n° 11370 | Fiche technique | 12821 caractères | 12821 2171 Temps de lecture estimé : 8 mn |
07/05/07 |
Résumé: Décidément le couple de mon frère Bruno m'intrigue de plus en plus. | ||||
Critères: fh extracon alliance fépilée fellation cunnilingu pénétratio fdanus | ||||
Auteur : Pholius Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Ma belle-soeur Virginie Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Décidément, le couple de mon frère Bruno m’intrigue de plus en plus. Je les vois de temps en temps, Virginie et lui, lors de réunions de famille, ils semblent bien tous les deux mais aux dires de ma mère leurs disputes ne se sont pas vraiment calmées. Cet abruti de Bruno a la plus douce et la plus coquine des femmes, et il n’est pas fichu d’être heureux et de la rendre heureuse… quel gâchis !
Leur dernière grosse dispute avait amené Virginie dans mon lit et j’avoue me masturber encore en y repensant. Je suis toujours fou d’elle et n’ose espérer avoir encore l’occasion de passer une nuit aussi torride que la dernière fois avec cette femme adorable…
Et pourtant…
Cette fois-ci Bruno est allé à un pot de départ d’un collègue sans prévenir Virginie, qui était morte d’inquiétude. Elle lui a demandé des explications à son retour tardif et Bruno, un peu éméché et fatigué de sa journée, s’est rapidement énervé. Je vous passe les détails mais le ton est monté, il l’a insultée et a fini par la gifler. Virginie, énervée et apeurée, s’est enfuie de la maison, décidée à ne pas y dormir. Après avoir tourné près d’une heure dans la ville et hésité entre plusieurs hôtels, elle a réalisé ne pas vouloir rester seule et avoir besoin de parler à quelqu’un (c’est comme ça qu’elle me l’a raconté). C’est de cette façon que je vis son nom apparaître sur mon téléphone vers minuit…
Vingt minutes après son appel, elle frappe à ma porte. Je m’attendais à la trouver plutôt triste et abattue comme la dernière fois mais elle était en colère contre mon frère et semblait décidée à ne pas lui pardonner, cette fois-ci.
Je la fais entrer dans mon appartement et la laisse s’installer sur le canapé. Elle me raconte sa soirée pendant que je sors des verres et une bouteille de vin. Je dépose le tout sur la table et m’installe à côté d’elle. J’ouvre la bouteille, et lui demande un peu plus de détails sur ce qui est arrivé pour essayer de la réconforter mais elle m’arrête dans mon élan.
Virginie éclate de rire en disant cette phrase.
Le sourire malicieux qui accompagne les propos de Virginie ne laisse aucune place au doute… Elle enlève ses chaussures, replie ses jambes sous elle et approche son visage du mien.
Je tourne mon visage vers Virginie qui commence à embrasser doucement ma bouche. Très vite nos langues se rejoignent et c’est un baiser intense qui nous allonge sur le canapé. Je suis sur le dos avec Virginie sur moi, je passe ma main dans ses cheveux, ils sont doux et sentent si bon. Ses mains agiles déboutonnent déjà ma chemise et Virginie ne tarde pas à embrasser mon torse et mon ventre.
Finie la jeune femme timide et triste de la dernière fois, elle sait ce qu’elle veut aujourd’hui et je ne vais pas m’en plaindre. Ses baisers remontent mon torse et finissent dans mon cou. Je dénoue facilement le cache-cœur qu’elle porte et caresse son dos et son ventre que j’aime tant. Elle se blottit dans mes bras à présent et ses cheveux recouvrent mon visage. Je souffle dessus pour essayer de les écarter un peu, histoire de pouvoir respirer.
Virginie se redresse au-dessus de moi.
Elle attrape son sac et s’enfuit dans la salle de bains en jupe et soutien-gorge, une tenue qui lui va vraiment très bien d’ailleurs. Je la trouve un peu longue pour s’attacher les cheveux mais le temps d’y penser, une main passe la porte de la salle de bains et jette la jupe. Virginie ressort enfin, elle a gardé son soutien-gorge, ses bas, son string et s’est fait des couettes… un phantasme vivant. Virginie tourne sur elle-même pour me faire apprécier le spectacle. Elle est vraiment très bien faite et ses petites fesses dans ce string provoquent chez moi une érection instantanée.
Décidément elle sait comment m’allumer, je n’en peux déjà plus. Virginie s’approche, je suis assis sur le canapé, elle se plante juste devant moi et m’indique son ventre du doigt.
J’embrasse alors ce ventre doux et musclé, mes mains passent sur ses hanches et ses reins. Je caresse ses fesses si parfaites, ses cuisses, je passe doucement un doigt dans son string ; elle est toujours épilée, sa petite chatte douce et chaude est déjà humide.
