n° 11415 | Fiche technique | 26668 caractères | 26668Temps de lecture estimé : 16 mn | 28/05/07 |
Résumé: Lors de vacances naturistes, j'offre ma femme à un ami. | ||||
Critères: fhh extraoffre vacances plage volupté nudisme cunnilingu anulingus préservati pénétratio double sandwich init | ||||
Auteur : Pekos Envoi mini-message |
Marié, depuis plusieurs années, nous avons, avec mon épouse, eu une vie sexuelle épanouie à l’intérieur de notre couple. Mais, comme cela arrive hélas parfois, une certaine lassitude s’est installée, monotonie due surtout à la répétition de nos gestes, de nos pensées, de nos mots, de nos bruits, de nos gênes, de nos envies, de nos pratiques pour tout dire. L’idée de l’échangisme a commencé à faire son chemin le jour où nous nous sommes rendus compte que nous avions besoin de nous inventer des situations, des partenaires virtuels pour arriver à nous épanouir sexuellement.
Après avoir rencontré notre premier couple (Sandra et son mari), nous avons pris l’habitude de nous rendre quelquefois dans des clubs échangistes. Ce qui nous a agréablement surpris fut le grand respect qu’avaient les hommes vis-à-vis des femmes présentes. Chacune d’entres elles faisait ce qu’elle voulait, avec qui elle voulait, de la manière qu’elle voulait. Dans ces endroits, c’est toujours la femme qui décide, et son partenaire éventuel, s’il l’accepte, ne fait que ce que sa compagne d’un soir veut bien faire et recevoir.
Ma femme, au fur à mesure de ses expériences échangistes, a pratiqué, a accepté, a reçu, a donné beaucoup. Mais jamais, elle n’a pratiqué le triolisme pur, c’est-à-dire, faire l’amour avec deux partenaires en même temps. Elle m’a expliqué que cela lui faisait un peu peur, car même si le fait de l’envisager ne la dérangeait pas, le faire physiquement l’angoissait, car elle appréhendait la douleur physique éventuelle.
Cette année-là, nous passions nos vacances dans un centre naturiste du sud de la France. Par l’intermédiaire de nos enfants respectifs, nous avons été amenés à faire connaissance et à fréquenter sur la plage un autre couple originaire de la même région. Un jour, la jeune femme nous informa que le lendemain, elle serait obligée de s’absenter toute la journée. Devant les cris de déception de nos enfants, elle nous proposa d’emmener les deux filles avec elle pour passer la journée.
Le lendemain matin, nous nous sommes donc retrouvés sur la plage. Nous invitâmes le mari délaissé à se joindre à nous. Voilà plusieurs jours que nous étions voisins sur le sable et nos corps respectifs n’avaient plus beaucoup de secrets les uns pour les autres. J’avais déjà constaté que ma femme avec ses longs cheveux blonds, ses petits seins fermes et hauts perchés, son ventre plat barré par un mince filet de poils, et une paire de fesses bien rondes avait déjà provoqué chez lui une réaction de désir qui, bien que très brève, fut très explicite. Il posa sa serviette à côté de ma femme qui se trouva ainsi entourée de deux hommes.
Allongé, je ne pouvais voir son regard mais je proposai à ma femme de se baigner. Elle se leva et se mit debout devant nous, nous tournant le dos pour regarder la mer, et passer ses mains sur ses fesses pour enlever les grains de sable qui s’y étaient collés. Le regard de notre nouvel ami s’infiltra alors entre ses fesses à la recherche de sa petite chatte épilée. Quand ma femme se retourna vers nous, je devinai, à la couleur de ses tétons plus foncés que d’habitude et à la manière dont ils se dressaient, qu’elle avait senti le regard de l’homme entre ses fesses et que cette idée l’avait troublée.
Après avoir passé la matinée à lézarder sur le sable, nous prîmes le chemin du studio. Arrivés en bas de l’immeuble, je lui proposai de venir prendre l’apéritif, le sachant seul. Il accepta et nous donna rendez-vous un peu plus tard, le temps de passer prendre une douche. Arrivés chez nous, nous prîmes nous aussi une douche et ma femme prépara le plateau.
