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n° 11615Fiche technique22791 caractères22791
Temps de lecture estimé : 14 mn
08/08/07
Résumé:  La belle scientifique me fait découvrir ses secrets physiques.
Critères:  fh inconnu volupté hsoumis cérébral voir intermast entreseins facial fellation glaçon
Auteur : Docteur No
Sensualité à fleur de peau

Assistant à une conférence sur les nouvelles techniques, je croise le regard d’une femme assise dans la rangée voisine. La sensualité à fleur de peau qu’elle dégage m’a instantanément séduit.

Elle est revêtue d’une robe assez légère qui laisse deviner un corps divinement modelé.


Nos regards se croisent. À l’issue des débats, je me rapproche d’elle et lui propose de se joindre à moi pour le lunch dans les salons attenants.

Carole est ingénieur, expert dans les nouvelles énergies. Nous parlons de choses et d’autres pour amorcer la discussion, puis elle m’explique qu’elle vit seule ; en fait, elle n’est pas mariée.

Elle approche la quarantaine et se définit comme libertine, sans tabou… mais, au fait, pourquoi me parle-t-elle ainsi d’elle, moi qui ne la connais que depuis quelques minutes ? Je suis de plus en plus conquis par ses propos qui me transmettent des ondes envoûtantes. Elle m’explique qu’elle est très libidineuse et sait déceler les personnes qui peuvent répondre à ses fantasmes, avec qui elle pourrait vivre des choses intenses. Elle était bi, mais n’avait aucun préjugé.


Un tel dialogue, en ces lieux, me trouble profondément, mon cœur palpite, moi qui pensais que nous allions aborder les problèmes de récupération calorifiques, d’alternatives aux énergies fossiles, etc.

Le séminaire terminé, elle quitte la salle et me glisse un petit papier avec son nom et son e-mail. Je m’empresse de le fourrer dans la poche, j’ai l’impression d’être ce jeune puceau qui vient de décrocher son premier rendez-vous. J’en frissonne.

Rentré chez moi, j’allume fébrilement mon PC et, oh… surprise ! Carole est connectée et me donne rendez-vous samedi chez elle à Paris dans un nouveau quartier bobo vers 15 heures. J’en tremble, elle m’a irradié, c’est comme un coup de foudre.


Je grimpe lestement les deux étages, un bouquet de roses blanches à la main, et sonne. Une femme élégamment vêtue d’une robe vaporeuse digne des grands défilés fashion m’ouvre. Carole apparaît devant moi, splendide, sublimement maquillée. Je la gratifie d’un baisemain et entre dans l’appartement cossu et meublé de très bon goût.


Elle me sert une piña colada de sa création, que nous sirotons assis sur un large sofa. La conjugaison de l’ananas, du coco et du rhum, additionnés je suppose de quelques épices aux dons aphrodisiaques, a tôt fait de faire tomber mes inhibitions.

Elle a les jambes croisées haut… tellement haut, tellement érotique…



… Et cela me convient tout à fait. Carole fait régulièrement du stretching et prend grand soin de son corps. Quelques ridules dans le coin des yeux ne trahissent en rien son âge.

Un CD de musique douce nous diffuse une atmosphère très apaisante. Elle se lève et m’invite à quelques pas de danse, disons, d’un slow langoureux. Sa robe, voile sophistiqué de soie moirée savamment et irrégulièrement échancrée est érotiquement taillé pour son corps, laissant tour à tour deviner ses hanches, sa poitrine, ses cuisses, ses fesses, et toutes les richesses d’une femme.

Je la tiens délicatement par la taille et nous tournons, au rythme lent du morceau. Carole palpe tour à tour mes muscles dorsaux, mes épaules, mes biceps. Elle évalue mon physique.

Je la serre contre moi, descends vers ses fesses fermes et ne perçois aucune lingerie. Serait-elle nue sous sa robe ? Elle ondule et contracte légèrement ses lobes fessiers en appuyant contre mon sexe, m’irradiant de bonheur ; elle perçoit ma virilité et sourit. Tous ces petits mouvements fusionnels sont dictés par sa chorégraphie sensuelle. Je me délecte des effluves subtils de son parfum qui n’avait d’effet que de raidir plus encore mon serviteur.

