n° 11375 | Fiche technique | 13970 caractères | 13970Temps de lecture estimé : 9 mn | 09/05/07 |
Résumé: Un pays étranger, pas très loin. La vie d'un expatrié, seul, est simple : boulot, courses, tâches ménagères, un peu de sport, des virées avec les collègues. Les déplacements, encore les déplacements... | ||||
Critères: fh hplusag fsoumise hdomine fmast nopéné sm fouetfesse | ||||
Auteur : Aenean Envoi mini-message |
Un pays étranger, pas très loin.
La vie d’un expatrié, seul, est simple : boulot, courses, tâches ménagères, un peu de sport, des virées avec les collègues. Les déplacements, encore les déplacements…
Entre deux avions, un rapide passage au bureau, le temps de dire bonjour aux collègues restés sur place, de s’informer des derniers potins de la comète, de régler quelques formalités administratives.
C’est drôle, les absences permettent de remarquer les nouvelles têtes ! Un des responsables de la société me présente Olga, une jeune stagiaire envoyée chez nous par son école pour voir ce qu’est la vie en entreprise. Elle n’est pas dans mon service, mais elle y viendra, devant faire le tour pour voir les différents aspects d’une boîte comme la nôtre.
Olga a environ 22 ans, j’en ai un peu plus, je suis un « vieux » pour elle. Ses cheveux mi-longs, châtain chair, ses beaux yeux bleus m’attirent. Son corps encore juvénile ne m’est pas indifférent non plus.
Nous sympathisons, nous nous croisons à la cantine, prenant plaisir à déjeuner côte à côte, avec mes collègues. Nos regards se trouvent, le mien plonge sur sa frêle poitrine que je devine libre sous son chemisier.
Les jours passent. Je décide d’organiser une petite fête chez moi, dans mon appartement. Elle est invitée et se propose gentiment de venir m’aider à tout préparer.
Samedi vers 14h.
Olga arrive, toute pimpante, toute belle dans sa tenue de soirée : une petite jupe noire, un chemisier blanc, des chaussures presque plates. Bas ou collant ? je penche pour le second.
Elle ne peut décemment pas préparer un repas, habillée comme ça ! Dans mes affaires, je trouve quelques fringues plus adaptées : un survêtement (trop grand pour elle), un polo. Je l’envoie se changer, seule. Elle me revient, belle comme un cœur, à croquer. Décidément, il est des filles à qui tout va, même un survêtement trop grand. Le chauffage souffle, nous nous activons, nos rigolons.
Nous préparons entre autre des fraises qu’il faut couper en quatre, pour les faire mariner dans un alcool. Pleine de bonne volonté, Olga s’attelle à cette tâche, assise à la table de la kitchenette. Je suis heureux. Sa présence me réconforte, remplit cet appartement de célibataire. Ce qui devait arriver arrive : une fraise lui échappe des doigts pour atterrir sur le carrelage, non sans avoir fait un crochet sur sa poitrine, sur mon polo. Elle me regarde, embêtée. Je me force à lui lancer à mon tour un regard froid (alors que j’ai une énorme envie de rire, bel exercice, je vous le conseille !). Je lui demande si maintenant elle sait pourquoi je voulais qu’elle se change avant de me donner un coup de main, que je savais très bien qu’elle ne saurait travailler proprement ? Voilà, un polo tout propre, sali en moins d’une heure…
Je lui dis que cette erreur lui en coûtera plus tard, mais que dans l’immédiat, je dois éviter que la situation ne s’aggrave. Je m’approche d’elle, une éponge à la main. Je glisse une main sous son vêtement, caressant sa poitrine au passage. Je m’efforce d’enlever cette tache avant qu’elle ne s’incruste, en profitant pour lui jeter un regard que j’essaie de faire le plus sévère possible. Impossible qu’elle garde son vêtement, il est trempé. Je me refuse aussi à lui en donner un second, elle va sûrement lui faire subir le même sort. Comme première punition, je lui demande donc de retirer le polo et de mettre à la place un tablier, du style de ces tabliers qu’ont les jardiniers. Elle rougit, prenant image sur ces fraises, origine de son désarroi. Elle a confiance en moi, veut se retirer dans la chambre pour se changer. Pas le temps, lui dis-je, il faut que nos avancions, notre temps est compté…
Honteuse, elle s’exécute ainsi, devant moi. Je la regarde, heureux de mon effet. Les pointes de ses petits seins dardent, et ce n’est pas la fraîcheur de la pièce (il doit faire 22°) qui en est la cause. Elle reprend son activité première, le torse à moitié nu, en s’appliquant. Toasts suivent fraises, petits fours sont mis au chaud, boissons au frais.
