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Temps de lecture estimé : 11 mn
07/06/07
Résumé:  Je rentre d'une semaine de travail en déplacement, et après une longue route à moto sous la pluie, une jolie visite surprise m'attend.
Critères:  fh copains bain amour volupté revede voir cunnilingu pénétratio
Auteur : MrTriumph  (Pierre)            Envoi mini-message
Un fantasme si simple

Plus que cent kilomètres avant d’arriver. Certes je préfère la moto à tout autre mode de transport, mais il y a des fois où j’envie le confort d’une voiture ou le repos d’un train. La pluie n’a pas cessé depuis mon départ six heures plus tôt. Tous mes muscles sont raidis par la position de conduite et le froid de l’eau qui a depuis bien longtemps franchi les barrières de mes vêtements. Mon esprit est fatigué de l’attention que je dois porter à ma conduite, doser l’accélération et les freinages sur la chaussée glissante, distinguer la route et les autres voitures à travers les rigoles d’eau qui dégoulinent sur la visière de mon casque. Depuis cent kilomètres, je tiens le coup en pensant au bain brûlant que je vais me faire couler en arrivant à mon appartement. Les derniers kilomètres sont toujours les plus longs, mon corps entier, sentant la délivrance approcher, commence se rebeller face aux tortures que je lui inflige. Ma nuque est raide, mes genoux sont douloureux et mes yeux peinent de plus en plus à voir quelque chose à travers les trombes d’eau qui déferlent sur moi. Je tente d’éloigner mes pensées des douleurs qui s’éveillent au fil des kilomètres dans mon corps meurtri. Un panneau m’indique la sortie dans soixante kilomètres, courage, la délivrance approche…


Enfin je rentre dans la ville, plus que quelques minutes et je pourrai enlever cette combinaison de cuir imbibée d’eau, prendre un bain, puis me prélasser tranquillement devant la télé. Arrivé devant l’immeuble où je réside, je descends la moto dans le parking souterrain. En arrivant devant ma place de parking, je me rends compte que j’ai de la visite, une voiture s’y trouve déjà. Il s’agit de celle de Karine, une amie de ma sœur qui vient de temps à autres loger chez moi quand des réunions de travail l’amènent à se déplacer dans ma région. Je suis généralement content de recevoir un peu de visite pour distraire ma vie monotone de célibataire, mais je viens de passer tellement de kilomètres à imaginer la soirée hyper tranquille que j’allais m’offrir après cette semaine de travail que sa présence chez moi ce soir me semble plus agaçante qu’autre chose.


Je monte à mon appartement en ruminant ma déception de ne pas pouvoir passer une soirée tranquille. Toutefois, cette déception s’estompe vite en rentrant dans l’habitation. Je n’ai jamais connu cela mais qu’il est agréable de se faire accueillir par une jolie femme en rentrant chez soi. Elle vient à ma rencontre dans une robe légère qui lui tombe à mi-cuisse et me salue d’un chaleureux sourire. Ses longs cheveux bruns retombent en boucles sur ses épaules. Quant elle pose sa main sur ma nuque pour me faire la bise, je sens la douce chaleur de sa paume sur ma peau glacée par le vent. Face à cette belle femme, douce et fraîche dans son léger vêtement, je me sens pataud et sale dans ce lourd cuir imbibé sentant le chien mouillé.



Sa voix me semble si douce et chaleureuse après avoir passé plus de six heures dans le brouhaha de mon casque.



Après m’être débarrassé du plus gros de mon équipement, je rentre dans la salle de bain et commence à faire couler l’eau dans la baignoire. J’y ajoute également une bonne dose de bain moussant. Je finis de me déshabiller, puis rentre enfin dans ce bain tant convoité depuis des kilomètres. Je m’allonge lentement dans l’eau brûlante, ferme les yeux et laisse la chaleur du bain pénétrer mon corps fatigué.


Trois petits coups sont frappés à la porte de la salle de bain.



