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Temps de lecture estimé : 7 mn
30/07/07
Résumé:  Comment j'ai rencontré une femme qui adorait la sodomie, au point d'en avoir des orgasmes.
Critères:  fh telnet cérébral pénétratio fdanus fsodo -fsodoh
Auteur : Galange  (Homme, 28 ans, Paris.)            Envoi mini-message
La femme qui aimait la sodomie

Je l’avais rencontrée sur un chat de la région Île-de-France que je fréquentais régulièrement à cette époque. Nous avions sympathisé, elle avait un sens de l’humour certain, ce qui était plaisant. Et elle était assez entreprenante, curieusement, comme un certain nombre de femmes qui fréquentent les chats de rencontre. Les choses allaient plutôt vite et un rendez-vous futur ne semblait pas l’effrayer, au contraire. Après avoir fait connaissance et une fois nos photos respectives échangées, j’étais de mon côté tout à fait partant pour la rencontrer.


Le courant est bien passé, rapidement nous avons fait l’amour. Dans le genre, Marianne était ce que l’on pouvait rencontrer de meilleur sur un chat. Elle était sincère, pas allumeuse ni menteuse sur la marchandise. Comme pressenti, c’était une jeune femme douce et saine qui était restée pendant trois ans avec son petit copain qui venait de la quitter pour une autre du jour au lendemain, la laissant seule avec son amour et ses doutes. Elle avait mis un peu de temps à s’en remettre, puis elle avait à nouveau eu envie de faire des rencontres. Les boîtes de nuit n’étant pas sa tasse de thé, elle avait essayé les chats, comme ça pour voir ; il se trouve que ce jour-là c’est dans ma fenêtre de conversation que la jeune femme s’était échouée.


Elle correspondait à ce que je cherchais à cette période où je passais vaguement de femme en femme, ne cherchant pas à les faire souffrir mais à expérimenter des choses, à m’envoyer en l’air sans souci du lendemain. Son corps me plaisait, sa personnalité et sa simplicité m’apaisaient. Je pourrais écrire diverses choses à son sujet, mais ce qui nous intéresse ici, ce sont particulièrement les choses du sexe.


Avec elle, l’amour était très agréable, elle semblait vraiment aimer ça. Au début un peu gênée car elle n’avait pas fait l’amour avec un autre homme depuis des années, elle s’est rapidement laissée aller, laissant ses appréhensions au vestiaire, livrant son corps et apprivoisant le mien, généreuse en préliminaires, réceptrice des miens pour accéder à son plaisir. Je la baisais avec fougue et sincérité. Je la culbutais avec ardeur en regardant son visage, en fixant son regard et en guettant son plaisir. Ses mains posées sur mes épaules, ses cuisses bien écartées à ma demande, je l’observais se faire emporter par le plaisir et m’efforçais de lui faire oublier son amoureux à force de coups de reins énergiques et rythmés.


Mais venons-en à ce qui nous intéresse, ma découverte de son plaisir par et pour la sodomie.


Je m’en suis aperçu un jour où je lui léchais la chatte. Elle était sur le lit, cuisses écartées, ma langue lapant son clitoris. Je léchais avec application sa chatte rasée de jeune femme de vingt-cinq ans quand le réflexe me vint de tenter de lui mettre un doigt dans le cul. Pardonnez-moi de parler ainsi mais appelons une chatte une chatte. J’avais remarqué que certaines femmes ne rechignaient pas à se faire pénétrer par un doigt dans l’anus pendant un cunnilingus, voire y prenaient même du plaisir. Et, comme beaucoup de mecs, ça m’excitait. Par expérience, j’adoptais la stratégie de la diversion – continuer de lécher son clito en titillant petit à petit son anus avec mon doigt – plutôt que d’aborder verbalement la question. La réaction des femmes à ce moment-là est toujours une surprise, et celle-là fut bonne. La belle Marianne, les yeux fermés et les cuisses écartées, laissa échapper quelques gémissements poussés que je pris naturellement pour des encouragements. J’enfonçai donc mon doigt, j’accentuai mes coups de langue et entamai un mouvement de va-et-vient. Les gémissements encourageants de Marianne continuant, je me mis littéralement à lui branler le cul avec mon doigt, continuant le travail avec ma bouche sur son sexe mouillé par son plaisir et ma salive. Quelques minutes plus tard, elle atteignit l’orgasme. Sa respiration s’accéléra, ses hanches se contractèrent. Elle poussa des gémissements plus ou moins étouffés, envahie par le plaisir et, détail divin qui ne trompe pas, je sentis son anus se contracter distinctement lors de l’orgasme ; je sentis sans doute possible son sphincter se resserrer à plusieurs reprises, en rythme avec ses vagues de plaisir.


Encouragé par cette expérience, j’abordai le sujet sodomie au détour d’une conversation sur l’oreiller.



Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. J’avais bien déjà eu quelques filles partantes pour pratiquer la sodomie avec moi, mais de là à adorer ça et jouir par-derrière ! C’était une première.


Dès notre rapport suivant, au détour d’une levrette je caressais son petit trou avec mon doigt, je l’amadouais. Le tout, c’est de le mater. Un petit trou, ça s’apprivoise, ça se mate. Ça se dilate. Et, n’y tenant plus, je lui demandai si elle voulait qu’on le fasse, elle me répondit laconiquement oui.