Elle s’habitue à sa tenue et finit presque par ne plus y penser. Je décide de décorer un minimum le salon, la salle à manger. Quelques guirlandes sont à accrocher au lustre. Elle est plus jeune que moi, plus menue, je lui demande donc de monter sur l’escabeau pendant que je lui tends les décorations. J’ai ses fesses sous les yeux. Je me refuse à les toucher… je préfère la rabrouer, lui disant que décidément elle avait encore bien des choses à apprendre… et que nous verrons ça plus tard, quand nous ne serons pas pris par les obligations.
19 heures.
Olga retourne se changer, me revenant belle comme le cœur qui m’est arrivé cinq heures plus tôt.
La soirée se passe, une soirée comme tant d’autres, entre amis des deux sexes. Olga me file un coup de main pour tout gérer. Aux yeux de tous, nous ne sommes plus des étrangers, loin de là. Il ne s’est (encore) rien passé entre nous et je la sens troublée. Tôt le matin (ou tard le soir, rayez la mention inutile), nos amis nous quittent. Je décide de tout laisser en plan, Olga retourne chez elle bien sagement, non sans que je lui aie demandé de revenir dimanche matin, pour m’aider à ranger entre autres… une phrase pleine de sous-entendus qu’elle comprend parfaitement.
Je dors mal, me demandant quelle tournure va prendre la situation le lendemain.
Dimanche matin
Olga arrive, à peine reposée, pas maquillée. Je lui offre un café. Je la fixe, la regarde droit dans les yeux. Je lui demande si elle sait pourquoi : elle sait…
Avant de passer au ménage proprement dit, et pour lui rappeler certains détails pouvant l’empêcher de refaire des bêtises, je l’invite à quitter son pantalon pour se faire pardonner de la tache de fraise. Elle me lance un regard, mi-apeuré, mi-rebelle. Je ne cède pas, trop heureux de ma chance !
Elle se lève et, doucement, avec pudeur mais tellement impudique, me dévoile ses jambes. Ses fesses, son sexe sont encore recouverts de sa culotte, bien sage. Je lui dis de se mettre contre la table, dos vers moi, et de se pencher en avant. Elle hésite. Je la prends par le bras pour lui montrer la voie. Elle comprend mon dessein, elle a peur.
Je ne veux pas la fesser à la main. Je n’ai pas non plus ces accessoires que nous aimons tous. Je prends donc une revue qui traîne miraculeusement près du téléphone. Je m’approche d’elle, l’effleure, ses fesses reçoivent le journal. Elle met ses mains en protection. Je n’ai pas besoin de lui faire un long discours pour qu’elle comprenne ce que j’attends d’elle. Ses mains regagnent la table. Elle n’est pas soumise, je ne suis pas son maître. Elle attend et reçoit tout de même quelques coups sur ses fesses sur ses cuisses. Je passe sournoisement un doigt sur son sexe. À travers sa sage culotte. Une douce moiteur… je lui dis que je ne saurais la laisser rentrer plus tard dans des vêtements mouillés et que c’est une habitude chez elle de ne pas savoir rester sèche, allusion non déguisée aux fraises de la veille. Elle me regarde, craint de comprendre. Elle s’exécute, honteuse du plaisir pris sous la correction. Je la prends sur mes genoux, délaisse la revue. Alternance de caresses et de claques sur ses fesses. Le rose apparaît.
Je lui propose de passer aux choses sérieuses. Elle a peur, s’imaginant subir les pires outrages. Je la rassure en lui rappelant que nous avons un appartement à ranger !
Elle veut se rhabiller, je l’en empêche, la trouvant charmante ainsi.