Dans un club naturiste, il est de mise et conseillé de vivre nu aussi bien chez soi mais aussi et surtout dans les lieux publics, nudité que nous avions adoptée sans trop de problèmes. Mais ce jour-là, ma femme, en sortant de la douche se couvrit le corps d’un paréo plutôt court et pas très opaque. Je pensais qu’elle s’était couverte par politesse envers notre hôte. Par contre, pour ma part, je ne jugeai pas nécessaire de me couvrir, je reçus mon invité nu, et je constatai que lui aussi respectait les règles du naturisme : il arriva nu chez nous.
Je lui ouvris et le fis s’installer sur une chaise, en face de la banquette qui nous sert de lit. Je m’assis sur la banquette, en face de lui. Ma femme fit le service et je vis qu’il la regardait s’éloigner vers la cuisine admirant ses fesses très peu cachées par le tissu. Elle revint s’asseoir à côté de moi, sur la banquette.
En s’asseyant, la tension sur le tissu fit que le paréo descendit sur ses seins, ne cachant plus de sa poitrine que la pointe de ses seins. Notre invité ne pouvait se priver de détailler la poitrine de ma femme à peine couverte alors qu’il avait eu la possibilité de l’admirer sans contrainte sur la plage. Une fois nos verres remplis, je passai mon bras droit par-dessus l’épaule de mon épouse, ma main pendant devant sa poitrine à hauteur de son sein droit.
Tout en discutant avec notre hôte, je voyais bien qu’il détaillait ma femme au travers de son paréo. Il était assis face à nous et je remarquai bientôt que son sexe tressaillait entre ses jambes. Ma femme avait dû également s’en apercevoir, mais faisait celle qui n’avait rien vu. Ma main droite, en un geste tout en douceur, effleura de la paume le bout de son téton qui durcit très vite sous cette caresse. Je m’enhardis bientôt et ma main fit descendre le tissu du paréo, dénudant complètement son sein que j’offris ainsi à la contemplation de mon invité.
Ma femme ne dit rien et pencha son visage vers moi. Je l’embrassai à pleine bouche, ma langue virevoltant autour de la sienne. Du coin de l’œil je surveillais mon voisin. Ma main gauche tira alors sur le tissu, et le paréo tomba sur sa taille, mettant cette fois-ci sa poitrine complètement à nu. Je pris sa main gauche dans la mienne et tentai de la poser sur mon sexe nu. Elle comprit mes intentions et parut très surprise de mon geste :
Je comprenais les réticences de ma femme. Il nous était arrivé de faire l’amour devant un autre couple, d’avoir une relation d’échange complet. Mais tout cela ne s’était pas fait dans l’improvisation. Alors que là, je lui demandais de faire l’amour à trois. Se retrouver seule devant deux hommes devait l’angoisser, ou pire, lui faire peur. Je compris sa réaction et une bouffée d’amour explosa dans mon cœur.
Mon voisin comprit le sens de notre conversation à demi-mots. Il se leva pour partir et se trouva ainsi nu devant nous. Ma femme lui dit :
Il lui répondit :
Un long silence suivit ces propos. Je devinais qu’une drôle de bataille se déroulait dans le cerveau de ma femme.
J’en étais là dans mes pensées quand ma femme me souffla à voix basse :
Je me penchai et déposai sur ses lèvres un baiser très doux, chaste, un baiser d’amoureux. Elle me le rendit et c’est sa langue qui vint à la rencontre de la mienne. Je passai le bras autour de sa taille et l’attirai vers moi. Elle se lova contre ma poitrine, posant son beau visage sur mon épaule. Ses longs cheveux blonds cachaient en partie sa poitrine.
D’un geste le plus doux possible, je dégageai sa nuque de ses cheveux. De ce fait, je mettais à nu sa poitrine. La paume de ma main se posa sur son sein droit et je sentis son téton se durcir au contact de ma peau. J’accentuai ma pression et son sein s’écrasa légèrement.
Elle ne bougeait pas, ses jambes nues serrées. Je me penchai sur sa poitrine et mon souffle réchauffa son téton encore libre. Mes lèvres s’en emparèrent très doucement, l’aspirant et le mouillant de ma langue. Je remarquai la rugosité de son extrémité contrastant avec la douceur de son téton. Je sentis la peau de sa poitrine tressaillir sous ma langue. Ma main droite descendit le long de son dos, très doucement, la caressant avec respect
Quand ma main arriva sur ses reins, je stoppai là mon geste. J’abandonnai son sein, et ma main se posa sur son ventre. Ma main droite encore sur ses reins reprit son exploration et, la forçant à se soulever légèrement, elle passa sous sa fesse. Je sentis son muscle se durcir.
