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n° 11566Fiche technique19201 caractères19201
Temps de lecture estimé : 11 mn
19/07/07
Résumé:  Exhibition en voiture et à la déchetterie
Critères:  f voiture collection voir exhib noculotte photofilm fmast
Auteur : Oeilsoft            Envoi mini-message
Exhibition soft en voiture et lieu insolite

Il avait fait chaud toute cette sainte journée, pour ne pas dire hyper chaud.

Finalement, c’est même devenu une chaude journée.


Depuis ce matin, Léa et moi nous nous occupons de faire du tri, garage, abri jardin et vieilleries. Finalement midi arrive :



Entre deux gouttes de sueur, short et tee-shirt trempés, une douche s’impose.



Son short serré et humide lui colle mieux qu’un gant. Quant à son tee-shirt, la sueur aidant, il lui dessine une poitrine à peine dissimulée que j’affectionne particulièrement.



Le premier était surtout pour étancher une soif très présente, donc, voici rapidement le deuxième qui arrive, suivi d’un troisième pour déguster. Léa a ceci de "particulier", c’est qu’elle est très vite "pompette", "pompette", mais surtout cela lui libère spontanément des idées et des envies qu’elle gère tout à fait facilement "à jeun", mais tout à fait impérieuses et presque incontrôlables les vapeurs aidant.



Je te laisse choisir, c’est son signal, sa manière d’exprimer qu’elle a envie de jouer. Moi qui n’attends que ça, pour ne pas dire que j’attends ce "signal" tous les jours. Oui, je sais, ça fait un peu obsédé, mais j’adore tellement ces situations-là.


Je file dans l’armoire, hésite une demi-seconde et reviens à la salle de bains avec à la main sa grande robe bleue légère à manches courtes et toute boutonnée devant. Je la rejoins sous la douche, pour l’aider à se savonner, mais aussi pour lui augmenter en la caressant les sensations érotiques qui lui occupent l’esprit et le corps.


La serviette remplace rapidement mes mains, et comme on propose de l’aide pour enfiler un manteau, je la nappe, nue, dans ces tissus très légers. Un boutonnage tout aussi léger lui laisse un décolleté sage et une fente sur le devant, découvrant ses cuisses un peu plus qu’à mi-hauteur. Ses yeux brillent de mille feux et négligemment elle se ressert un verre.



Je glisse l’appareil photo pour immortaliser ces instants délicieux qui s’annoncent, et voiture pour les douze ou treize kilomètres qui nous séparent de la déchetterie. Je laisse Léa conduire volontairement, comme cela, elle est obligée de faire attention à la route, et je vais pouvoir en profiter "outrageusement" pour jouer délicieusement.


À peine sortis du village, je commence par lui déboutonner le bas de sa robe jusqu’à la taille et prends bien soin, en lui ouvrant grand les pans du tissu, de lui caresser sa toison et sa chatte tressautante.


Maintenant qu’elle est à poil du bas, je m’occupe du haut. Un bouton, un autre, encore un autre et apparaît son nombril. Délicatement je repousse le tissu sur son épaule gauche, faisant presque jaillir un sein arrogant et tendu.



Je m’attaque à l’autre côté, "faut pas faire de jaloux… ils sont si beaux …". Je mate sans retenue cette vision féerique, avec l’aide de l’appareil photo, ce canon hyper-sexy conduisant les seins à l’air et la chatte à tous vents.


Un carrefour giratoire, où le fait de presque s’arrêter offre à ses pommettes une couleur carmin écarlate géniale, elle se mord les lèvres de gêne et de plaisir. Pour "l’aider" à conduire, d’une main je lui caresse, lui malaxe la chatte, en lui faisant rouler son clito durci entre les doigts. De l’autre, je lui pétris les seins en jouant avec ses tétons, que je pince doucement par intermittence.


Léa respire fortement la bouche grande ouverte, laissant aller son bassin au-devant de mes caresses plus sexuelles que tendresse.