Elle se leva, partit à la salle de bain et revint avec un flacon de gel lubrifiant. Charmante jeune femme, bien équipée… Elle ouvrit le flacon, glissa une noisette sur mon préservatif ; puis j’en pris un peu sur mes doigts et caressai sa rondelle pour la lubrifier. Que les choses sérieuses commencent !


J’enfonçai mon gland, doucement, à l’entrée de l’étroit orifice. Elle était plus serrée que je ne l’aurais cru, au dire du récit de son passé. Elle avait eu beau se faire enculer quelques dizaines ou centaines de fois par son ex-chéri, que sais-je, le trou s’était bien resserré depuis sa dernière fois. Mais soudain, vision superbe, cambrée à quatre pattes, elle se pencha un peu en avant et glissa son bras droit sous son ventre pour que sa main atteigne sa vulve. Ses petits doigts s’agitèrent sur sa vulve, tandis que mon gland pénétrait son trou du cul. J’entrais petit à petit, avec patience. Je n’étais pas un novice en la matière, je savais comment m’y prendre avec le trou de balle d’une fille. Néanmoins, c’était la première fois que je le faisais à une femme réellement excitée par cet acte. Je distinguais mal son visage à cause de la position, mais il m’arrivait de voir sa mâchoire serrée. Non, ce n’était pas facile pour elle, l’intrusion de mon sexe en elle par cette entrée, mais elle était volontaire, elle savait que pour arriver au plaisir qui suivrait sans nul doute, il fallait en passer par cette douleur préliminaire. L’anus, avant de procurer du plaisir à Marianne, lui donnerait un peu de mal.


Ça y est, mon sexe était en elle, jusqu’à la base. Je me reculais, mon sexe faisait machine arrière, puis machine avant. L’anus rendait les armes. Il était battu, le plaisir de Marianne était là et le mien aussi. Elle commençait à gémir de plaisir tandis que ses doigts s’agitaient en dessous. Mon rythme s’accélérait, jusqu’à aller franchement vite et fort. Je la prenais par-derrière, en sodomie. Je la baisais par le cul. Et, putain ! elle aimait ça !


Vision formidable qu’une femme que l’on sodomise et qui aime ça. Je pensais aux autres en même temps, aux autres femmes que j’avais connues ou dont je connaissais l’existence et qui détestaient – certaines avant d’avoir essayé – cette pratique, et le plaisir physique de sodomiser se mêlait à un plaisir mental, à ce plaisir du tabou, de l’acte interdit ou peu aimé.


Elle n’avait pas menti, elle adorait ça. Je tenais fermement ses fesses, je caressais son dos, ses cheveux. Je la chevauchais par le cul, j’y allais vraiment fort par moments. Et elle aimait, croyez bien que je ne la forçais pas. Après avoir pensé aux autres femmes, je pensais aux autres hommes. À ceux dont l’épouse refuse cette pratique et qui fantasment chaque jour en se masturbant sur cette idée dans leur salle de bains. Et puis à l’ex-amoureux, celui qui l’avait tellement enculée, ma jeune Marianne, celui qui l’avait initiée à ce plaisir si rare. Pourquoi l’avait-il quittée ? Avait-il trouvé mieux ? Si oui, je demandais à voir. À tous ces gens, je pensais régulièrement au fil de mes pénétrations anales avec Marianne. Que c’était bon de la sodomiser, ma jeune Parisienne douce et coquine ! Que c’était excitant ! Je ne vous relaterai pas tous nos ébats, je terminerai seulement avec la conclusion de cette sodomie-ci.


L’orgasme arriva. Pas le mien, le sien ! Cette coquine eut un orgasme violent – bien davantage que ceux qu’elle eut avec moi dans d’autres pratiques – alors que je l’enculais comme si mort devait s’ensuivre. Elle se fit jouir par le clito pendant cette pénétration anale. Avait-elle joui davantage du clito ou de l’anus ? Personnellement, je pense que jouir – au vrai sens de jouir, d’orgasme – de l’anus est délicat, mais que par contre le plaisir anal peut renforcer considérablement l’orgasme clitoridien.


Voilà, lessivée, la belle avait joui, le plaisir chutant comme celui d’un homme après éjaculation, de façon soudaine. Et ma queue était pourtant toujours à l’intérieur, mon orgasme à moi n’ayant pas encore eu lieu. Je riais avec elle, marquant ma surprise et mon contentement d’avoir assisté et participé à cette chose superbe et bandante. Mais mon envie de jouir dans son cul était trop forte, je la manifestai et lui demandai gentiment si je pouvais continuer un peu pour me finir. Gentille, elle accepta, même si la sodomie devenait douloureuse après l’orgasme. Je repris donc mon va-et-vient, moins fort qu’auparavant, juste suffisamment pour arriver au plaisir. Je distinguais quelques petites grimaces de douleur sur son visage, et je dois avouer que mon côté très légèrement sadique rendait cette vision excitante. Je bandais fort en la voyant grimacer et excitée en même temps, et je déchargeai violemment dans la capote.


Voilà. J’espère vous avoir communiqué du mieux possible mon souvenir et vous avoir émoustillés. Bien sûr que nous pratiquâmes la sodomie plusieurs fois, le temps - pas si long que ça - où nous restâmes ensemble. C’est un très bon souvenir car les femmes adorant – c’est le mot – la sodomie ne sont pas très nombreuses. Reste à chacun à trouver la sienne !