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n° 11602Fiche technique11502 caractères11502
Temps de lecture estimé : 8 mn
04/08/07
Résumé:  Un jeune homme courtise une jeune vierge innocente et l'amène dans son lit.
Critères:  fh hotel amour aliments init
Auteur : Macapi            Envoi mini-message
Un mois pour une vierge

Dix huit ans, fraîche comme une fleur, jeune et innocente, Isabelle entre en fac avec toute la naïveté de son inexpérience. Elle ne sait pas que, dès le premier jour, un étudiant de troisième année a jeté son dévolu sur elle. François n’a qu’une chose en tête, en cette rentrée chaude et ensoleillée, c’est de baiser sous peu avec la jolie brune de première année. Très vite, il s’est présenté à elle, prétextant l’aider à trouver la bibliothèque. Puis il a commencé à l’aider dans ses travaux. Le contact était établi, le piège allait se refermer bientôt, la belle Isabelle allait être dans son lit.


De son côté, elle a rapidement constaté que le grand François, avec ses cheveux noirs et ses yeux tout aussi noirs et perçants, passe beaucoup de temps avec elle. C’est la première fois qu’on la courtise réellement, qu’on prend le temps de l’apprivoiser, qu’on ne lui vole pas un baiser après la première rencontre. Découverte agréable s’il en est, les étudiants seraient donc plus matures…


Après une semaine, François se décide et prend la main d’Isabelle pour traverser la rue. Elle ne la retire pas, elle est d’accord. Plus tard, il lui donne un baiser furtif tout près de la bouche en guise d’au-revoir. Elle semble aux anges et sourit ; parfait, bientôt son lit saura l’accueillir.


Bien qu’ils en aient discuté, François a peine à croire que cette fille superbe soit encore vierge. C’est pourtant ce qu’elle lui a confié, l’air mutin. Fausse confidence ? Manœuvre de séduction ? Les filles, toujours aussi compliquées !


Pourtant, après leur premier vrai baiser, au cinéma, il doit se rendre à l’évidence. Elle n’a aucune expérience valable. La tâche sera plus ardue qu’il l’avait imaginée, mais il saura y faire et coûte que coûte, il couchera avec elle. Surtout qu’elle commençait à lui faire un bel effet, avec son innocence, son sourire accrocheur et ses yeux pétillants. Bon, c’est vrai, il y a aussi et surtout ses seins qu’il ne peut pas s’empêcher de regarder sous ses pulls toujours trop sages. Et ses hanches mises en valeur par des jeans taille basse. Il s’imagine déjà parcourant son corps entier du regard, puis la caressant avec ses mains jusqu’à sa taille dont il pourrait presque faire le tour en les réunissant. Bientôt !


Isabelle est de plus en plus séduite par le beau François. C’est un charmeur, mais elle ne s’en rend pas compte. Elle est tout simplement tombée sous son charme. D’autres diraient qu’elle est tombée amoureuse, mais elle n’ose pas encore le mot. Ses amies rient d’elle et constatent simplement qu’elle a l’air heureuse, en insinuant qu’elle va sûrement passer le cap sous peu. Isabelle fait semblant de ne pas comprendre, ou alors elle refuse de voir la réalité en face. Pour elle, François est un garçon bien, avec qui elle passe beaucoup de temps. Pourquoi voudrait-il seulement la baiser ? D’ailleurs, elle n’envisage pas sa première fois comme une baise, mais bien comme faire l’amour. Cela fait une grande différence pour elle, une différence digne des plus grands romans d’amour qu’elle a pu lire dans sa courte vie.


De baisers en baisers, de caresses subtiles en caresses plus appuyées, François fait découvrir les joies de la proximité de deux corps à sa partenaire. Il lui caresse les seins, parfois dans des endroits à peine dissimulés au regard des passants. Elle ne voit rien. Il est ses yeux et il veille jalousement à ce que personne d’autre que lui ne profite de ses charmes ravissants.


Puis un jour, il glisse une main dans sa culotte, par-dessous sa jupe. Elle ne dit rien, elle découvre la vie. Un doigt s’insère vite dans un orifice qui semble se lubrifier parfaitement, même si Isabelle n’a pas encore conscience des réactions de son corps. Il essaie de ne pas l’effaroucher, mais l’effort à fournir n’est pas très grand. Il lui suffit de tenter une nouvelle approche pour qu’elle se soumette instantanément à sa volonté. À ce rythme, elle sera bientôt complètement à lui. Seule la bonne approche lui manque encore.


Elle apprécie les gestes de François. Elle ne ressent pas vraiment de plaisir, mais elle se sent appréciée. C’est comme s’il lui manifestait son amour par des gestes plutôt que par des mots. Elle se contente de cela, elle s’imagine déjà heureuse pour des années avec son François chéri à ses côtés.


Une fois, il lui a montré son sexe. Elle n’a pas trop compris pourquoi il faisait cela, mais elle était curieuse donc elle a regardé. La première pensée qui lui est venue c’est que ça ressemblait à un morceau de viande. Elle y a touché et c’était dur et mou tout à la fois, lisse et mouillé au bout, étrange en fin de compte. Bien sûr, elle savait à quoi servait un sexe d’homme, elle n’était pas si naïve. Simplement, c’était la première fois qu’elle en voyait un de près, pour de vrai.


Quelques jours plus tard, il lui a massé le clitoris quelques minutes. Elle en a tremblé de désir et de plaisir, mais n’a pas compris ce que ce tremblement signifiait. Quelle gourde au fond, mais quelle belle gourde !


La sentant presque prête à faire le grand saut, bouillant d’impatience après un mois de débroussaillage, François a mis son plan au point. Ce serait le lendemain.


