n° 11600 | Fiche technique | 19935 caractères | 19935Temps de lecture estimé : 12 mn | 02/08/07 |
Résumé: Quentin, elle, et moi... | ||||
Critères: fhh jeunes couplus inconnu copains volupté voir facial fellation pénétratio double fsodo | ||||
Auteur : Maldoror (Les fantasmes ne st pas la réalité. Pensez à vous protéger !) |
Il était trois heures du matin lorsque j’ouvris la porte d’entrée, passablement éméché.
La soirée infirmière avait été particulièrement pénible et j’avais attendu Quentin, mon colocataire et meilleur ami, durant plusieurs heures en avalant des litres de vodka caramel, assis au bar, si bien que j’avais fini par oublier ce pour quoi j’attendais. Je n’avais ainsi cessé de payer des coups à toutes les étudiantes de passage, mon portefeuille dégonflant à vue d’œil comme une poche percée. J’avais arrosé tout ce qui portait une jupe et des cheveux longs, celles qui remplissaient mes traditionnels critères de beauté. Autant dire que je n’étais pas difficile… Je m’en étais tiré avec un seul numéro de téléphone au final, une fille qui ne me disait rien de bon, jouant apparemment avec le feu de l’adultère. Maquée avec un quatrième année de médecine, les plus coriaces, elle m’avait allumée sous le regard impassible de son mec. Mais je savais qu’au plus profond de lui, l’envie de me dérouiller était allée grandissante. Raison pour laquelle j’avais déchiré ce numéro de téléphone sitôt sorti de la boîte, les vapeurs d’alcool dans les narines et le tabac logé dans mes fringues. Les embrouilles, très peu pour moi. Même si l’idée de partager une fille m’avait toujours titillé le cerveau.
J’actionnai la clé dans la serrure et pénétrai dans l’appartement sur la pointe des pieds, mes baskets à la main. J’imaginai Quentin en train de roupiller profondément dans son pieu, à moins qu’il ne se soit encore égaré dans une improbable fête dont il était coutumier. Il avait en effet cette étonnante faculté, qu’ont parfois certaines personnes, de se lier d’amitié avec n’importe qui. Bien que cynique, il parvenait toujours, par son extraordinaire sens de la répartie, à retomber sur ses pattes. Un vrai félin de l’impro… Mais je pensais naïvement que la raison pour laquelle il m’avait posé ce lapin tenait à son examen du lendemain. La troisième année de LMD se jouait en effet aux aurores pour tout étudiant qui se respecte, c’est-à-dire aux environs de neuf heures du matin.
Le couloir était plongé dans l’obscurité, aussi filai-je très rapidement à la cuisine où j’entrepris de me faire couler un café accompagné d’un reste de brioche. J’étais affamé, ivre presque mort, et n’avais aucune envie d’aller me coucher. Je m’installai alors sur la chaise de la cuisine et plongeai tant bien que mal le filtre dans la cafetière tandis que l’eau commençait à frémir. J’avais la musique de Philippe Katerine dans la tête, cette chanson sur Gainsbourg. Katerine qui le croise dans un tabac trois jours avant sa mort, le plus bel hommage qu’on puisse faire à l’homme à la tête de chou.
Mais alors que je fredonnais cet air, incapable me rappeler les foutues paroles que je connaissais pourtant par cœur, je perçus un bruit étrange en provenance des toilettes, tout au bout du couloir que je venais de quitter à l’instant. C’était à l’autre extrémité de l’appartement, et il me fallait pour m’y rendre arpenter le sol dans l’ombre sans me casser la gueule, une épreuve beaucoup trop difficile pour un type aussi bourré que moi. Quoique… Une plainte dans la nuit, celle d’une personne qui ne pouvait être Quentin, parvint jusqu’à mon oreille, plongeant mon cerveau dans une singulière paranoïa.
