n° 11349 | Fiche technique | 26540 caractères | 26540Temps de lecture estimé : 16 mn | 30/04/07 |
Résumé: Amorgos, deux filles, une rencontre... | ||||
Critères: ff ffh jeunes vacances plage volupté nudisme fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio | ||||
Auteur : Lam'wett |
Un coup de tête et me voilà sur la mer Égée. J’embarque sur le petit ferry qui part vers la minuscule île d’Amorgos, tout au bout des Cyclades.
Amorgos… Cela fait combien de temps que je n’y ai plus été ? Trois ans, quatre ans ? Le guide raconte que c’est là que furent tournées certaines scènes du « Grand Bleu ». J’en garde surtout le souvenir de balades dans ses vallées et ses montagnes, suspendues entre terre et mer. Sans rencontrer personne.
Ça, j’en ai besoin, aujourd’hui, de ne rencontrer personne. Je m’installe tout à l’avant du bateau. Je sors un livre de mon sac. Je respire… J’observe tout autour de moi. Je distingue le fond marin, du sable gris à deux ou trois mètres sous l’eau. L’eau est si transparente que je vois des petits poissons nager en banc. Le ferry se remplit. Des Grecs, qui retournent chez eux, leurs camionnettes chargées de jambons, de légumes. Quelques touristes, sans doute des Anglais et deux Françaises. Un accent de Paris, ou de la région. Pas vraiment envie de parler… Je range mon livre : je préfère qu’elles ne devinent pas ma langue. J’attends le départ.
Le trajet jusqu’à Amorgos est long. Mais je n’en perds pas une miette. J’observe le moindre bout d’île, la moindre chapelle sur les minuscules îles que le bateau contourne. J’essaye de deviner les manœuvres du commandant.
Le sel de la mer gerce mes lèvres. Je les tapisse de beurre de cacao, mais rien n’y fait. Quand j’y passe ma langue, je goûte le sel. Il s’imprègne sur mes mains, dans mes cheveux. Je suis content d’être là.
Amorgos est la dernière île atteinte. Le port est dans une anse magnifique, surplombée de montagnes vertes. C’est beaucoup plus vert que dans mon souvenir. La saison, sans doute : c’est le début du printemps. Je me dirige vers le camping.
Les premiers moments d’une randonnée ne sont pas les plus difficiles. Pas les plus faciles non plus. Les chevilles se dérouillent, la mécanique se met en place. Le cœur s’accorde avec le rythme des jambes et de la respiration. La transpiration s’équilibre petit à petit, et l’on devine quand il faut boire. Et puis, ce sont des paysages qui se découvrent. Sur la carte, j’essaye de les deviner par avance, à tel endroit il y aura une rivière, un moulin, un arbre isolé, à tel autre, le chemin va monter, rester attentif au croisement.
Je marche jusqu’au soir. À part les deux touristes françaises que j’aperçois au loin, je ne rencontre que des ânes et des chèvres, qui d’ailleurs ne se trouvent pas sur la carte. Peu avant la tombée de la nuit, je choisis de me diriger vers une bergerie abandonnée.
La nuit tombe vite. Je m’emmitoufle dans le sac de couchage. Je passe des longues heures à regarder les étoiles. Je me rappelle cette nouvelle de Maupassant, où ce berger fait découvrir à sa belle maîtresse la nuit en montagne. « Le jour, lui dit-il, c’est la vie des êtres ; mais la nuit, c’est la vie des choses. » Et la belle de s’endormir sur son épaule, et lui de la veiller.
Petite poussière que je suis, déposée sur un grand caillou volant, face à l’immensité des astres. Sensation étrange de tomber dans le vide, d’être à la fois les étoiles, la terre, le vent, les bruits autour, l’air que je respire.
Je m’endors.
Le lendemain, le soleil est déjà haut. Il fait chaud. Je range mon sac de couchage, et j’ai un peu de mal à le faire tenir dans mon sac. J’ai faim. Il est temps de rentrer parmi les hommes.
Une longue partie du chemin est suspendue à flanc de colline. Au dessus, la falaise, en dessous la falaise et, en dessous de la falaise, 100 mètres plus bas, la mer. Bizarrement, j’ai beaucoup plus le vertige qu’à l’aller. La faim, sans doute. Mes genoux s’épuisent, ils plient un peu plus que ce que je voudrais. Ils plient même dangereusement, à voir les cadavres de chèvres, en contrebas.