Perdu dans mes pensées, je mets un peu de temps à réaliser ce qui se passe. Je me redresse dans la baignoire et m’assure que le bain moussant masque mon intimité. La porte s’entrouvre, la tête de Karine apparaît dans l’entrebâillement. Elle entre dans la pièce, un joint entamé à la main.



Elle s’assied sur le bord de la baignoire et commence la conversation.



Étant de nature extrêmement timide, surtout avec les filles, j’ai un peu de mal à trouver les mots pour lui répondre. Je baragouine des réponses très banales à ses questions. Je me sens un peu bête, je ne sais pas exactement comment réagir face à elle, j’essaie d’interpréter son regard sans y parvenir. Mon sexe, quant à lui, commence à se dresser doucement sous l’eau, masqué par la mousse abondante.


Les effets combinés de la fatigue, du joint et du bain chaud me font doucement déconnecter de la réalité. Je suis nu dans mon bain et une jolie fille est assise sur le rebord, face à moi, en train de tremper nonchalamment sa main dans l’eau à quelques centimètres de ma cuisse. D’un coup, au milieu de la conversation très banale que nous partageons, elle me dit :



Mes pensées s’affolent, je me demande si j’ai bien entendu la dernière phrase. Elle n’attend pas ma réponse. Elle se lève, se retourne et ses mains viennent faire glisser les bretelles de sa robe sur ses épaules. Le léger vêtement glisse lentement sur son dos, me dévoilant successivement ses omoplates, sa chute de reins, puis ses fesses m’apparaissent tandis que la robe finit sa chute à ses pieds.


Elle se tourne à nouveau vers moi, je la découvre entièrement nue. Ma gorge se noue, je sens tout mon corps réagir face à cette gracieuse et fine silhouette qui se présente à moi. Je la dévore du regard, je fonds face à son visage fin affichant un sourire coquin. Sa longue chevelure brune tombe en cascades de boucles sur ses épaules. Sa poitrine est petite mais bien dessinée, ses deux seins ronds surmontent un ventre plat que mon regard suit jusqu’à son pubis. Celui-ci se dessine entre des hanches qui se poursuivent sur de longues jambes fuselées. Je me redresse davantage pour lui laisser de la place dans la baignoire.


Elle en enjambe le bord et s’accroupit face à moi. Je reste figé dans la contemplation de ce corps sublime que je découvre. Elle s’assied et étend ses jambes en les passant au-dessus de mes cuisses. Ses pieds se retrouvent de part et d’autre de mes hanches puis glissent sous mes omoplates. Je sens ses fesses venir au contact des miennes. Ma peau s’électrise au contact de la sienne. Son corps disparaît sous le bain moussant au fur et à mesure qu’elle s’allonge dans la baignoire.


Pendant un long moment je reste pétrifié, n’osant faire le moindre geste. Puis, je me lance. Ma main vient se poser au-dessus de son genou, juste à la surface de l’eau. Lentement, je la laisse plonger, la fait remonter le long de sa cuisse. Mon cœur bat la chamade, nous nous regardons sans rien dire. Sous l’eau, ma main continue sa progression centimètre par centimètre, je sens le creux de son aine sous mon pouce et la forme ronde de sa fesse gauche sous mes doigts. Ma main remonte alors sur son ventre, et quand mes doigts atteignent la lisière de son pubis, je sens ses jambes se resserrer autour de mes hanches et son regard se faire plus perçant. Je sens ses mains se poser sur mes fesses. Elle s’enfonce davantage dans l’eau, le contact de nos fesses s’intensifie, je sens sa vulve se presser contre mon périnée. Mon autre main rejoint la première sur le ventre de ma compagne de bain, mes pouces plongent dans sa toison bouclée.