Je délaissai ainsi la cafetière et, la bouche pleine de brioche à moitié rance, risquai quelques pas dans le salon pour rejoindre le corridor. Heureusement que je connaissais parfaitement les lieux, mon corps jouant de sa mémoire pour éviter les obstacles des chaises, chaussures traînant sur le sol, piles de bouquins et CD et coins de meubles assassins. Je mis alors une bonne minute pour traverser cette jungle sans toutefois me ramasser sur le parquet. L’habitude a parfois du bon…
Durant mon court périple, j’avais continué à tendre l’oreille, distinguant de plus en plus nettement des halètements en provenance non des toilettes comme je le pensai, mais de ma chambre. Alors je posai mes chaussettes pour éviter de glisser sur le parquet laqué et osai enfin les derniers pas qui me guidaient jusqu’à mon antre. La porte était entrouverte et les gémissements d’une fille en train de prendre son pied sous les assauts d’un mec étaient maintenant très limpides. Impossible de se tromper. Quentin baisait une fille dans ma chambre.
En soi, cela n’avait rien d’extraordinaire, mais d’habitude il sautait ses conquêtes dans la poubelle qui lui servait d’atelier et accessoirement de chambre. Ce dandy sans le sou préférait investir dans ses toiles et sa peinture plutôt que de se payer un véritable lit, avec matelas et sommier et tout et tout. Ce qui lui servait ainsi de lit était un antique clic-clac défoncé qu’il avait acheté au rabais dans un bazar. Il l’avait paré d’une tenture rouge et or qu’il disait tenir d’un collectionneur de tableaux, rencontré lors de son séjour à Saint-Pétersbourg. Ils avaient, paraît-il, discuté toute la nuit en parlant de Dostoïevski, buvant de la vodka jusqu’à plus soif pour aborder l’aube naissante à l’ombre du palais du Tsar. Aussi affirmait-il à ses invitées posséder l’âme de son écrivain favori avant de les posséder elles-mêmes sauvagement, à même le plancher.
En attendant, la fille n’en finissait plus de gémir, pénétrant l’intérieur de mon crâne au rythme de chacune des culbutes. De manière étrange, il me semblait percevoir les moindres détails de cette partie de jambes en l’air, les va-et-vient plaintifs m’excitant pour de bon. C’est qu’elle était vraiment sexe, la garce. Le timbre de sa voix enfumée révélait une fille d’une liberté totale, repoussant bien loin les limites de la décence des ébats traditionnels. Alors, poussé par cette curiosité malsaine, je glissai un œil dans la maigre ouverture laissée par la porte. Après tout, c’était bien ma chambre…
Ce que j’y vis acheva de consumer mon désir. Mon regard s’était maintenant habitué aux ténèbres et, malgré l’obscurité dans laquelle baignait la pièce, je pouvais distinguer davantage que de simples silhouettes enchevêtrées dans les draps. Chevauchant Quentin avec frénésie, la belle remuait des hanches à califourchon sur lui, le port altier et les mains en appui sur les genoux de mon ami, imposant le rythme de cette course vers le paradis. Sa longue crinière de platine dansait sur ses reins pour se perdre dans la naissance de la raie de ses fesses. L’une de ses épaules arborait un tatouage de Betty Short, le célèbre Dahlia Noir qui hante encore l’Amérique et le monde par l’horreur qu’elle avait endurée. La robe de l’inconnue gisait encore sur sa taille élancée, épousant le contour de ses larges hanches, tandis que les fines bretelles pendaient le long de ses cuisses.