Sa main droite vient vérifier mon érection sous mon short léger, et me malaxe ma queue tendue, presque douloureuse de plaisir.


Un petit village se dessine au détour d’un virage.



Sa respiration devient encore plus difficile, quand déboutonnant les deux derniers "remparts" de décence qui lui restent, j’écarte en grand les pans de sa robe et vient les glisser jusqu’à derrière son dos.


Léa est maintenant complètement dénudée et offerte au moindre regard.



Sa voix excitée et bredouillante fait bonheur à entendre. Deux doigts bien au fond de sa chatte trempée et une pression sur son téton, elle traverse le village. Les yeux exorbités, la bouche sèche, elle est la digne représentation de l’érotisme.


De nouveau, la campagne. Léa se détend, mais sa chatte n’en reste pas moins inondée de plaisir dans le barbotage de mes doigts fouineurs et obsédés. La vitre grande ouverte, elle essaie de rafraîchir un peu ses ardeurs, mais cela est peine perdue. Le vent lui ébouriffe ses cheveux. Que de superbes instants, heureusement que j’ai pensé à l’appareil photo, nous pourrons nous refaire plaisir ce soir en matant ces images.


La déchetterie s’annonce.



Elle s’interroge sur le ton de mes paroles et surtout sur mes yeux étincelants.



Rassurée, mais pas complètement, elle remet de l’ordre dans sa tenue tant bien que mal tout en entrant dans la déchetterie. Sa descente de voiture est un enchantement pour les yeux. Sa robe est décente, du moins vue de loin, car de près, comme moi ou le pépé à côté de nous, cela vaut le déplacement.


En fonction des mouvements ou des pas, on découvre avec bonheur une cuisse, voire les deux, et à s’y méprendre quelques poils de sa toison. Il en va de même pour sa poitrine, qui semble jouer à cache-cache à chaque manipulation d’objet à jeter. Une fois c’est le droit qui se cache, une fois c’est le gauche, en laissant apparaître plus que de raison l’autre.


Léa est violette, les yeux baissés, mais si elle mélange un sentiment de "honte" et de plaisir, son excitation, elle, se respire à des kilomètres. Le pépé mate un maximum en essayant de rester discret. Je décide de pousser le bouchon pour ce petit vieux galant et respectueux. Tellement de voyeurs sont mal élevés et malsains que lui mérite bien un petit cadeau.



Je remarque de suite une lueur d’inquiétude dans ses yeux… Un vrai bonheur !



Je fais en sorte que Léa soit le plus de face au petit monsieur, et commence à lui poser sur les bras quelques trucs. Une petite baguette cassée en bois devient brusquement l’objet complice du délit. Négligemment, comme par inadvertance, le bout cassé de la baguette accroche le pan de la robe, et en la mettant sur les bras de Léa, ce petit bout remonte le tissu en entrebâillant outrageusement le vêtement. Vision splendide de cette cuisse largement dénudée et surtout violée par des yeux amateurs et complices. C’est fabuleux !


Voir ainsi ma Léa, au beau milieu de la déchetterie, les bras occupés, une cuisse nue et offerte bien au-delà de la décence, me comble d’excitation. Les poils de sa chatte sont même visibles, un bonheur ! Je prends bien évidemment tout mon temps pour rajouter quelques petites choses, laissant à notre complice tout le loisir de bien se rincer l’œil et même les deux yeux.


Notre complice ponctuel et moi regardons gloutonnement Léa se déplacer jusqu’à la benne et jeter par-dessus bord, non seulement ce qui lui encombre les bras, mais aussi ce qui lui exhibe cette jambe, pour voir avec tristesse le tissu redescendre et nous cacher de nouveau cette cuisse avenante et bandante.


Léa revient vers moi, écarlate avec dans les yeux cette étincelle grandiose de plénitude érotique que je lui adore. De son côté, le petit monsieur a terminé son déchargement, mais, avec patience et galanterie, il retarde son départ en l’espoir visible d’une autre complicité.



