n° 11603 | Fiche technique | 28612 caractères | 28612Temps de lecture estimé : 17 mn | 04/08/07 |
Résumé: La colocation entre cousin et cousine peut dégénérer. | ||||
Critères: fh jeunes cousins école amour cunnilingu pénétratio init | ||||
Auteur : Hépicurien |
DEBUT de la série | Série : Colocation Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
A mon entrée à la fac, mes parents décidèrent de me prendre un petit appartement. Mais comme je n’étais pas très studieux, ils me trouvèrent une collocatrice de choix : ma cousine Julie. Elle avait le même âge que moi et passait tout son temps seule, avec ses livres. Elle n’était pas du genre très féminine, toujours habillée avec des habits très larges. Ils espéraient que cette collocation serait bénéfique à tous deux.
Mon oncle et ma tante pensaient qu’à mon contact, Julie pourrait se faire des amis et mes parents espéraient qu’elle réussirait à m’insuffler le goût des études. J’étais trop heureux d’avoir un peu d’indépendance pour les détromper.
Ma cousine et moi n’avions jamais été très proche l’un de l’autre. Lors des réunions de famille, c’est à peine si nous échangions trois mots et j’allais devoir passer toute une année avec elle. Je la soupçonnais d’être une chaperonne chargée de surveiller tous mes faits et gestes et de faire son rapport à mes parents. Dès notre emménagement terminé, les problèmes ont commencé.
Elle voulait tout régir à sa façon. À telle heure : dîner, à telle heure : travail, pas le droit d’inviter des amis. Il était totalement hors de question que je me plie aux exigences de cette folle. Après avoir longuement réfléchi à la question, j’en déduisis que la seule façon, pour qu’elle me laisse tranquille, était de lui pourrir suffisamment la vie pour qu’elle déménage. Je pris donc très rapidement l’habitude de négliger toutes les corvées, de laisser derrière moi un maximum de bazar, de systématiquement vider le frigo.
Deux mois de ce traitement, et elle était à bout. Un soir que je rentrais vers minuit, je l’entendis pleurer dans sa chambre. J’avais gagné, mais le plaisir de savourer ma victoire me poussa à aller la voir.
Je frappais à sa porte.
Elle était allongée sur son lit, en peignoir. Elle pleurait, la tête enfouie dans son oreiller. Je m’assis à côté d’elle sur le lit, et lui caressai les cheveux. Elle avait enlevé ses lunettes de myope, dont la grosse monture noire ne mettait pas son visage en valeur et dont elle ne se séparait jamais. C’était la première fois que je la voyais sans lunette. Elle se tourna vers moi. Ses yeux rougis me montraient toute la souffrance que je lui avais infligé ces derniers temps. J’eus instantanément honte de moi.
Que le destin peut être cruel, j’étais venu pour savourer ma victoire, achever ma victime et au final c’était moi qui suppliais grâce. Voyant le doute s’installer dans son esprit, j’ajoutais :
Pour lui donner une preuve de ma bonne volonté, j’attirais doucement sa tête dans le creux de mon épaule et continuais à lui caresser doucement les cheveux. Elle continua à sangloter et je compris tout le mal que je lui avais fait. Elle leva ses yeux vers moi et le plus tendrement possible je lui séchai ses larmes. Son visage était tout proche du mien. Ce n’était plus mon horrible cousine qui était dans mes bras mais une fille très touchante. Je déposai un léger baiser sur ses yeux. Elle me regardait intensément. Alors que j’allais de nouveau l’embrasser sur les yeux, elle leva la tête, et m’embrassa sur la bouche, presque « accidentellement ».
Le moment de surprise passé, je l’embrassais, à mon tour sur la bouche. Nos langues se rencontrèrent. Elle se lova contre moi, et mis sa main sur ma nuque. Je me tournais légèrement pour lui faire face et sentir son corps contre le mien. Ses seins s’écrasaient contre mon torse. Ma main droite lui caressait le bas des reins. Nos chastes baisers du début étaient devenus de fougueux baisers. Je sentais mes sens s’échauffer. Ma main droite descendit sur ses fesses, et je sentis, au travers de son peignoir, l’élastique de son slip. Ce contact m’électrisa. Presque aussitôt, elle rectifia la position de ma main, et la repositionna sur ses reins. En faisant ce geste, son peignoir s’entrouvrit, me laissant apercevoir sa poitrine. Je sentais le désir monter en moi, mais brusquement elle s’écarta de moi :
Je l’embrassai une nouvelle fois sur la bouche et m’éclipsai dans ma chambre. La magie était rompue. Je me couchai et j’eus beaucoup de mal à trouver le sommeil car je n’arrêtais pas de penser à elle. Comme à mon habitude, j’avais oublié de mettre mon réveil et lorsque je me réveillai, ma cousine était déjà partie.
