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n° 11575Fiche technique19348 caractères19348
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Temps de lecture estimé : 14 mn
23/07/07
Résumé:  Moments volés.
Critères:  fh ff hh ffh copains sauna fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio init -totalsexe
Auteur : Lediscret      
Avec Yvette

Neuf heures trente, je tapote discrètement à la porte-fenêtre de sa chambre. J’attends quelques instants… un bruit derrière la porte… Elle m’ouvre.



Elle est vêtue de sa nuisette en satin qui épouse ses formes, pieds nus. J’apprécie du regard sa silhouette. Je la sens maquillée depuis peu. Nous sommes émerveillés de nous voir et d’être enfin réunis. Nos mains se touchent, les doigts se caressent, les regards se joignent. Nous nous enlaçons en partageant un premier baiser, profond et sensuel, les langues jouent. Ses bras autour de mon cou, les miens autour de son torse, mes mains caressent son dos. Le baiser devient vorace, sensuel, affamé. Je ne sens pas d’attache de soutien-gorge en la caressant. Sur ses hanches, la finesse de la couture me fait découvrir la seule présence d’un string. C’est la femme éternelle dans toute sa splendeur, une femme qui s’ignore dans sa beauté, son charme, son pouvoir de séduction…


Pendant qu’elle se dresse sur la pointe des pieds, je sens son ventre plat et son pubis bombé s’appuyer contre moi. Le baiser devient ventre à ventre ; j’essaie de reculer mon bassin pour ne pas qu’elle sente de suite l’érection qu’elle me provoque. Je descends sur sa gorge pour en lécher la peau, peau de femme parfumée. Sa tête bascule en arrière, elle s’offre, c’est émouvant et troublant à la fois. Je la tiens par la taille d’une main, l’autre caressant son sein. Des caresses douces dessus, la pointe s’érige et sa respiration devient plus courte. Elle est légèrement courbée, mes mains caressent son torse, ses hanches, ses fesses tandis que les siennes déboutonnent ma chemise pour me caresser le torse.



Nous entrons dans le salon, le canapé nous tend les bras. Elle ferme à demi les volets. Chacun d’un côté du canapé, nous nous déshabillons fébrilement. Nue la première, elle s’allonge sur le dos. J’adore la vision de son corps élancé, ses jambes fuselées, ses seins aux pointes si sensibles, son pubis épilé, son sexe glabre…


Je m’allonge sur le côté, près d’elle. Ma main parcourt son corps en appréciant les courbes. Un nouveau long baiser. Ma main part sur le bombé de son pubis, déjà moite, pour une douce caresse. Ses jambes s’ouvrent imperceptiblement pour me faciliter l’accès. Mon doigt commence par parcourir les lèvres de sa fente, trouve le bouton d’amour et le caresse. Elle est déjà humide de désir, exhalant son parfum d’amour qui m’enivre. Sa main empoigne mon sexe en le pressant fortement. Ma bouche descend sur les seins que je lèche, suçote, lape, et descend encore au creux de son nombril. Je dépose de petits bisous sur son pubis, une odeur enivrante s’exhale d’elle.


D’une reptation, je me glisse entre ses cuisses maintenant ouvertes. Mes deux pouces écartent ses lèvres que je sens humides, ma bouche se pose sur sa vulve. Elle soupire et ma langue lèche ce sillon. Elle sent bon, j’adore son odeur de femme en désir. Ses mains tiennent le haut de ma tête. Je suis affamé de son miel. J’entends ses soupirs, ça m’excite. Le compas de ses jambes est grand ouvert, son utérus baille. Ma langue plonge tant elle est ouverte, gémissante. Elle se donne totalement, elle se cambre. Mon sexe est dur, dressé, décalotté… J’ai envie de pénétrer dans sa chatte humide, je me redresse, m’agenouille entre ses cuisses.



