n° 11540 | Fiche technique | 15600 caractères | 15600Temps de lecture estimé : 9 mn | 10/07/07 |
Résumé: Un week-end de volupté loin de la mégapole bruyante | ||||
Critères: fh asie hotel volupté fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Lovemi |
Gregory est coopérant, en poste dans grande société pétrolière à Jakarta.
La vie trépidante de cette mégapole indonésienne ne laisse que peu de place à l’évasion.
Mia est une très belle javanaise qui parait encore très jeune. Elle est conseillère économique dans le même groupe.
Depuis son arrivée, Greg est très sensible à ses yeux malicieux en amande et à ses longs cheveux noirs qui lui tombent jusqu’à la croupe.
Ils se croisent régulièrement dans les couloirs feutrés de leur tour de bureaux, similaire à celles que l’on voit dans toutes les grandes villes du monde.
Greg lui répond en ponctuant d’un clin d’œil.
Si les apparences paraissent très pudiques, l’Asie recèle un charme fou, dont la gente féminine sait jouer à merveille.
Cette petite lui occupe l’esprit toute la journée, et ce ne sont pas les ordres arrivant de Paris dans l’après-midi (décalage horaire oblige) qui arrivent à le distraire.
Le lendemain matin ils se retrouvent par hasard au tea-corner vers 9:00. Greg a le cœur qui bat. Il n’a pu fermer l’œil de la nuit, il pensait à elle.
Timidement, elle baisse les yeux et acquiesce les mains jointes.
« Cà y est, elle est à moi », pense-t-il, ravi et excité. Son cœur bat la chamade, il est amoureux et va le lui prouver.
--- ooo ---
Le vol Garuda GA400 décolle tôt le matin ; le temps, précieux le week-end, est court, il le faut en perdre le moins possible. Vers 9:30, l’A320 est en approche de l’aéroport Ngurah-Rai de Den Pasar.
Bali nous voilà. Ils sont tout de suite plongés dans une autre ambiance, le temps semble s’être arrêté. Mia quitte l’avion la première et s’engouffre dans la tiédeur de cet endroit voluptueux.
Un cyclo-pousse que l’on nomme ici « becak » les conduit au Nusa Orchid, charmant hôtel dans le plus pur style balinais.
Mia est belle et fraîche dans une sorte de long sari aux couleurs chatoyantes, fendu sur les deux côtés. La chambre est ornée de peintures représentant l’hindouisme balinais, et offre une terrasse surplombant une petite piscine, oasis de paix et de fraîcheur. Tout est sublime, reposant. Jakarta la trépidante est à plus de 1000km… et c’est tant mieux.
Un bermuda en coton et une chemise en batik coloré ont transformé Greg. Mia s’est glissée dans un bikini imprimé et ceint sa taille d’un paréo jaune. Elle est resplendissante avec son teint cuivré et ses longs cheveux noirs. Mince, sa petite poitrine équilibre idéalement son corps de rêve. Un ventre plat et de longs ongles vernis complètent les lignes harmonieuses de la déesse.
Ils s’étendent sur un transat biplace en rotin et ferment les yeux. Seul le crissement des feuilles des cocotiers alentours troublent ce havre de paix. Personne ne peut les voir, ils sont seuls au monde.
Greg se laisse à rêver, des rêves de jeune homme. Une bosse se forme sous son bermuda. Mia le regarde, d’un regard contemplatif, un brin lubrique.
Comment l’exprimer ! Dans les traditions orientales, l’homme fait le premier pas, la femme se laisse séduire, puis… Elle est sous le charme de Greg, ce beau jeune homme issu d’une riche famille bourguignonne.
Elle fixe sa protubérance mais ne dit rien, elle reste naturelle, ne livre pas trop rapidement ses sentiments.
Greg laisse vagabonder une main sur la cuisse gauche de Mia ; doucement il relève le tissu jaune et découvre ses cuisses. Un frisson la parcourt. Elle se sent bien.
Ses doigts effilés se mêlent aux siens et les conduits vers son ventre qu’il masse délicatement. Sa peau est douce et parfumée. Elle appuie sur la main de Greg tout doucement et contracte très légèrement ces abdominaux. Tout se déroule dans la subtilité, comme l’enseigne les traditions. Greg a capté cette douce sensualité et n’en bande que plus intensément.
Remarquant son émotion, elle se tourne vers lui, mordille le lobe puis darde sa langue dans l’oreille. Un frisson de volupté lui parcourt le corps.
Elle glisse la paume de sa main droite bien à plat sur son thorax et va lui pincer les tétons de ses longs ongles. Une douleur l’irradie, il la regarde mais elle ferme les yeux, la langue pointe entre ses dents immaculées. Elle griffe son torse, joue de son index sur ces abdominaux et descend vers son bermuda.
Il entre dans une plénitude… mais revient brutalement sur terre quand elle lui dit :
Greg retombe sur terre, déçu, lui qui n’a que faim d’elle…
Elle se lève et lui balaye sa longue chevelure sur tout le corps…
Ce petit bout de fille maîtrise la situation.
