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n° 11480Fiche technique17264 caractères17264
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Temps de lecture estimé : 10 mn
18/06/07
Résumé:  Le fait d'être serviable permet parfois de faire des rencontres exceptionnelles.
Critères:  fh groscul laid(e)s fellation cunnilingu pénétratio
Auteur : Lochat
L'estropiée

Récemment emménagé dans une nouvelle résidence, je me retrouve un soir dans le hall d’entrée avec cette vieille voisine qui est aux prises avec deux lourds packs d’eau. La femme en question doit avoir la soixantaine bien tassée, elle est plutôt petite avec un cul énorme. Je lui propose mes services et elle accepte avec plaisir, car depuis deux jours, l’ascenseur est en panne, comme c’est d’ailleurs souvent le cas dans cet immeuble.


Je monte donc la flotte jusque chez elle et, là, Josiane, pour me remercier de ma diligence, me propose de boire un apéritif. C’est alors que je fais connaissance avec sa curieuse fille, Aline, une femme qui a environ mon âge, c’est-à-dire la quarantaine. Au premier abord, cette dernière est vraiment effrayante. Elle est complètement défigurée et semble aussi avoir pas mal de problèmes pour se mouvoir. Elle est toute tordue de partout et son visage est grimaçant.



Mon hôtesse m’explique que les deux femmes vivent seules depuis que son mari les a quittées, il n’a pas supporté que leur fille unique soit ainsi estropiée. Elle insiste pour que je reste à dîner avec elles et me laisse seul avec sa fille pendant qu’elle s’en va préparer le repas.

J’essaie d’engager la conversation, mais quand Aline essaie de me répondre, j’avoue que je ne comprends pas tout ce qu’elle dit dès qu’elle se met à parler un peu plus vite. Elle a de gros problèmes d’élocution et sa prononciation est défaillante, il faut qu’elle articule, un problème au palais me dira par la suite Josiane. Quand mon interlocutrice esquisse un sourire, parce que je lui raconte une blague, cela ressemble beaucoup plus à une grimace simiesque. La pauvre, ça ne doit pas être facile tous les jours de vivre ainsi avec une tête pareille. Je la plains de tout mon cœur, d’autant plus qu’elle semble intelligente et qu’elle doit se rendre parfaitement compte de son état. Je me demande si cela n’aurait pas été mieux pour elle de mourir dans cet accident. Difficile pour moi de me débarrasser de ce sentiment de pitié qui m’assaille, difficile pour moi d’affronter la réalité.


Le dîner est excellent et Josiane est très enjouée, visiblement heureuse d’avoir un peu de compagnie, ce qui la change du quotidien. Après le repas, j’insiste pour l’aider à faire la vaisselle et nous nous retrouvons tous les deux dans la cuisine.



Glurps ! Je ravale ma salive, je m’attendais à tout sauf à ça. J’étais en train de me dire qu’elle avait peut-être des ennuis financiers et j’étais disposé à lui prêter de l’argent. Mais la perspective de faire l’amour avec cette femme monstrueuse… n’a rien de bien excitant en soi. C’est le moins qu’on puisse dire. Je ne me suis même pas posé la question de savoir si dans son état, elle pouvait encore avoir une vie sexuelle.



Cela veut quand même dire qu’il y a deux ans, donc depuis son accident, un homme a fait l’amour avec elle. Je me demande bien qui. Moi, je n’aurais pas pu… non, je ne pourrais pas. J’inspire un grand bol d’air pour remonter à la surface.



C’est bien ma chance. Moi, je n’ai vu rien d’autre que d’horribles grimaces.



