couvre de baisers.


Les deux femmes sont comme des furies, elles sucent chacune leur tour la belle bite du fermier, David est tendu comme un arc, ensuite elles se roulent des pelles avant de lécher ensemble l’objet de leur désir. Elles me donnent envie ces coquines, j’ai moi aussi très envie de sucer cette belle trique. Mais comment David le prendrait-il ? L’homosexualité masculine n’est pas toujours bien acceptée, il faut y aller avec des pincettes. En attendant je me défoule sur le sexe de sa compagne qui est juteux à souhait. Son odeur est épicée et excitante, il y a des femmes comme ça qui donnent envie d’être bouffées.


Marie-O interroge sa comparse, je sais qu’elle est très excitée et qu’elle a bien envie de venir s’empaler sur cette bite bien dure. Je la connais bien mon épouse. Elle se relève et dégrafe sa jupe. Elle a tôt fait de retirer cette mini-culotte qui ne cache pas grand’chose de son imposant derrière. Ma femme s’exhibe sans complexe aux yeux de ses amants, ses rondeurs ne lui posent aucun problème. Elle est ainsi faite, avec elle, c’est à prendre ou à laisser. Mais je vois que David n’a nulle envie de la laisser, mais plutôt de la prendre. Il la guide pour qu’elle s’empale sur lui. Juliette, de son côté, s’est mise à quatre pattes sur la banquette et me tend son cul dodu pour que je la prenne à mon tour. Le temps pour moi de mettre un préservatif et je me retrouve entre les cuisses de notre hôtesse qui accueille cette saillie profonde par des feulements bestiaux. Visiblement, elle apprécie. Nous faisons l’amour tous les quatre de concert. Les bruits de l’autre couple à nos côtés ne font qu’exciter un peu plus nos envies perverses.


Nous baisons ainsi un long moment, mais nos compagnes n’ont apparemment pas envie que nous nous en tirions à si bon compte. Elles se relèvent presque en même temps, se dégagent de notre emprise et s’en vont toutes les deux sur l’autre divan, de l’autre côté de la table, et elles commencent à se bécoter. Nous nous retrouvons tous les deux comme deux grands cons à les regarder.



Son mari la regarde effaré, mais sa femme est sérieuse, elle lui lance un petit clin d’œil. J’en profite alors pour me rapprocher doucement de lui, je saisis son sexe encore luisant des secrétions de mon épouse, il se laisse faire. J’ai très envie de le sucer, mais je commence par le branler lentement pour le mettre en confiance. De l’autre côté, le spectacle des deux femmes qui se gouinent est vraiment très excitant. David n’en perd pas une miette, il en oublie presque que c’est ma bouche qui maintenant le lèche, que c’est un homme qui caresse son beau fessier musclé. Humm, j’avale lentement sa bite, j’aime cette odeur de mâle.


Marie-O m’avouera par la suite que c’était un coup monté, les deux femmes avaient échangé à ce sujet avant cette soirée. Juliette était donc au courant de ma bisexualité et pensait à juste titre que son homme n’était pas tout à fait clair sur le sujet. Et elle avait envie de lui faire connaître une nouvelle expérience.


C’est maintenant chose faite, il me regarde lentement le pomper. J’aurais très envie aussi qu’il m’encule, mais je sais que ce n’est pas pour ce soir, il n’est pas encore prêt, peut-être alors une autre fois.



La jeune femme est très perverse, elle a très envie que son mari ait des contacts homos. Apparemment ça l’excite. Tant et si bien qu’elle délaisse mon épouse et vient nous retrouver sur le canapé. Elle me fait asseoir près de son mari et entreprend de me sucer.



Sans doute un peu à contre-cœur, surtout pour faire plaisir à son épouse, le voici qui rejoint celle-ci entre mes cuisses et qui commence, lui aussi, à me sucer, d’abord du bout des lèvres, mais il avale bientôt mon gland puis se risque à me prendre tout en bouche. Sa femme l’encourage, elle le stimule, elle lui dit que ça la fait mouiller de le voir sucer une queue. Il redouble alors d’ardeur, elle le caresse pendant qu’il me suce. Marie-O n’est pas en reste, elle vient elle aussi à nos côtés et cajole tendrement mes deux amants en se frottant la chatte.


C’est tellement bon de se faire ainsi sucer. Ils se relaient maintenant chacun leur tour ; je suis très excité de voir ce grand gaillard très musclé prendre ma queue en bouche, je n’en peux plus, je vais juter. J’expulse par saccades, je remplis le préservatif sous les yeux admiratifs de mon amant.


Mais c’est à notre tour de lui faire du bien, nous le faisons asseoir et nous nous mettons tous les trois entre ses cuisses pour le pomper chacun notre tour. À ce rythme, il n’en peut déjà plus, il est au paroxysme. J’ai envie que ce soit moi qui le fasse juter. Les deux femmes le comprennent et me laissent bien volontiers la place. Elles retournent sur leur divan et se mettent en 69 tandis que j’astique avec vigueur le manche de ce beau mâle qui ne tarde pas à s’épancher. Je retire alors sa capote, frotte sa queue sur mon visage, il en est tout excité.


Ensuite, c’est le repos des guerriers, nous regardons nos deux beautés se lécher. Question homosexualité, elles en connaissent un rayon, surtout la mienne qui n’est jamais en reste pour lécher une minette. Je l’ai vue à l’œuvre durant toutes ces soirées, je sais qu’elle adore ça, encore plus que les étreintes viriles, j’en suis même un peu jaloux. Mais Juliette lui donne bien le change et prend beaucoup de plaisir à la brouter. Elles finissent par se faire jouir, retombent pantelantes sur le canapé.


Ce qu’elle peut être bandante cette Juliette, avec son sourire irrésistible… Elle va nous faire un bon café que nous arrosons d’une petite poire. Les discussions vont bon train et sont très décontractées. Il faut dire que nous nous connaissons désormais beaucoup mieux.


Mais David est fatigué, il doit se lever de bon matin pour traire les vaches. Juliette aussi est épuisée. Il faut dire qu’ils ne sont pas en vacances, eux ! Nous laissons nos hôtes se reposer. Nous prenons rendez-vous pour le lendemain soir, cette fois-ci c’est nous qui invitons ! Je crois que nous n’allons pas nous ennuyer avec nos nouveaux amis !