--- ooo ---
Ils dégustent un succulent nasi goreng suivi d’une copieuse salade de fruits exotiques dans une salle à manger ornée de représentations de Ramayana et autres divinités locales. Un punch à base de goyaves et de citrons verts, les transporte dans une douce langueur.
Ils rejoignent leur nid d’amour, à nouveau seuls au monde.
Greg se couche sur le dos. Mia juste vêtue de son bikini échancré, se glisse sur lui à califourchon. Elle joue de sa longue chevelure pour lui balayer le torse, et lui susurre :
Puis rajoute :
Elle ondule très ostensiblement sa croupe sur la protubérance de Greg en s’évadant, les yeux fermés… Elle est belle.
Greg se cambre, leurs corps se rejoignent et l’agrafe libérée, deux mignons petits seins émergent.
Elle se redresse affichant fièrement deux aréoles brunes aux pointes érigées.
Il n’en peut plus, griffe les cuisses et empoigne sa croupe, il veut la prendre, là, tout de suite… toujours avec cette hâte de jeune mâle.
Mia coule comme une vague sur la plage le long du corps de Greg et le libère de son bermuda. Sa queue fièrement dressée arrache un petit cri contemplatif à Mia qui y dépose un bisou béni.
Elle quitte son dernier rempart et s’assoit en tailleur à côté de lui, le regardant dans les yeux. Lui ne peut s’empêcher de lorgner sa fente totalement épilée (les asiatiques sont souvent imberbes), d’ou perlent quelques gouttes luisantes d’entre ses lèvres appétissantes.
De ses ongles, elle griffe le membre de haut en bas, puis les bourses. Greg est transporté dans un bonheur total. Sa main cherche à agripper le pieu dont la petite main ne peut en faire le tour.
Elle glisse entre les jambes de Greg qu’elle écarte délicatement. Sa bouche se rapproche des bourses et la douceur de son souffle chaud le transcende.
Sa langue taquine ces figues mûres et descend jusqu’à son petit trou qu’elle cherche à explorer. De sa main droite elle coulisse la peau vers le bas en cherchant à décalotter le gland.
Greg ne sait plus que penser. Est-ce bien cette Mia qui l’a croisé hier encore dans les couloirs du bureau, les yeux baissés ?
Mia joue de ses lèvres. Titillant le méat, elle tente d’y pénétrer sa langue, excitant le frein et les deux lobes, puis le gobe entièrement… il entre dans la douce moiteur de sa bouche puis il ressort dans un bruit de succion ; elle prend sa respiration et l’avale à nouveau. Greg navigue vers une autre planète, couché, ses cuisses largement écartées.
Au loin on perçoit les notes d’un gamelan (xylophone traditionnel en bois) rythmant la vie paisible de l’île. Quelle sérénité !
Mia fait volte-face et se met tête-bêche en s’allongeant sur le corps de Greg. La tête au-dessus de son sceptre, les cheveux répandus sur tout le corps comme le feraient les rayons d’un soleil. Greg a au-dessus de lui sa plus délicieuse conquête. Cette petite croupe à la peau extrêmement douce, le fruit mûr à sa portée.
De ces deux mains il caresse l’arrière de cuisses et revient doucement vers les fesses qui se contractent en un doux frisson. Ses mains palpent le creux des reins et remontent délicatement jusqu’aux épaules qu’elles massent. Il veut accaparer ce corps, établir cette relation fusionnelle, que leur deux corps n’en fassent plus qu’un… la croupe ondule et la cyprine se répand dans son cou à grosses gouttes.
Il approche sa bouche, souffle légèrement sur le fruit qui, tel un sésame, s’ouvre légèrement en dégageant deux merveilleuses petites lèvres roses, prolongées d’un bourgeon blanc. Sa langue pointue répond à l’appel et son contact irradie la belle javanaise d’un frisson de volupté, une délicate chair de poule tapisse sa peau satinée.
Mia enserre les bourses de ses deux mains et les malaxent délicatement, n’utilisant que sa bouche chaude pour un va et un vient lancinant. Le sceptre droit, lubrifié par les lèvres, coulisse parfaitement, tantôt elle excite le gland, tantôt elle le plonge loin au fond de sa gorge presque jusqu’à s’étouffer.
La peau de Mia est fraîche et une délicate fragrance embaume les lieux. Greg se délecte sur le bouton et amplifie ses lapements. Il darde sa langue pour la faire pénétrer dans cette fente si accueillante, ressort, joue. Il gobe le bouton puis le titille. Tout ce minou maintenant lui appartient.
Mia commence à défaillir, des spasmes contractent ses muscles de façon régulière puis beaucoup plus aléatoirement. Elle gémit, étouffée par la queue qu’elle déguste. Tout son corps se crispe, ses abdominaux se contractent et se relâchent.
