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n° 11589Fiche technique16865 caractères16865
Temps de lecture estimé : 10 mn
28/07/07
Résumé:  Un déplacement à l'étranger m'entraîne dans les bras de ma traductrice.
Critères:  fh inconnu hotel caférestau voyage volupté lingerie pied fellation cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : Eastbest
Krystina

L’automne dernier, un déplacement professionnel m’a conduit à Prague, la Ville Dorée. J’avais réservé un hôtel très central dans Old Town, sur les bords de la Moldau. Le tchèque n’est pas une langue évidente à saisir et j’avais besoin d’un interprète lors de mes réunions dans les instances officielles. Le cabinet de consultants m’a proposé Krystina.


Elle s’est présentée le soir vers 19 heures à l’hôtel et m’attendait dans le lobby. C’était une très belle slave de 24 ans, blonde, élancée de presque 1,80 m, vêtue d’un tailleur blanc moulant. Une écharpe de laine blanche lui ceignait le cou et les épaules. Une surface non revêtue laissait toutefois entrevoir le haut d’une poitrine sublime au teint halé. On m’avait prévenu que beaucoup de filles ressemblaient à Adriana, notre secouriste nationale… j’étais subjugué, elle me faisait déjà bander.


Je lui proposai de dîner au restaurant de l’hôtel, ce qu’elle accepta volontiers. Krystina était parfaitement bilingue avec une pointe d’accent slave. Nous nous installâmes à une table revêtue d’une nappe d’un blanc immaculé aux bords tombants. Le maître d’hôtel vint nous souhaiter la bienvenue et allumer les bougies d’un chandelier en étain.


Peut-être avait-il aussi allumé la flamme entre Krystina et moi…


Nous avons dîné en échangeant sur les us et coutumes respectifs de nos deux pays, et tout naturellement la conversation a dérivé vers des sujets plus intimes : la pratique du « french kiss », les habitudes des Françaises, ce qu’elles apprécient, etc. Nous dégustions un plat local au nom imprononçable, arrosé d’un tokay. Je répondais du mieux possible à ses questions très directes, non sans ressentir une certaine timidité. Je rougissais : le vin peut-être, Krystina sûrement.


Tout en m’écoutant avec attention lui raconter qu’en France il était normal qu’un couple aille ensemble choisir une parure de lingerie, je remarquai qu’elle frottait lascivement le goulot de la bouteille de la pince que faisaient son pouce et son index, traduisant par-là, sans s’en rendre compte, ses pensées lubriques. J’étais troublé et me perdis dans mes explications, mélangeant mes propos. Elle sourit et je sentis, sous la nappe, un pied nu frotter mon mollet. Elle me regarda dans les yeux et pris ma main, je ne dis rien. Les vacillations de la bougie tiraient des ombres qui se prolongeaient dans son décolleté, donnant l’impression que sa poitrine remuait.


Son pied monta et toucha mon entrejambe. Je sentis très nettement l’orteil détaché des autres doigts entamer une douce masturbation au travers de l’étoffe. De l’index de sa main droite aux ongles artistiquement vernis et ornés de petits dessins, elle griffa la nappe, accompagnant ce geste d’un clin d’œil. Je compris par-là que je devais me déboutonner… puis reposai ma main sur la sienne en lui transmettant par télépathie un « vas-y ».


Le serveur nous demanda si tout allait pour le mieux. Je ne pouvais naturellement qu’acquiescer. Il nous souhaita encore un bon appétit et une bonne fin de soirée.


Son pied à la tiède douceur avait pénétré l’étoffe de mon pantalon et glissé dans mon boxer. Il était maintenant en contact direct avec mon membre tendu. Serrant ses orteils elle le tira vers le bas, me décalottant. Mais que m’arrivait-il, à moi qui pensait naïvement que les années noires de l’oppression communiste avaient totalement inhibé tout instinct libidineux ?


Un va-et-vient régulier fit frémir mon membre. Quand elle me sentit venir, elle couvrit mon sexe de son pied de façon à ne pas tout inonder, me serra fort la main. Rapidement je lâchai une salve de foutre sur son pied, arrosant certainement dans le même temps la moquette sous la table.