Je pris rapidement une douche. Je passais ma journée à la chercher sur tout le campus mais elle n’était nulle part. Le cœur battant, je décidai de retourner à l’appartement. C’est avec l’angoisse d’avoir tout gâché et la peur qu’elle soit partie que j’ouvris la porte. Julie était là, sur le canapé, elle lisait un livre.
Pour éviter d’avoir à parler des événements de la veille, je m’isolai dans ma chambre, et en profitai pour y mettre un peu d’ordre. La nuit était déjà tombée lorsque je trouvai le courage de sortir de ma chambre pour l’affronter. Elle était toujours assise dans le canapé, elle regardait la télévision. Elle était de nouveau en robe de chambre et ses cheveux mouillés me laissaient supposer qu’elle avait pris une douche. Je me suis assis à côté d’elle, en silence, préférant la laisser démarrer les hostilités. Le temps passait et elle ne disait toujours rien.
Une demi-heure plus tard, j’étais de retour avec la pizza et le film. Le repas fut très silencieux. Malgré la gêne qu’il y avait entre nous, je ne pouvais m’empêcher d’admirer ses jambes, que les pans de son peignoir me laissaient entrevoir. Faisant semblant de m’étirer, pendant le film, je glissais ma main sur ses épaules. Sa tête se nicha dans le creux de mon épaule. Je l’embrassais timidement sur le front. Elle se décolla légèrement de moi et me regarda dans les yeux.
Je lui enlevai ses horribles lunettes et joignant le geste à la parole, je l’embrassai. Nos langues se mélangèrent à nouveau. Je la sentais se laisser aller. Je posais une main « innocente » sur son ventre. Nos baisers étaient de plus en plus torrides. Ma main jouait avec la ceinture de sa robe de chambre. Je sentais mon excitation monter. Avec une infinie lenteur, je tirais sur un des bouts de la ceinture. Tout en m’embrassant, elle essayait de retenir le nœud, mais sans grande conviction. Lorsque le nœud céda, ma main se glissa entre les pans du peignoir, et entra en contact avec la peau de son ventre. Sa peau était douce comme de la soie. Un frisson la parcourut. En dessous, elle ne portait qu’un ensemble soutien-gorge-culotte en coton rose pâle. Je pouvais admirer son corps presque parfait. Mon excitation ne faisait qu’augmenter.
C’est déjà une jouissance que de faire tomber une à une les barrières d’une femme avant de lui faire l’amour pour la première fois. Chaque nouvelle réticence vaincue est autant de plaisir et d’excitation pour le vainqueur.
Ma main se promenait librement sur son ventre, elle avait abandonné la partie. Elle se laissait faire, son désir avait pris le pas sur sa raison, et c’est sa quête du plaisir et la recherche de nouvelles sensations qui maintenant avait pris possession de son corps. Lorsque ma main se glissa sous son soutien-gorge, elle ne fit aucun geste de défense. Son corps ondulait entre mes bras. Mon sexe me faisait mal tellement il était dur. Je dégageai son sein de son carcan, pour le lécher. Pour la première fois, je voyais ses seins, habituellement cachés par les gros pulls informes qu’elle portait. Elle avait une très belle poitrine. Sa respiration était de plus en plus saccadée. Son sein dans ma bouche, ma main était à nouveau libre de se promener sur son corps. Elle erra sur son ventre quelques instants avant de se diriger vers l’objet de la convoitise amoureuse : son sexe.
Sa culotte de coton n’était pas vraiment sexy, mais lorsque ma main en toucha l’élastique, mon sexe durcit encore un peu plus. Il semblait prêt à exploser. Dans un dernier réflexe de défense, elle resserra ses jambes, mais trop tard d’un dixième de seconde. Mon doigt était déjà sur son clitoris. Quelques caresses suffirent pour que ses jambes s’écartent de nouveau. Mes doigts se faufilèrent sous l’élastique de sa culotte pour entreprendre la visite de ce volcan en fusion. Elle était trempée. Ma bouche délaissa son sein pour suivre le même chemin que ma main. Je déposais des baisers passionnés sur son ventre. Elle haletait d’excitation. Afin d’être plus à mon aise, je m’installai entre ses cuisses. Le plus délicatement du monde je lui fis glisser sa culotte, pour enfin découvrir sa toison vierge de tout coup de rasoir. Je n’avais jamais vu de chatte aussi poilue, mais je me gardais bien de faire le moindre commentaire qui aurait pu rompre le charme. La pointe de ma langue se posa sur son clito. Elle gémit et, m’attrapant par les cheveux, me bloqua la bouche sur son sexe.