Notre hôte était assis sur sa chaise, mais son sexe, maintenant en érection, montrait son trouble et son excitation. Ma main sous elle, je lui pétrissais les fesses que je savais sensibles. Mon doigt s’invita dans sa raie et se posta contre les lèvres de sa vulve mais sans y entrer. Ma main sur son ventre descendit vers sa petite fente. Aussi doucement que je pus, mon doigt se posa sur son clitoris. Je constatai alors, à la rosée intime qui avait envahi sa petite grotte, le trouble qui arrivait très lentement.
Elle posa sa main sur la mienne comme pour me dissuader de poursuivre. Je la regardais, et je la vis fixer notre voisin. Mon majeur sous son derrière profita de son hésitation, pour s’infiltrer dans sa chatte et se dresser fièrement en elle. À la contracture de ses muqueuses internes je compris que mon doigt était le bienvenu. Mon autre main sur son clitoris commença à le caresser tout en douceur. Sa respiration se fit un peu plus rapide et je vis sa poitrine se soulever.
Je masturbais ma femme devant un autre homme, et cela ne me dérangeait pas. Par contre, je voyais bien l’embarras de mon épouse qui ne savait pas trop quoi faire. Mais bientôt sous l’effet conjugué de mes deux doigts en elle, je sentis son ventre se tendre. Sans aucune pression physique ou morale de ma part, je décidai de laisser ma femme libre de ses choix.
Je vis ses cuisses s’ouvrir très légèrement, découvrant sa petite vulve épilée. Mais la main qu’elle posa devant son sexe contredisait l’invitation de ses cuisses ouvertes. Pour débloquer la situation je lui demandai si notre voisin, trop seul sur sa chaise, pouvait venir s’asseoir au bout de la banquette.
L’homme ne se le fit pas dire deux fois, et posa ses fesses nues à côté de ma femme, son sexe maintenant dressé fièrement sur son ventre. Connaissant le plaisir de ma femme quand je la caressais par derrière, je lui demandai si elle voulait bien se mettre debout sur le côté opposé de l’homme et se pencher sur l’accoudoir. Elle accepta et quand elle se leva, je remarquai qu’elle jetait un œil sur notre voisin.
Celui-ci semblait résigné et avait commencé à se caresser doucement la queue. Je me plaçai derrière elle, debout. Je contemplais ses fesses ouvertes et offertes à mon regard. Son petit anus si mignon, tel un pétale de rose, décorait son entre deux fesses. Sa petite vulve semblable à une moule d’une couleur pâle semblait humide suite à la très légère agression qu’elle venait de subir.
Je posai mes mains sur ses fesses et d’un geste volontairement très doux, je les écartai avec délices. Je levai le regard et celui-ci parcourut sa croupe, le bas de ses reins, la cambrure de sa taille, son dos, ses omoplates si fines, sa nuque. Sa chevelure blonde était retombée de ses épaules, et cachait en partie ses seins libres, tombant de ce fait à la hauteur du regard de notre voisin qui ne se privait pas de les contempler.
Elle avait posé ses mains sur la banquette, ses bras bien droits. Je pris mon sexe dans ma main droite et me le caressai légèrement. Puis je le présentai devant l’orifice de sa chatte encore caché par ses petites lèvres au dessin irrégulier. Avec une grande douceur j’introduisis mon gland rosé entre ses cuisses. Je restai un moment comme cela, ma queue juste posée sur sa chatte, semblant être à l’écoute des réactions vaginales de ma femme. Volontairement je restai dans cette position sans bouger. Et c’est ma femme qui, d’un très léger mouvement vers l’arrière, fit pénétrer la pointe de mon sexe dans le sien.
Mais j’avais décidé d’être patient aujourd’hui. Je me servais de mon sexe comme d’une sonde thermique à l’écoute du ventre de ma femme. Aussi doucement que je pus j’entamai mon mouvement des reins en avant. Je sentais la moiteur, la chaleur douce, la pression des parois de sa petite chatte. Et c’est encore elle qui recula pour sentir ma verge un peu plus profondément en elle. Je la laissais faire, heureux de son initiative.
