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Temps de lecture estimé : 13 mn
12/08/07
Résumé:  Une belle inconnue, Éliane, femme d'âge mûr, a dépucelé Luc et doit le rappeler. Comme elle ne donne plus signe de vie depuis trois semaines, il se rend à Lacanau pour la revoir à tout prix. Des rencontres inattendues vont changer sa vie.
Critères:  fh jeunes vacances plage voir nudisme fellation cunnilingu pénétratio -prememois -plage
Auteur : Lucien Ramier  ( J'ai déja écrits 6 textes sur votre site)            Envoi mini-message

Série : De la théorie à la pratique

Chapitre 03
Le relais d'Éliane

Cela faisait déjà trois semaines qu’Éliane, la merveilleuse initiatrice sexuelle de Luc, n’avait donné signe de vie. Il était si optimiste quand il avait vu, le matin de son départ de Lacanau, les feux rouges de la 2CV d’Éliane disparaître au tournant de la route. Plein d’espoir et de bonheur à l’idée de la revoir, il en avait même embrassé pour la première fois sa logeuse, madame Rodet, toute surprise. Monsieur Rodet, capitaine à la retraite, l’avait bien remarqué alors qu’il le remerciait à son tour pour leur hospitalité dans leur villa :



À la librairie, l’ancien puceau avait laissé place à un jeune homme là aussi plein de toupet. Il avait remis comme il le faut à sa place ce fanfaron de Chaillou, qui se disait le plus grand tombeur de ces dames. Mais qui, aux yeux de Luc, n’était même pas capable d’en garder une plus d’une nuit dans son lit. Pourtant, il en avait du bagout, le Chaillou, qui lui avait forgé sa déplorable réputation de puceau. Mais maintenant, il ne lui en voulait plus. Le dimanche matin, à la piscine, il ne restait plus seul à l’écart près du bassin. Il avait osé s’approcher de deux jeunes filles qui ricanaient dans son dos autrefois.


Bref, l’éducation d’Éliane, sans être quand même tout à fait miraculeuse, lui avait donné du poil de la bête. Mais il attendait d’elle, depuis trois longues semaines, un petit signe de vie, une invitation à une nouvelle rencontre.


Ses logeurs, les Rodet, retournaient régulièrement chaque semaine passer les week-ends dans leur villa de Lacanau. Un vendredi soir de la fin juin, monsieur Rodet lui proposa :



Impossible pour le locataire de refuser une telle invitation qui tombait vraiment à pic. Luc désirait plus que tout retourner à Lacanau avec l’immense espoir de revoir enfin là-bas la femme de ses rêves, Éliane et sa petite maison dans la forêt de pins.



oooOOOooo



Arrivé le vendredi soir à Lacanau, il sortit discrètement du bungalow des Rodet après 22 heures pour rejoindre au plus vite la petite maison d’Éliane. Pas de 2CV Citroën dans le jardin, mais une fenêtre de la maison était éclairée. Il escalada un petit arbre feuillu dont les branches arrivaient à la hauteur de cette fenêtre éclairée à l’étage. Sans la volonté de revoir Éliane à tout prix, jamais il n’aurait osé tenter une telle escalade. Par la fenêtre il aperçut un lit et, allongé dessus, un couple, un homme et une femme entièrement nus. Ils faisaient l’amour. Un tel spectacle, si ce n’était chez Éliane elle-même, l’aurait fait bander immédiatement. Là, son cœur se mit à battre. Il se demandait avec angoisse si ce n’était pas là son initiatrice en compagnie d’un inconnu. Au bout d’un moment, le jeune homme se souleva de sa position. Il put apercevoir son visage et il reconnut le fils d’Éliane, qu’il avait vu l’autre jour à la plage, en compagnie de sa fiancée.