Léa se pince les lèvres, elle sait ! Elle sait que cela veut dire… encore ! Certes pour mon plus grand plaisir, mais aussi et surtout pour le sien. Je regarde à droite, à gauche, l’employé est occupé à quelques bennes de là, personne d’autre entre notre voiture et celle de notre complice voyeur. J’ouvre la porte arrière entre nos deux voitures.



Léa me lance un regard « terrorisé » mais aussi démoniaque de stupre. Elle s’avance, se penche sur la banquette arrière, avec une complaisance radieuse. Je lui murmure discrètement :



Le dos tourné à notre complice, pour profiter moi aussi du spectacle, j’approche doucement ma main de sa robe, et avec délicatesse, comme de peur de casser un cristal fragile, j’écarte le tissu. Doucement, tout doucement, mais de plus en plus, de plus en plus haut.


Une cuisse apparaît, se dénude avec grâce, pour devenir indécente et provocante. Le tissu continue son chemin libérateur, laissant entrevoir, puis découvrir une fesse douce et nue. La robe s’estompe, le pan glisse doucement sur l’autre versant de ce magnifique cul qui ne demande qu’à se faire mater, pour finalement se retrouver à la vue de ces deux voyeurs ô combien attentifs et admiratifs ! Je remonte le tissu bien largement au-dessus de la chute des reins. Léa a maintenant le cul entièrement nu à la vue de ces deux hommes voyeurs-violeurs-mateurs et complices.


Quelle vision que ces deux cuisses superbes, auréolées de ces deux fesses somptueuses, à poil et offertes ! Ne restant pas inactif, je lui caresse ces deux joues féeriques, pour finalement m’appesantir sur cette séparation et descendre doucement vers son trésor humide.


Léa, non seulement consentante mais surtout exigeant cet outrage, écarte doucement les jambes, plie les genoux, et nous exhibe le mieux qu’elle peut sa chatte luisante, à nos yeux violeurs et surtout à mes doigts inquisiteurs.


Un coup d’œil "sécuritaire" m’informe de la venue de l’employé.



Léa se redresse, la robe reprend spontanément une décence académique, mais pas franchement la couleur de ses joues. Un « merci… » ponctue le mouvement de départ de notre complice. L’employé nous lance un regard interrogatif perplexe.


Quelques instants plus tard, Léa, toute rêveuse, les yeux hagards, mais visiblement ravie et surtout radieuse, se laisse conduire hors de ce lieu de débauche. Dans vingt minutes, nous serons à la maison, et là, il ne sera plus temps d’être "virtuel", mais charnel, sexuel, sensuel et surtout "animal".


Pour parfaire ces sensations et continuer à faire "monter" le désir, j’incline son dossier en arrière, et en lui caressant la jambe, lui soulève doucement la cuisse gauche, pour finalement lui faire poser le pied sur le tableau de bord. La robe s’écarte, la découvrant jusqu’à l’entrecuisse et sa toison.



Comme dans une sorte de brouillard, Léa s’exécute. Léa se retrouve les jambes et les cuisses nues, la chatte à l’air, et la robe retroussée à souhait. Lui laissant ces quatre derniers boutons tenir un semblant de décence, je lui dénude outrageusement la poitrine, lui exhibant les seins comme à la foire.



Négligemment, je ralentis. Léa, dans un état second, état que j’adore par dessus tout, se tripote, les yeux presque fermés, la bouche demi-ouverte, la respiration courte, n’attendant plus qu’une seule chose, se faire baiser, se faire mettre, se faire sauter, en un mot, jouir, un sexe bien profond dans la chatte.


À chaque camion que nous croisons, je fais un appel de phares. Le chauffeur, du coup, regarde notre voiture, et comme nous roulons à 50/60, il a tout le loisir de mater Léa, du moins je l’espère, j’espère qu’il aura cette image-vision de cette femme à poil qui se branle en se faisant conduire.


