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n° 11560Fiche technique31667 caractères31667
Temps de lecture estimé : 19 mn
16/07/07
Résumé:  Comme quoi, une panne de machine à laver peut conduire à l'orgasme.
Critères:  f h fh 2couples inconnu cinéma telnet exhib hmast intermast pénétratio
Auteur : Alain C  (au plaisir de ces dames)
À la rescousse de Delphine

Nous sommes, ma femme Claire et moi, subitement tombés en panne de machine à laver le linge. Le verdict du réparateur n’est pas pour nous réconforter : elle est bonne pour la casse. Ne pouvant pas nous permettre de faire l’acquisition d’une neuve, je décide alors de faire les petites annonces. J’attends patiemment le lendemain matin pour les parcourir. Sans l’avis de mon épouse, partie rejoindre son travail, j’en sélectionne trois. Je m’installe devant l’appareil téléphonique et compose le premier numéro de ma liste. Premier échec : vendu ; le second : répondeur, ainsi que le troisième. Le découragement m’envahit rapidement. Je reprends le journal et replonge, pour en sélectionner de nouvelles ; bien sûr, les prix ne sont plus les mêmes, mais bon, il nous en faut une au plus vite. Une, deux, trois sonneries, le déclic de l’appareil, puis une voix douce et sensuelle prend le relais :



Elle se met alors à me décrire la machine sur toutes les coutures, comme une parfaite vendeuse. J’ai même du mal à en placer une, tant elle est bavarde ; pour mon plus grand plaisir, me direz-vous, tant sa voix est excitante. Très vite, au cours de la discussion, la machine perd peu à peu de l’importance, faisant naître un dialogue de vieux amis retrouvés après une longue absence. Tout y passe, les vacances, la voiture, la maison, je pense qu’elle a un grand besoin de parler. Je commence à m’enhardir, ce débat m’attise, et là je ne sais pas pourquoi, je me lance, un flash ! je m’entends dire :



Au bout de quelques secondes de silence, elle dit :



Les minutes se sont écoulées, tendres et érotiques. J’approfondis ma curiosité en lui demandant, de me révéler sa tenue vestimentaire.



Cette fois, elle n’avait pas eu la force de contester. Bien que cet entretien me mettait bien à l’aise, j’imaginais maintenant très clairement la scène. Quant à Delphine, elle devait être désormais très excitée grâce à mon scénario.



Elle n’osait pas me répondre.



Je ne vous laisserai pas beaucoup de temps pour vous remettre de vos émotions. D’ailleurs, c’est à ce moment que vous relèverez la tête et me regarderez droit dans les yeux. Mais rien ne sortira de votre bouche. Votre regard seul suffit à me dire que vous en voulez encore, que vous voulez que je continue à vous faire frémir.

Alors, mes yeux plantés dans les vôtres, je sortirai le bout de ma langue et amorcerai ma descente à partir du creux entre vos seins. Tranquillement je glisserai à votre nombril. Une pause, pour que je puisse relever la tête pour vous regarder encore une fois. Vous ne me quitterez pas des yeux non plus, mais cette fois, vous me supplierez littéralement de continuer à descendre, toujours sans dire un mot. Alors je me décroche de votre regard, et pose les yeux sur votre sexe. Il est doux, chaud, et probablement très humide. Mais, à votre grand désespoir, je ne m’y arrête pas. Vous pouvez à peine sentir mon souffle au moment ou je passe par dessus et que je continue ma descente.



Le temps n’avait plus lieu, nous étions dans un mécanisme érotique, où ma voix lui arrachait des soupirs de l’autre côté de l’appareil. Mes mots attisaient le feu en elle. Je désirais sa jouissance, sachant très bien qu’elle était à présent en train de se masturber, et cela arriva au bout d’un certain temps.



N’en pouvant plus, je sors mon sexe et commence un va-et-vient, reprenant le déroulement de son récit.



Lorsque je reprends conscience de la réalité, il est trop tard. J’ai honteusement éjaculé sur le sol. Jamais je n’avais connu de sensations aussi fortes et pures en dehors des relations de couples.



J’exposai mon plan à Delphine. Celle-ci n’en revenait pas.