Il se sentit soudain comme soulagé et rassuré. Il n’assistait plus maintenant à ce spectacle qu’à la manière d’un voyeur. Du haut de son observatoire, il pouvait profiter de cette scène classée X dans les films. Malgré l’inconfort de ses cuisses serrées sur la branche étroite et de ses jambes qui commençaient à s’engourdir, il sentit son sexe, endormi par la crainte, se réveiller soudain et se mettre à bander. Ce qui aurait pu être très agréable devint presque un supplice, car son pantalon coincé sous les cuisses ne laissait que peu de place à son pénis, qui ne demandait qu’à s’épanouir davantage. Du haut de son observatoire il pouvait suivre tous les mouvements des deux corps.


Au bout d’un moment, la jeune femme se leva. Luc ne put qu’admirer le corps aux lignes parfaites, tout bronzé, sans aucune marque de maillot de bain. C’était donc bien la jeune fille qu’il avait aperçu l’autre jour sur la plage naturiste. Elle vint se placer au-dessus du garçon étendu sur le dos. D’une main, elle saisit le sexe gonflé et luisant tendu vers son vagin. Elle l’engloutit totalement et enserra son partenaire de ses jambes. Le fils d’Éliane ne bougeait pas, tout juste soulevait-t-il légèrement son bassin pour mieux pénétrer sa partenaire.


Luc sentait son membre se tendre de plus en plus. Il s’imaginait là, avec Éliane, dans ce grand lit de sa propre maison. Ce n’était pas la même chambre que celle de leurs ébats de l’autre jour, mais le détail était sans importance. Ce devait être la chambre de son fils. Ah ! Si seulement, elle se manifestait ! Ne lui avait-t-elle pas dit que c’est elle qui le recontacterait pour une autre rencontre ?


La fille s’activait en râles incessants et mouvements de plus en plus rapides, pendant que le garçon lui caressait les seins et la maintenait par les fesses. Luc eut un impératif, se masturber, mais l’opération lui semblait très périlleuse, accroché qu’il était aux branches de l’arbre où il était perché.


Après quelques minutes, il comprit aux gémissements bruyants de la jeune femme et aux râles de son jeune amant qu’ils étaient en train de jouir en même temps. Ce qui paraissait à l’ancien puceau, depuis ses récentes lectures, comme le luxe suprême du couple en train de faire l’amour. En somme, il avait assisté là à une démonstration des progrès qu’il lui restait à faire dans l’apprentissage de l’amour en couple : « Savoir se maitriser pour jouir en même temps que sa compagne ».


Toutes ces réflexions lui semblaient bien inutiles pour l’instant : une seule chose comptait pour lui : revoir Éliane. Il pensait redescendre discrètement de son perchoir et s’éclipser, quand il vit la jeune femme sortir de la chambre et le fils d’Éliane se diriger vers la fenêtre pour fermer les volets. Il allait pouvoir descendre en toute tranquillité de son arbre et rejoindre son bungalow chez les Rodet.


Soudain, il entendit un bruit de moteur qui semblait se rapprocher de la maison d’Éliane. Une grosse voiture entra dans le jardin. Luc, qui se préparait à descendre de son arbre, se ravisa et se raccrocha comme il put à une branche. Et, de nouveau perché sur une plus grosse branche, il était en position plus confortable pour voir de plus près cette voiture qui venait d’entrer. La portière s’ouvrit, un homme descendit du côté du chauffeur. Assis près de lui dans la voiture, il distinguait maintenant une silhouette. Un petit chien bondit sur la pelouse en aboyant.


