n° 11622 | Fiche technique | 9610 caractères | 9610Temps de lecture estimé : 6 mn | 12/08/07 |
Résumé: Comme quoi le bricolage peut réserver bien des surprises ! | ||||
Critères: fh fhh voisins fépilée noculotte intermast entreseins fellation fist pénétratio double sandwich fsodo -totalsexe -voisins -bourge | ||||
Auteur : Erato Envoi mini-message |
J’ai une voisine très mignonne : la trentaine, blonde, toujours bronzée, un peu BCBG. Elle a un physique que je qualifierais de « canon » et porte la plupart du temps des vêtements mettant en valeur ses jambes, ses fesses et ses seins, sans pour cela être vulgaire. Jusqu’à présent, nos rapports s’étaient limités aux sourires et aux traditionnels « bonjour ». Je n’avais jamais eu l’occasion d’engager la conversation. Jusqu’à hier…
Seul à la maison, je profitais du week-end pour installer des étagères dans le garage. Je l’avais aperçue la veille, manifestement seule aussi. En cette fin de mois de juillet, le lotissement était quasiment désert. Il faisait une chaleur torride dans le garage et je ne portais qu’un short.
J’étais donc en train de bricoler quand j’entends frapper à la porte du garage et je la vois se faufiler dans l’entrebâillement.
Tout en répondant à ses questions pendant qu’elle examinait mes rayonnages, je la détaillais du coin de l’œil.
Elle portait des escarpins à talons très hauts, une jupe collante fendue jusqu’en haut de la cuisse. Manifestement elle n’avait rien dessous, car la jupe lui moulait parfaitement les fesses. En haut, elle avait une sorte de débardeur très ajusté sous lequel on devinait parfaitement le globe et le bout de ses seins.
Je sentis mon sexe se redresser dans mon short.
Le tissu de mon short se tendit à nouveau et je lui répondis d’un ton amusé :
Je lui malaxais les seins à travers le tee-shirt et j’agaçais ses pointes qui maintenant étaient gonflées et très dures. Pendant ce temps, elle avait plaqué ses mains dans mon dos et remuait ses fesses. Mon sexe était très dur et elle me masturbait avec la raie de ses fesses.
J’avais entièrement dégagé ses seins du tee-shirt et, tout en lui mordillant l’oreille, je remontais ma main entre ses cuisses. C’était doux, chaud et de plus en plus humide au fur et à mesure de ma progression. Pendant ce temps, elle avait glissé ses deux mains dans mon short. D’une main, elle me masturbait doucement tandis que l’autre me pétrissait et me griffait les couilles. Ma main atteignit sa fente, et je commençais doucement à tirer sur son clitoris ; elle me dit alors entre deux halètements :
Il y avait dans le garage un vieux vélo de fitness de type « semi-allongé ».
Je lui remontai la jupe jusqu’à la taille, l’installai au bord du siège et lui fis mettre les pieds sur chaque extrémité du guidon. Je m’installai entre ses cuisses et commençai à lui lécher la fente. Sa chatte était aussi réussie que le reste : entièrement épilée, les lèvres joliment dessinées. Je l’ouvris délicatement avec les doigts et je me mis à lui téter le clitoris. J’aspirais, je suçais, je tirais dessus avec mes dents. Elle haletait de plus en plus fort.
Je mis d’abord deux doigts et je commençai à l’astiquer puissamment. Elle jouit une première fois. Je mis deux doigts de plus, puis carrément toute la main. Elle était complément dilatée et elle poussait de plus en plus fort avec son bassin pour que je la pénètre plus profondément.
Tout en continuant à la pistonner avec ma main, je me déplaçai pour lui permettre d’enfourner ma queue. Elle m’attrapa par les couilles et commença à me téter le gland. Puis elle l’avala une première fois, et continua son va-et-vient en m’agaçant le manche avec les dents. C’était divinement bon. Je sentais la chaleur monter au creux de mes reins et me dit que si je ne me retenais pas, j’allais tout lui lâcher sur la langue. Heureusement, je l’entendis me dire :
Je me mis entre ses cuisses, lui pris les fesses par en dessous pour bien lui écarter les fesses. Pendant ce temps, elle écartait ses lèvres d’une main tout en se masturbant le clitoris de l’autre. Je rentrai dans sa chatte doucement, c’était chaud et très humide. Elle me sourit et me dit :
J’avais lâché ses fesses et, tout en lui masturbant les seins, je m’enfonçai d’un coup jusqu’à la garde. Elle cria :
Je la défonçais comme un fou pendant une dizaine de minutes. Elle gémissait, criait. Elle me suçait l’oreille et me murmurait des insanités entre deux gémissements. J’étais à deux doigts d’exploser quand elle me dit :
Elle me fit installer à sa place, se retourna et après avoir lubrifié sa raie avec de la salive, positionna ma queue à l’entrée de son anus. Le gland pénétra doucement et puis d’un seul coup, elle s’empala sur mon chibre avec un long gémissement. Je la tenais par les seins. Je ne sais pas si c’était du 95 C mais ils étaient très gros, bien gonflés et leurs bouts étaient durs et sensibles. Elle montait et descendait sur ma bite tout en s’enfilant plusieurs doigts dans la chatte, elle haletait très fort et je l’entendis dire :
Entièrement absorbé par mon pilonnage, je n’avais pas vu mon autre voisin et néanmoins ami, qui, sans doute attiré par le bruit, était entré dans le garage.
Je n’en revenais pas. Lui ne se le fit pas dire deux fois, il baissa rapidement son short. Il avait la bite très épaisse, elle devait bien faire six centimètres de diamètre. Il s’approcha et la fourra d’un seul coup. Il faut dire que je lui avais bien préparé le travail. Pendant qu’elle faisait coulisser son cul le long de ma queue, il la bourrait comme un fou avec son gros chibre. Elle jouissait de plus en plus vite et je la sentais couler sur mes cuisses.
Avant que nous ayons pu tous les deux décharger, elle nous proposa un final un peu inédit. Je m’installais à califourchon sur elle pour une super-branlette espagnole pendant qu’elle enfournait le pieu de mon copain. Bon Dieu, qu’elle était divine ! Mon voisin défourailla le premier. Il lui balança de longues giclées de foutre dans la bouche qu’elle avala avec le sourire. Pendant ce temps, je continuais à m’astiquer entre ses seins, tout en lui branlant la fente. Au moment où j’étais près à partir, elle m’aspira littéralement et je lui lâchais tout au fond de sa gorge.
Sur ce, avec une pirouette, elle nous abandonna, un peu stupéfaits, au fond du garage. Nous nous regardâmes, légèrement interloqués, conscients du décalage entre l’idée que nous faisions de cette jolie femme et du récital qu’elle venait de nous donner.
Comme quoi, les apparences sont souvent trompeuses.
Je ne sais pas s’il y aura une suite. Si c’est le cas, à bientôt pour un prochain récit.