Elle se redresse puis se penche au-dessus de mon buste, ses mains viennent se poser autour de mon cou qu’elles enlacent. Son visage se rapproche du mien, ses cheveux glissent sur mon torse. Elle s’immobilise à quelques centimètres de mon visage. Mes mains viennent se poser dans son dos, l’une descend caresser ses fesses tandis que l’autre remonte vers ses épaules. Je sens sa respiration tout contre mon visage, nos bouches se rejoignent, sa langue vient à la rencontre de la mienne et nous entamons un baiser passionné. Ses mains glissent dans mon dos et resserrent leur étreinte, son corps se colle au mien, je sens sa toison venir s’écraser contre mon sexe dressé, ses seins se pressent contre mon torse.


Elle ramène ses pieds sous ses fesses, puis se hissant le long de mon corps vient frotter son pubis contre mon sexe désormais au maximum de son érection. Nos bouches se séparent, nos regards plongent l’un dans l’autre, son sourire coquin de tout à l’heure a laissé place à une expression de désir. Tandis que son bassin ondule sur le bas de mon abdomen, ma main qui se promenait sur ses fesses plonge entre celles-ci, suit le sillon entre les lobes de ses fesses jusqu’à y rencontrer son intimité. Sa tête plonge dans mon cou, j’entends sa respiration saccadée tout contre mon oreille, mon visage est plongé dans son abondante chevelure. Mes doigts caressent ses lèvres vaginales, mon majeur s’avance vers son clitoris, je sens ses ongles s’enfoncer dans la peau de mon dos. Sa respiration de plus en plus forte se transforme en gémissement alors que ma main se fait de plus en plus inquisitrice dans son entrejambe.


Elle ramène son visage face au mien, me fixe droit dans les yeux. D’un mouvement plus ample du bassin, elle fait glisser sa vulve le long de ma verge jusqu’à ce que mon gland se présente à l’entrée de son vagin. Puis, lentement, toujours en gardant son regard planté dans le mien, elle se laisse redescendre autour de mon sexe. Je sens son pubis venir au contact du mien, nos sexes sont totalement emboîtés. Nos bouches se joignent à nouveau, nos langues s’emmêlent tandis que les ondulations de son bassin reprennent autour de mon sexe, fiché en elle jusqu’à la garde. Ses bras m’enlacent avec force, serrant nos poitrines l’une contre l’autre, je sens ses tétons durs se presser contre mon torse. Les ondulations de son bassin se font de plus en plus amples, ses cuisses se resserrent autour de mes hanches. Sa respiration se transforme en gémissement. Je sens son vagin se contracter autour de mon pénis. Puis, dans un ultime cri, elle s’immobilise, toujours plantée sur mon sexe. Elle redresse la tête, me regarde en souriant et sa main vient caresser mon visage.


Nous nous redressons, puis, lentement, elle se dresse sur ses genoux. Mon sexe sort de son vagin. À quelques centimètres de mes yeux défilent ses seins, son ventre puis son pubis. Je vois son mont de Vénus et les lèvres encore écartées de sa vulve juste devant mes yeux. J’y pose un baiser puis me lève à mon tour. Nous nous enlaçons tendrement, debout dans la baignoire, ma verge toujours dressée à la verticale pressée entre nos abdomens. Sans échanger un mot, nous sortons de la baignoire. Je la vois de dos, elle est magnifique. Ses longs cheveux mouillés descendent le long de sa colonne vertébrale où les gouttes d’eau se rassemblent pour former une coulée qui vient se perdre entre ses fesses. Je ne peux m’empêcher de venir l’enlacer à nouveau. Ma queue dressée vient se loger entre les lobes de ses fesses, et tandis que ma main droite vient caresser ses seins, l’autre se pose sur son ventre et descend jusqu’à ce que mes doigts plongent dans son pubis et viennent recouvrir son sexe que je caresse délicatement. Mon visage plonge dans sa nuque que j’embrasse tendrement, un ronronnement de plaisir s’échappe de sa bouche entrouverte.