L’homme se dirigea vers la porte. Il sortit les clés de sa poche et ouvrit la porte d’entrée comme s’il arrivait chez lui. La portière du passager s’ouvrit, une silhouette féminine se détacha sur le mur de la petite maison. À la lueur des phares de la voiture encore allumés, il lui sembla reconnaître la silhouette d’Éliane. La fenêtre de la chambre de son fils s’ouvrit. Le jeune homme, encore torse nu, se pencha par la fenêtre :



Il reconnut sans mal la voix d’Éliane. Il en était sûr maintenant, c’était bien elle qui était arrivée dans cette voiture qui n’était pas la sienne. L’homme qui l’accompagnait était donc son mari. Luc se mit à échafauder un scénario sur la vie privée de sa merveilleuse initiatrice : son mari était souvent en voyage et même en grand voyage car il ne devait pas rentrer souvent. Il s’imagina alors que ce dernier pouvait être un navigateur ou un marin. Cela pouvait expliquer ses absences prolongées du foyer familial. En manque d’amour charnel et physique, Éliane, son épouse, avait tenté une aventure avec lui, un puceau à initier, rencontré fortuitement près d’un bosquet lors de la promenade du chien. Il se dit alors que ce ne pouvait être qu’une aventure passagère qu’il avait eue avec cette femme. Il ne pourrait pas continuer à la voir ou à la fréquenter. Il avait pourtant bien cru rencontrer la femme de sa vie. Elle avait été si merveilleuse en professeur d’amour. Adieux les leçons d’amour !


La femme rejoignit son mari dans la maison, elle appela son petit chien. Ils refermèrent la porte derrière eux, et puis plus rien. Luc descendit alors de son perchoir discrètement. En suivant le long de la plage, il était tout triste et pensait qu’il avait perdu définitivement Éliane. Cependant, il avait peine à imaginer ce scénario et il se disait qu’il allait tenter de la revoir et de lui parler, coûte que coûte. Mais comment ?



oooOOOooo



Le lendemain dimanche, il se dit qu’entre deux parties de boules avec Monsieur Rodet et ses copains à la retraite, il avait le temps de se rendre à la plage naturiste. Par chance, M. Rodet faisant la sieste, le rendez-vous pour les boules fut fixé à seize heures.


Arrivé sur la plage naturiste, il aperçut des jeunes gens qui jouaient au volley-ball. Parmi ces joueurs il reconnut le fils d’Éliane et sa copine qui jouaient du même côté du filet. Un peu plus loin sur le sable fin, sur un matelas de plage, il crut reconnaître Éliane en compagnie de son mari. Ils étaient nus à se dorer au soleil.


Il se déshabilla complètement et rejoignit le groupe de joueurs de volley naturiste. Il vint s’asseoir près du filet. Il se dit qu’en faisant ainsi, on allait pouvoir peut-être l’inviter à se joindre à la partie, histoire de ne pas paraitre trop voyeur sur cette plage naturiste. Il était fasciné par les cabrioles des seins nus des jeunes femmes, quand elles bondissaient pour renvoyer la balle. Au bout d’une dizaine de minutes le nombre de joueurs étant insuffisant, un garçon lui cria :



Luc ne se fit pas prier et se joignit rapidement à la partie. Il pensait ainsi faire connaissance, d’une façon plus approfondie, avec le fils d’Éliane. Mais il ne fut pas un très bon joueur au début de la partie, car il observait du coin de l’œil Éliane et son mari qui se trouvaient à une cinquantaine de mètres, ils semblaient très occupés à discuter. Elle ne regardait pas dans sa direction, il lui faisait pourtant face à moins de cinquante mètres. Au bout d’un moment cependant, il vit qu’Éliane jetait un regard discret dans sa direction. Elle l’avait sûrement reconnu, c’était sûr, mais elle faisait la personne qui ne l’avait pas vu.


Le fils d’Éliane, qui jouait près de lui, lui dit :



Luc lui répondit alors que ce pouvait être dans les deux endroits. En effet, il y a trois semaines il était venu sur cette plage et il allait également à la fac à Talence.


Luc se familiarisait avec le jeu et commençait maintenant à mieux se débrouiller avec le ballon. Il était moins distrait par le regard d’Éliane. Elle ne regardait plus dans sa direction et semblait plongée dans la lecture d’un livre.


La partie se déroula sans problème. Au cours de la partie, il entendit les joueurs s’interpeller par leur prénom. C’est ainsi qu’il apprit que le fils d’Éliane s’appelait Jérémy et sa copine Isabelle.