Je sentis ma queue se dresser d’un seul coup dans mon pantalon. Incapable de détacher mon regard de cette scène d’intimité, je restai ainsi prostré dans le vide, les mains en appui sur la cloison, contemplant le mouvement régulier de ses fesses et les frémissements des lèvres de la belle inconnue à chacune de ses plaintes. Le visage de Quentin, lui, était enfoui dans les oreillers, une main sur la hanche de sa partenaire et l’autre caressant ses seins en pointe. Elle poussa alors un ultime gémissement avant de basculer tête la première vers le torse de mon ami, secouée par une soudaine convulsion qui éclata dans son ventre pour électriser chacun de ses muscles délicieusement contractés. Je vis jusqu’au gros orteil de son doigt de pied serti d’une bague se recroqueviller sur lui-même tant le choc fut violent. Puis, la poitrine haletante, les deux amants échangèrent un long baiser, Quentin passant sa main dans les cheveux de la belle en une tendre caresse, avant de décoller de nouveau son bassin selon une cadence lente et régulière, sa queue enfouie au plus profond de la fente de sa partenaire.
Je m’apprêtai ainsi à fuir pour filer aux toilettes mais mes jambes refusèrent de bouger. Les fesses de la fille me donnaient des envies formidables. Peut-être que… Certainement guidé par l’alcool, j’avançai dans l’ombre silencieuse en déboutonnant mon pantalon et, le cœur battant, grimpai doucement sur le lit qui subissait à nouveau les lois de la baise frénétique. Ma queue n’était maintenant plus qu’à quelques centimètres de cette généreuse cambrure et personne ne semblait avoir remarqué ma présence. La peau de la jeune inconnue dégageait une douceur incroyable, ponctuée par une chaleur qui pénétrait chacun des pores de ma peau.
Alors n’y pouvant plus, je pris mon gland entre mes doigts pour le faire glisser timidement dans sa raie sur toute la longueur de mon membre. La fille se cambra tout à coup et ralentit sa chevauchée sans toutefois la stopper complètement. Quentin, qui m’avait aperçu, me fixait maintenant du regard, à la fois troublé et radieux. Nous avions partagé beaucoup de moments, lui et moi, mais jamais nous n’avions osé aller jusque-là. Sans doute que l’occasion ne s’était jamais présentée, m’aurait-il avoué, mais nous savions tous les deux que cet instant était fatidique. Un seul mot, un seul geste, un seul regard noir de sa part ou de celle de la jeune fille aurait suffi à couper cet élan de folie vers lequel je me précipitai. Il n’en fut cependant rien. La surprise passée, Quentin me lança une œillade complice chargée d’émotion et la fille tourna son visage dans ma direction pour me sourire, l’œil coquin. Elle était vraiment magnifique, ses lèvres boudeuses et terriblement sensuelles ajoutant à la perfection de ses yeux en amande. Ses lourds cheveux platine possédaient une saveur sucrée, si bien que les mèches qui caressaient ma bouche envahissaient mes papilles comme du miel coulant dans ma gorge. Et c’est là que sa main gauche agrippa mon cou afin de me lancer un baiser des plus torrides, collant sa langue à la mienne dans une plainte qui m’autorisait à investir ses fesses.
Et comme elle se soulevait de nouveau pour mieux s’empaler sur le membre de Quentin, elle eut ce geste lourd de sens, basculant son torse vers l’avant pour m’ouvrir la voie royale de son cul. Je posai alors mes mains sur ses fesses et les écartai du mieux que je pus afin de déverser un filet de salive dans sa raie. Puis je crachai à plusieurs reprises dans mes mains pour les passer sur ma queue jusqu’à la rendre luisante. Et enfin, je me risquai en elle. Mon prépuce effleura délicatement son anus pour s’enfoncer lentement dans son cul. Le couple s’était arrêté de baiser, attendant le moment propice pour recommencer. J’entendais la fille gémir devant moi, sa crinière secouée par de terribles tremblements.
J’eus soudain la sensation de la brusquer un peu trop lorsque je distinguai des sanglots dans sa voix, ce qui ne tarderait pas à me faire débander. Qu’elle ait mal était dans la règle des choses, mais qu’elle ne veuille plus de moi en était une autre. Je ne comptais certainement pas imposer ma queue sans un réel consentement. J’avais en effet le sentiment de profiter d’une situation que l’inconnue ne pouvait qu’accepter. Elle disait « oui » de la tête mais les tressaillements qui parcouraient son corps paraissaient me rejeter en bloc. Et cependant, je ne tardai pas à comprendre que je faisais fausse route.