Je tentai de me dégager tant bien que mal, tandis qu’elle remettait son pied gluant dans son escarpin.



ooo OOO ooo



Je signai la note et nous quittâmes l’endroit. Elle me tenait par le bras. Je lui proposai d’aller ouvrir une bouteille de champagne que j’avais repérée dans le minibar de ma chambre. Elle m’offrit un sourire approbateur.


Pendant que nous marchions sur l’épaisse moquette du couloir, nous tenant par la taille. je reluquai ses seins sertis dans sa veste largement déboutonnée. Je passai la carte dans le lecteur qui nous ouvrit la porte. Krystina se laissa choir dans le fauteuil, enleva son écharpe et secoua sa chevelure, tout en croisant haut ses jambes galbées.


Je fis sauter le bouchon de la bouteille et remplis deux flûtes pétillantes. Sa veste n’était retenue que par un bouton au-dessus du nombril. Je réglai l’éclairage d’ambiance sur « tamisé ».


Elle, assise et moi, à genoux devant elle, nous avons porté un toast, croisé nos flûtes et chacun bu la première gorgée dans celle de l’autre. Le pacte était scellé.



ooo OOO ooo



La nuit est tombée. La chambre donne sur les bords de la Moldau. À quelques encablures, on distingue le Pont Charles illuminé. En face, l’imposant château et la cathédrale dominent la ville du haut de sa colline.


Krystina repose son verre et sa bouche s’approche de la mienne. Nos lèvres se touchent. Elle ose balayer mes lèvres de sa langue, m’humecte la supérieure, puis l’inférieure. Je n’en peux plus et rebande fièrement. Sa langue me pénètre et nous les mélangeons dans une danse langoureuse. Les yeux fermés, l’alcool aidant, nous nous délectons de ce moment.


Je glisse mon bras droit derrière son épaule et tente de descendre ma main gauche vers son sein. Elle ne porte pas de soutien-gorge et ses tétons sont bien durcis par les frottements de sa veste. Elle se mord la lèvre et gonfle sa poitrine de bonheur. J’ai dans la coupe de ma main, je dirais, un mythique 90C, merveilleux.


Elle décroise ses jambes, qu’elle écarte autant que le lui autorise son tailleur étroit. Je malaxe son sein et fais tournoyer mon index sur son aréole et sa pointe que je taquine. Nos baisers sont passionnés…


Je prends Krystina par les hanches et dégrafe sa jupe qui tombe sur ses chevilles. Elle porte un ravissant shorty pourpre lacé sur l’arrière. Elle a gardé sa veste. La tenant par la taille, je la dirige vers la baie vitrée, faisant face à cette ville de toute beauté. Je me place derrière elle et cale mon sexe gonflé entre ses fesses, elle répond en ondulant légèrement son postérieur ce qui me conforte sur la suite. Mes mains empoignent son appétissante poitrine. Elle glisse sa main droite entre nous deux, me défait la ceinture et ouvre les boutons. Le pantalon tombe, ma chemise va le rejoindre. Au travers du fin tissu de mon boxer, elle palpe mes attributs, évalue leurs formes et soupèse mes bourses. Elle respire plus rapidement et me donne de petits coups de reins.


Un baiser humide dans le creux de la clavicule, je mordille son épaule, puis sa veste tombe. Krystina se retourne et plaque ses seins contre mon thorax. Ses deux larges aréoles érigées sont en contact avec les miennes. Elle dégage un parfum subtil. Mes bras l’étreignent, mes mains massent tendrement ses épaules et descendent le long des courbes du dos pour arriver à sa délicieuse croupe. Je pétris ses deux lobes fermes. Elle ondule, plaque son sexe contre le mien au travers de l’étoffe et se frotte telle une chatte en gloussant et me susurrant :



Et elle sourit, puis force sa cuisse droite entre les miennes. Une douce tiédeur me frotte l’entrejambe, bute contre mes bourses et mon sexe érigé, prisonniers de mon boxer. Elle tend ses bras en avant et enserre ma tête, approche de ma bouche et m’offre un baiser passionné, puis me dit :