Elle plia les bras et s’accouda sur la banquette. En faisant ce mouvement de bascule en avant, elle cambra un peu plus ses reins et de ce fait, ma queue trouva un meilleur angle pour toucher enfin la fine paroi du fond de son sexe. Elle gémissait doucement mais ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est qu’en se baissant ainsi, elle s’était rapprochée de notre invité.
Il me regarda comme s’il voulait me demander mon accord. D’un clignement des yeux, je l’autorisai à entreprendre un éventuel geste d’approche. Il posa alors sa main sur le dos nu de ma femme et descendit très lentement le long de sa colonne vertébrale jusqu’à la naissance de ses fesses. Au contact de cette main sur son corps, elle eut un mouvement de recul et se releva prestement sur ses bras. Ce mouvement imprévu eut deux effets que, je pense, elle n’avait pas souhaités.
Le premier résultat fut qu’elle s’empala au plus profond sur ma queue, ce qui lui arracha un cri. Le deuxième c’est qu’en se relevant ainsi, elle offrait ses beaux seins presque sous le nez de l’autre homme. Celui-ci, se recula au bout de la banquette et s’allongea sur le dos, la tête tournée vers ma femme. Il rampa ainsi vers elle et bientôt son visage se trouva à la hauteur de sa poitrine qui, libérée de la pesanteur, pendait insolemment au-dessus de son visage.
Je le vis alors lever son visage à la rencontre de ces si beaux fruits défendus. Ma femme tourna alors son visage vers moi comme pour y chercher d’un signe, un encouragement ou un refus. Mais je lui souriais et d’un geste d’amour elle posa sa main sur ma fesse droite, comme pour elle aussi, m’encourager. Elle remonta elle-même ses cheveux sur ses épaules dégageant ainsi sa poitrine.
Les lèvres de l’homme s’emparèrent de ses tétons, à tour de rôle, et sa langue commença à les lécher avec délices. Puis, il mit fin à sa caresse buccale sur les seins de ma femme et d’un mouvement des reins, continua son chemin vers le ventre de ma femme.
Et moi, pendant ce temps là, je ne bougeais plus, laissant ainsi ma femme concentrée sur ce qui arrivait sous elle et non plus ce qu’elle ressentait entre ses fesses. Bientôt, la bouche de notre invité se trouva à hauteur de sa petite fente. Il remonta sa tète vers sa vulve et y posa ses lèvres. Il commença alors à lui lécher le clitoris.
Elle réagit à sa langue, et je le ressentis, aux contractions que ma queue enregistrait au fond de son vagin. Ma femme était en train de se faire lécher la chatte par un homme qu’elle n’avait jamais embrassé et elle acceptait enfin cette caresse alors que le sexe de son mari était au plus profond de cette chatte partagée.
Mais je me rendis compte rapidement que cette double caresse avait un inconvénient : chaque fois que je m’enfonçais en elle, mes testicules butaient sur le front de mon complice. Pour y remédier, je me retirai lentement, laissant ainsi l’homme seul avec sa bouche et sa langue dans le sexe de ma femme. Au mouvement de sa croupe, je constatai qu’elle prenait beaucoup de plaisir à se faire lécher ainsi.
Le désir envahissait le ventre de ma femme et la connaissant bien, je comprenais qu’un orgasme approchait. Il avait posé sa tête sur l’accoudoir de la banquette et se trouvait ainsi face à la vulve ouverte. Je vis son nez entrer entre ses deux lèvres humides et sa langue s’infiltrer dans son intimité. Il aspirait les sucs qui s’en écoulaient et sa bouche maintenant disparaissait presque complètement dans la moule de ma femme.
Sa croupe commença à être prise de tremblements incontrôlés et je compris qu’elle allait jouir de sa chatte. Alors je voulus, pour la première fois avec elle, essayer de la faire jouir par son deuxième orifice intime. Notre ami ne la touchait pas du tout, sauf par sa bouche perdue dans son sexe. Je me baissai entre ses fesses largement ouvertes maintenant et déposai un très doux baiser sur sa petite fleur rosée. Puis mes lèvres enveloppèrent presque entièrement son petit trou strié et le bout de ma langue commença à lécher et à pénétrer (oui, oui…) son anus.
