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n° 11333Fiche technique21569 caractères21569
Temps de lecture estimé : 13 mn
26/04/07
Résumé:  J'ai osé lui dire que j'aimerais bien voir un homme lui caresser la poitrine, que cela m'exciterait... Qu'est-ce que je n'avais pas dit là !
Critères:  fhh extracon cocus inconnu vacances parking caférestau vengeance revede fellation nopéné humour
Auteur : Sophie et David      
Rêve ou réalité

Ce jeudi matin-là, jamais je n’aurais imaginé ce que la journée allait me réserver. En vacances dans le Sud pour la semaine de Pâques avec mon épouse Sophie et mes deux enfants, j’avais décidé de mettre à profit cette semaine pour tenter de ranimer un peu notre couple. Depuis plusieurs mois en effet, nous n’avions plus de rapports. Le sexe ne semblait plus du tout l’intéresser ; elle consentait lorsque je le lui demandais à bien vouloir me caresser, et c’est tout. Inutile de lui en demander plus, elle refusait tout net. Du coup, je n’osais plus trop aborder le sujet, de peur qu’elle ne se braque complètement.


Pour compenser la frustration, je me mis à naviguer de plus en plus souvent sur Internet, où je me faisais passer pour elle lors de conversations sur MSN. Dans ces conversations, je donnais d’elle l’image d’une femme plutôt libre et attirée par le sexe. Je me permettais même de montrer quelques photos intimes d’elle que j’avais pu réaliser quelques années auparavant.


Ces derniers mois, à force de l’imaginer coquine et prête à tout, je me suis mis à régulièrement lui demander si elle avait un amant. Bien évidement, elle m’envoyait sur les roses en me répondant qu’elle n’avait vraiment pas besoin de se compliquer la vie avec un amant. Pourtant j’ai insisté, et un jour, la semaine dernière, lors d’un repas de midi dans un petit restaurant durant cette fameuse semaine de vacances, j’ai même osé lui dire que j’aimerais bien voir un homme lui caresser la poitrine, que cela m’exciterait…


Qu’est-ce que je n’avais pas dit là ! Elle a éclaté de rire en se moquant de moi et en me répondant que j’étais vraiment détraqué. Son rire m’a vexé, surtout qu’il y avait un peu de monde autour et que je me suis senti le point de mire du restaurant. Du coup je lui ai répliqué que de toute façon personne n’aurait envie de lui toucher la poitrine tellement elle était coincée. Tout de suite, j’ai vu à son regard que j’avais été trop loin : sans rien dire, elle s’est levée et a rejoint la table à côté de la nôtre, où déjeunaient deux jeunes gens d’environ une vingtaine d’années. De but en blanc, elle leur a demandé s’ils voulaient bien lui caresser les seins. Les deux garçons se sont regardés interloqués, puis ont éclaté de rire en répondant « Non, merci » poliment, avec l’air de dire que, vraiment, ils n’étaient pas du tout intéressés par une femme de cet âge. Cette fois, c’est Sophie qui a été vexée et est revenue s’asseoir en face de moi l’air plutôt furax. J’ai tenté de m’excuser mais elle m’a fusillé d’un regard noir, et je me suis replongé dans mon assiette en me maudissant de l’avoir provoquée.


À ce moment un homme, la bonne cinquantaine, le look VRP bedonnant, s’est présenté à notre table :



Celui-là ne manquait vraiment pas d’air ! Sophie a levé les yeux vers lui et m’a regardé en pouffant de rire, ce qui m’a de suite détendu.


Je m’adressai alors au VRP :



Sophie intervint alors :



En disant cela, elle bombait le torse.



Elle le fit asseoir sur la banquette à côté d’elle, lui prit la main et la posa sur son chemisier au niveau de son sein droit. Je la regardai faire sans rien dire mais je commençai à m’inquiéter.



Elle ne lâchait pas la main de Jean-Pierre, toujours posée sur son sein.



Je hochai la tête en signe d’assentiment.


Sophie lâcha la main de Jean-Pierre mais se colla un peu plus contre lui tout en me fixant. Jean-Pierre commença à lui malaxer le sein de plus en plus fort, puis passa à l’autre. Sophie ne disait rien mais souriait et semblait me narguer.


Tout ceci me parut très long, mais ne dura en fait qu’une ou deux minutes.



J’ai senti à ce moment que je n’avais plus beaucoup de prise sur les évènements.



En disant cela, elle défit deux boutons de son chemisier et écarta un peu son décolleté pour que Jean-Pierre puisse regarder…



Voilà, je sens que tout m’échappe ! Elle me prend pour qui ?