Après quelques bonnes passes bien ciblées récupérées par Jérémy ou par Isabelle, sa copine, les jeunes gens sympathisèrent. Durant la pause qui suivit, Jérémy invita Luc à venir se rafraîchir à la glacière qui se trouvait au pied du parasol familial. C’était précisément près de ce parasol que se trouvait Éliane en compagnie de son mari. Luc accepta l’invitation, content de se rapprocher d’elle, mais un peu inquiet de ce qui pourrait se passer. Le petit chien le reconnut sans doute et lui fit fête, mais personne n’attacha d’importance à ce détail. Jérémy lui tendit un verre :



Le père de Jérémy s’était redressé. Luc put alors admirer cet homme nu et tout bronzé, avec un corps athlétique parfaitement sculpté. Il devait avoir la cinquantaine, quelques cheveux gris glissaient de ses tempes. Comment pouvait-il cocufier ce si bel homme, mari d’Éliane dont il était fou ? Éliane ne semblait pas prêter attention à sa présence. Elle semblait gênée et faisait celle qui ne le voyait pas. Mais il était sûr, cependant, qu’elle l’avait bien vu et reconnut. Son mari serra vivement la main de Luc.



Luc et Jérémy se connaissaient depuis peu de temps, il est vrai, mais chacun sembla se contenter de cette présentation. Une jeune fille s’approchait du parasol familial. L’amie de Jérémy, Isabelle, présenta sa copine qui venait d’arriver :



Amélie embrassa Éliane qu’elle semblait bien connaître. Elle embrassa aussi le mari d’Éliane et Jérémy. Le plus surpris de tous fut Luc, qui venait de reconnaître la nouvelle venue.



Amélie aussi était toute bronzée. Les beaux seins bien formés qu’il avait imaginés sous le soutien-gorge, lors de la baignade à la piscine, lui apparaissaient maintenant sous le soleil, en pleine lumière, parfaitement bronzés. Le maillot de bain du dimanche ne pouvait laisser deviner une telle merveille. Le magnifique petit triangle noir de son pubis attirait son regard malgré lui. Il ne pouvait s’empêcher de penser à ce petit nid d’amour.

La jeune fille lui sourit :



Luc ne s’étonna pas de sa réflexion, il se contenta d’un sourire un peu gêné.

Pendant un bon quart d’heure Jérémy anima une conversation détendue et chacun se fit connaître un peu plus. Plus les minutes passaient et plus Amélie semblait le regarder et lui poser des questions. Luc, de son côté, sentait le courant passer avec cette jeune fille qu’il avait côtoyée à la piscine bien indifféremment.


En regardant sa montre, Luc s’aperçut qu’il était temps de rejoindre les Rodet pour la partie de boules. Il se rhabilla un peu plus loin du groupe, là où il avait laissé ses vêtements. En enfilant ses habits, il pensait toujours à Éliane. Son attitude était sans équivoque ; elle ne voulait plus de relations avec lui, tout était bien fini avec elle. Il ne pouvait s’empêcher de penser, en guise de consolation, au proverbe cent fois ressassé : « Une de perdue, dix de retrouvées ».


Jérémy et les deux jeunes filles s’approchèrent de lui. Jérémy et sa copine avaient décidé de s’en aller faire une promenade dans les dunes, Amélie quant à elle, voulait s’en retourner vers Lacanau, pour rejoindre des amis.



Avant de partir en direction de la dune, Luc ne put s’empêcher de jeter un dernier regard en direction d’Éliane. Elle était restée sur la plage, allongée près de son mari. Elle regardait maintenant dans sa direction, comme si elle semblait tout à fait d’accord et même rassurée de le voir partir avec Amélie.


