Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 11468Fiche technique9493 caractères9493
Temps de lecture estimé : 6 mn
13/06/07
Résumé:  Je suis allée attendre mon amant sur son lieu de travail et je lui ai réservé une jolie surprise...
Critères:  fh travail noculotte fellation cunnilingu hdanus
Auteur : Candy      Envoi mini-message
Surprise à l'agence



Oui, je savais bien que mon amour ne serait pas encore arrivé à l’agence et là était bien mon objectif. Me voilà à l’étage, sur le plateau où travaillent les journalistes de l’agence. Je salue les collègues de mon chéri, échange quelques mots sur le beau temps et le soleil éclatant. Christelle est là, elle est devenue mon amie depuis que notre relation avec Pierre-Yves est « officielle ». Nous sortons souvent ensemble « entre filles », nous partageons un peu de notre intimité et elle m’a aidée à échafaudé ce plan. Elle s’approche de moi, me fait un clin d’œil :



Je me dirige vers les toilettes. Pousse la porte, pose mon sac sur le rebord des lavabos. Un peu de blush sur les pommettes, un vrai rouge sur les lèvres, je parfais mon maquillage et relève mes cheveux blonds sur le haut de ma tête. Je sors la petite trousse verte et me dirige vers l’une des cabines. Je ferme la porte, ouvre la trousse et en sort « les jumelles », ces deux petites magnifiques boules de geisha rose nacré. Je soulève ma jupe, retire ma culotte.


L’excitation monte en moi, j’imagine déjà la surprise que va avoir Pierre-Yves et rien que cette idée a déclenché en moi une vive chaleur dans le bas du ventre. Je sens le sang affluer dans mon clitoris et déjà mon vagin lubrifie. Mon entrejambe est ruisselant et je n’éprouve aucune difficulté à enfourner les boules qui sont immédiatement aspirées dans mon intimité. J’aime cette sensation, je contracte mon périnée, les boules roulent vers le fond de l’utérus, y butent puis re-glissent aussi rapidement, emportées par des flots de cyprine, alors là, je recontracte et les boules montent à nouveau frapper avant de glisser à nouveau le long de mon col… sensationnel.


Mes joues me brûlent, mes entrailles ne sont que volcan et mon cœur s’accélère dans ma poitrine.



Pierre-Yves est là, comme prévu, Christelle lui a demandé de me rejoindre.



Je pousse la porte de la cabine et me dirige vers mon homme pour l’embrasser, je me colle à lui et lui murmure à l’oreille :



Pierre-Yves s’écarte légèrement, me regarde et prend mon visage entre ses mains.



La fièvre, c’est exactement cela, la fièvre s’est emparée de mon corps, elle me brûle de l’intérieur, chauffe sous ma peau, dévore mes entrailles…



Tout en gardant mon visage entre ses mains, Pierre-Yves m’embrasse d’abord délicatement, puis avec passion tout en glissant sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassons goulûment alors que nos mains courent sur nos corps.



Je m’écarte de mon amour, me dirige vers la porte et abaisse le loquet. Nous sommes maintenant enfermés dans les toilettes de l’agence à quelques mètres des collègues de Pierre-Yves. C’est là que j’ai envie de lui faire l’amour, là que j’ai prévu de le surprendre et a priori cela a l’air de fonctionner. Pierre-Yves commence à comprendre.



Tout en disant cela, je pousse Pierre-Yves contre le mur. Il se retrouve adossé au carrelage blanc. Je lui prends la main et la guide vers mon entrecuisses sous la jupe. Les yeux de Pierre-Yves deviennent ronds comme des billes en découvrant une petite chatte épilée humide libre de tout tissu et en frôlant la ficelle des boules.



