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n° 11584Fiche technique12416 caractères12416
Temps de lecture estimé : 8 mn
27/07/07
Résumé:  Les ascenseurs des facultés réservent parfois bien des surprises...
Critères:  fh hplusag jeunes inconnu profélève grossexe lunettes ascenseur fsoumise hdomine voir lingerie facial fellation init humour
Auteur : Maldoror      
L'étudiante

Il était 13 h 10 lorsque j’empruntai l’ascenseur de la faculté de P*** qui me conduirait à ma salle de travaux dirigés. Vêtu d’un costume sombre et d’une chemise blanche, le col déboutonné et ma sacoche sous le bras, je m’apprêtais à donner mon premier cours de la rentrée pour la quatrième année consécutive. J’avais désormais l’expérience de ces rendez-vous délicats et savais parfaitement comment les gérer, sans prétention aucune. Mes étudiants étaient en première année et il me serait facile de les impressionner, d’autant que la consultation de leur emploi du temps m’avait assuré qu’il s’agissait de leur premier TD. Une matière importante qui plus est - la méthodologie - sans laquelle il est impossible de composer un commentaire juridique digne de ce nom.


L’élévateur poursuivait lentement son ascension jusqu’au cinquième lorsque les portes s’ouvrirent au deuxième étage pour laisser apparaître une étudiante terriblement sexy. On était fin septembre et la chaleur ambiante offrait encore quelques décolletés généreux ou d’étonnantes minijupes où l’on devinait parfois du bureau le sanctuaire des sanctuaires. Les plus coquines s’en amusaient souvent, car j’avais remarqué que régulièrement, les filles qui s’installaient au premier rang appartenaient à deux catégories : la première était celle des plus sérieuses, résolues à donner le meilleur d’elles-mêmes dans leur participation ; la seconde, en revanche, voyait éclore les meilleures allumeuses, pas toujours les plus mignonnes, il est vrai, mais tout de même très excitantes. Je me souvenais par exemple d’une jolie Élodie qui, peut-être par insouciance, m’avait offert une vue plongeante sur l’étoffe blanche qui masquait sa toison sous sa jupe durant toute une séance. Une heure et demie à tenter de masquer une érection qui ne cessait d’altérer ma mémoire en pleine argumentation. Un vrai calvaire !


Pour l’heure, j’espérais que cette petite étudiante serait tout aussi peu farouche. Juchée sur des bottes de cuir verni, la jeune fille arborait une robe mi-cuisses rouge et lacée dans le dos, d’où s’échappait une paire de jambes au galbe magnifique, de vraies échasses. Ses seins lourds et fermes pointaient sous le tissu de sa robe de coton que je devinais légère comme l’air. Ce que la jeune fille me confirma très vite lorsque, pénétrant à l’intérieur de la cabine de l’ascenseur en roulant des hanches, son petit sac à dos sur l’épaule, elle fit virevolter le bas de sa robe pour dévoiler l’une des jarretières de ses bas fumés.


Je sentais déjà l’érection pointer dans mon boxer quand, se positionnant à mes côtés dans une vague de Shalimar, elle me gratifia d’un sourire énigmatique avant d’appuyer sur le bouton numéro cinq à son tour. Son visage, scindé par des lunettes rectangulaires à monture noire, affichait une innocence qui contrastait avec sa tenue équivoque. De larges yeux azur en amandes où papillonnaient des fils d’or, des lèvres fines et roses, divinement surlignées, et un léger maquillage qui affinait davantage ses traits harmonieux. Le carré de miel de ses cheveux parfaitement lissés était maintenu par deux barrettes en fer blanc fixées au-dessus de sa tempe gauche. Une fraîche odeur de shampoing glissait sur mon corps pour exciter mes papilles, déjà assaillies par le parfum sucré qui émanait de son cou cerclé par une bandelette de tissu noir.