Ma langue explora tous les recoins de sa chatte. Parfois, se faisant curieuse, elle s’enfonçait en elle comme l’aurait fait mon sexe. Julie cria sa jouissance. Afin de la laisser redescendre lentement de son septième ciel, je lui embrassais le clitoris, les grandes lèvres, et l’intérieur des cuisses.
Lorsqu’elle eut retrouvé ses esprits, elle me dit :
Elle avait pris son plaisir mais moi, j’étais plus excité que jamais. Mon sexe était toujours à l’étroit dans mon pantalon. Tout en l’embrassant de nouveau sur la bouche, je lui posai la main sur mon sexe. Elle n’osait pas bouger. Elle se dégagea un peu, et comme une petite fille qui a fait une bêtise, elle me dit en rougissant :
Je me déshabillai devant elle. La taille de mon sexe l’impressionna.
Je me remis à côté d’elle. Tout en l’embrassant, je pris sa main et la posai sur mon sexe. Elle le caressa comme un petit animal. Bien que ses caresses fussent très agréables, j’avais envie qu’elle me donnât du plaisir. Je guidai sa main afin de lui montrer comment me branler. Je lui fis prendre mon sexe à pleine main et lui montrai comment faire coulisser sa main tout du long. Après quelques va-et- vient, avec ma main autour de la sienne, je décidai de la laisser se débrouiller toute seule. Sa main manquait d’assurance, et le rythme n’était pas parfait, mais le plaisir que je tirais de ces hésitations était phénoménal.
Tout en continuant de me branler, elle s’abaissa et prit mon gland dans sa bouche. Cette nouvelle caresse me fit frémir de plaisir. Je sentais l’orgasme arriver.
Elle reçut la première giclée dans la gorge, lui provoquant une sorte de haut de cœur, elle continua malgré tout à me branler dans sa bouche. Plus je me vidais, plus elle aspirait ma sève d’amour. Lorsque j’eus fini de jouir, elle continua à me lécher le sexe avec application.
Pour la première fois nous allions partager le même lit. Je ne sais pas pourquoi j’avais voulu dormir avec elle, ce soir-là. Quand elle se coucha, elle se blottit contre moi. Nous étions dans les bras l’un de l’autre. Elle avait enfilé un pyjama et moi comme à mon habitude, je dormais en caleçon. Je sentais les pointes dures de ses seins contre ma poitrine. Son odeur m’enivrait. Ses cheveux balayaient mon visage. Mon esprit était rempli des images érotiques que mon corps venait de vivre. Nous avons eu beaucoup de mal à nous endormir ce soir-là, n’arrivant pas à se trouver une « place ». Son corps contre le mien me rappelait en permanence les souvenirs de la soirée. Je bandais comme un âne, mais j’avais promis d’être sage. Je savais que si je tentais quelque chose, elle me renverrait illico dans mon lit. La fatigue eut finalement raison de moi, et je m’assoupis.
Sur le petit matin, je fus réveillé par la main de Julie qui se glissait dans mon caleçon. Lorsque l’on se réveille, il y a un instant pendant lequel on ne sait pas si on dort encore ou si l’on est réveillé, puis petit à petit le monde de la réalité chasse le monde féerique des rêves. Pensant que je rêvais encore, je ne bougeais pas, afin de prolonger cette agréable sensation. Il me fallut plusieurs minutes pour me rendre compte que je ne rêvais plus, et que c’était bien sa main qui jouait avec mon sexe.
Sa tête était reposée sur mon bras droit. Elle était sur le côté, me tournant le dos. Elle avait passé sa main entre nos deux corps et me branlait le gland du bout des doigts. Cette caresse était tellement agréable qu’elle réussit à m’arracher un gémissement.
Elle était toujours dos à moi, et pour faciliter sa caresse, j’ôtais mon caleçon, avec son aide. À chacun de ses va-et-vient mon gland frottait contre son pyjama, au niveau de ses fesses. Mon bras droit étant coincé par sa tête, ma main trouva rapidement le chemin de ses tétons, que j’agaçais au travers du tissu. Mon autre main, étant beaucoup plus libre de ses mouvements, s’acharna à lui ôter son bas de pyjama. Heureusement elle m’aida en soulevant son bassin. L’inconfort de la situation, m’obligea à batailler quelques minutes pour avoir le plaisir de sentir mon gland frotter contre ses fesses mises à nues. Ce contact me fit durcir encore plus fort. Ma main gauche, alors désœuvrée, s’aventura rapidement dans sa forêt vierge.