Le shorty divise très érotiquement sa croupe en deux. Je défais avec application le lacet noué de son dernier rempart et glisse mes deux mains sous la dentelle. Un doigt s’aventure dans la raie et descend à la rencontre de son petit trou puis de sa fente humide. Elle glousse et frémit. Je baisse ma tête, empoigne un à un ses seins et fais tournoyer ma langue sur leurs extrémités que je lutine, je les soupèse et les masse tendrement. Krystina gonfle sa poitrine, ce qui ne la rend que plus désirable encore. Elle gémit et projette son bassin vers moi.


Debout, nos deux corps en contact, je glisse en fléchissant mes jambes vers la position accroupie. Ma langue explore, mes dents mordillent délicatement toute la surface de ses seins, du creux aux pointes érigées, puis descend vers son ventre plat, ferme et musclé. Je titille de ma langue son nombril, jusqu’à ce que mon visage soit à la hauteur de son intimité.


La dentelle dessine parfaitement les contours de sa chatte, comme une deuxième peau. J’y colle ma langue, en humidifie le tissu de ma salive. Elle ondule de plus belle et me masse le cuir chevelu. Je glisse mes mains sous la dentelle et tire vers le bas cette pièce de tissu, libérant une fente impeccablement rasée en « ticket de métro ».


La culotte tombe sur ses chevilles. Elle écarte ses jambes, j’entrevois le château illuminé et la cathédrale Saint-Guy au loin. Divin.


Ma langue s’approche de sa fente, que j’écarte délicatement. Un anneau sertit son clitoris. De mes index je décalotte son bouton et l’excite du bout de la langue. Krystina pousse un long râle en se contorsionnant ; clitoridienne de nature, elle fond sous ma caresse. Je continue mon exploration entre les grandes puis les petites lèvres que je lape avidement. Elle coule comme une fontaine et mon visage est tout mouillé de sa cyprine. Elle lève sa jambe gauche et pose sa cuisse sur mon épaule, me dégageant un large accès à toute son anatomie.


De ses pouces et index elle me masse les lobes de chaque oreille, glissant furtivement un doigt dans le creux. C’est une de mes zones hautement érogènes, comment le savait-elle ? Je frissonne et sens mon rythme cardiaque pulser dans mon glaive. Elle approche encore plus son intimité afin que je la dévore. J’explore tous les plis du périnée au petit trou. Elle est parcourue de convulsions. J’aspire son bouton d’amour et, brutalement, elle lance un cri et fond dans un orgasme convulsif.


Son mollet me plaque le dos. Elle m’arrache les cheveux, se cramponnant fermement puis s’affale sur le lit, haletante.



ooo OOO ooo



Les véhicules passant sur l’avenue tracent des raies de lumière sur le plafond de la chambre.


Après quelques minutes elle se relève, encore groggy, une pure beauté, l’amour en chair. Elle me prend par les épaules, me malaxe les muscles et me pousse sur le lit. Elle s’approche de moi à quatre pattes, ses seins ondulant lascivement. Elle s’approche de mon entrejambe, saisit mes attributs, les malaxe puis les dégage de l’étoffe. Ma hampe jaillit.


Je deviens sa chose, son jouet. Elle se couche à plat ventre, tête-bêche, les jambes largement écartées. Une vue sublime de son intimité lubrifiée s’offre à moi. Elle s’approche de mon sexe dont précautionneusement de ses doigts habiles, elle décalotte l’extrémité, puis la recouvre, puis descend à nouveau. Elle approche sa bouche du gland sur lequel je perçois son souffle chaud. Ses lèvres vont exciter le frein, du bas vers le haut, pendant que sa langue tournoie autour du gland, sous le renflement, dans le méat.


Ma queue tremble, prête à exploser. Son index va titiller mon anus par mouvements circulaires, je sens une phalange me pénétrer. C’est tueur. Elle revient en appuyant sur mes bourses qu’elle divise de son index et remonte la hampe. Sublime.