Je constatai alors, au bout de ma langue, une contraction de ses muscles rectaux. Elle était prise entre deux bouches, deux langues qui la léchaient, la mouillaient, la mordillaient, l’aspiraient. Elle ne savait plus qui faisait quoi, était-ce ma langue dans son anus ou celle de notre invité sur son clitoris qui allait la faire jouir ? Elle commença alors à pousser de très petits gloussements. Sa croupe bougeait tellement que nous avions du mal à maintenir chacun notre caresse si intime et précise.
D’un coup, elle se redressa sur ses bras, et dans un grand cri explosa de plaisir par ses deux orifices à la fois. Ma femme venait de jouir grâce à nos deux langues uniquement.
Mais nous, les hommes, étions dans le même état d’excitation qu’auparavant. Je demandai alors à ma femme :
Le visage et les seins encore rougis par l’immense excitation qu’elle venait d’avoir, elle me répondit :
Elle nous demanda alors de nous asseoir, côte à côte sur la banquette. Nous voilà tous les deux, assis, nos deux sexes bandant comme des fous. Elle se dirigea vers notre hôte et lui tourna le dos. Elle alla s’asseoir entre ses cuisses. Je la vis prendre la queue dans sa main, lui enfiler un préservatif, se caresser la chatte alors très mouillée, et s’empaler très lentement sur son dard.
Elle débuta alors un mouvement de va-et-vient et de haut en bas, entraînant le sexe de l’homme dans une danse effrénée. Notre ami ne résista pas trop longtemps et bientôt je vis que son ventre tapait très fort contre les fesses de ma femme.
Il poussa alors un cri et je sus qu’il venait d’éjaculer dans la chatte de ma femme. Elle se releva, rouge de plaisir, de honte, et se posta devant moi. Elle me tourna le dos aussi, m’offrant ses fesses. Elle s’assit sur moi, pris mon sexe dans sa main. Mais à cet instant, je compris ses intentions. Elle caressa également sa vulve ouverte, mais fit un écart de son bassin, et présenta doucement mon gland devant sa petite rose annale déjà bien échauffée par ma langue. L’objet convoité n’était pas du même calibre. Elle prit toutes les précautions pour que l’introduction de mon gland dans son petit trou ne lui fit pas trop mal. Mais, connaissant bien son corps, elle y réussit et une fois assise sur mes cuisses, je sentis mon sexe s’introduire doucement dans sa grotte si chaude et si serrée.
Peut-être sous le coup de la douleur, elle ne bougeait plus. Alors, je commençai très doucement de donner de tout petits coups de reins, ce qui eut comme effet de dilater son petit trou sous la pression de ma queue et de son plaisir. J’allais me retirer pour pouvoir jouir tout à loisir, mais, autoritairement, elle me maintenait en elle, et j’éclatai de plaisir dans sa colonne de chair si chaude.
Mon plaisir au bout de mon gland fut si intense, que j’eus l’impression que je venais de me brûler au fourneau de ses entrailles.
Trempés de sueurs, essoufflés, souillés par nos spermes et sa liqueur intime, nous nous écroulâmes tous les trois, enlacés sur la banquette.
Assoupi, des bruits de voix et de rires venant de la salle de bain, me tirèrent de ma torpeur. Je m’avançai et découvris un charmant spectacle. Ma femme et son nouvel amant que je venais de lui offrir étaient sous la douche. Elle et lui complètement savonnés, je compris qu’ils venaient de se le faire mutuellement à l’état de son sexe encore en érection. Elle prit la douchette et commença à rincer l’homme, son autre main profitant pour le caresser. Je la vis insister sur ses couilles qu’elle prit à pleine main et esquisser une très légère masturbation sur son sexe.
En rigolant, il lui prit la douchette des mains et commença à son tour de la rincer. L’eau ruisselait sur ses épaules, sur ses beaux seins dressés. Son autre main suivait le court d’eau et il en profitait pour caresser de sa paume les petits bouts de ses seins que je devinais durs et sensibles. Puis le jet d’eau arriva sur son ventre, descendit le long de sa petite fente. Il posa sa main entre les cuisses de ma femme, et je compris, à la manière dont elle ouvrit très légèrement ses cuisses, qu’il avait introduit dans sa petite chatte un ou deux doigts inquisiteurs et curieux.
