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n° 11520Fiche technique11838 caractères11838
Temps de lecture estimé : 8 mn
03/07/07
Résumé:  Isabelle prend en main sa thérapie et découvre les joies de la recherche en équipe
Critères:  fh ff copains médical fmast intermast fellation init humour
Auteur : Jean Tissip      

Série : L'Odysée de la recherche médicale

Chapitre 02
Naissance d'une vocation

Le lendemain, Isabelle prit son service à la mercerie comme d’habitude, mais elle passa une bonne partie de la matinée à fredonner des airs joyeux. Sa patronne, qui d’habitude ne l’entendait pas, s’étonna et flaira le coquin, mais au fond elle l’avait bon, le fond, et cela ne lui déplaisait pas d’entendre autre chose que le tintement des clochettes qui résonnaient de moins en moins souvent à l’ouverture de la porte du magasin.


À midi, Isabelle avait rendez-vous, comme tous les midis, dans une brasserie pour manger avec son amie d’enfance Géraldine. Elles prenaient invariablement le même repas et, quand Géraldine vit Isabelle choisir deux entrées et deux desserts, elle ne put s’empêcher de la questionner.



Ce qui était dit fut fait et les deux amies se retrouvèrent chez Isabelle peu de temps après. Elles montèrent dans la chambre sans se faire voir car Isabelle craignait que sa mère ne se fasse du souci. Elles fermèrent la porte à double tour et Géraldine posa son manteau sur une patère posée sur la porte. Isabelle ferma ses rideaux et, dans la pénombre, expliqua l’affaire à son amie.



Elle retira jupe et culotte. Géraldine, un peu interloquée, était à demi-allongée sur le lit d’Isabelle, qui occupait le centre de la pièce. Isabelle, à genoux sur le lit, se tenait devant son amie dont le visage était à hauteur du pubis.



Elle s’assit sur le lit, écartant largement les jambes pour mieux désigner l’objet des soins.



Géraldine, le rouge au joues mais le courage à deux mains, ne fit ni une ni deux. Seulement, elle prit le temps de se déshabiller soigneusement, rangeant ses affaires au bord du lit et se dénudant totalement.



L’heure qui suivit vit se succéder une série de figures charmantes. On en arriva même à un 69 auquel Isabelle n’avait pas pensé. Mais, remarquant que les effets étaient tout aussi spectaculaires que ceux de la masturbation, elle en conclut que cette manière de soigner était sans doute aussi efficace.


Géraldine repartit vers quatorze heures, heureuse, et bien décidée à faire de la pause repas une habitude régulière. Le corps féminin avait des douceurs, insoupçonnées pour elle, qu’au final elle appréciait grandement. D’autant plus qu’elle participait ainsi à une oeuvre de salubrité publique en sauvant la vie de sa meilleure amie.


Le soir même, Isabelle arriva un peu en avance chez son médecin traitant. Après avoir frappé à la porte, elle entendit le docteur lui dire de rentrer. Il ne se tenait pas dans la salle à manger. Elle l’appela et, entendant sa voix, se dirigea dans sa direction. Il était dans sa chambre, en peignoir.



Effectivement, une proéminence dépassait, à peu près dans la région de l’équateur. Isabelle s’approcha aussitôt.



Isabelle, baissant culotte, s’allongea sur le lit, et après une petite hésitation prit en bouche l’engin du médecin dont le sourire ne laissait pas de doute sur la confiance qu’il portait à sa cure. Encore une fois elle fit preuve d’un bel instinct qui amena une éjaculation rapide et abondante dont elle fit scrupuleusement son miel.



Une sonnette retentit.



Prenant Isabelle par la main, le docteur alla accueillir son ami. Celui-ci fut un peu surpris quand Isabelle, après le baiser habituel sur la joue, l’enlaçant d’une main dans le dos, porta la seconde dans l’ouverture de sa braguette en lui annonçant qu’elle le remerciait de mettre son organe au service de sa petite et malheureuse chatte.



Et c’est ainsi que commença une longue période de travaux acharnés et assidus pour Isabelle et ses amis.