En appuyant sur mon torse, elle me fait allonger sur le dos. Elle se met sur le côté et me saisit dans sa main, regarde un court instant mon gland gonflé et m’avale d’un coup, profondément. Sa langue presse mon gland sur son palais, puis ses lèvres se referment et commencent un lent va-et-vient. Sa main caresse mes bourses gonflées. Je regarde son visage m’avaler. Elle me mouille de sa salive, c’est très excitant. Ses dents effleurant ma hampe, je me sens à sa merci. Je lui dis de faire attention, car avec ce traitement elle risque de me faire jouir rapidement. Elle sourit, suspend sa fellation, m’enjambe et s’accroupit au-dessus de moi. Elle me prend dans sa main, me guide fébrilement, s’empale dessus toute seule, visage crispé, yeux fermés, lèvres pincées. Sa chaleur humide est douce, elle est trempée. Immobile, elle savoure l’instant. Je suis dans un puits de velours brûlant qui me caresse. Je regarde sa tête légèrement renversée en arrière, ses seins dressés et les pointes saillantes. Elle soupire et ondule pour s’empaler au maximum. Sa chaleur se communique à mon gland. Elle pose ses mains sur ma poitrine et continue à onduler, soulevant son bassin et se laissant retomber. Je regarde ma verge, mouillée de son plaisir, apparaître et disparaître, gluante de traces blanches alors qu’une mousse blanche se forme sur les côtés des lèvres de son sexe. Mes mains sur ses hanches la libèrent et mes pouces entrouvrent le haut de son sexe pour caresser le haut de sa vulve et son clitoris…


Avec moult gémissements et soupirs sa cavalcade s’accélère, le plaisir la dépasse. Pendant que je la caresse, ses mains pincent la pointe de mes seins, elle m’excite. D’un coup, sans prévenir, elle jouit en miaulant et resserrant ses cuisses, tétanisée. Je me cambre encore plus pour mieux l’empaler, arqué.


Elle s’effondre sur moi, haletante, tremblante, chatte…


Toujours fiché en elle, je la laisse retrouver ses esprits.


Elle se déboîte et s’allonge sur le côté. J’ai la verge et le pubis mouillés. Elle me donne un long baiser, son regard se pose sur mon membre dressé. Se rendant compte que je n’ai pas joui, elle commence à caresser ma verge dure et dressée, doucement, puis plus fermement. Mes bourses pleines sont flattées et sa bouche me happe.


Je la fais mettre tête-bêche. Sa chatte est ouverte, les lèvres gonflées, rougies. Elle sent la femme, j’adore ! Ma bouche se colle à sa grotte brûlante, elle est dégoulinante, juteuse. Son odeur est excitante, son goût est bon. J’aime la lécher et elle adore ça.


Ma verge dans sa bouche, ses cheveux caressant ma poitrine, je sens mon plaisir venir. Elle le sent aussi, un ongle caresse mon anus, insiste et me pénètre ce qui me fait exploser. Ses lèvres se resserrent, emprisonnant mon gland et ma liqueur. Je la sens avaler. Sa joue posée sur ma cuisse, ses succions reprennent pour me nettoyer pendant que je récupère mon souffle. Sa caresse se veut très douce. Je colle son bassin sur ma bouche, encore plus, et recommence à la lécher plus tendrement. Je la déguste, le visage barbouillé, gluant d’elle.


Nous nous redressons face à face. Un long baiser nous unit. Nous mélangeons nos saveurs, nos jouissances, nos salives. Baiser d’union… baiser communion… Bisous… Caresses… Nous nous levons.


Nous prenons enfin le café, nus tous les deux, debout, l’un contre l’autre. Nous le ponctuons de bisous, câlins et caresses. Les tasses posées, nous nous enlaçons. Je suis dur et dressé, son pubis se presse contre moi. Elle rompt le baiser et me chuchote :



Nous allons dans la chambre, enlacés. Elle tombe sur le lit plus qu’elle ne s’y allonge. Impudique, provocante, elle écarte les jambes, me montrant sa fleur mauve, gorgée de sang et de désir, gluante. L’intérieur des cuisses est mouillé par son désir. Je rampe, je la rejoins, agenouillé au milieu de ses cuisses ouvertes. Du bout du gland, je caresse ses lèvres huilées de son miel. Dans un souffle, elle me dit :



Je me guide, m’appuie sur son puits. Son bassin se cambre, elle me fixe dans les yeux. Je la pénètre d’une seule poussée. Ses jambes se referment sur mes reins, ses bras sur mon torse, ses mains dans mon dos. Elle se colle, devient pieuvre.