Ouf, la descente est finie. Le reste du chemin est beaucoup plus facile, mais je ne m’attarde pas vraiment. Sauf peut-être à voir les feuilles pousser sur les cactus. J’arrive au camping en début d’après-midi. En sueur. Je m’étends sur le matelas de mousse. Mais la faim me tenaille et mes chaussures de marche me font mal. Je les délace. Mais pour la faim « je vais me faire un resto », que je me dis.
Ça sera un bon resto, au milieu de Grecs qui baragouinent évidemment des choses que je ne comprends pas. La moussaka est bien grasse et me tombe sur l’estomac, si bien que je ne me fais pas prier pour une longue sieste sous la tente.
Les deux jeunes Françaises se sont installées, elles aussi, dans le camping. Elles ne sont pas surprises de me voir débarquer pour leur demander leur ouvre-boîte. Celui-là même que j’oublie à chaque voyage.
Je ne pensais pas qu’elles m’auraient vu.
L’une des deux était brune, assez joviale. L’autre, plus mince, plus réservée, noire de cheveux. Céline et Isabelle. Touristes, randonneuses. Je détaille leurs mollets musclés et leurs pieds dans leurs sandales. « Les pieds du randonneurs qui se reposent d’une longue journée de marche », que je pense.
La proposition m’a un peu surpris.
En revenant à ma tente, je me fais la réflexion qu’elles sont bien jolies. Mais j’ai encore envie de temps avant de m’intéresser à nouveau à « ça ».
Je vais à la plage. Envie d’un bain de minuit. J’attends la nuit, un bouquin à la main, avant d’abandonner caleçon, t-shirt, essuie et chaussures, et de m’enfoncer dans l’eau. Je sens l’eau glisser sur ma peau, sur mon sexe. C’est agréable. Mais je me sens nu (ça, y’a pas de doute !) et bien faible. Quand mon pied touche une pierre un peu filandreuse, ou piquante, j’imagine marcher sur un oursin ou une autre bestiole pas agréable. Si bien que je reviens bien vite vers la plage.
Elles sont là toutes les deux, assises à côté de mon essuie. Et moi, nu. Pris au piège.
Pour ma défense, je choisis le naturel.
J’essaye de parler le plus calmement possible, j’essaye de masquer mon trouble. Je lance même une pique :
Je m’assois à côté d’elles en essayant de me donner une contenance. Je sens le vent sur ma peau, sur mon sexe, et cette sensation me rappelle encore que je suis offert à leurs regards. J’ai les intestins qui se tordent. Et qui lancent une flèche vers mon sexe, aussi. Peut-être est-il content d’être regardé ?
Tu parles, il y a trente secondes, j’en avais une frousse bleue comme la mer. J’espère qu’elles ne l’ont pas remarqué. Mais pourquoi les hommes ne peuvent-ils pas montrer leurs faiblesses ?
Pour ne pas montrer que je suis gêné d’être nu, je ne me rhabille pas tout de suite. Je joue même un peu avec ça, osant m’affirmer naturiste.
Je bois quelques gorgées. On parle. « Tu fais quoi ici, qu’est-ce que tu aimes, ho tu es déjà venu à Amorgos, c’était quand. » Je prends un peu d’assurance au fil de la conversation. Je me couche même sur le dos, offrant mon sexe à leurs regards. Je les sens me passer aux rayons X, sous la demi-lune qui nous éclaire.
En deux minutes elles sont nues comme moi. Et je ne me gêne pas pour détailler leurs fesses quand elles courent vers la mer.
Elles s’y amusent comme des gamines. Elles se poussent dans l’eau, s’éclaboussent. Beaucoup plus d’assurance que moi, qui descend timidement. Les observer me donne pas mal d’idées : leurs seins, menus pour l’une, plus imposants pour l’autre. Tendus par le froid. Leurs fesses. Leur insouciance aussi. Ça réveille mon sexe qui se tend un peu. Il est temps que je plonge.
J’essaye de participer à leur jeu, mais je ne suis pas tout à fait à mon aise. À un moment, l’une d’elles approche de moi sous l’eau, attrape ma jambe et me fait tomber, non sans placer ses mains franchement sur mes fesses et près de l’aine. J’ai à peine le temps de m’en rendre compte que je suis déjà sous l’eau. Elles en rient beaucoup, d’ailleurs. C’est le moment qu’elles choisissent pour regagner la plage.
Non mais, qu’est-ce qu’elles se permettent ces deux là !