Il l’emmène au restaurant ! Isabelle est aux anges. C’est une sortie sérieuse, pas une simple séance de cinéma. Bien sûr, ce n’est qu’un petit restaurant du centre-ville, quelque chose de pas cher, mais quand même elle apprécie toute l’attention qu’il lui porte.


Il entre avec elle dans ce restaurant qui finalement ne paie pas de mine, mais elle ne semble pas s’en rendre compte. Alors il va au comptoir et commande deux spaghettis. Ils prennent place à une petite table. Il n’y a que trois tables dans la salle. Elle le regarde avec des yeux amoureux. Il l’embrasse pour ne pas avoir à se perdre dans ce genre de regard. Finalement, leur commande arrive et ils commencent à manger.


Au bout d’un moment François propose à Isabelle de terminer le repas à l’étage. Elle croit qu’il y a une salle à manger plus grande en haut de l’escalier et le suit avec plaisir. Elle est un peu surprise lorsque le "serveur" ouvre une porte fermée à clé et les fait entrer dans une chambre. Elle a un peu le sentiment de s’être fait avoir, mais elle aime François et il est trop tard pour reculer. Et puis, après tout ce qu’il lui a fait ces dernières semaines, il est normal que ça en arrive à ce point.


Une fois la porte refermée, elle a quelques appréhensions lorsqu’elle regarde son amour dans les yeux et il le voit bien. Il s’empresse de la mettre à l’aise en jetant quelques condoms sur le lit, afin qu’elle sache qu’il n’y a aucun risque. Un peu rassurée, elle accepte de s’asseoir sur le bord du lit pour terminer les assiettes de spaghetti qu’ils ont emportées avec eux.


Mais Isabelle est nerveuse et n’arrive pas à manger. Il s’en aperçoit et dépose les assiettes sur la table de nuit, pour plus tard comme il dit. Il commence à enlever sa chemise et voudrait qu’elle aussi se déshabille. Elle a un sursaut de dignité et soutient que puisqu’il l’a entraînée ici, c’est à lui de la déshabiller. Il en est quitte pour se battre avec des dessous féminins. Que ne faut-il pas faire pour en arriver à ses fins ?


Une fois nus tous les deux, il se rassoit sur le lit et l’invite à ses côtés. Il reprend son assiette et recommence à manger comme si de rien n’était. Il lui donne une bouchée de sa propre fourchette et elle se détend un peu. Puis, voyant que ça risquait de prendre longtemps à ce rythme, il décide de brusquer un peu les choses. Il dépose quelques pâtes sur son sexe déjà plus qu’à moitié en érection. C’est à Isabelle de tout nettoyer, c’est un jeu, mais ce jeu ne plaît pas à la belle qui prétend ne pas aimer mélanger sexe et nourriture. Un coup pour rien, et c’est chaud ce truc, merde !


De retour à des envies plus classiques, il abandonne toute nourriture et couche sa convoitée sur le lit. Il la caresse partout, lentement. Qu’elle est belle ! Rapidement il s’excite et voudrait hâter la fin, mais il se retient, peu désireux de se heurter à un antre sec.


Isabelle apprécie les caresses, mais sans plus. Elle est comme spectatrice de la scène, consentante bien sûr, mais très loin de son idéal de première fois. Lorsqu’enfin il la pénètre, elle ne ressent pas spécialement de douleur, peut-être que son hymen était déjà déchiré ? Elle tente de l’attirer plus profondément en elle, dans l’espoir de ressentir un plus grand plaisir, mais sans grand succès.


De son côté, François est tout ce qu’il y a de plus heureux. Enfin, elle est là devant lui, nue et offerte. Si frêle et désirable. C’est aujourd’hui que ça se passe. Il lui demande de le sucer et elle se contente de le frôler avec sa langue. Il se replie donc sur la simple pénétration, non sans avoir torturé un peu ses seins auparavant, ce dont elle ne se plaint pas, bien au contraire. Surexcité, il prend néanmoins tout son temps pour enfiler la capote et faire ainsi constater à sa partenaire qu’elle n’a pas à avoir peur.


Il l’amène sur le dos au bord du lit, il met ses pieds sur ses épaules et, après avoir constaté la lubrification abondante, il s’enfonce lentement en elle. Il ne veut pas lui faire mal, alors il prend son temps, c’est la moindre des choses. Après quelques minutes, elle l’attire à lui. Il interprète cela comme du plaisir de sa part et un désir pour qu’il continue plus avant, ce qu’il s’empresse de faire.


Quelques va-et-vient seulement et il éjacule avec force. C’est la première fois qu’elle voit un homme jouir. Elle ne savait pas que c’était aussi rapide. Elle n’a pas ressenti grand chose. Juste l’impression de vague contentement d’avoir accompli quelque chose d’important dans sa vie, d’avoir franchi une étape.


François, bon prince, attire Isabelle sur lui après s’être débarrassé de la capote importune. Elle hésite un instant, craignant que leurs sexes soient en contact, mais elle se rassure vite en constatant que les corps sont bien faits et qu’elle peut s’allonger sur lui sans avoir peur. Il l’embrasse longuement. Elle se détend dans les bras de son amour. Elle est heureuse.


Et lui ? Pour faire une histoire courte, il finit par se faire prendre à son propre jeu. Il a voulu coucher encore et encore avec la sublime Isabelle. Il l’a initié à tous les plaisirs de l’amour. Il a transformé ses tremblements incontrôlés en contorsions et gigotements tout aussi incontrôlables. Puis, un beau jour, il a réussi à changer ces mouvements désordonnées en cris de jouissance (incontrôlables eux aussi, mais moins dérangeants pour le déroulement des opérations) et mouvements adéquats du bassin. Les mois ont passés. Il a rencontré une vierge et la désirait. Et en fin de compte il est tombé amoureux de la femme sensuelle qu’elle est devenue.