Très lentement, elle glisse sa main, les doigts joints, de mon cou vers l’oreille, m’en titille le pavillon, me mordille le lobe, puis les glisse dans mes cheveux et me dépose un baiser au coin des lèvres. L’oreille, le cuir chevelu, sont tous mes hauts lieux érogènes avec lesquels elle sait jouer. Ma main gauche caresse son ventre plat au travers du tissu glissant, distingue ses abdos qui se contractent sous ma caresse, et remonte vers son sein gauche que je soupèse délicatement, passant mon majeur autour d’une aréole hypersensible. Aucun soutien-gorge ne ceint sa poitrine parfaite. Les pointes durcissent, traduisant une excitation certaine. Elle ralentit la danse et enroule tel un reptile sa cuisse autour de la mienne, frottant langoureusement son pied contre mon mollet, guidant d’un subtil mouvement son minou plaqué contre mon sexe. Je bande dur et crois devoir tout lâcher. Hypersensuelle, cette femme est une déesse.



Sa voix est entrecoupée d’une respiration lente et profonde, gonflant sa poitrine. Je quitte ce monde… C’est exactement ce qu’elle prévoyait : nous transposer dans une bulle de volupté ou ne devaient réagir que nos sens.


Elle ouvre un à un les boutons de ma chemise, glissant félinement sa main sur mon thorax, agaçant tour à tour mes tétons qui se raidissent. Elle s’attaque à la ceinture qu’elle défait, puis ouvre la braguette et dégage le pantalon. Je porte un string dégagé mettant à nu mes fesses.

Nous reprenons notre slow. Ses mains m’explorent tout le dos et descendent à mon postérieur dénudé qu’elle pétrit. Elle tente un doigt dans ma raie et agace ma rosette. L’effet est immédiat et la vigueur de mon sexe la cogne. Elle se délecte de mon membre tendu sous mon étoffe minimaliste.


Ma belle m’entraîne vers une sorte de banquette dessinée et dédiée à l’amour, tapissée de soie, longue d’environ deux mètres, basse, large d’une soixantaine de centimètres, aux extrémités relevées, et qui permet de s’asseoir face à face, adossé, de se coucher ou de laisser les deux pieds au sol, cuisses écartées. Elle est placée au milieu de la grande pièce et je comprends que, accessible des deux côtés, son usage est de pouvoir servir Carole.

Je suis assis chevauchant cette banquette, mon entrejambe avantageusement protubérant. Face à moi, Carole, assise les jambes repliées en tailleur. Sa robe tombe savamment, son intimité m’est cachée.

Délicatement, elle étend sa jambe galbée vers mon sexe et me masse délicieusement à travers le tissu tendu. Elle a les yeux fermés et doit vivre un rêve… Je lui prends le pied et lui masse délicatement l’orteil.

Elle semble très experte dans ces jeux, son deuxième pied rejoint le premier et me gratifie d’un feet-job.

Un frisson me parcourt, je contracte tous mes muscles et ma hampe s’érige de plus belle. Un orteil entreprend de me dégainer, et la plante de ses pieds me prodigue une lancinante masturbation, le fourreau de ma verge tendu coulissant entre les doigts de son pied. Je tiens son pied, le serre contre moi, lui masse la cheville, son autre pied se glisse dessous et va titiller ma rosette et le dessous de mes bourses. Voyant que j’étais prêt à exploser, elle cesse, replie ses jambes et admire son oeuvre. Ma verge est dressée, arrogante.



D’une petite commode attenante, elle sort un coffret de bois noble d’où elle extrait un objet longiforme. Je comprends que c’est son compagnon des moments de solitude, un phallus de cristal aux formes très épurées, nanti d’une extrémité plus proéminente.

Délicatement, elle s’empare de l’objet et me fixe droit dans les yeux ; son maquillage subtil donne plus de profondeur encore à son regard envoûtant. C’est comme si j’étais attiré dans une spirale, hors du temps.

Tous ses mouvements sont lents, subtils, dotés d’une grâce et d’un érotisme torride. On baigne dans une langueur absolue, la compilation de musiques érotiques, à peine audible, nous berce. L’ambiance est douce, nous sommes transposés ailleurs.


Carole pointe sa langue. Par d’imperceptibles mouvements des yeux elle me dicte ses émotions, que je suis invité à partager. Saisissant son glaive de cristal qu’elle tient verticalement devant elle, elle en humecte la base et le parcourt de sa langue jusqu’à l’extrémité supérieure, puis elle redescend. Elle me fixe de son regard intense. Elle recommence et se concentre sous le renflement. Je ressens son excitation et je caresse mon string pour calmer les palpitations de mon membre.