Je profite de l’état second de Léa pour prendre un "raccourci", histoire de faire dix kilomètres supplémentaires, dix kilomètres de plus, où je vais pouvoir l’exhiber, la faire mater, la faire violer des yeux, quelques secondes certes, mais quelques secondes que je vais lui raconter tout à l’heure au creux de l’oreille en la sautant, la baisant, comme elle aime que je lui dise, dans ces moments privilégiés.


Elle sait, elle se doute que je profite, que j’en profite, que je profite de cet état pour mon plaisir, pour son plaisir, pour le nôtre. Elle est honteuse à l’heure qu’il est, mais dans une demi-heure, elle en sera énormément excitée, et c’est surtout ça qui lui importe, qui m’importe : SON PLAISIR !


Elle sait même que si elle me laissait faire, je l’exhiberais sur la place publique, pour sa plus grande honte, mais aussi pour son plus infini plaisir, mais elle n’ose pas franchir le pas.


J’en suis bien à une trentaine de camions, mais seulement une petite dizaine a remarqué, du moins je crois. Une dizaine c’est déjà bien, tout le monde n’est pas comme moi, comme nous, c’est à dire obsessionnel de l’érotisme, de la sensualité et de l’exhib.


Ce petit raccourci nous fait passer par un village avec un feu rouge. Feu rouge certes, mais, rien. J’en suis très déçu. Par contre, soudain, en rase campagne, un tracteur. Et quel tracteur ! Un tracteur avec une remorque où, agrippé aux montants, un homme se tient collé aux bottes de paille faisant face aux voitures arrivant derrière. Je n’en crois pas mes yeux. Je suis aux anges, en espérant qu’il va devenir mon complice, car ce n’est pas toujours le cas. Je ralentis, me collant à la remorque comme si j’allais doubler, mais ce n’est pas devant que je regarde, je mate le mec.


Il regarde, regarde pas ? Il aime, profite ? ou bien il désapprouve, voire exhorte ? Ses yeux en disent long ! Il se place mieux sur les montants de la remorque pour mater un maximum, pour profiter autant que faire se peut du spectacle.


Génial. Je me rapproche au plus près de la remorque. Lui se place en position encore plus avantageuse, un vrai complice, c’est géant !



Je parle ainsi à Léa, tremblant d’excitation, la queue raidie. Léa n’ayant pas encore vu son spectateur, mais occupée seulement à me faire plaisir et à se faire plaisir, redouble d’ardeur. Ses doigts s’affolent, elle met à mal ses seins, ses tétons, ses lèvres, son clito. Son bassin sursaute et va au-devant de cette masturbation violente mais ô combien excitante et luisante de mouille.


Elle est fabuleuse, à poil, en voiture, se branlant comme une obsédée, comme une nympho, les cuisses grandes ouvertes, impudique et ne pensant qu’au plaisir, à son plaisir. Au bout de quelques minutes, elle se rend compte de quelque chose et ouvre les yeux.



Mais déjà dans ses yeux je retrouve cette étincelle d’envie et de plaisir.



Les yeux de Léa crient un OUI énorme d’envie, et sa bouche qui s’ouvre pour protester reste muette devant cette situation excitante à son paroxysme. Je vois Léa devenir violette, cramoisie, ses yeux brillants et fous d’émotion. Et brusquement, elle ouvre en grand sa robe, déboutonne les quatre derniers petits remparts de pudeur et, plaçant ses pieds sur le tableau de bord, écartèle ses cuisses avec une indécente vulgarité. Ses mains s’emparent de sa moule, la triturent avec violence et impudeur, en avançant son bassin vers l’homme comme pour lui dire : touche et tripote.


Léa se doigte avec violence, se pince les tétons en respirant fortement.



L’homme sur la remorque est écarlate de cette vision, la bouche ouverte, il articule des mots que nous n’entendons pas, mais que l’on devine. Je double, accélère et direction maison. À peine arrivés, Léa me saute littéralement dessus, et là, sur le capot de la voiture, me viole presque bestialement.



Et puis, hyper-mutine :



Nous n’avons jamais recroisé de tracteur avec une remorque occupée.


Dommage !