Isabelle est couchée sur le ventre, et Céline sur le dos. Nouvelle salve de « Tu viens d’où, tu fais quoi dans la vie, ho c’est intéressant, depuis quand, ton plat préféré ? » Je détaille chacune de leurs courbes. D’autant plus que Céline, avec une jambe relevée et légèrement écartée, m’offre sa toison à la vue.
Ça, c’est Céline qui m’a pris les yeux au fond du panier. Je continue à faire comme si de rien n’était :
Je dois m’en être pas trop mal sorti parce qu’il y a un sourire, et Isabelle souffle un « merci », ou ce que je crois l’être. Silence gêné avant que je ne dévie la conversation :
C’est Isabelle qui a crié.
Je ne sais pas trop comment je dois réagir. Faut-il que je détaille, moi aussi, sa fesse ? Ho et puis…
Une très belle fesse. Je détaille le nacré de la peau. Le fin duvet qui la couvre. Isabelle me désigne un point juste le long du sillon, vers le bas de sa fesse. D’une main, elle tend la peau, ce qui a pour effet d’écarter le sillon et de me laisser entrevoir son anus et son sexe de très près. Mais de piqûre, je ne vois pas.
Pardon ? Mais on ne m’a rien demandé, moi ! Je prends peur tout à coup. Et je ressens aussi une tension subite au niveau de mon sexe, qui se relève un peu plus.
Là, j’ai vraiment beaucoup de difficulté à garder l’air détaché du type qui trouve ça normal. À cours d’arguments, je m’exécute.
Et moi de m’excuser :
Et là, je commence à sentir que la soirée prend un tour un peu particulier.
Je prends, et j’en ai bien besoin. Nouvelle salve de conversation « La nature est belle ici, il y a plein de plantes méditerranéennes. Oui il y a aussi des chèvres dans les arbres. Par contre des ânes on a pas encore vu ». J’ai en tête les fesses d’Isabelle. Et j’imagine ce que je pourrais en faire…
Je suis couché sur le ventre pour que ça ne se voie pas.
Et là, je suis content qu’elle vienne à mon secours, jusqu’à ce qu’elle ajoute :
Et là, elle a ce geste érotique qui m’achève. Et qui achève, surtout, mon self-control. Elle se relève, se met à quatre pattes, me tend ses fesses et m’indique là où avait eu lieu la soi-disant piqûre. Son cul offert devant moi… Là je comprends aussi que c’est ce qu’elle cherche depuis le début : un truc du genre « mon sexe dans le sien », « Fais-moi jouir », « Viens me lécher », ou beaucoup d’autres choses que je m’imagine, souvent, le soir, dans mes délires érotiques.
Je suis à court d’arguments pour refuser. Et ça n’est pas l’envie qui me hante depuis que je les ai aperçues sur la plage qui va m’aider.
Alors, le plus délicatement possible, je caresse le haut de ses fesses et le bas de son dos. De l’autre main, j’enserre sa cuisse, et je m’approche de ses fesses. J’y dépose d’abord des petits baisers. Mis bout à bout, autour de l’endroit de la piqûre virtuelle. Puis je fais des baisers plus appuyés et plus rapprochés de son sillon. Je sens l’odeur de ses fesses, de son sexe. Une brise qui souffle sur nos corps me rappelle que je suis déjà nu et qu’une de mes extrémités est désormais bien tendue. Un gémissement d’Isabelle m’encourage. Presque sans m’en rendre compte, je me retrouve à embrasser délicatement sa rosette toute serrée. Elle me dit :
Bizarrement, c’est à ce moment là que j’ai une pensée : « Christophe, tu es sur la plage, en Grèce, nu, avec deux autres filles et tu te prépares à faire un anulingus à l’une d’elles. »
Ce que je commence tout de suite après, avec des coups de langue plus appuyés.
Combien de temps cela dure-t-il ? Sans doute pas très longtemps, parce qu’Isabelle se retourne et, tout en me disant :
Elle m’attire à elle pour l’embrasser. Un baiser tout délicat, du bout de la langue, qui titille la mienne. Je tends les mains pour la caresser. Ses seins, qui pointent. Elle aussi fait de même sur mon torse, mon dos. Elle s’approche de mon sexe et je fais tout pour qu’elle le caresse.
Isabelle arrête nos baisers avant que sa caresse ne continue. Je rouvre les yeux. Céline est là, attentive. Alors, dans un silence sensuel, elle s’approche de moi à son tour, passe une main derrière ma nuque et plonge elle aussi sa langue dans ma bouche. Son baiser est plus fougueux. Je suis aux anges, sur un nuage érotique jamais connu.