Nous lavons verres et assiettes. Je lui laisse faire la plonge, les fesses à l’air devant l’évier. Je profite lâchement de sa position, les mains dans l’eau, pour lui caresser fesses, chatte, seins. Finalement, un torchon est un martinet très efficace… Son excitation monte. Je lui ordonne de se dévêtir. Son regard de félin apeuré m’attendrit mais je me dois de rester ferme. Elle s’exécute.
Nous passons au salon décrocher les décorations, je lui montre l’escabeau. Elle comprend et grimpe… J’ai sa chatte sous les yeux, sa toison me fait de l’œil. Sa position, mains relevées, met ses seins en valeur et me donne des idées. Je lui rappelle que je n’étais pas content non plus de la manière dont elle a procédé pour décorer le salon la veille. Je l’invite à descendre de son perchoir et à me donner les guirlandes. Des fines bandes de papier, je relie ses mains dans son dos. Ses seins s’offrent à moi, offrandes involontaires. Comment résister à la tentation ? J’agrippe un téton, puis l’autre. Je tire dessus, elle me suit. Je l’oblige à se remettre en place, à ne pas bouger. Je joue avec eux, alternant caresses et pincettes.
Je félicite Olga pour sa gentillesse, lui demande ce qu’elle ressent. Elle a honte… honte de se donner ainsi en spectacle, honte surtout du plaisir qu’elle y prend.
Elle baisse les yeux.
Je lui explique que ce n’est pas à l’ordre du jour, que je ne mélange pas le privé et le professionnel (hypocrite que je suis, j’en conviens).
Je détache ses faibles liens (arrache est bien plus juste…). Je l’attire sur le canapé, elle s’y allonge sur le dos. Je m’installe confortablement dans le fauteuil, juste en face d’elle.
Elle hésite.
Sa main droite glisse sur son sexe, sa main gauche caresse son sein. Elle baisse les yeux, ne pouvant voir l’homme en face d’elle.
Son regard se redresse, ses mains jouent. Son corps juvénile se cambre, ondule. Ses doigts jouent avec son bouton d’amour, écartent ses lèvres, toutes ses lèvres…
La tension monte. Dans un ultime sursaut, elle laisse exploser son plaisir. Je m’approche, passe délicatement un doigt sur son sexe, récupère sa cyprine. J’aime son odeur, j’aime son goût, je le lui dis.
Elle récupère, la tête emplie de sentiments mélangés, honte, joie, plaisir, désir inassouvi.
Elle se rappelle à moi :
Elle se lève, reprend ses habits, veut aller s’isoler dans la chambre. Je l’en empêche.
Nous buvons un dernier verre (de jus de fruits), redevenus amis, presque collègues de travail. Je la raccompagne à sa voiture. Nous échangeons un chaste baiser. Nos regards parlent plus que des mots ne sauraient le faire. Nous nous reverrons, c’est sûr, et pas qu’au bureau…
Lundi, de retour au bureau.
Pas facile de voir en Olga une simple collègue, une simple stagiaire…
Je dois partir en déplacement, à l’étranger. Paul, mon chef décide qu’Olga doit aussi voir le travail qu’est le nôtre hors du bureau, hors du siège et qu’elle devrait m’accompagner !
Je n’ai jamais su si la décision de Paul était spontanée ou s’il se doutait de ce qui s’était passé entre nous quelques jours avant…
Nous partons une semaine plus tard, tous les deux. Le trajet en voiture (400km) est assez unique – collègues et amis, amis et amants en devenir, nos sentiments se mélangent, se chevauchent. Nous arrivons chez mon client. Je présente Olga pour ce qu’elle est – une stagiaire, je redeviens le professionnel pur et dur.
Nos journées se passent dans les différents sites au programme de notre tournée. Nos soirées se déroulent dans les restaurants, invités par les différentes directions. Nos nuits sont censées être bien sages, dans deux chambres séparées… Elles commencent en effet ainsi, pour se poursuivre moins sagement, en amants…
Nous n’avons plus joué à ces jeux qui nous ont rapprochés. Nous sommes devenus amants, amoureux. Nous partagions le plaisir d’être ensemble, d’apprendre l’un de l’autre.