Lorsque ma main se trouva en contact avec sa motte, elle écarta ses jambes pour me faire comprendre ce qu’elle voulait. Je jouais quelques instants avec ses poils, puis m’amusais à faire glisser mon majeur sur ses grandes lèvres. Son puits d’amour débordait littéralement de mouille. Mon doigt, de plus en plus inquisiteur, accentua son mouvement de manière à caresser son clitoris, et s’aventura jusqu’à son anus. Elle mouillait tellement que son petit trou était aussi lubrifié que son con. Elle prenait son pied si j’en jugeais par ses respirations saccadées et ses soupirs de satisfaction. J’accompagnais du bassin les mouvements de va-et-vient de sa main, mon gland s’insinuait, à chaque coup, un peu plus entre ses fesses.
Ses cuisses s’écartèrent un peu plus pour qu’elle puisse se caresser le clitoris avec le bout de mon membre. Bientôt il se trouva en contact avec ses grandes lèvres. Mon sexe avait pris la place de mon doigt, et elle se caressait le clito avec. Mes doigts lui écartèrent ses babines afin que mon gland soit à l’entrée de sa chatte. À chaque fois que sa main remontait, elle cognait contre son clitoris. Son bassin ondulait au rythme de ses caresses. J’avais déjà presque l’impression d’être en elle, tant sa chatte était humide et chaude.
Elle me masturbait, en laissant mon gland juste à son entrée. Elle repoussait au maximum l’inévitable instant où elle céderait. Chaque fois que sa main venait cogner contre sa fente, elle poussait un grognement de plaisir. Dominé par l’excitation, je repris l’initiative. J’accompagnais chacun de ses va-et-vient, d’un petit coup de bassin en avant. À chaque coup je m’insinuais un peu plus en elle. Seule, sa main qui ne lâchait pas mon sexe, m’empêchait de la prendre à fond. La position ne devait pas être très confortable pour elle, ainsi contorsionnée, mais elle ne lâchait pas sa prise. À chacune de mes poussées, sa main était un peu plus écrasée entre nos deux corps. Je la basculais sur le côté. Mes mains se saisirent de ses hanches. Elle se cambra, au moment même où je me redressais, si bien qu’elle se trouva en position de levrette. Elle avait lâché mon sexe une fraction de seconde pour glisser la main entre ses cuisses et s’en ressaisir afin de limiter ma pénétration, mais la forteresse semblait sur le point de capituler. Elle gémissait de plus en plus fort. Sa main tenait avec beaucoup moins de vigueur mon sexe. Elle venait au-devant de chacun de mes coups de buttoir. Une poussée plus forte que les autres, la déséquilibra. Pour éviter de s’affaler sur le lit, elle fut obligée de lâcher mon sexe et de poser sa deuxième main sur le lit. Je profitais de cet instant pour m’enfoncer en elle jusqu’à la garde.
Sa phrase resta en suspens. Elle fut secouée par un violent orgasme. L’entendre crier son plaisir déclencha le mien. J’avais l’impression que jamais je ne redescendrais sur terre. Après cette overdose de plaisir, nous nous sommes écroulés sur le lit, mon sexe toujours planté en elle.
Ce jour-là, nous ne sommes pas allés en cours, préférant passer la journée entière à faire l’amour. Ma tendre cousine était insatiable, elle en voulait toujours plus. Elle semblait vouloir rattraper son retard en matière de sexe et elle se montrait, comme à l’accoutumée, une excellente élève, dépassant parfois son maître. À partir de ce jour, nos relations prirent un aspect totalement différent. L’harmonie totale régnait dans l’appartement. Nous passions tout notre temps de libre à nous adonner aux plaisirs charnels. Une semaine plus tard, elle était devenue une parfaite maîtresse. J’étais devenu complètement accro de nos parties de jambes en l’air, et totalement amoureux d’elle, et elle de moi. Nous étions devenus complètement fous l’un de l’autre. Malheureusement c’était les vacances de Noël, chacun de nous devant rentrer chez ses parents, ce fut notre première séparation. Les vacances me parurent interminables. Heureusement on se téléphonait le plus souvent possible, souvent tard le soir, au fond de nos lits respectifs.
Mais ça c’est une autre histoire…