Je bascule sur le rebord de la faïence du lavabo tout en relevant ma jupe et en écartant mes cuisses. Je sens le froid du lavabo contre mes fesses, un frisson me parcourt. Mon intimité est offerte, la ficelle des boules pend. Pierre-Yves s’approche. Il tire légèrement sur la ficelle tout en effectuant de petits mouvements circulaires avec sa langue sur mon clitoris. Il aspire le petit bouton délicatement entre ses lèvres. Puis il passe sa langue dans mon intimité, la fouille avec avidité, enfin sa bouche attrape la ficelle et de ses dents il la tire délicatement. Je sens les boules descendre lentement et alors que Pierre-Yves les retire du bout de ses lèvres, je me caresse, laissant mon index courir sur mon clitoris, lui appliquant une pression de plus en plus forte, une vitesse de plus en plus rapide. Au moment où la dernière boule apparaît à l’extérieur de mon vagin, des contractions prennent mon périnée, mes muscles se contractent violemment et je jouis en poussant un cri étouffé.


Je me redresse, m’approche de mon amant, lui retire la ceinture de son pantalon et déboutonne la braguette. Son sexe est là, face à moi, dressé. Je le caresse, dépose sur cette verge magnifique une multitude de petits baisers entrecoupés de coups de langue.


Ma langue tournoie autour de son gland que j’aspire et sur lequel ma bouche applique de petites pressions. Lentement j’avale le long et gros sexe de Pierre-Yves qui emplit maintenant la totalité de ma cavité buccale. J’aime sentir sa queue en moi, me sentir emplie par ce beau membre viril. Puis j’enchaîne un petit va-et-vient, serrant puis desserrant mes lèvres sur la verge, caressant les testicules de ma main droite. Pierre-Yves passe ses mains dans mes cheveux, me regarde en souriant. Je me délecte de son sexe.


Puis je le retire de ma bouche, me recampe sur la faïence. Mon amant est toujours face à moi, son sexe raide et tendu. Il s’approche à nouveau, cette fois pour me pénétrer. Je passe mes bras autour de sa taille, mes mains caressent ses reins qui se cambrent alors que sa queue me pénètre dans une cadence régulière.


Mes doigts courent sur son postérieur, mon index parcourt la raie de ses fesses avant de pénétrer entre ses deux merveilleuses pêches et caresse son anus, l’effleure puis le pénètre. Mon amant apprécie, sa cadence augmente, mon excitation est croissante, le souffle de Pierre-Yves, la vigueur de son membre, le froid de la faïence ont raison de moi.


Je me laisse porter tout fouillant le derrière de l’amant, et en lui demandant de me pénétrer plus fort encore et encore, le suppliant d’envoyer toujours plus profond sa verge dans le fond de mon intimité. La position assise, l’angle de mon corps sur le rebord du lavabo permettent à son sexe de me pénétrer toujours plus profondément.


Pierre-Yves cligne des yeux, il retire son membre. Son gland rose est turgescent. Je l’avale, goulûment et avec délectation. Rapidement sa queue emplit la totalité de ma bouche, j’accélère le mouvement de va-et-vient, serrant plus fort mes lèvres, titillant plus encore ce merveilleux gland où tape le sang. Pierre-Yves ferme ses yeux, son corps se soulève, pris par de petits soubresauts. Un râle s’échappe de sa gorge alors qu’il se répand dans ma bouche par petites saccades. Je sens son sperme au creux de ma langue, épais, parfumé, je l’avale à petites gorgées. Je le sens tapisser mon œsophage, alors que mon amant béat me sourit et se perd dans de petits mercis timides. J’en redemande, alors que le sperme répandu dans ma bouche est avalé, je repars à l’attaque, suce à nouveau sa queue, repasse sur son gland afin de ne laisser aucune goutte.


Nous nous redressons. Pierre-Yves me prend dans ses bras, nous nous étreignons dans un grand moment d’émotion et de tendresse. Dans les bras l’un de l’autre nous nous regardons dans la glace en souriant. Il est vrai que nous formons un joli couple, surtout là avec mes cheveux en bataille, nos joues empourprées et nos yeux pétillants de bonheur. Nous passons un peu d’eau fraîche sur nos visages, ajustons nos vêtements et nous recoiffons.


Nous sortons des toilettes la démarche légère et le regard pétillant. le sourire ne nous a pas quitté. Christelle est là, elle me fait un clin d’œil, confus et gêné Pierre-Yves regagne son ordinateur en ne quittant pas les yeux du sol.

Je prends congé, en jetant un « bon courage » et un « à tout à l’heure Pierre-Yves, je viens te chercher à 18h ».