L’ascenseur reprenait sa lente progression quand ma main gauche effleura - malencontreusement ? - un pan de sa robe. Il m’était désormais difficile de dissimuler la bosse de mon pantalon qui trahissait mon émotion. Elle la remarqua sans doute car, visiblement intimidée, elle se tenait campée sur ses hauts talons, parfaitement droite, une cambrure de violoniste, le regard en berne noyé dans l’inconnu. Elle était là, à ma merci, et me faisait un effet qu’aucune autre femme dans ma vie n’avait su me procurer.


Alors je ne sais pas ce qui me prit, mais de peur de ne plus jamais pouvoir réfréner ce terrible désir qui ne cessait de lancer ma queue, ma main échappa à mon contrôle pour délicatement se poser sur sa cuisse brûlante. La fine pellicule de nylon était d’une telle douceur que je laissai mes doigts divaguer sur sa peau pour glisser sur son cul haut et ferme. Mon index longeait maintenant la fine bandelette de son string, passant parfois sous l’élastique pour se perdre sur sa peau moite et humide, avant de forcer la raie de ses fesses.


Cette soudaine pulsion qui s’était emparée de moi s’avérait une prise de risque conséquente, car une seule plainte de l’étudiante suffirait à ruiner ma prochaine carrière universitaire. D’autant que j’étais, de par ma thèse paraît-il, l’un des éléments en devenir… Mais le désir l’avait largement emporté sur la raison et la crainte. Et la réaction de la belle inconnue me conforta dans mon envie d’aller plus loin encore.


Elle eut en effet ce geste à la fois simple et efficace qui acheva de consumer ma libido.


Nous étions quelque part entre le quatrième et le cinquième étage quand elle intima d’une pression du doigt à l’ascenseur de s’arrêter. Je continuais en attendant à peloter ses fesses, les pulsations de mon cœur battant jusque dans mes tempes. Sa main effleura ensuite mon entrejambe pour finalement épouser l’empreinte que dessinait mon pantalon. La surprise de la vigueur de mon membre lui fit écarquiller les yeux et, tandis qu’elle hésitait sur la conduite à tenir, je fis glisser une bretelle de sa robe sur son épaule nue. Son sac tomba à terre, à quelques centimètres de ma sacoche. Comme je le pensai, elle ne portait aucun soutien-gorge, son sein avait surgi à la vitesse de l’éclair, pointant son joli museau rose en ma direction. Je le pris immédiatement en bouche et entrepris de le mordiller quelques instants pendant que ma paume investissait la rondeur de son sein. J’entendis l’étudiante gémir à ma première morsure, puis, comme elle n’avait toujours pas deviné ce que j’attendais d’elle, j’appliquai sur son épaule et sa hanche une légère pression verticale qui la contraignit à s’agenouiller.


Elle me dévisagea de ses grands yeux clairs avant d’ôter ses lunettes et de déboutonner mon pantalon afin de découvrir ma puissante érection. Je bandais comme je n’avais jamais bandé. Ma queue était si imposante que je me demandais comment cette petite salope allait s’y prendre pour l’avaler. Du reste, elle sembla deviner mon inquiétude, car je la sentis tressaillir à la vue de mon membre gorgé de sang, réprimant une grimace qui me laissa sans voix. Mais comme je la toisai du regard, impatient, elle me saisit entre ses doigts et commença à me branler en jouant avec sa langue sur l’extrémité de mon gland. Je posai alors mes mains sur son crâne, effleurant ses barrettes au passage, et m’engouffrai doucement dans sa bouche jusqu’à la garde.