J’ai pas envie qu’elle parte avec ce mec alors qu’avec moi elle veut plus rien faire ! Ma parole, la jalousie me prend ! Pourtant dans mon pantalon je sens mon érection qui continue à grandir. Ça me rassure… et j’imagine que l’autre doit être dans la même situation, le salaud…



Mon amour… Elle ne m’appelle jamais comme cela.


Le paiement ne nous prit guère de temps. À côté de moi, j’entendais Sophie glousser comme une gamine alors que Jean-Pierre lui chuchotait des choses à l’oreille.



À peine le seuil franchi, Jean-Pierre prit la main de Sophie et l’entraîna sur un des côtés du parking. Moi, comme un idiot, je suivais…



Sur le côté du restaurant, il y avait quelques camions stationnés et des conteneurs pour les déchets recyclables.



Sophie se mit le dos contre le mur du restaurant et Jean-Pierre, s’empressant de venir devant elle, commença de suite à défaire les derniers boutons. Très vite, il écarta le chemisier pour apercevoir le soutien-gorge en dentelle blanche de Sophie. Celle-ci ne disait plus rien. Jean-Pierre fit glisser le chemisier de ses épaules pour le lui retirer. La scène était complètement ahurissante : Sophie, là, sur un parking, en soutien-gorge, devant cet inconnu qui a priori ne ferait fantasmer aucune femme, elle qui fait toujours attention à ce que je ne la vois pas en petite tenue !


Jean-Pierre avait à présent les mains sur le ventre de Sophie, et il remontait sur ses seins. À travers la dentelle des bonnets je voyais ses tétons qui pointaient déjà bien fort… Sophie commença à soupirer lorsque Jean-Pierre écarta un des bonnets, mettant à jour un téton. Celui-ci me sembla bien plus gros que d’habitude ; visiblement Sophie était très excitée… D’un geste, Jean-Pierre fit glisser les deux bonnets vers le haut et la poitrine nue nous apparut en entier…



Il se pencha pour embrasser ses seins et lui sucer les tétons. Sophie avait toujours les yeux fermés, mais sa respiration était de plus en plus rapide et entrecoupée de petits soupirs.



Elle replaça les bonnets de son soutien-gorge sur ses seins, reprit son chemisier et l’enfila sans même prendre la peine de le boutonner, puis se dirigea vers la voiture. Jean-Pierre se mit contre elle, lui mit la main à la taille et l’embrassa dans le cou à nouveau, mais Sophie tourna la tête vers lui et lui tendit ses lèvres. Ils s’embrassèrent à pleine bouche et cela me serra le cœur. Pourtant, au même moment, j’ai eu l’impression que j’allais éjaculer sans même me toucher… Je fis un effort pour me contenir.



Nous prîmes donc notre voiture, et Jean-Pierre nous suivit dans la sienne. Aussitôt, elle m’attaqua :



Le camping n’étant pas très loin, le trajet s’est vite terminé. Nous avons stationné à l’entrée, et avons rejoint le mobile-home en compagnie de Jean-Pierre.


Sophie avait reboutonné son chemisier et demandé à Jean-Pierre de se montrer discret, ce qu’il a bien compris. Les enfants étaient au club du camping et nous nous arrêtâmes pour leur dire que nous les récupérerions assez rapidement. Mais ils furent déçus, ils préféraient rester l’après-midi entière avec leurs copains. Du coup cela nous libérait de toute contrainte pour les deux ou trois heures qui suivaient. Quelques minutes plus tard, nous arrivions à notre mobile-home. Sophie invita Jean-Pierre à entrer et lui demanda de s’installer sur la banquette à côté d’elle.



Sophie me regarda comme pour chercher un conseil mais je fuis son regard.



Elle se releva et retira son chemisier, passa les mains dans son dos pour défaire les attaches de son soutien-gorge quand Jean-Pierre demanda :



Du coup, elle garda son soutien-gorge puis défit les boutons du jean…



Sophie fit glisser son pantalon sur ses cuisses puis le retira complètement. Elle avait un petit string en dentelle blanche assorti au soutien-gorge.



Sophie s’approcha de Jean-Pierre puis s’assit sur ses genoux. Aussitôt, celui-ci commença à poser ses mains sur ses cuisses.



Ses grosses mains la tripotèrent de partout, de haut en bas, sur les cuisses, le ventre, les seins… Bien vite il défit le soutien-gorge, et je vis qu’à nouveau Sophie avait les tétons complètement tendus, presque rouges. Pourtant elle gardait les cuisses serrées et lorsque Jean-Pierre tenta de glisser une main entre, elle lui fit comprendre qu’elle ne voulait pas. Il n’insista pas.