Elle détourna subitement la tête pour crever mes yeux de la lueur d’impatience qui illuminait son regard. Sa langue perlait sur son menton à la manière d’une chienne en chaleur, pressée d’en découdre.
Je n’allais donc pas assez vite à son goût. Alors je m’appliquai à la satisfaire et, d’un coup de reins, glissai jusqu’au plus profond de ses entrailles. Elle échappa un cri à la fois mêlé de douleur et de surprise et se cambra de nouveau en agrippant les draps de toutes ses forces, les ongles plantés dans la peau de Quentin qui gémit à son tour. Puis je commençai à explorer son cul, bien décidé à en découvrir les mystères. Mon ami agitait de nouveau son bassin au-dessous de moi, glissant dans sa chatte dont je pouvais sentir l’incroyable humidité. J’avais maintenant les mains sur ses hanches, m’en servant d’un appui pour mieux la pénétrer. Ma queue avait désormais trouvé sa place dans son cul pour ne plus jamais le quitter, pensai-je. J’avais conquis cette place chaude et onctueuse et ne comptais plus m’en détacher tellement c’était bon d’être là, planté dans ce fourreau qui aspirait mon membre. Quentin devait éprouver le même sentiment tant son visage éclatait de bonheur. Et je gageai qu’il n’oublierait pas de sitôt ce trip à trois. Un tel voyage ne pouvait disparaître dans les limbes de notre mémoire.
Je m’activai ainsi pendant de courtes minutes, empoignant de temps à autre sa tignasse et sa nuque pour mieux assurer mon emprise, parfois caressant nerveusement ses omoplates et le tissu de sa robe en coton, lorsque je sentis le corps de la fille défaillir sous moi. Une autre convulsion l’avait gagnée subitement, avant même que je ne réalise la montée en puissance de son orgasme. Elle hurla de plaisir, les traits de son visage contractés, et sa tête bascula sur le côté comme un jouet de celluloïd. J’en profitai alors pour me retirer brusquement, la queue à la main. Et tandis que je m’approchai de son visage égaré dans les draps, sa chevelure éparse, je vis Quentin sortir son sexe pour jouir dans sa raie prodigieuse. Un immense coulis de sperme blanc jaillit alors de son pénis pour dégouliner le long des fesses de notre maîtresse et retomber ainsi sur les cuisses de mon ami.
Puis, devinant mon irrésistible envie, elle se dégagea de son étreinte en gémissant et se plaça au-dessous de mon érection vigoureuse, en appui sur les coudes. Je ne cessais de me masturber en ne pensant plus qu’à une seule chose, venir sur son visage de petite cochonne. À peine cette pensée formulée dans ma tête, je lui éjaculai dans la bouche, un jet saccadé qui heurta tout d’abord son palais avant d’inonder ses lèvres de foutre en un étrange gargouillis. Malgré sa position, elle avait à l’évidence mal mesuré la puissance de mon fantasme, réprimant une grimace qui m’excitait davantage. J’échappai ensuite un nouveau râle en déversant ma semence sur sa joue droite, lentement, afin qu’elle ait le temps de me fixer du regard. Ce qu’elle fit avec un large sourire en recueillant le dernier filet qui pendait à mon gland d’un coup de langue magistral. Enfin, je m’essuyai sur ses joues sous le regard contemplatif de Quentin, perdu dans ses pensées.
Elle laissa alors couler l’arrière de son crâne dans les draps en déglutissant et, plaçant ses bras en croix, chuchota dans les ténèbres en fermant les yeux :
Quentin et moi nous dévisageâmes, moi bouche bée et lui, un sourire à la commissure des lèvres, comme s’il avait deviné bien avant moi ce qu’elle allait dire. Comme toujours, il avait plusieurs longueurs d’avance sur moi.