Les mains d’Isabelle me caressent. Mon torse, mes tétons. Tout mon corps ressent le trajet de sa main, et n’aspire qu’à une seule chose : qu’enfin, elle prenne en main mon sexe. Mais c’est Céline, à qui je suis toujours suspendu, qui le fait la première. Elle empoigne ma bite tendue, et la branle doucement. Comme j’ai envie qu’elle accélère !
Pour ma part, je caresse leurs torses, leurs seins, je pars à l’exploration de zones érogènes. Je finis quand même par me retrouver allongé sur le dos, avec elles deux qui embrassent mes testicules, et moi qui peut à peine flatter les fesses et effleurer le sexe humide de Céline, qui a les fesses à portée de ma main.
Je suis aux anges de leurs caresses et de leurs baisers. Elles gobent mes testicules, lèchent l’aine et le périnée, manipulant mon sexe dressé pour laisser place à leurs caresses. Après, elles lèchent à tour de rôle la hampe, s’arrêtant avant mon gland. Je n’ai qu’une envie : qu’elles me gobent tout entier. Je gémis de plaisir et n’aspire qu’à m’abandonner.
C’est presque un soulagement quand Isabelle gobe en entier, d’un coup, mon gland et tout ce qu’elle peut raisonnablement introduire dans sa petite bouche fine. Elle aspire et commence des va-et-vient qui me font penser « comme c’est bon, la bouche d’une fille ! ». Céline n’est pas en reste, à s’occuper toujours de mes autres zones érogènes : mes testicules et mon périnée.
Non seulement la caresse est excellente, mais les deux filles m’achèvent lorsqu’elles échangent leur rôle. Cette scène, cette manière de les voir faire passer ma bite d’une bouche à l’autre, décuple mon excitation.
Elles se relaient donc à aspirer mon sexe avec un mouvement de va-et-vient. Chez moi, cette caresse est la plus satisfaisante. Si bien que rapidement, je me tords et tend mon bassin haut pour accélérer leurs mouvements. Je sens venir l’éjaculation et leur fais signe. Alors Isabelle accélère sa succion : elle me fait clairement comprendre qu’elle veut que je vienne dans sa bouche. Je remarque le calme avec lequel elle me montre ses intentions sexuellement si fortes…
J’ai éjaculé abondamment dans sa bouche. Je sentais chaque salve se répandre en elle, et chacune était un triomphe orgasmique : le plaisir de jouir, le plaisir d’aller en elle. Elle m’a paru avaler jusqu’à la dernière goutte, avec une application satisfaite.
Je suis resté sous le choc de ma jouissance, haletant, le cœur qui battait la chamade. Isabelle terminait de nettoyer mon sexe, et Céline me caressait le torse et les cuisses. Après quelques minutes, elles étaient toutes les deux assises autour de moi couché, à me regarder.
Sourire gêné de la brune… Rires moqueurs de Céline. Je suis toujours un peu abasourdi.
On a repris nos affaires, et j’ai été soulagé de voir qu’elles ne faisaient qu’enrouler leur essuie au-dessus de leurs seins : ça voulait dire que la soirée n’était pas encore finie.
Leur tente était plus grande. Le temps d’y entrer et Céline s’était déjà couchée sur le dos. Je n’ai pas eu le temps de vraiment l’observer, offerte, le sexe ouvert, que j’ai compris que ma place était autour de ses seins. Seins mignons, tétons tendus : ils roulaient entre mes lèvres, je les frottais de ma langue sur mon palais, parfois mordillais autour. Isabelle était assise à hauteur de ses genoux, nous regardait et caressait ses cuisses. Sa chatte qui s’ouvrait à chaque fois que sa main s’approchait. Elle a fini par caresser les grandes lèvres, entourée d’une légère toison, comme elle. Céline montrait sa satisfaction par des bruits et grognements.
En couvrant de baisers son ventre, je suis descendu vers son sexe. Isabelle aussi a commencé des caresses buccales : elle embrassait ses cuisses. Puis, sous mon regard, elle a léché d’une langue dure l’aine, d’abord en remontant vers l’extérieur, et puis en descendant vers sa fente humide et odorante.
D’une main délicate, j’ai maintenu légèrement écartées ses lèvres, découvrant le petit capuchon du clitoris, que je devinais sous la faible lumière ambiante qui venait de l’éclairage du camping, à l’extérieur de la tente. J’ai approché ma langue autour de son petit bouton, goûté à sa saveur, commencé un cunnilingus en règle. Isabelle léchait aussi le sexe de sa copine. J’y rencontrai sa langue. Puis, elle lui a introduit un, puis deux doigts à l’intérieur de son vagin. Céline gémissait de plus en plus fort.