Eh bien, dis donc, quelle histoire ! J’en suis sur le cul, j’en suis baba. Je jette un œil dans le salon, Aline est assise dans un fauteuil et regarde la télé. Je me demande si je vais pouvoir lui faire l’amour, si j’en aurais un jour envie. Elle a un gros cul, comme sa mère, c’est le seul point positif. Mais pour le reste… pauvre fille. Comme si elle lisait dans mes pensées, Josiane ajoute en me touchant l’épaule :



Comme je secoue négativement la tête :



Josiane fait comme si c’était affaire conclue. Comment sait-elle que je ne vais pas me défiler ? Nous retournons dans le salon avec Aline. Je regarde celle-ci d’un peu plus près, elle a le visage tout déformé, tout couturé de partout, il lui manque un bout de lèvre, son nez a été passablement reconstitué. J’essaie de n’avoir l’air de rien, et surtout de ne montrer aucun dégoût à son égard même si c’est un peu difficile parce que, confronté à l’inacceptable, on n’est jamais préparé à le voir. J’ai du mal à rester naturel, je devine qu’elle aussi ressent mes appréhensions et ma faiblesse me rend malade.


Un peu plus tard, Josiane décide de prendre congé, elle nous dit qu’elle tombe de sommeil, qu’elle souhaite aller se coucher.



Aline n’a pas vraiment l’air surprise de la voir partir. Comment les deux femmes ont-elles communiqué ? Comment Aline sait-elle que c’est dans la poche pour ce soir ? Personnellement, je n’ai rien remarqué. Elles doivent communiquer par signes.

Elle éteint la télé et nous restons un long moment dans le silence le plus total. Assailli par le stress et la tension, je ne trouve pas mes mots et ne sais pas trop par où attaquer.



Lorsqu’elle parle plus lentement, elle devient tout à fait compréhensible. Nous nous mettons à discuter calmement, précisément de son faciès puisque c’est ça le problème, elle n’en fait aucun tabou.



Je crois percevoir dans ses rictus un sourire.



Ensuite, la conversation s’oriente plutôt sur moi. Mais Aline sait déjà pas mal de choses.



Il est plus de minuit et nous en sommes toujours à discuter. Sa compagnie est loin d’être désagréable et j’évite le plus possible de regarder son visage, pour ne pas la gêner, mais surtout pour ne pas être gêné.



Sur ce, elle se lève et me tend la main, histoire de demander une dernière fois si c’est « Oui » ou si c’est « Non ». C’est très clair et très direct. Je viens à sa rencontre en signe d’assentiment et elle m’entraîne doucement dans son univers. Pour moi, c’est un peu une plongée dans l’inconnu, car j’espère que je vais être à la hauteur et ne pas le décevoir.


Nous voici donc partis pour faire l’amour. Je la suis un peu comme dans un rêve. Elle éteint la lumière ce qui plonge la pièce dans une saine obscurité, ce qui nous arrange bien tous les deux. Elle m’entraîne jusqu’à son lit et je sens sa main qui farfouille dans ma braguette. Elle se glisse alors prestement entre mes cuisses et prend ma queue molle dans sa bouche. Son empressement a tôt fait de me revigorer. Elle sait ce qu’elle veut, la bougresse, elle se délecte avec ma queue, elle la lèche, elle la lape, elle la suce, elle l’embouche. J’entends ses grognements de satisfaction lorsqu’elle me pompe avec envie. Son savoir-faire me met en joie.


Ensuite, après s’être en partie déshabillée, elle vient sur moi, s’accroupit sur mon visage et frotte sa chatte contre ma bouche. Elle est toute trempée de mouille, j’ai rarement connu femme aussi juteuse. Au risque de m’étouffer, elle plaque son sexe contre moi et se frotte comme une damnée. Elle écarte ses chairs avec ses doigts et réclame ma langue en elle. Il faut voir comme elle se démène, à petits coups de reins.