Virginie monte à califourchon sur moi et presse son sexe contre le mien, qui n’a bien sûr pas débandé depuis tout à l’heure, bien au contraire. Elle m’embrasse à pleine bouche et fait des va-et-vient avec son bassin, je l’aide en la tenant par les fesses. Sans s’arrêter elle enlève son soutif et presse ses seins contre mon torse. Ils sont gonflés et durs, je lâche les fesses de la belle à leur profit. Je les caresse, les titille, les soupèse. Virginie cesse de m’embrasser et plonge ma tête vers sa poitrine, je peux alors l’embrasser, la lécher. Le sein gauche retient toute mon attention, je l’attrape, le presse un peu plus fort et le tète goulûment, ce qui arrache quelques gémissements à ma douce Virginie. Elle repousse ma tête vers l’arrière et me regarde droit dans les yeux.
Pendant qu’elle parle Virginie défait ma ceinture et enlève mon pantalon et mon caleçon.
Virginie s’agenouille entre mes genoux et se saisit de ma verge. Elle me branle doucement, l’embrasse, la passe sur ses lèvres et commence à la lécher comme une glace. Je commence déjà à gémir de plaisir, Virginie me fait un clin d’œil et prend mon gland dans sa bouche. Ce fourreau brûlant me fait gémir davantage, elle m’excite vraiment beaucoup et sait y faire. Je regarde ce visage angélique aspirer ma queue, mais si ça continue comme ça je ne vais pas tarder à exploser. Je pousse la tête de Virginie pour libérer mon sexe, ce qui la fait sourire.
Virginie enlève son string et vient à côté de moi sur le canapé. Elle s’allonge en posant sa tête sur l’accoudoir, je caresse son ventre puis son sexe, je remonte ses jambes et Virginie les tient relevées et pliées sur son ventre avec ses bras ; j’ai ainsi totalement accès à son sexe déjà trempé. Je le lèche doucement, écarte ses lèvres avec mes deux pouces et le lèche de plus belle. J’enfonce ma langue le plus loin possible puis lèche calmement le tour de son clitoris. Virginie respire de plus en plus vite et fort.
Je fais une pause avant d’avoir une crampe à la langue (ça peut sembler ridicule mais c’est douloureux, je ne le souhaite à personne). Je passe un doigt sur cette petite chatte trempée et descends jusque sur son anus trempé lui aussi. J’y rentre facilement mon doigt, tout doucement au cas où elle n’aimerait pas mais elle ne me dit rien. J’entre deux doigts en parallèle, dans son anus et dans sa chatte et l’excite ainsi quelques instants. Virginie attrape mon sexe, le serre et le branle doucement.
Inutile de me le répéter, je la tire vers moi, m’installe entre ses cuisses et la pénètre. Virginie tient fermement mes fesses et accentue mon mouvement.
Le rythme s’accélère encore, je ne peux pas aller plus vite et commence à fatiguer, un coup de reins sec lui arrache un cri et je reste un instant tout au fond d’elle. Quelques secondes de silence et Virginie recommence à bouger.
Virginie se retourne et se met à quatre pattes. Son petit derrière m’est ainsi offert. J’entre à nouveau dans son joli petit corps et recommence à limer. Chaque coup de reins lui arrache un cri, je caresse la chute de ses reins, ses fesses. Son petit anus tout rose me regarde. Je mouille mes doigts dans sa chatte et les passe sur ce petit trou qui palpite. Mon pouce se fait plus insistant alors que mon ventre frappe ses fesses de plus belle. Sans forcer mon pouce est comme aspiré par son anus.
Tout en continuant à la limer, mon pouce fouille son rectum et nous ne tardons pas à jouir tous les deux dans cette position.
Je retire doucement mon pouce avant de m’allonger sur Virginie qui laisse dégonfler ma queue dans son ventre. Essoufflés et couverts de sueur, nous nous embrassons doucement.
Parler de son couple alors que son ventre est encore plein de mon sperme me gêne un peu, mais de toute façon elle n’est pas à moi et ne le sera jamais alors mon avis importe peu.
Virginie défait ses couettes et file prendre une douche. Quand elle en ressort elle ramasse son string, sa jupe et le reste de ses affaires. Une fois rhabillée et prête à partir elle rallume son portable qui lui indique plusieurs messages. Elle les écoute. Bruno lui a laissé une dizaine de messages d’excuses, tous plus mignons les uns que les autres, paraît-il.
Virginie attrape son sac à main et a déjà le portable à l’oreille quand elle se dirige vers la porte. Elle m’envoie un baiser et sort de mon appartement.
Comme après chaque dispute avec mon frère, elle s’est remise avec lui et ils continuent leur vie comme avant. Décidément je ne la comprends pas, mais je serai toujours là pour lui faire oublier les mauvais moments dans son couple quand elle voudra.