Ils se levèrent tous les deux et Jean-Pierre commença à se déshabiller.



Rapidement il ne fut qu’en slip mais on devinait une grosse érection.



Sophie s’approcha et posa sa main sur la bosse du slip…



Puis rapidement elle écarta le slip et le baissa à mi-cuisses. Le sexe de Jean-Pierre se redressa d’un coup.



Entendre ce genre de chose, c’est toujours agréable… Mais voir que Sophie approchait sa bouche alors qu’elle ne me suce jamais, là, ça faisait encore plus mal. Pourtant elle commença à embrasser le gland de Jean-Pierre et à y passer la langue.



Elle lécha avec de plus en plus d’appétit cette grosse verge. Sa langue se fit plus longue et bientôt elle prit le bout de la queue de Jean-Pierre dans sa bouche, puis délicatement commença à le sucer.



Elle retira la queue de sa bouche. Des fils de bave autour des lèvres, elle sourit à Jean-Pierre :



Elle était belle, à genoux, quasi-nue devant cet homme, occupée à lui donner le maximum de plaisir avec sa bouche. Mon sexe était au bord de l’explosion alors que je ne m’étais même pas touché ; la force de la scène qui se déroulait devant moi suffisait à me mettre au bord du plaisir. J’avais envie de jouir là, de suite, pour participer au spectacle et en devenir acteur. Je retirai rapidement mon tee-shirt, mon jean et mon boxer puis m’avançai vers Sophie. Elle tourna les yeux vers moi et prononça quelques mots que, vu sa bouche pleine, je ne compris pas.



Elle délaissa le sexe de Jean-Pierre et prit le mien dans sa bouche toute pleine de chaleur et de salive. Et là, je compris pourquoi Jean-Pierre était aux anges. Je compris tout ce que je manquais puisque Sophie ne faisait jamais de fellation. C’était divin, cette chaleur et cette humidité autour de ma verge. Hélas, vu mon excitation, je sentis vite que je n’allais pas tenir, et je prévins Sophie que ça allait venir. Elle sortit mon sexe de sa bouche et reprit celui de Jean-Pierre, mais garda la main autour du mien et le branla deux ou trois fois, puis elle revint pour me reprendre en bouche au moment où je jouissais en soupirant très fort… Ma queue se contracta plusieurs fois à m’en faire mal. Un premier spasme me fit éjaculer dans la bouche de Sophie ; elle relâcha alors ma queue et les autres jets l’atteignirent sur le visage puis sur le cou et la poitrine.



La jouissance me coupa les jambes et je dus m’asseoir pour ne pas tomber. Dans un état second j’entendis Jean-Pierre :



Je me sentais complètement hébété, l’excitation retombait et la jalousie commença à me gagner à nouveau. Non, il n’allait quand même pas la prendre là, ici, devant moi ! Elle allait refuser, sauver notre honneur ! Quoique pour le mien, j’avais été plutôt pitoyable…


Sophie lui demanda :



Elle se releva et se plaqua contre Jean-Pierre. Il l’enlaça et plaça ses mains sur ses fesses et fit glisser ses doigts sur les côtés de son string, qu’il commença à descendre. Sophie l’aida et doucement fit glisser son string sur ses cuisses jusqu’à ses chevilles, puis le retira. Elle était maintenant complètement nue… et consentante. Jean-Pierre s’assit et regarda Sophie nue devant lui.



Sophie est restée plutôt nature de ce côté-là.


Sophie prit Jean-Pierre par la main et l’entraîna vers la chambre du fond. Elle croisa mon regard vide et me demanda :



Si je venais ? Oui, je pouvais la laisser seule, mais non, je voulais voir, je voulais entendre, et surtout pouvoir m’en souvenir plus tard. Après tout, c’était mon fantasme que je vivais là, même si mon rôle n’était pas trop conforme à ce que j’avais imaginé. Mais les derniers instants avaient été si forts que mon esprit ne garderait qu’un souvenir plus flou du final. Et après tout, l’important, c’était la progression, la montée des désirs et des émotions. Je n’avais pas pu résister, je n’avais pas pu suivre Sophie jusqu’au bout mais je ne pouvais pas lui en vouloir. Mais pourrais-je revivre ces moments ? En aurais-je envie ?




. . . . . . . . .





Où suis-je, là ?… Ah oui, les vacances… le mobile-home… Houlà ! Les siestes, ça ne me réussit pas !


Quoique…