Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 11636Fiche technique22974 caractères22974
Temps de lecture estimé : 13 mn
17/08/07
corrigé 06/11/22
Résumé:  Jeune homme sans histoire, j'ai rencontré Shiraz et ai appris à me soumettre aux femmes...
Critères:  fh fépilée hsoumis fdomine humilié(e) fetiche pied hmast hdanus coprolalie sm init -hsoumisaf
Auteur : Soumisobéissant  (Jeune homme soumis aux femmes)      
Comment elle m'a mis à ses pieds

Tout a commencé sans trop que je ne sache comment ?



J’ai rencontré cette fille, Shiraz, lors d’une de ces nombreuses soirées lors desquelles on est invité sans vraiment connaître les gens ni sans vraiment avoir envie de les rencontrer, seulement parce qu’on était là au moment de l’invitation ou parce que l’on connaît le meilleur pote de l’organisateur. Shiraz était une jolie petite métisse, d’origine syrienne ou iranienne, je crois, en tout cas d’un pays pas banal. De fait, elle avait un joli teint de peau hâlé, des yeux noirs, de longs cheveux ondulés plus foncés que l’ébène et, pour ne rien gâter, une paire de seins bien ronds et lourds, et une paire de fesses rebondies. Et ses jambes… de longues jambes, lisses, galbées… Bref, le genre de fille que l’on admire le verre à la main juste pour le plaisir des yeux car on sait très bien que les chances de la séduire sont minces.


Je suis pourtant loin d’être vilain : 25 ans, 1,80 m, brun aux yeux bleus, plutôt beau cul d’après certaines de mes amies, bref pas désagréable à regarder. Mais je ne suis pas non plus un top modèle et je manque un peu de confiance en moi.


Finalement, ça avait du bon de siroter dans son coin en faisant son asocial. Après un ou deux verres de trop, titubant un peu en me déplaçant parmi les invités, je percutai la belle en question, reversant ma vodka-pomme sur son chemisier. M’excusant platement, en bafouillant, je perdis encore plus mes moyens lorsque je me rendis compte que j’avais renversé mon breuvage sur l’objet de mes fantasmes de la soirée, sa poitrine.


Celle qui avait commencé à me lancer un regard noir changea alors d’expression. Ayant sans doute remarqué ma gêne et mon émoi, elle sembla s’amuser de me regarder m’empêtrer dans mes excuses en restant plantée devant moi, le buste bien droit et son regard moqueur rivé dans le mien. Je ne pus alors que détourner mes yeux et m’éloigner en balbutiant d’ultimes excuses, cherchant un endroit à l’écart pour y cacher ma honte.


Tout cela serait dramatique, ou seulement vaguement ridicule en relativisant, si la demoiselle ne m’avait pas rejoint pour me faire savoir qu’elle ne m’en voulait pas, et que cela pouvait arriver à tout le monde. Elle en profita également pour me demander : d’un, qui j’étais, car elle ne m’a jamais vu dans l’entourage de l’organisateur de la soirée (et pour cause), et de deux pourquoi j’avais passé le plus clair de la soirée tout seul. Après lui avoir expliqué que la seule personne que je connaissais s’était levée une petite minette dans la première heure de la soirée, me plantant par la même occasion, elle accepta de me tenir un peu compagnie. J’étais aux anges. La soirée finissant, nous nous en tînmes à un échange d’adresses de Messenger, car elle s’était fait voler son portable la semaine d’avant.



Après cette soirée, que s’est-il passé ? Pourquoi suis-je en ce moment nu sur le sol ? Ah, ça me revient !



Je pense que Shiraz ne m’aurait peut-être jamais rappelé si nous avions échangé nos numéros de téléphone. En revanche, ajouter un contact sur Messenger n’engageait à rien, on pouvait toujours l’effacer ou le bloquer. Elle m’a donc recontacté, avant même que je ne le fasse moi-même. Son premier message sur le Net fut :


  • —  Tiens, voilà celui qui a du mal à tenir son verre en présence d’une fille !

Ce à quoi je ne sus pas trop quoi répondre. Mais le relatif anonymat que procure une discussion sur le web dopa quelque peu ma confiance, et me permit de répondre :


  • —  Vu le charme de la fille en question, je suis à moitié pardonné, non ?
  • — Voyez-vous ça ! Monsieur croit s’en tirer avec un compliment tout droit sorti du manuel du dragueur débutant, me répondit-elle d’emblée, me laissant quelque peu estomaqué.
  • — Ah ! ma stratégie est percée à jour, répondis-je pour faire passer cela sur le ton de la blague. Hier soir, tu m’avais pourtant dit que ce n’était pas bien grave, non ?
  • — Oui, mais hier soir je ne m’étais pas encore aperçue que mon T-shirt préféré était foutu.
  • — Ah, ben je suis vraiment désolé. Je t’en rachèterai un autre, promis.
  • — Non, laisse tomber, mais tu dois quand même te faire pardonner…
  • — Comment ?
  • — Change de pseudo Messenger pour mettre « Vicieux pas doué qui chercher à enivrer les filles, mais qui ne sait pas viser », et tu expliqueras aux gens qui te le demanderont pourquoi tu as mis ce pseudonyme.
  • — C’est un peu long comme pseudo.
  • — C’est ça ou je t’en veux pour mon T-shirt…

Bah, après tout ça n’était rien de bien méchant, ce pseudo… elle n’avait pas été très loin dans ma sanction. C’était même un peu puéril en fait. Je m’en tirais donc à bon compte, en mettant ce pseudo pour toute la journée.