À l’écouter, il faudrait que je la prenne sur-le-champ, sans aucune protection. Mais je préfère prendre mes précautions. Je la bascule sur le lit, saisis la boîte de capotes et en enfile une sur mon sexe dur. Elle a pris la position, s’est mise à quatre pattes et tend vers moi son cul énorme pour que je la baise. Son cul est XXL, des fesses bien pleines et bien charnues qui se trémoussent d’envie dans mon attente. J’empale cette coquine qui se met à gémir à chacun de mes coups de bite. Peu importe que sa mère soit dans la chambre d’à côté, elle s’exprime de la plus belle façon qui soit et m’incite à y aller toujours plus fort. Vraiment, elle apprécie se faire baiser, sentir un mâle en elle, ça se voit, ça se sent et ça s’entend. Elle gémit tellement fort et j’en suis si excité que je viens bientôt en elle. S’en suit un long feulement de femelle en rut qui prend un pied d’enfer. Lorsque je me détache, elle me demande de suite de la lécher.



Je viens entre ses cuisses et commence à la brouter. Elle se tord dans tous les sens, son clitoris hyper-sensible réagit au moindre coup de langue, elle souffle, elle gémit, elle hurle sa jouissance, elle est complètement partie, son corps est secoué de spasmes chauds…


Après avoir fait l’amour, nous nous déshabillons complètement et nous nous glissons sous les draps. Elle se colle à moi, elle se love contre moi, elle est heureuse, elle ronronne comme une chatte satisfaite en s’enfermant dans mes bras. Je la serre contre moi, heureux de l’avoir rassasiée.

Nous nous endormons très vite et c’est ainsi que nous nous réveillons au petit matin, enchevêtrés l’un à l’autre. Un rai de lumière éclaire son corps. Elle a beau être repoussante avec ce visage complètement cassé, elle n’en est pas moins femme et elle me donne envie d’elle. Ma bite, calée entre ses grosses fesses, se remet à bander et je ne peux m’empêcher de caresser sa poitrine. Son sein gauche porte une large estafilade, il est plus petit que l’autre, déformé, probablement reconstitué. Je sais qu’elle a des bouts de métal un peu partout dans tout le corps. Elle est restée presque un an à l’hôpital à se faire charcuter de tous les côtés. Je ne sais pas pourquoi je pense à tout ça ; qu’est-ce qu’elle a dû souffrir, avec toutes ces opérations ! J’ai mal pour elle.


Mes caresses la font bientôt se réveiller. Elle se retourne alors vers moi, un sourire qui ressemble plutôt à une grimace. Elle semble gênée que la vois ainsi en pleine lumière, mais, quand elle sent mon sexe raide entre ses cuisses, l’amoureuse qui sommeille en elle renaît. Elle a, à nouveau, envie que je la prenne. Elle refuse en revanche le missionnaire et insiste pour que je la prenne par derrière, en levrette, histoire que je ne vois pas son visage, m’avouera-t-elle par la suite. Cependant, je vois son cul, un cul bien rond et excitant, et d’une blancheur immaculée. Je bande à nouveau comme un malade et m’enfonce entre ces fesses merveilleusement charnues.


Sur le coup de huit heures, nous rejoignons enfin sa mère qui s’affaire dans la cuisine :



Sa fille a fait tellement de bruit qu’elle a dû nous entendre. Aline va alors faire un gros câlin à sa maman. Les deux femmes restent ainsi enlacées un long moment, le corps d’Aline est secoué par des sanglots que j’interprète comme de la joie et je vois d’abondantes larmes couler le long de ses joues. Le spectacle est vraiment très touchant, j’ai presque l’impression d’être de trop dans cette scène filiale.



Elle en a presque, elle aussi, les larmes aux yeux.


Je repasse chez moi pour me changer, mais je ne sais pas ce qui me prend, juste avant de repartir au boulot, bien que je sois déjà en retard, j’éprouve le besoin de m’arrêter de nouveau chez les deux femmes. Josiane vient m’ouvrir, mais je la pousse gentiment et je vais droit vers Aline, que j’enlace avec tendresse en l’embrassant avec amour.



Je laisse alors Aline qui a le visage plein de larmes, des larmes de joie, car elle sait désormais que ce n’est que le début d’une très longue histoire.