Prémices de ses premiers frissons, elle froisse de sa main gauche un pan de soie de sa robe qu’elle remonte le long de sa cuisse, par un subtil alternat de pulsions plus intenses et d’extrême sensualité.

Remarquant mon trouble et par fausse pudeur ludique, elle ramène son poing vers son entrejambe. Je parais déçu, mais elle dévoile furtivement un minou impeccablement épilé en forme de petit cœur. Le haut de sa robe négligemment déboutonnée laisse entrevoir une grande partie de sa poitrine, mais pas encore les pointes que l’on devine par les ombres de la soie.


Elle dirige le phallus de cristal vers sa chatte, joue de longues minutes à dessiner des arabesques autour de ses grandes lèvres, sur son mont de Vénus, puis sur son clitoris. Elle tente d’écarter ses grandes lèvres et d’y faire pénétrer son bijou. Par jeu, elle feint de ne pas y parvenir. Je décode par-là ou qu’il est trop gros ou qu’il faut que je l’aide.

Je frotte ma hampe au travers de mon string tendu quand soudain mon gland jaillit hors de l’étoffe trop exiguë. De mes deux doigts, je parcours mon pieu, cherchant à prolonger à l’infini cette douceur. Je ne dois pas craquer…

Le moment est torride, elle m’observe et se délecte de mon état.



Que dois-je penser d’elle alors ! Carole pousse à nouveau son barreau de verre, les petites lèvres sont un nouvel obstacle. Ses chairs plient et se rétractent. Elle joue, les cuisses très largement écartées, et je ne perds aucun de ses mouvements d’une intense force érotique. De ses ongles elle se griffe l’intérieur des cuisses. Puis, comme une bouche, ses lèvres s’ouvrent et l’extrémité pénètre. Elle bascule la tête en arrière, sa poitrine gonfle, et je comprends qu’elle se pâme d’aise. Le cristal pénètre de quelques centimètres puis elle le retire dans un bruit de succion, telle une ventouse. Je plaque ma main sur mon sexe gonflé et contracte mes abdos. Je ne dois pas jouir… C’est très dur pour moi, mais elle me fait comprendre que je dois passer par là. Il faut prendre son temps, savoir apprécier l’autre, communier nos sens. Elle tend vers ma bouche le cristal couvert de buée et de cyprine, le promène sur ma langue tendue. Je suis aux anges. De sa chatte coule un fin filet traduisant l’intense excitation qu’elle me fait partager.

Elle redirige l’objet dans son antre dilaté, et de manière plus rythmée le fait aller et venir. Je me masturbe frénétiquement. Ses yeux se révulsent, et d’un clin de paupière je comprends que nous devons jouir simultanément.

Elle se crispe, frémit, lance son corps en avant ; un cri, des spasmes, puis un relâchement…

Je lance de longs jets de semence sur mon thorax et abdomen… De son majeur effilé, elle suit les traces de ma semence, la coquine, les porte à ma bouche puis à la sienne en se délectant, faisant entrer et sortir ludiquement son doigt d’entre ses lèvres, les yeux clos.


Carole se laisse couler sur la banquette. Elle a toujours les yeux fermés, elle est divinement belle. Sa poitrine bombe la soie de sa robe partiellement déboutonnée. Je m’accroupis sur la moquette à côté d’elle. Elle est à moi, je vais l’accaparer, tout lui prendre.

Je passe ma main délicatement sur toute la surface de son corps afin d’en apprécier les courbes. La soie est glissante, une matière extrêmement érotique. Son corps se tend quand je m’attarde sur certaines zones. Je libère sa cuisse de l’étoffe. Mon visage à la hauteur de sa chair est prêt à la dévorer. Je pose ma joue gauche sur son ventre et joue de ma main sur toute la longueur de sa jambe. Je palpe l’arrière de son genou, remonte sur la cuisse, masse le dessus, le dessous puis l’intérieur. Sa respiration, régulière tout à l’heure, se fait plus saccadée. Délicatement, je déboutonne l’unique bouton restant et dévoile son sein droit sur lequel je pose un furtif baiser, puis le gauche, puis libère l’ensemble de son corps.