Le samedi suivant, après avoir prévenu ma compagne Claire du déroulement de la soirée, nous prîmes le chemin du cinéma. Très vite je reconnus Delphine devant l’entrée. Elle était vêtue comme je le lui avais dit. Je la vis prendre le bras d’un homme de taille moyenne. Comme prévu, elle s’installa à l’avant dernier rang. La salle était pratiquement vide, nous choisissons une place au fond, dans la même rangée que nos tourtereaux. Claire, toujours très sexy, porte une jupe courte évasée, les seins nus sous un chemisier largement échancré. J’aime voir les hommes la déshabiller du regard. Quelques minutes après le début de la séance, je me penche sur Claire et la caresse. J’ai ouvert son chemisier juste en dessous de sa poitrine et je tète ses boutons roses. Personne ne risque de s’apercevoir de notre incartade, les spectateurs étant glués à l’écran. Ma main pelote à travers le slip minuscule sa petite chatte déjà toute gonflée et son clito qui bande sous la dentelle. Elle est tellement sensuelle qu’elle démarre au quart de tour. À la lueur de l’écran, j’aperçois les deux ombres à quelques sièges de nous. Je constate vite que Delphine a prit les choses en mains, et que leur occupation est assez similaire à la nôtre, Ils s’embrassent à pleine bouche, et l’on devine la main de son mari se promener des cuisses aux seins de Delphine, qui est, elle, la plus proche de nous. À priori cette main ne cherche pas encore à s’immiscer sous les vêtements, peut-être encore un peu indécis. Je fais remarquer au bout de quelques temps à ma compagne :



Tandis que nous échangeons un baiser passionné, j’entreprends de défaire un à un les derniers boutons de son chemisier. Claire sent bien ma manœuvre, et se contente d’enfoncer sa langue dans ma bouche. J’écarte largement le pan de son vêtement et le maintien de ma main passée derrière ses épaules. Je masse le joli sein découvert. Je remarque que l’homme, s’il ne cesse d’embrasser Delphine, s’est positionné de façon à nous voir, et que son regard ne quitte plus Claire. Je sais que ce sein, de profil, est superbe, et le gars doit se rincer l’œil. Ma compagne, loin de s’offenser de mon manège, lance de fréquents coups d’œil à son admirateur. Je caresse et soupèse sa poitrine, comme un melon, et de l’autre main, pelote sa cuisse, en remontant sa jupe. L’accoudoir doit en partie cacher mon geste, mais le garçon ne peut ignorer que je caresse ma compagne. La position de ses jambes, très écartées, est sans équivoque Il a du le faire remarquer à Delphine, car elle aussi se tourne souvent vers nous, mais nous la voyons réagir quand il cherche à s’immiscer sous sa jupe. Elle n’est visiblement pas prête à s’exhiber, et je remercie à nouveau le hasard qui m’a permis de rencontrer Claire anormalement naturelle, spontanée. D’une pression de la main, j’invite Claire à écarter plus grand encore ses cuisses, repoussant sa jambe jusqu’à la poser sur l’accoudoir de son fauteuil. Ainsi ouverte, offerte, légèrement tournée vers ses voisins, sa position est totalement indécente. J’en profite pour glisser la main dans son slip et caresser son bouton dressé.


La tête au creux de mon épaule, elle se laisse caresser. Son sillon est humide, et quand je plonge un doigt à l’entrée de son sexe gluant, elle gémit et se cabre dans mes bras. Nos deux voyeurs ne nous quittent plus du regard. Je caresse Claire de plus en plus profondément, et j’ai maintenant deux doigts qui s’agitent au fond de sa cramouille en produisant un bruit de clapet tout à fait obscène, mais très excitant. Je ne crois pas qu’ils puissent l’entendre, pourtant ils doivent percevoir les gémissements de ma petite. Elle me caresse à travers mon pantalon, et je sens ses doigts s’attaquer à ma ceinture. Je l’aide à me dégrafer, et durant de longues minutes, nous nous masturbons réciproquement. La situation est très excitante et nous pousse à aller plus loin. D’autant que nous sentons leur regard sur nous, et que Delphine, jambes écartées, a poussé son mari à la trousser et se laisse visiblement caresser, en partie protégée par son accoudoir, hélas pour moi.


Nous sommes à la limite de l’explosion. Claire mouille comme une fontaine en tortillant son bassin à la rencontre de mes doigts fichés dans son ventre. Il semble, à ses soupirs, que notre Delphine apprécie particulièrement le traitement que lui inflige son compagnon dévergondé, qui a l’air lui aussi très excité. Je demande alors à Claire.



Son geste pour se déculotter est évident. Courbée en avant, soulevant sa jupe, elle m’enjambe et vient écraser sa chatte ruisselante sur ma queue raide. Bien emprisonné entre les lèvres de son sexe, je me laisse branler dans son sillon, touchant son clito et ses seins. L’homme a l’air de peloter Delphine avec vigueur. Elle est enfoncée dans son siège, cuisses ouvertes au maximum. Claire se soulève, saisi ma queue et la pointe à l’entrée de son vagin. Elle s’empale lentement, et me fait pénétrer avec délice dans son trou chaud et gluant. Le léger balancement de ses hanches est bien visible, et nos voisins ne peuvent ignorer que nous baisons devant eux et que ma petite en a plein la vulve. Claire sait faire durer ce genre de pénétration, et me procure un extraordinaire massage de ses muscles intimes. Je bloque ses fesses dès que je sens que je vais décharger. Je lui glisse à l’oreille :