J’ai, moi aussi, introduit mon majeur dans son vagin. Les doigts d’Isabelle et les miens se rejoignaient et conjuguaient leur mouvements. Son sexe était trempé de ma salive et de sa mouille, qui devenait plus abondante. Elle a joui en serrant fort ma cuisse, tendant son vagin vers le haut, crispée. Arc-boutée pendant plusieurs instants, elle en était encore plus ouverte. Isabelle et moi, un rien pervers, nous en profitions pour accélérer notre geste. Nous aussi étions tendus vers sa jouissance, et nous prenions un malin plaisir à la rendre plus longue et plus forte.
Elle a finit par se détendre, tandis que nous nous ralentissions le mouvement. Essoufflée presque autant que moi quelques minutes plus tôt. J’observais Isabelle qui déposait encore quelques baisers sur le sexe de son amie (petite amie ? Je ne sais pas…), à en récolter les dernières gouttes et, si possible, lui arracher encore quelques gémissements.
Une fois qu’Isabelle s’est détachée d’elle, Céline a repris les choses en main. En la regardant dans les yeux, avec une lueur perverse, elle lui a lancé un impératif :
Isabelle n’a même pas eu le temps de baragouiner quelque chose, que Céline l’avait couchée et plongeait sa langue dans son vagin. Presque immédiatement, Isabelle a commencé à manifester son plaisir par des « ho ! oui ! ta langue ! mets-la-moi profond ! oui, comme ça ! Hmm ! ».
La scène a recommencé à m’exciter. Si bien que mon érection est repartie de plus belle. Céline a dû le voir et, sans arrêter de besogner sa copine de sa langue, elle a commencé à me branler pour parfaire mon érection.
Après, Céline s’est relevée, les babines pleines de la mouille d’Isabelle. Elle lui a ordonné :
Le temps qu’elle se retourne, et que je comprenne ce qu’elle voulait, elle avait déjà sorti un préservatif et commençait à me l’enfiler. Et puis, elle m’intime :
Et elle dirige clairement mon sexe vers l’entrée de la caverne de son amie. Isabelle, la tête posée sur les bras, le cul tendu, offerte, n’attendait que ça !
Je ne me suis pas fait prier pour plonger dans son vagin chaud, humide, doux. J’y suis entré très facilement : j’ai tout de suite senti ses fesses sur mon bas-ventre. Une forte lueur d’excitation dans les yeux, Céline me dit
J’ai alors remarqué qu’elle se caressait le clitoris, fascinée par mon sexe qui pénétrait le con de sa copine. Et Isabelle a continué à dire des mots crus : « Oui, c’est bon », d’abord. Puis « Ho, oui, je te sens bien là », « oui, prends-moi ! », « vas-y, secoue-moi ».
Céline ne perdait pas une miette de cette chevauchée. Elle agitait une main sur son clitoris, et de l’autre malmenait ses seins. Je me suis senti porté par une excitation intense. Tout mon corps n’existait plus que par les sensations que je sentais sur ma queue. Toutes mes sensations étaient focalisées sur mon sexe. J’essayais de trouver la meilleure position pour frotter aux zones les plus érogènes de ma bite, et pour faire les mouvements les plus forts.
J’ai éjaculé avec ces images en tête : la main de Céline autour d’un de ses tétons tendus, son regard obnubilé par mon sexe qui allait et venait dans le vagin de sa copine, cul offert vers moi, et enfin l’image d’Isabelle, ses longs cheveux blonds répandus sur ses bras, qui criait son plaisir avec des mots de salope.
J’ai rempli le préservatif, fiché au plus profond d’Isabelle. Cela a duré de longues minutes.
Puis, nous nous sommes détendus tous les trois, affalés sur les paillasses. Ma queue s’est échappée du vagin d’Isabelle. La capote glissant de ma bite redevenue molle, du sperme a coulé sur les jambes, les fesses d’Isabelle, et sur les sacs de couchage sous nous. Nous avons laissé faire. J’ai aussi découvert que nous étions transpirants, tous les trois.
Nous nous sommes endormis les uns contre les autres, avec des caresses plus douces. De temps en temps, l’un ou l’autre se relevait pour aller aux toilettes, et reprenait une autre place. De sorte que, chacun à tour de rôle, nous avons dormi au milieu des deux autres, ou entouré l’un ou l’autre.
Pour ma part, j’étais définitivement revenu parmi les hommes. Et les femmes.