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n° 11507Fiche technique10599 caractères10599
Temps de lecture estimé : 7 mn
28/06/07
Résumé:  Ma femme est troublée par les regards appuyés de son nouveau directeur...
Critères:  fh couple cocus douche revede intermast
Auteur : Philippe  (Homme marié se demandant si son épouse le trompe)      

Série : Changement d'attitude

Chapitre 01
Ma femme, mon épouse que j'aime

L’autre jour, alors que je sortais de la douche, ma femme fit, sans que je m’y attende, un geste très inhabituel de sa part et qui, aujourd’hui encore, me laisse pantois. Sans façon, alors que je me frictionnais les cheveux avec la serviette, elle cessa un instant de se maquiller, détourna le regard du miroir de sa coiffeuse, tourna légèrement son siège et empoigna d’une seule et à pleine main… mes deux couilles.

Un blanc s’établit dans la salle de bains. Jamais elle ne m’avait fait cela depuis huit ans que nous sommes mariés. Je continuais à me frictionner plus que nécessaire en me cachant le visage avec le linge.



Ce faisant, elle me les tenait toujours, les remuant pour mieux les sentir ou encore en mettant sa main bien à plat et en les soulevant comme pour en évaluer leur poids. Je tenais ma serviette à la main et regardais son bras bouger sous mon ventre moyennement rebondi. Des fourmillements chauds se concentraient sur ma queue et j’imaginais qu’elle s’allongeait. En relevant la tête, je vis le visage de ma femme coloré, les yeux fixés sur son « ouvrage ». À ce moment-là, j’en suis sûr, ma queue s’était dressée et rampait sur les veines de son poignet, lui communiquait sa chaleur. Elle eut alors un sourire énigmatique, me lâcha comme elle m’avait pris, d’un coup, en évaluant aussi au passage le ressort de ma queue par une caresse appuyée de haut en bas, comme pour vouloir me la remettre pendante et molle. Ce qui bien sûr ne se réalisa pas.

La façon qu’elle a eue de faire cela m’a stupéfait. Ce n’est pas du tout son genre. Elle est très « discrète » en amour d’habitude. Elle attend que nous soyons au lit…

Si je me suis montré nu ce jour-là c’est parce que, sortant de la douche, il m’était difficile de faire autrement et Annie occupait aussi la salle de bains.

Annie est blonde, pas très grande mais mince. Un visage d’apparence calme, fait de patience. Elle est bien proportionnée, si ce n’est sa poitrine qui s’est encore développée avec l’arrivée de notre garçon (elle l’a allaité pendant plus de 23 mois et serait prête à refaire un bébé rien que pour ça, le plaisir d’allaiter…).

Depuis, je renouvelle mes tentatives de nu devant elle car j’ai beaucoup aimé sa façon de faire. Le fait qu’elle me dise que mes couilles étaient lourdes a renforcé mon orgueil de mâle, car je sais que, pour ma queue, je suis… comment dire… au-dessous de la moyenne.

Ainsi, l’autre jour je me suis arrangé pour prendre mon bain en sachant qu’elle devait faire un passage… Effectivement, elle est arrivée pour se coiffer, se maquiller toujours discrètement et sans ostentation. Rien ne s’est passé pendant plusieurs minutes, on discutait de tout et je ne songeais plus qu’à la soirée prévue avec ses collègues de travail : son nouveau directeur invitait à un toast d’entrée avant d’aller dîner avec une équipe restreinte dont ma femme faisait partie.



Elle est revenue quelques instants après dans sa robe d’été toute simple, noire, mouchetée de discrets motifs chinois, boutonnée sur le devant de tous petits boutons. Comme je l’aime.

Sans façon, elle s’est assise sur le rebord de la baignoire, me laissant voir ses cuisses nues que découvrait sa robe, et m’a tendu un rafraîchissement. Alors que je buvais, elle me déclara sans ambages que son nouveau directeur semblait être une personnalité ambiguë qui ne la mettait pas très à l’aise, qui la lorgnait, lui semblait-elle…



Inconsciemment, je commençais à me représenter le personnage : matant, bavant sur les seins de mon épouse, et je me mis à bander doucement. Inéluctablement, Annie s’en aperçut.



Ah ! on y était…



À ces mots, je ne sais pas pourquoi, mais je me laissais faire complètement. Annie est la seule femme qui ait accepté la taille de ma queue sans se moquer, en dédramatisant, en m’épousant même. On en rigolait souvent les premiers temps de notre lune de miel, et nos rapports étaient et sont toujours excellents.

Je m’en remettais complètement à elle. Ses pommettes étaient rouges, ses yeux luisants. Moi-même, je ne bougeais plus dans l’eau de mon bain. Seule sa main m’appuyait sur le bas-ventre, décalottant complètement mon gland, redressant ma queue à la verticale.



Me tenant toujours, elle changea de sujet après avoir bu une gorgée de son soda :



Je m’agitais pendant qu’elle parlait, je remuais du bassin, fantasmais sur le regard de son directeur envers sa poitrine, ses jambes… Elle ne semblait pas s’en apercevoir…



Elle sourit en me disant cela et je l’en remerciais, j’en oubliais presque sa main toujours à me tirer les couilles, à me décalotter un peu trop fort, ce qui engendrait une légère piqûre.



Annie était rouge au visage. Nous faisions mine de l’oublier mais elle me tenait toujours la pine et les couilles. Je sentais bien qu’elle adorait me tenir tout entier dans sa main comme cela. De temps en temps elle relâchait la pression, de temps en temps elle resserrait, mais jamais elle ne me lâchait.





À suivre