Carole est nue, sublime, sa robe dégagée de chaque côté. Son bras droit pend hors du sofa ; elle griffe légèrement ma cuisse et prolonge sa caresse vers mon entrejambe.

Elle me désigne un petit coffret d’où j’extrais une plume, une belle plume colorée d’oiseau tropical dont l’extrémité se termine par un délicat duvet.

Je m’incline vers elle et lui dépose un baiser sur la bouche. Elle darde sa langue, j’arrondis mes lèvres, elle me gratifie d’un va-et-vient de sa langue, les yeux fermés.

Je joue de la plume autour de son oreille et lui caresse le lobe. Un frisson la traverse et son corps ondule. Je me glisse vers son cou. Ses seins sont séparés par un profond sillon. Je promène la plume entre les deux fruits. Une profonde respiration qui trahit son excitation gonfle cette sublime poitrine. J’en dessine les contours, les côtés. Un frisson traverse Carole, elle se délecte. La plume balaie ses abdos. De l’extrémité cornée, je griffe le nombril puis descends vers son entrejambe qu’elle écarte naturellement. Je balaie d’une première passe sa vulve, puis passe dans son sillon et lui déclenche quelques tressaillements. Je quitte la zone et descends vers ses pieds aux ongles impeccablement vernis. La plume passe entre ses doigts et balaye le coup de pied puis la cheville et remonte doucement par le mollet et le creux du genou. Je reprends le côté duveteux et balaie l’intérieur des deux cuisses en remontant délicatement vers l’aine. De ses petites lèvres perlent des gouttes de rosée.


Le seau à glace est resté sur le guéridon. J’en prends un cube entre les dents que ludiquement je passe sur les aréoles, puis par petites touches sur les tétons érigés qui durcissent instantanément. Une chair de poule la gagne. Elle creuse son ventre. Son corps est chaud, la glace fond en une traînée d’eau froide, je me dirige vers le nombril que je remplis goutte à goutte puis descends vers le mont de Vénus. Je joue avec les lèvres palpitantes de son minou, les titillant avec le cube, puis je taquine le clitoris en érection avec lequel je joue très doucement en dessinant tout autour de graciles arabesques. Carole creuse ses reins, sa poitrine gonfle et se bombe, arrogante, les mamelons plus érigés que jamais. Elle se soulève, se cambre et roucoule de plaisir. C’est exactement ces excitations qu’elle recherche.



Je reprends un cube de glace dans ma bouche et entreprends de la couvrir de baisers. Ses cuisses se séparent, la toute belle m’offre son minou, ses lèvres s’écartent, je dépose un bisou et passe ma langue sur son clitoris. Elle pousse un râle, se trémousse, les yeux fermés. Sa main se crispe dans mon cuir chevelu, elle appuie pour sentir la jouissance l’envahir… sa chatte, élargie par l’excitation, coule, mélange de cyprine et d’eau froide, ma langue est tout entière à son service… Un petit lapement sur son bourgeon et c’est l’explosion. Tout son corps se contracte et vibre pendant de longs instants, c’est la plénitude, la petite mort…


Quelques instants pour retrouver ses esprits et elle glisse sa main sur mon string. Sa main frotte le tissu pour en évaluer le contenu et lui donner plus de vigueur encore. Je suis tendu car je n’ai pas joui. Je me lève me tiens à côté d’elle, les jambes légèrement écartées. Elle passe la main sous mon entrejambe et palpe mes fesses dénudées. Mon membre raide la domine, elle me regarde les yeux mi-clos, ses pensées sont quelque part dans un rêve érotique. Elle se délecte d’une vue en contre-plongée sur mon string gonflé, ce qui lui donne une apparence plus appétissante encore. Elle me pétrit les fesses que je contracte, apprécie la tension des muscles et me griffe, puis ses mains malaxent délicatement les bourses, tirent sur le tissu et libèrent le glaive qui jaillit hors de son fourreau.

Carole le saisit d’une main habile, tire sur la peau pour en extraire un gland turgescent, ferme les yeux, puis elle le balade tel un pinceau sur toute la surface de sa poitrine, sous l’aisselle où naît la courbe si parfaite de son sein, autour de l’aréole, sur ses tétons. Je suis aux anges, bande mes muscles fessiers et lance plus en avant ma solide épée. Elle en fait coulisser la peau d’un délicat va-et-vient, se mordillant les lèvres. Je la regarde jouer. Elle creuse son ventre et fléchit mon organe, le pose et le roule de sa main sur son abdomen. Je sens durcir ses abdominaux. Elle descend plus bas, se taquine le pubis et ses lèvres humides.