Je la sens se tendre, pratiquement immobile, tremblante. Bien emmanchée, elle va chercher jusqu’au fond de ses reins un orgasme qui la secoue, affalée sur le dossier du siège qu’elle étreint à plein bras, tandis que je lui astique le clitoris et lui pince un téton. J’ai réussi à contrôler mon plaisir, et je la sens peser de tout son poids, jambes tremblantes, reprenant son souffle. Mais au bout de quelques instants, je sens mon éjaculation monter, et n’y tenant plus, je la lime à coup de reins que je suis vite obligé de ralentir tant grince mon fauteuil. Claire reprend son mouvement et sa cramouille aspire littéralement ma queue. Les yeux fixés dans ceux de Delphine qui semble, elle aussi, proche de l’orgasme sous les doigts de son mari, pétrissant les seins de ma cavalière, j’explose dans son vagin. Je crois qu’elle aussi a jouit.

Je me sens tellement bien dans son ventre que je n’arrive pas à débander, et ça n’a pas l’air de lui déplaire. Nous observons nos élèves. Delphine semble au bord du plaisir. Elle ouvre et ferme convulsivement les cuisses, et soudain se tend dans un soupir. C’est très excitant, mais Claire a des crampes dans les jambes, et je la pousse à s’asseoir de l’autre côté de moi pour me pas faire écran. Je lui glisse à l’oreille:



Et elle se penche sur moi pour me sucer. Je n’en peux plus, mais la situation est tellement excitante et sa bouche tellement accueillante que je ne tarde pas à retrouver un semblant de rigidité, les yeux fixés dans ceux de Delphine pour lui faire comprendre que je voudrai moi aussi voir. Son mari semble lui parler à l’oreille, elle fait l’air hésitante, jusqu’à quand va t-elle jouer l’hypocrite. Je leur fais signe de s’approcher. Visiblement il est partant et essaye de la convaincre, fourrageant sous sa jupe, tandis qu’elle me fixe toujours. Je lui souris en réitérant mon geste. Elle bouge enfin, et presque poussée par lui, se lève et se rapproche, laissant malgré tout un fauteuil vide entre nous. Elle a du charme comme je l’avais perçu à travers sa voix. Son mari ne détache pas ses yeux du visage de Claire qui aspire ma queue, et il replonge la main sous la jupe de sa femme qui ouvre à peine les cuisses.


Je ne fais aucun geste vers elle pour ne pas la brusquer, mais mon sexe a retrouvé sa rigidité, et j’aperçois, entre les jambes de Delphine, l’étoffe claire de son slip sous lequel s’est insinué son mari. Je me penche légèrement vers eux :



Elle me sourit. J’invite Claire à reprendre sa place sur mes genoux, la troussant jusqu’à la taille tandis qu’elle m’enjambe. Sitôt qu’elle est empalée, j’écarte son chemisier pour leur permettre de découvrir de près ses seins. Le garçon a l’air fasciné. Il faut dire que je le comprends. Delphine a visiblement une poitrine menue, et celle de Claire est superbe, généreuse, et très ferme. Il n’y a, du reste, que durant nos sorties qu’elle ne porte pas de soutient-gorge. Delphine se soulève enfin pour se laisser déculotter par son compagnon. Puis il se dégrafe dévoilant une belle érection, et oblige son épouse à se lever pour se glisser derrière elle, dans le fauteuil. Elle se laisse guider. Il soulève sa jupe et me révèle son très joli cul, tout rond, bien fendu, et elle s’assied sur lui. Elle se cabre lorsqu’il la pénètre. Les deux filles, jambe l’une contre l’autre, courbées en avant, se laissent baiser. Ce fauteuil vide entre nous me gène un peu, mais je hasarde une main sur la cuisse de Delphine qui ne se dérobe pas. J’avance jusqu’à son sexe très poilu, et je déniche son clito que je caresse du bout des doigts, sentant le sexe de son partenaire quelques centimètres plus bas. Elle a la fente bien mouillée et les lèvres gonflées De l’autre main je palpe les seins de Claire, essayant de maintenir son chemisier ouvert pour satisfaire mon voisin qui semble très attiré vers cette poitrine et se contorsionne pour l’apercevoir dès que je laisse retomber le pan du vêtement Alors d’un geste je l’invite à mesurer par lui-même la consistance de ces belles mamelles, ce qu’il fait à pleine main, pendant que je continue à branler les deux clitoris que j’ai sous les doigts. J’essaye de caler mon plaisir sur celui de la fille qui se trémousse de plus en plus violemment, et je sens mon plaisir et celui de Claire monter à l’unisson, tant elle me chevauche bien. J’entends Delphine jouir dans une crispation presque imperceptible, alors que je décharge à nouveau en sentant Claire me masser les couilles pendant que je lui astique le bouton et lui défonce le cul a coup de reins. Nous mettons quelques instants à retrouver un rythme cardiaque normal. Nous échangeons ensuite nos adresses, avec le souhait de nous revoir prochainement, mais non pas pour l’achat de la machine à laver.