Au bout d’un moment, elle se libère de mon étreinte, prend ma main et m’entraîne vers la chambre. Là, elle se tourne face à moi puis s’allonge, dos sur le lit. Je la contemple un instant ainsi offerte. Sa longue chevelure brune s’étale sur les draps autour de son visage où brillent ses yeux brûlants de désir. Ses beaux seins reposent sur son torse, bercés par sa respiration. Mon excitation est à son comble, je la rejoins sur le lit, mes lèvres ont faim de ce corps offert à moi. Je pose ma bouche sur la sienne pour un doux baiser tandis que mon corps vient couvrir le sien. Puis, je laisse descendre ma bouche sur son menton, sa gorge, le long de son cou jusqu’à ses seins. Je saisis un téton entre mes lèvres et commence à le sucer. Sa respiration s’accélère à nouveau et ses mains viennent se poser sur ma nuque puis descendent sur mes épaules.


Je savoure un moment les deux collines de sa poitrine et ma bouche reprend sa progression vers le bas. Je déguste son ventre de mes baisers, ma langue s’attarde un moment dans son nombril. Ses mains remontent dans mes cheveux qu’elle caresse. Je sens son bassin onduler sur le haut de mon torse. Je continue ma descente vers la partie la plus intime de son corps brûlant, ma bouche pénètre les boucles de sa toison pubienne. Elle écarte les cuisses pour me permettre de venir goutter à son fruit défendu. Mes lèvres caressent son sexe où ma langue s’insinue. Ses mains se crispent sur ma tête, pressant mon visage dans la moiteur de son entrejambe. Ma langue s’affole devant tant de choses à découvrir, je déguste son sexe offert.


Ses gémissements emplissent peu à peu la pièce. De ses mains, elle continue à presser mon visage dans son sexe tandis que les mouvements de son bassin se font de plus en plus amples et désordonnés. Ses gémissements se transforment en cris, une douce liqueur s’écoule de son sexe sur ma langue et mon menton. Mes mains s’agrippent à ses hanches pour que je ne sois pas désarçonné par les mouvements de plus en plus spasmodiques de son corps en feu.


Je remonte le long de son corps pour me retrouver allongé sur elle. Sa bouche se jette à la rencontre de la mienne dans un baiser passionné, ses mains agrippent mon dos, je sens ses ongles s’enfoncer dans ma chair. Ses jambes entourent mes hanches et me pressent contre son corps. Mon gland ne tarde pas à retrouver l’entrée humide de son vagin. Avec lenteur, je la pénètre. Son gémissement s’étouffe dans ma gorge. J’amplifie les ondulations de mon bassin, mon sexe coulisse dans le sien avec aisance, nos pubis claquent l’un contre l’autre à chaque pénétration, ses ongles me lacèrent le dos. Je sens que mon excitation atteint son paroxysme, mes mouvements deviennent désordonnées. Dans une ultime et profonde pénétration, je jouis en longues saccades au fond de son sexe, joignant mes grognements à ses cris qui résonnent désormais dans tout l’appartement. Ses jambes se croisent derrière mes fesses et me verrouillent dans son sexe, ma jouissance ne semble pas vouloir s’arrêter, je la serre dans mes bras et nous roulons sur le côté.


Nous restons ainsi un long moment, enlacés sur le lit. Nos sexes toujours emboîtés, nous reprenons notre respiration. Nous nous regardons sans rien dire, comblés tous les deux. Je caresse son beau visage, écarte de mes doigts une mèche de cheveux et pose un baiser sur son front. Rassasiés, nous sombrons dans un profond sommeil.


Le panneau autoroutier indiquant la sortie me tire de mes rêveries. Je m’engage sur la bande de décélération, rétrograde et laisse la moto ralentir sur le frein moteur. Le brouhaha du vent autour de mon casque fait peu à peu place à la mélodie du trois cylindres. Je réajuste ma position sur la selle pour tenter de libérer un peu la pression que mon pantalon de cuir inflige à mon pénis gonflé par les pensées lubriques qui m’ont accompagné sur ces derniers kilomètres. Mon voyage pluvieux se termine. Je vais rentrer chez moi, prendre une bonne douche, me rouler un petit joint et m’endormir tranquillement devant la télé.


Seul, comme d’habitude…