Elle devient pieuvre, m’aspire en elle, cannibale dans ses baisers, femelle réclamant la semence. Je la pistonne violemment. Elle m’excite par ses geignements, l’odeur de sa chatte… Sa tête dodeline, ses talons martèlent mes reins. Mon gland est pilon, je me sens mâle de la dominer de ma queue. Je la baise littéralement, voulant l’assouvir, l’asservir. J’ai envie de la défoncer, de l’éventrer, tellement son amour me bouleverse. Mes bourses gonflées bouillonnent. Je veux jouir avec elle. Des "oui ! oui !" me préviennent de son envolée et un cri strident venu du fond de son ventre me fait exploser en elle, arc-bouté, soudé. Ses ongles sont plantés dans mon dos, son bassin est soudé au mien. Je me vide en elle, elle feule. Je m’effondre sur elle, torse contre torse. Nos souffles s’harmonisent, nous ne bougeons plus. Sa vulve m’enserre, gluante, collante, visqueuse. Je suis bien dans son ventre.



Le temps est suspendu. Après le plaisir vient la tendresse. Mon sexe ramolli sort d’elle, c’est le moment des bisous et des câlins. Je lutte contre l’envie de m’assoupir, elle me propose une douche, j’accepte.


Après, on redevient plus amis qu’amants. On rit, on plaisante. Il faut se séparer et retourner à la routine journalière. Après les baisers de l’au-revoir, juste avant de passer la porte, je lui dis en plaisantant :



Je ne repars pas, je reste. Je l’enlace à nouveau. Je la sens frémir. Je frémis, on se presse.





o-o-o-o-o-o-o-o-o-o





Il paraît que je la connais de vue, qu’elle me trouve sympa, mais je n’arrive pas à la situer malgré ses explications. Le rendez-vous est pris pour 21 heures chez Yvette, où nous nous retrouverons. Je jouerais le rôle de chaperon. Dans leurs confidences entre filles, Yvette lui a vanté les charmes du sauna, la sensualité des lieux, avoué la douceur des femmes. Laura lui a révélé que la découverte et une expérience la tentait, Yvette espère bien la convaincre à cette occasion et de la faire succomber.


Me voilà chez elle, ce vendredi soir. Sa copine est déjà là. En effet, je la connais, pour l’avoir déjà aperçue le matin, au bar, en prenant le café en compagnie d’Yvette. Âgée de 40 a 45 ans, les cheveux tirant sur le blond, de grands yeux, 1,55 m environ, bien proportionnée. En résumé : sympa.


Après quelques moments devant un verre, à discuter pour la rassurer sur le fait qu’elle ne risquait pas de rencontrer des personnes qui la connaîtraient, nous voilà en voiture, en route vers Arles. Yvette en profite pour lui rappeler les règles du jeu : tout est permis, rien n’est obligatoire. Je sens son amie avoir quelques appréhensions quand même, mais nous la rassurons en lui disant que nous ne la quitterons pas.


Parking privé, la porte d’entrée s’ouvre. Nous prenons nos jetons de cabine, nous nous déshabillons et enfilons chacun un peignoir éponge. J’ai eu le temps de voir Laura nue, elle a supporté mon regard en me souriant. Elle n’est pas mal du tout…


Nous commençons par parcourir le sauna au milieu des couples pour lui faire découvrir les lieux, puis passons au bar pour prendre un verre. Elle trouve l’endroit sympa.


Notre verre fini, nous décidons d’aller au jacuzzi où déjà un couple enlacé se prélasse, s’embrassant à pleine bouche. Une fois que nous sommes habitués à la lumière tamisée, nous nous apercevons que l’homme caresse le pubis de la femme et celle-ci, jambes écartées, va au-devant de la main qui la caresse. Les joues rosies, Laura regarde le couple.


Nous quittons nos peignoirs, et nous entrons nus dans le jacuzzi. À ma gauche le couple, l’homme près de moi, à ma droite Yvette, à la droite d’Yvette, Laura.