Tout en parcourant le sentier dans les dunes, il se sentait très à l’aise avec Amélie. Elle lui semblait si jeune et surtout, elle ne manquait pas d’entrain. Il réussit même, plusieurs fois, à la faire rire avec ses aventures un peu gauches de nouveau citadin bordelais. Elle était moins bavarde que lui. C’est donc comme copain, copine qu’ils arrivèrent à Lacanau. Timidement Luc osa lui dire :



Tout heureux de cette réponse, il se dit qu’elle le trouvait peut-être sympa. Peut-être ne la laissait-il pas indifférente ?



oooOOOooo



Un an plus tard


Luc et Amélie vivent maintenant en couple.


Luc a trouvé un appartement plus grand, toujours chez son ancien logeur à Bordeaux, M. Rodet. Ils sont toujours aussi amis et prévenants avec Luc, qu’ils considèrent un peu comme un fils. Inutile de préciser qu’Amélie, sa jeune compagne, est considérée comme faisant elle aussi partie de la famille. Le bungalow, toujours à sa disposition à Lacanau, est assez grand pour loger le jeune couple durant les week-ends.


Ils fréquentent toujours la plage naturiste, en compagnie du fils d’Éliane, Jérémy et de sa copine Isabelle. Ce sont eux qui leur ont appris le départ définitif de la région bordelaise de leurs parents. Comme son père est à la retraite maintenant, Éliane et lui sont partis s’installer sous le soleil des Grandes Canaries.


Amélie est allongée nue sur le lit à ses côtés. Comme maintenant chaque soir, ils font l’amour. Mais, en ce jour anniversaire de leur rencontre sur la plage, l’ambiance n’est pas la même, Luc a mis tout son cœur et son imagination à donner du plaisir à sa compagne. Il se souvient précisément des conseils d’Éliane : « Ne pas aller trop vite, s’oublier un peu soi-même ».


Luc passe un long moment à explorer les différentes zones érogènes du corps d’Amélie qu’il connait maintenant très bien. Il prend du plaisir lui-même à la caresser en s’attardant plus particulièrement à son entrecuisse, comme le lui avait enseigné Éliane. Il masse doucement et délicatement avec le doigt en s’approchant peu à peu de la zone intime, comme il l’aurait fait avec une fleur fragile.


Amélie, sous les caresses, commence à gémir doucement. Il sent sous ses doigts la mouille qui commence à perler sur les lèvres du sexe. Il humidifie alors son doigt en caressant ces lèvres et l’introduit doucement dans le vagin. Sa compagne semble apprécier ce doux traitement. Elle se met à gémir de plaisir de plus en plus fort. Luc retire peu à peu son doigt. Lui aussi ressent bien du plaisir en caressant maintenant de sa langue l’entrée du vagin. Il apprécie maintenant et savoure le goût acidulé de ce jus intime. Il hume également le parfum particulier du sexe de sa belle compagne. Très excité lui aussi, il se met à bander de plus en plus. Amélie, voyant le pénis qui prend de l’importance, commence à le sucer avec toute la douceur et la dextérité qui lui est propre.


Le moment venu d’être pénétrée, elle le supplie :



Cela fait un an maintenant que chaque jour, ils se procurent ensemble ces mêmes plaisirs. Chaque nouveau jour qui passe, ils ne se lassent pas de découvrir des plaisirs encore plus intenses.


D’habitude, tous les soirs, ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre. Mais aujourd’hui, au retour de la salle de bains, Amélie ouvre sa valise et en extrait un paquet-cadeau.



Quelle n’est pas la surprise de Luc en ouvrant le paquet de découvrir son vieux livre qu’il lisait autrefois lors de sa première rencontre surprise avec Éliane, « Science de l’amour » du docteur Valensin. Il croyait l’avoir définitivement perdu, ce cher ouvrage. La pratique avec Amélie a comblé bien des lacunes sur sa science de la sexualité.



Et Luc de demander à son tour à Amélie :



Ils se mirent à rire en chœur comme, déjà, de vieux complices d’une année de vie commune.