Il la fit ensuite se retourner et l’eau commença à dégouliner le long de son dos, de ses reins. Le flot s’engouffra dans sa raie des fesses comme le ferait une rivière dévalant une pente. Elle cambra les reins, ses fesses se relevèrent. Il présenta la douchette entre le haut de ses cuisses et le jet d’eau remonta pour inonder sa petite vulve imberbe. Il lui fit mettre les mains sur le mur, écarter les jambes comme le ferait un gendarme ou un policier pour faire une fouille au corps.
Il se pencha et mit sa bouche sur le sexe ouvert de ma femme et entreprit de le lécher de nouveau. Décidemment, cet homme-là, comme moi d’ailleurs, aimait bien cette caresse buccale. Puis il se releva, prit sa place contre le mur de la douche. Il la plaqua contre son corps mouillé. Elle passa ses deux bras autour de sa nuque. Il prit les cuisses de ma femme dans ses mains et les écarta tout en la soulevant au-dessus de son sexe en rut.
Je contemplais ma femme, les jambes ouvertes, les fesses écartées et le sexe de l’homme s’approchant de sa vulve offerte. Il maintint sa queue dressée et fit redescendre le corps qui alla très lentement s’empaler sur elle. Je n’en pouvais plus et j’entrai dans la salle de bain. Je m’approchais du couple enlacé sous la douche d’eau tiède. Je me collai contre les fesses, le dos de ma femme.
Elle ne parut pas surprise par mon arrivée, comme si elle l’attendait. Mon sexe dur contre ses fesses, elle comprit de suite mes intentions. Son visage se tourna vers moi et m’embrassant tendrement elle me souffla :
Je me baissai alors vers ses fesses, et je regardai le sexe de l’homme qui continuait de la pénétrer régulièrement et de plus en plus profond. Son cul écartelé par les mains de l’homme me découvrait en totalité sa petite rondelle. L’agression qu’elle venait de subir il y a quelques minutes était encore en mémoire dans sa chair, car le diamètre de son anus n’avait pas encore repris son diamètre habituel, c’est-à-dire presque clos.
Je me masturbai violement pour durcir au maximum mon sexe. Puis d’une pression sur ses cuisses, j’invitai l’homme à se baisser afin de me permettre de pénétrer à mon tour dans le seul trou encore disponible. Il écarta ma femme de son ventre, et descendit son bassin vers ma queue. Tous les deux ne bougèrent plus et je pus à mon tour m’enfoncer avec délices dans sa grotte, mon gland passant sans trop de problème sa petite barrière de chair odorante. Nous sommes restés ainsi, tous les trois, un instant sans bouger, à l’écoute de nos trois sexes respectifs.
Ma queue sentit l’anus de ma femme se contracter sur elle. Elle semblait vouloir se masturber uniquement en resserrant alternativement ses muscles du vagin et de son derrière. Je pris cela comme une invitation et commençai à la sodomiser vraiment. Serré comme je l’étais, je ne tardai pas à avoir envie d’éjaculer, mais quand je sentis au travers de sa paroi vraiment intime la queue de l’autre homme qui se promenait dans son vagin, je ralentis mon mouvement puis je le stoppais.
Alors, tous les trois ensemble, sans nous concerter, en complète osmose, nous nous fîmes l’amour sans bouger nos corps, uniquement elle, en contractant ses muscles intimes autour de nos queues et nous en faisant tressaillir, remonter très doucement nos sexes, changeant leur position, leur dureté, leur grosseur, uniquement en faisant travailler nos bas-ventres.
Ce fut notre invité qui le premier éjacula dans le sexe de ma femme. Puis, à son tour, elle se mit à jouir lentement mais très fort, inondant les cuisses de son compagnon. Enfin, ce fut mon tour et je sentis mon sperme remonter le long de ma verge et exploser dans les profondeurs de ma femme qui cria avec moi, semblant s’être fait brûler ses profondeurs intimes par ma liqueur de jouissance.
Elle venait de réaliser son plus grand fantasme de femme, et j’en étais heureux car je lui avais démontré que tout peut se faire en amour dans le plus grand respect de l’autre, de son corps et de ses désirs avoués ou non.