Moment de relaxation. L’homme reprend les caresses sur sa compagne qui, tête renversée en arrière, yeux fermés, bras accrochés au rebord, se laisse flotter, laissant apparaître par moments son ventre et la main de son compagnon. Le spectacle est si beau que ma verge se dresse. Je sens la main d’Yvette qui caresse ma cuisse, elle regarde aussi.


Le couple bouge, l’homme se pousse et sa compagne vient s’intercaler entre lui et moi. Leurs caresses reprennent, elle appuyée contre moi. Ma main part à sa rencontre sans qu’elle se dérobe ; au contraire, elle s’ouvre dans une invite muette. Doucement, je mêle ma main à celle de son compagnon, par-dessus celle-ci et je commence à la caresser. Ce dernier retire la sienne et commence à se masturber en regardant ma main qui caresse sa compagne.

Yvette ne perd pas de temps et mêle sa main à la mienne. Je ne veux pas la priver du plaisir de caresser une autre femme, aussi je retire ma main pour lui laisser la place.


Laura, le menton appuyé sur l’épaule d’Yvette, la regarde caresser cette femme, fascinée. Je vois Yvette saisir la main de Laura et la poser sur le pubis de cette femme, la guidant pour les caresses. Laura la caresse timidement, puis s’enhardit. L’homme écarte encore plus les genoux de sa femme, la rendant plus accessible. Yvette alors retire la main de Laura du pubis de cette femme et la place sur ses seins à elle, pendant qu’elle reprend ses caresses sur la femme. Laura commence à caresser Yvette plus franchement, le rose aux joues, passant et repassant, jouant avec les mamelons. Yvette tourne la tête et trouve les lèvres de Laura, qui n’a aucun recul quand celles de son amie se posent sur les siennes.


Je reprends les caresses sur cette femme car Laura a enlacé Yvette. L’homme alors avance sa main et prend ma verge pour la masturber. Il a l’air de prendre du plaisir à me voir caresser sa femme. Il se penche et m’embouche. C’est chaud, humide… j’apprécie. La femme se met à jouir avec de petits soubresauts. La bouche de l’homme m’abandonne pour un baiser violent avec sa compagne et les voilà qui sortent ensemble du jacuzzi, nous laissant tous les trois seuls, un peu interloqués.


Yvette ne perd pas de temps, se couche sur Laura qui flottait à demi, l’enlace et lui donne un long baiser.



Nous voilà tous les trois en recherche d’une cabine libre. Presque toutes sont occupées, mais nous en trouvons finalement une. Yvette ferme le loquet pour préserver notre intimité. Elle et moi quittons nos peignoirs. Je m’allonge, pendant qu’Yvette dénude Laura, la prend par la main pour la coucher à ma gauche, et se met sur la couche à gauche de Laura. Elle l’embrasse, elles se font face et je les vois se presser l’une contre l’autre. Je sens qu’il ne faut pas me mêler de leurs jeux.


J’ai l’impression que Laura est anxieuse, hésitante, Yvette commence à parcourir son corps en de douces caresses. Je vois Laura prendre l’initiative des baisers. Yvette caresse les seins, roule les pointes et sa main descend sur le pubis de Laura. Allongé sur le côté, je profite du spectacle. Les doigts d’Yvette partent à découverte des lèvres du sexe de Laura ; celle-ci, les yeux fermés, passive, ouvre le compas de ses cuisses. Je vois Yvette la caresser, ouvrant ses lèvres ; petits gémissements de Laura, sa respiration de fait plus saccadée, elle se rend, des petits « oui… oui… » sortent de sa bouche. Yvette la met sur le dos sans cesser sa caresse, s’allonge sur elle, l’embrasse à pleine bouche pendant que Laura referme ses bras sur sa nuque, partageant le baiser. La bouche d’Yvette descend sur sa gorge, lentement, sur ses seins, en lèche les pointes.