Alors nous glissâmes jusqu’à elle et je passai timidement ma langue sur sa joue pour recueillir ma semence encore chaude tandis que Quentin étreignait sa bouche, sa main posée délicatement sous le menton de la jeune femme. Elle riait maintenant aux éclats, sans doute chatouillée par les fourmillements mais aussi et surtout amusée par cette situation des plus insolites. Et c’est elle qui avait raison. Partager cette fille avec passion incombait d’aller jusqu’au bout. Je la retournai donc sur le ventre et fourrai directement ma bouche dans sa raie pour gober le foutre qui l’avait éclaboussée.
Passer ma langue dans cette crevasse érotique ne manqua pas de m’exciter à nouveau. Alors je me risquai à la pénétrer une nouvelle fois, enfonçant cette fois mon membre dans sa fente. Encore brûlante de désir, je n’eus aucune difficulté pour l’enfiler jusqu’à la garde. Et comme je sentais ma queue gonfler en elle, étendue sur le ventre en appui sur les coudes, je vis Quentin s’agenouiller devant sa bouche avant d’envahir ses lèvres de petite salope insatiable. J’adorais ces pensées érotiques pendant l’amour, convaincu que les mots pouvaient avoir une réelle importance dans une partie de baise. Puis je commençai à la culbuter de manière frénétique sous ses gémissements étouffés par la queue de Quentin. Et comme la première fois, c’est lui qui explosa tout d’abord, inondant sa gorge de sa semence. Elle le garda en bouche tout au long de ma chevauchée, Quentin maintenant sa tête à l’aide de ses mains posées sur son crâne. Lorsque enfin, je m’éparpillai en elle, en lui tirant une plainte qui secoua ses hanches.
Je me retirai ensuite et m’allongeai sur elle en caressant ses épaules et ses seins, regardant le membre de Quentin diminuer dans cette bouche succulente. Et lorsqu’elle en eut assez, elle repoussa le pénis flétri du bout des lèvres pour se laisser choir sur les draps, les mains en appui sous sa tête. Quentin eut alors un trait d’humour magnifique qui nous plongea dans un fou rire général…
Nous riions tous de bon cœur et, après avoir terminé la nuit au champagne dans la chambre – Quentin en conservait toujours pour les grandes occasions, se privant parfois de déjeuner pour les acheter – nus et ivres de bonheur, abordant la littérature et les films que nous avions aimés sans échanger un seul mot sur nos commodités personnelles, nous nous endormîmes, enchevêtrés, comme les trois amants que nous avions été.
Le réveil fut tout aussi beau. Quentin était parti de très bonne heure à la fac, je l’avais entendu grogner lorsque l’alarme de son portable s’était mise en route dans son atelier. Du coin de l’œil, je l’avais observé sauter dans ses vêtements éparpillés sur le sol, au milieu des habits de la jeune femme, et filer comme l’éclair, les cheveux en bataille. Je m’étais ainsi levé quelques heures plus tard, aux environs de onze heures du matin.
Elle était dans la cuisine, assise devant un mug de thé, une tartine de miel dans la bouche. Drapée dans une immense serviette de bain, ses cheveux humides coulaient en cascade sur ses épaules dénudées. Nous échangeâmes quelques sourires complices et prirent le petit déjeuner ensemble sans aborder la nuit que nous venions de passer, comme s’il s’était agi d’un rêve dans lequel nous étions venus nous perdre tous les trois. Les paroles que nous prononçâmes furent cette fois d’une grande banalité, ne trahissant pourtant aucune gêne. Ça s’était passé de cette manière, et c’était bien comme ça.
Puis le moment fut venu pour elle de s’en aller.
Elle alla revêtir ses vêtements, bottines à talons en daim, jupe kaki et tee-shirt blanc qui moulait ses seins, et revint me saluer à sa manière. Puis elle me caressa la joue du revers de la main et m’embrassa tendrement avant de conclure en ces termes :