Elle comprit alors qu’il était temps de passer aux choses sérieuses et commença à me pomper avidement dans un bruit de succion très excitant. Donnant quelques coups de reins pour mener la cadence, je ne savais plus qui guidait cet ébat. Était-ce elle la maîtresse de cette cérémonie, ou bien moi qui avais l’impression de me branler dans cette bouche onctueuse et humide ? Elle continua de me pomper de la sorte pendant un long moment, échappant des gloussements lorsque ma queue cognait sur son palais pour mieux s’enfoncer dans sa gorge, déversant à cette occasion d’épais coulis de bave lorsque je me retirais pour la laisser respirer. À chaque coup de queue dans sa bouche, ses grands yeux clairs n’avaient de cesse de me détailler et son khôl avait coulé le long de ses joues.


La petite salope n’en pouvait plus. Moi non plus. Et avant même que j’aie le temps de me retirer, je lâchai un premier jet dans sa gorge en râlant comme une bête, tapissant son palais de foutre chaud et visqueux. Je la sentis gémir sous moi, les paumes en appui sur mes cuisses pour se dégager, tandis que j’échappai un nouveau jet saccadé dans sa bouche et sur son visage. Le troisième inonda son arcade sourcilière pour dévaler le long de sa joue droite en une avalanche de sperme. L’étudiante tentait d’échapper à mon emprise en remuant la tête, recrachant une partie du foutre, à mon grand désarroi. Mais je n’en avais pas encore terminé. Ma queue dans la main, et maintenant fermement cette salope par la nuque, j’éjaculai une immense et dernière giclée en plein milieu de son visage et, cette fois, je la vis capituler, les yeux fermés. Je la relâchai et elle tomba à la renverse en toussant, le foutre dévalant sur son menton luisant de salive. Sa robe retroussée révélait ses bas et un string de dentelle noire à travers lequel on distinguait sa toison de miel. Le spectacle était des plus magnifiques, poussant mon corps à la démence. Secoué par une nouvelle convulsion, j’explosai encore au-dessus de sa robe, éclaboussant sa lingerie et poussant le vice à viser avec ma queue entre ses seins.


Couverte de sperme, l’étudiante reprit son souffle et rajusta la bretelle de sa robe tandis que je reboutonnai mon pantalon. Puis je sortis un paquet de kleenex que je lui tendis, gêné. Son regard était chargé d’émotion, sans que j’en devine la teneur. Elle s’en saisit et dégagea un mouchoir en papier pour s’essuyer le visage.



Elle me toisa à son tour du regard en nichant le kleenex entre ses seins pour ramasser la coulée de foutre qui glissait sur sa peau.



Je la caressai alors du revers de la main en souriant, sourire qu’elle finit par me rendre. Avant de me laisser sans voix.



Elle remit la monture de ses lunettes sur son nez, actionna ensuite l’ascenseur qui vibra sur ses gonds avant de reprendre sa course et acheva de se nettoyer à l’aide du miroir de la cabine.



Nous éclatâmes de rire à ce jeu de mot impromptu et les portes coulissèrent en cliquetant pour nous jeter dans les couloirs de la faculté. Sans se retourner, elle se rua aux toilettes juste en face alors que je me perdais dans le labyrinthe des corridors du cinquième, mon caleçon trempé de foutre.


Je finis enfin par dénicher la salle de classe et entrai à l’intérieur. Il était 13 h 24 à ma montre et la quarantaine d’étudiants et son cortège de Codes Civils m’attendaient, installés depuis quelques minutes déjà. Il régnait un silence quasi religieux dans la pièce. Je fermai la porte, filai sans un mot au bureau et dégrafai ma sacoche pour commencer l’appel. Les noms défilaient sans que je puisse retenir un seul visage. Je procédai de manière mécanique, ne pouvant m’empêcher de songer à ce que je venais de vivre.


Lorsque…


La porte de la salle s’ouvrit tout à coup pour révéler un retardataire. C’était elle, le regard clair et les cheveux lisses. Sur sa peau étincelaient par endroits les filets de sperme qu’elle n’avait pu essuyer totalement. Elle fila au premier rang pour s’installer à un mètre environ. Puis, me défiant du regard, elle eut ces mots qui stupéfièrent l’ensemble de la classe :