Laura soupire d’aise, caresse la tête de son amie qui descend sur son ventre, se recule entre ses cuisses, picore son pubis de bisous, puis écarte ses cuisses et pose les lèvres sur sa vulve, y colle délicatement sa bouche et commence à la lécher…


Laura a les yeux noyés en se redressant pour regarder Yvette entre ses cuisses. Elle écarte totalement ses cuisses, genoux relevés, elle geint doucement, son ventre ondule, cambrée. Je vois la bouche d’Yvette collée à sa vulve et j’imagine plus que je ne vois sa langue qui la fouille.


Laura étire dans ses doigts la pointe de ses seins, et d’un coup elle jouit, se met à crier, cambrée, arc-boutée, tremblante. Yvette plaque encore plus sa bouche contre son sexe.


Laura a le visage souriant, picore les lèvres d’Yvette de baisers, puis part s’agenouiller entre les cuisses de Yvette et colle sa bouche directement sur la vulve, entre les cuisses écartées. Les yeux fermés, elle lèche. Yvette a le sourire que je connais, encore une qu’elle a convaincue.


Laura introduit un doigt en elle, semble très soucieuse de lui donner du plaisir. Yvette s’offre les lèvres pincées et les yeux clos. Ses lèvres intimes sont gorgées de sang, presque violettes, elle s’arque et jouit presque immédiatement en soupirant. Hagarde, elle me regarde, le regard chaviré. Elle m’enjambe, me saisit, me guide et s’empale d’un trait en me guidant en elle. Je suis au fond d’elle, je n’ai pas le temps de bouger qu’elle se crispe et se met à jouir dans un bruit mouillé, les larmes aux yeux. J’ai la verge luisante de sa mouille, je suis dans une grotte humide et brûlante.


Je commence à coulisser en elle, renversée en arrière, ses mains sur mes genoux. Laura, qui n’avait pas bougé, s’approche et lui embrasse les seins.



Elle est déchaînée. Je coulisse en elle dans un « flop flop » humide, ses mains se crispent contre mes genoux, ses ongles me font mal et elle jouit à nouveau dans un long râle.


Elle récupère, allongée sur moi. Laura, lovée contre elle, la caresse doucement. Je sens le bassin d’Yvette recommencer à onduler doucement, ses muscles intimes revivent ; toujours empalée, elle se redresse, je recommence à coulisser en elle. Agenouillée, Laura l’embrasse sur la bouche.


Yvette la dirige par les hanches pour qu’elle vienne s’accroupir sur moi, sa vulve sur ma bouche. Je suis obligé de la repositionner mieux car je n’arrivais plus à respirer. Laura est mouillée, je la goutte, je la découvre. J’aime son goût.


Je la sens qui glisse sa main sur le devant de la vulve d’Yvette. Elle la caresse et me caresse aussi. Je sens mon plaisir venir, je m’arque pour mieux empaler Yvette sur moi, j’explose en elle, je me vide… C’est bon !


Je sens Laura qui jouit silencieusement, ses cuisses se crispent. Yvette se retire, je sens Laura presser mon gland pour en faire sortir les dernières gouttes, elle se met à me caresser doucement ; elle se relève de sa position accroupie de dessus moi, je respire mieux. Elle vient se mettre sur le côté, près de moi, en continuant de me caresser,


Yvette à côté de nous se caresse en nous regardant. Laura me sourit en voyant mon sexe qui se redresse doucement, le gland rouge et satiné. Tout en me tenant dans sa main, elle m’enjambe, me guide, se pénètre elle-même. Elle est trempée, elle m’absorbe totalement,


Laura doit me sentir fatigué car elle dirige l’acte en ondulant d’avant en arrière, les yeux fermés, les mains sur ma poitrine. Je sens ses parois intimes qui me caressent, je ressens un plaisir d’être dans une nouvelle vulve, ça change, j’aime. Le plaisir vient plus doucement, elle accélère ses ondulations, je ne peux me retenir, je jouis en elle doucement.


Elle se retire, s’allonge près de moi, sa tête contre mon épaule. Yvette s’approche et commence à bisouiller mon sexe encore gluant de sperme et de la mouille de Laura. Elle le saisit entre les doigts et m’avale, douce caresse. Mais fatigué, je bande à moitié.



Nous enfilons nos peignoirs et sortons de cette alcôve. Discussion sympa autour d’un pot, mais fatigués tous les trois, nous décidons de rentrer.