Mes mains caressent son entrejambe à la peau délicate, puis ses fesses, puis deux doigts vont à la conquête de sa chatte élargie et lui impriment un va-et-vient régulier. Sa croupe ondule et son minou les aspire profondément. Les lèvres de sa bouche, formant un O, glissent sur le gland et l’engloutissent. Elle débute alors un cycle langoureux, toujours plus profond. Ses mains malaxent mes bourses chargées. Je crois défaillir. Après un temps de ce traitement, elle me dit :



Elle se dégage, se retourne, passe ses cuisses au-dessus des miennes. Elle saisit ma hampe qu’elle dirige vers son sexe et s’empale très profondément, accompagnant la pénétration d’un râle de femelle libérée. Aux anges, je suis le jouet de cette fille sublime qui mène exquisément sa danse.


Elle se couche sur moi en plaquant sa poitrine et débute une chevauchée virile et passionnée. Profondément, elle m’aspire de sa vulve. C’est bestial, elle cherche le plaisir absolu. Je la pistonne tant que je peux, mais ne peux tenir très longtemps et explose dans ses entrailles, lui envoyant de longues salves de semence.


Krystina jouit quasi-simultanément dans un dernier coup de boutoir. Tous les deux nous frissonnons, nous imbriquant intimement l’un dans l’autre. Pendant de longues minutes des spasmes nous secouent. Je l’agrippe aux fesses comme si nos deux corps ne devaient en faire qu’un… Nous nous assoupissons, nos cœurs cognant.



ooo OOO ooo



Plus tard, dans son rêve, elle glisse sa main bien à plat sur mon sexe et le frotte sur toute la longueur. Il reprend vigueur. Elle l’empoigne et me prodigue un va-et-vient de plus en plus vigoureux.



Elle écarte le drap, se retourne et me tend sa croupe. Quelle beauté !


Sortant de mes songes, je me place derrière elle en levrette. Elle écarte les jambes et je la pénètre sans ménagement. Je suis moi-même hyper-excité et ne vois en Krystina qu’une vraie femme avide de sexe. Elle claque sa croupe contre mon corps, se tortille de façon insolente pour se faire pénétrer encore plus profondément. Elle râle, rue, tangue.



Ma hampe abondamment lubrifiée quitte sa vulve et je place mon gland devant la petite étoile plissée. De ses deux mains elle écarte ses lobes fessiers… j’appuie, la chair se déforme puis cède, la tête passe. Elle halète, prononce des mots incompréhensibles et pousse vigoureusement. Je l’ai pénétré de toute ma longueur. Elle avance et mène elle-même la chorégraphie dans un rythme endiablé.


À demi-couché sur elle, j’empoigne ses deux seins et les pétris. Krystina pousse, se cambre, pour profiter au maximum de tout mon membre, elle se tortille, accompagné sa danse de râles profonds.


Je pense que nos voisins doivent profiter de nos ébats et je les imagine se masturber en se représentant la scène.


Elle devient folle, j’agrippe ses hanches que j’attire violemment vers moi, l’embrochant au plus profond, quand brutalement, dans un dernier sursaut, elle explose en un violent orgasme qui sertit mon pieu. Je décharge dans un râle rauque, ma tête tourne et je perds l’équilibre. La jouissance a fait son effet.


Je me retire et observe ses deux orifices béants et gluants. Elle se colle à moi, me verrouillant de sa cuisse, m’enserre et m’embrasse passionnément. Nos yeux rougis de bonheur se ferment jusqu’au petit matin…



ooo OOO ooo



Krystina s’est levée la première, occupant un long moment la salle de bains, puis nous sommes descendus au restaurant pour un copieux breakfast.


Elle était sublime et rayonnante… une femme épanouie.


Nous avons quitté les lieux pour une première réunion d’affaires. Krystina s’est montrée très professionnelle, me vouvoyant avec respect, et traduisant tout le débat en cours.



ooo OOO ooo



Je planifie déjà mon prochain retour dans la Ville Dorée…