Je me laisse guider par ses gestes, elle seule sait ce qu’elle cherche. Elle souhaite maîtriser l’objet, comme s’il était sien. Elle me tire vers son visage et engloutit mon sexe qu’elle pompe avidement. Après de longs va-et-vient, elle l’extrait de sa bouche, recouvert de bave, et se frotte le visage, les cheveux, les yeux, le nez, le menton, la gorge.

Carole me fait comprendre de l’enjamber. La banquette est assez basse et je peux me tenir debout, mes jambes écartées de part et d’autre, mes organes bien offerts à sa dégustation.

Elle glisse ma hampe dans ce merveilleux sillon qui sépare ses deux pamplemousses, presse ses seins l’un contre l’autre. À moi de poursuivre… Je vais et je viens, elle me sent bientôt venir par les pulsions de la veine de mon membre, me dégage et reprend le contrôle. Elle passe sa main sous mes bourses gonflées qu’elle palpe et triture. Je suis au bord d’une éjaculation mémorable quand elle glisse un doigt vers ma rosette, la titille et y pénètre une phalange. Je tiens ma queue telle une lance, et dans un cri de jouissance je lui inonde les cheveux, le front, le visage. Elle pétrit et griffe mes fesses concaves aux muscles bandés, puis saisit ma queue pour l’engloutir dans sa bouche. Elle me pompe divinement. Elle veut goûter sur sa langue les derniers jets. Je tremble sur mes jambes et me crispe de plaisir.

Elle ouvre la bouche, cette bouche remplie de ma semence blanche qu’elle avale avec délectation. Elle passe la langue sur ses doigts qui ont récolté sur son visage ce qu’elle n’a pu happer et, m’attirant, me gratifie d’un baiser torride où nos langues lubrifiées de mes sécrétions tournoient entre elles. Mon serviteur pend au-dessus de son abdomen et laisse épancher les dernières gouttes.



… Ce que je m’empresse de faire. Elle glousse puis se retourne sur la banquette et m’offre la vue de sa croupe et la totalité de son anatomie. Elle plaque son menton sur un coussin. Je parcours des mains tout ce corps divin, épousant le creux de ses reins, ses cuisses puis les deux lobes de son postérieur. Je me délecte, ma bouche mord délicatement ses fesses, et de la main droite je claque par de petits coups secs ses deux hémisphères… Un petit soupir d’aise m’apprend qu’elle apprécie grandement… Son grain de peau, son délicat parfum, le jeu subtil de sa main ont vite redonné vigueur à mon glaive.

Elle écarte les cuisses hors de la banquette et, telle une cavalière couchée sur sa selle, m’offre ses orifices humides. L’espace est si large que je peux y plaquer ma main. Un majeur inquisiteur va se perdre dans les tréfonds de sa chatte, son petit trou bien dilaté semble attendre son tour.

Je m’assois, mes cuisses sous les siennes, avance mon corps vers l’antre béant et la fourre d’un coup. Je ressors puis rentre quelques centimètres et alterne pénétration du gland et pénétration totale. Je la tiens fermement. Elle crie, se cambre et pousse son corps vers le mien. Ses jambes se replient vers le haut et verrouillent mon dos. Je la pistonne intensément.

Après de longs et puissants va-et-vient, elle me fait comprendre d’honorer son deuxième orifice. Je m’exécute en me relevant, tenant fermement ma hampe que j’applique sur son sphincter. Il se dilate puis m’aspire tout entier. Je l’agrippe par le creux du bassin et l’attire violemment contre moi en la pistonnant. Elle se cabre en un rythme de moins en moins contrôlé jusqu’à la libération d’un cri strident. Mon sexe est serti dans ses entrailles et ce n’est que quelques longues secondes plus tard que, libérée de la jouissance, elle se relâche et s’affale. Je me dégage et observe la déesse anéantie par la sublimation, tandis que de ses deux orifices s’écoulent d’abondants filets blancs.



J’en devenais amoureux fou…

J’étais aux anges, fatigué, mon sexe douloureux mais irradié par nos extases échangées…


Je renvoie tout à l’heure par fax la confirmation d’invitation à la prochaine conférence…