Greg a le visage complètement trempé. Cette vulve est son jouet, il pourrait s’en délecter sans fin.
La croupe frappe le visage de Greg par la chevauchée de sa cavalière.
La bouche quitte la hampe, cherche son souffle, halète bruyamment… il faut jouir.
Elle prend la hampe de sa main droite et lui inflige un cycle endiablé. Le membre nervuré gonfle encore, palpite. Mia convulse, ses cuisses se contractent serrant le visage de Greg comme dans un étau… De longs jets de semence aspergent son doux visage et sa chevelure…
Ils s’affalent tout les deux sur la couche et restent une éternité ainsi. Le jus blanchâtre s’écoule sur son corps contrastant avec sa peau cuivrée. Les cuisses inondées de salive et de cyprine reflètent sur la peau mate.
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La journée est bien avancée et à Bali le soir arrive tôt Des lampions, bercées par la brise tropicale nous inondent de douces lueurs égayant le décor de couleurs chatoyantes.
Après une heure, peut-être deux, ils se réveillent dans les bras l’un de l’autre, lui couché sur le dos, elle à ses cotés, sa cuisse droite posée sur la sienne, ses petits seins blottis contre son thorax. En s’étirant, elle frôle le sexe de Greg et le remercie, et celui-ci répondit par un petit tressautement… en reprenant vigueur.
Les yeux de la belle Mia s’éclaircissent. Leurs bouches se rapprochent et s’unissent dans un baiser passionné.
Sa main gauche se perd dans les cheveux de Greg, la droite descend doucement malaxer les fruits mûrs. Les langues se mélangent, ils sont seuls au monde.
Greg bascule ce corps tant aimé sur le sien, seins contre thorax. Elle ondule lascivement sa croupe lui redonnant taille et vigueur.
Il ose un doigt dans la raie pour sentir une douce humidité. Mia, à califourchon joue de son corps sur le sexe de Greg ; elle glisse d’avant en arrière frottant sa vulve sur le sexe plaqué. Les pointes érigées de ses petits seins viennent à la rencontre des siens et s’excitent mutuellement. Plus le sexe de Greg gonfle et plus la belle ondule.
Greg se délecte et malaxe ses petites fesses appétissantes, ses reins, ses cuisses ; le touché de ce grain de peau, la douce friction des sexes, la caresse de la chevelure sur son corps le transporte dans un monde divin ; …si cela pouvait se prolonger éternellement !
Mia ressent les palpitations du membre mais veut le sentir dans ses chairs.
Il a les yeux fermé quand Mia se redresse, tenant la queue de sa main droite, elle la place à l’entrée de sa vulve dilatée, elle descend doucement pour y faire pénétrer le gland turgescent en décrivant de petits cercles pour distendre la fente.
La tête passe, elle lâche un grand cri, respire, puis s’affaisse en coulissant le long de la hampe. Greg ondule du bassin pour que la communion des chairs soit parfaite.
Mia est droite, le pieu solidement ancré dans son corps, ses seins pointent insolemment. Greg attrape ces deux fruits et les malaxent délicatement.
Elle ne bouge pas, s’agrippe à la poitrine de Greg en plantant ses griffes et fixe Greg droit dans les yeux, sa bouche pulpeuse légèrement entrouverte; délicatement, sans aucun mouvement apparent, joue de ses muscles vaginaux. Elle les contracte puis relâche, puis contracte à nouveau. Son étroit fourreau semble être tapissé de muscles qu’elle contrôle divinement.
Greg n’a jamais éprouvé une telle sensation de bien être.
De ses ongles effilés elle roule et agace la pointe des seins de Greg, doucement, en harmonie parfaite avec sa chorégraphie vaginale. Les yeux dans les yeux. Aux convulsions du sexe de Greg elle répond par un doux clignement des yeux, sa langue dardant entre ses lèvres, dictant à Greg un désir croissant.
En retour, il roule les pointes des seins de Mia entre ses pouces et index, délicatement, puis de manière plus prononcée; ils sont longs et durs, signe de son excitation.
Imperceptiblement elle ondule son bassin d’avant en arrière, excitant son bouton d’amour scellé sur le sceptre enfoui. Comme seul communication, un subtil jeu de langue entre ses lèvres et les pincements des tétons.
Greg sent l’imminence de sa jouissance qu’il communique à Mia. Sa main gauche glisse vers son bouton qu’elle excite fébrilement, sa main droite glisse derrière sa croupe, et saisit les bourses; un ultime échange de regards complices, et les serre en y plantant ses ongles.
Greg sursaute et lui envoie de longs jets dans ses entrailles. Elle se crispe, se cambre et lâche un cri strident… Ils jouissent à l’unisson, …c’est l’extase, le bonheur.
Elle s’allonge sur Greg, les deux sexes imbriqués; d’abondants filets blanchâtres s’écoulent…
Au loin, des fumeroles s’échappent du volcan Agung, protecteur de l’Ile des Dieux, tout est paisible, la vie balinaise continue à son rythme…