Je venais cependant de mettre sans le savoir un doigt dans un terrible engrenage qui allait me conduire là où j’en suis désormais…


Sur le Net toujours, elle ne cessait de me titiller, de me taquiner, et lorsque j’avais le malheur de la vexer, ce qui arrivait souvent, elle me donnait généralement des gages à faire, assez bon enfant au début, puis de plus en plus corsés. La première fois où elle franchit la limite fut lorsqu’elle me demanda de passer une journée entière sans caleçon sous mon jean.


  • —  Comme ça, si jamais tu as une érection dans la journée ça se remarquera plus, dit-elle.

Je lui fis remarquer que ça ne serait pas un gage bien dur car je n’en aurai pas.


  • —  Même pas en pensant à moi ? me répondit-elle.

J’étais interloqué. Elle m’acheva en me disant :


  • —  Tu me raconteras ça ce soir, je vais aller prendre une douche là… me laissant avec l’idée d’elle nue dans sa salle de bain…



Allez qu’est-ce que tu attends. Lèche !



Par ailleurs, ma douce interlocutrice semblait fuir une nouvelle rencontre dans le monde réel. À chaque fois que je lui proposais de nous voir pour discuter en vrai, elle trouvait mille et une excuses pour que cela ne se fasse pas, alors que nous habitions pourtant dans la même ville. Un peu vexé et déçu, je n’arrivais pourtant pas à lui en vouloir et je savais que je ne pourrais pas me passer de parler avec elle sur Internet. Elle avait su m’envoûter peu à peu. J’adorais parler avec elle de tout et de rien, avec de temps en temps des phrases ambiguës qui relevaient du jeu de séduction et qui venaient ponctuer nos conversations. J’étais devenu aussi accro à ses petits jeux, ses petites punitions qui me poussaient à faire des choses sans cesse plus connotées sexuellement pour elle. Tous les soirs, je lui faisais un compte rendu de mon respect de ses consignes et elle me félicitait, puis, avec le temps, me gratifiait parfois d’un :


  • —  Mmh, ça m’excite de savoir que tu as fait ça.



Mieux que ça, lèche mieux, esclave !




Elle ne manquait pas d’imagination pour me punir, même si elle n’avait plus besoin d’attendre un de mes faux pas pour me donner des gages tant je n’attendais plus que cela. Sur le principe de « t’es pas chiche de… », elle me demanda ainsi de me raser intégralement le sexe ; d’aller me masturber dans mon jardin en plein milieu de la nuit, et bien d’autres choses… Il s’agissait aussi parfois de questions intimes auxquelles je devais répondre, du style « lui révéler un de mes fantasmes ; la fréquence de mes masturbations ; la taille de mon sexe ; etc. »


Un jour, elle me demanda :


  • —  Tu te branles en pensant à moi, parfois ?
  • — Oui… ! lui avouais-je.
  • — Souvent ?
  • — Tous les jours… plusieurs fois… je ne peux plus m’en passer…
  • — Petit vicieux. Et qui t’a donné l’autorisation de jouir en pensant à moi, hein ?
  • — Ben…
  • — Pour te punir, petit cochon, tu vas le faire, là, maintenant !

Elle ne m’avait encore jamais demandé de me masturber pendant l’une de nos conversations.


  • —  Maintenant ?
  • — Maintenant ! Et tu vas faire ce que je te dis… Tu as une Webcam ?
  • — Euh, non.
  • — Alors ta punition sera plus dure encore. Tu penseras à en acheter une quand j’en aurai fini avec toi.

Elle était toujours ainsi, elle ne me laissait pas d’alternative. Elle ne semblait même pas envisager que je puisse être choqué par ses demandes, et que je refuse. Non, elle savait que j’obéirais, sans broncher.


  • —  Alors, espèce de pervers, baisse ton pantalon !
  • — … C’est fait.
  • — Bien. Mouille tes doigts et caresse-toi les couilles !
  • — D’accord…
  • — Maintenant, prends ta queue dans ta main et branle-toi, comme tu sais si bien le faire, apparemment.
  • — D’accord…
  • — C’est bon ?
  • — Oui…
  • — Oui qui ?
  • — …
  • — Oui qui, je t’ai demandé ?
  • — … Je ne sais pas. Oui, Shiraz ?
  • — Oui maîtresse, esclave ! Tu es bien mon esclave qui obéit à tous mes ordres ? C’est bien toi qui as fait tout ce que je t’ai demandé pendant deux mois ?
  • — … Oui… oui, maîtresse…
  • — C’est bien. Tu continues à te branler ?
  • — Oui maîtresse.
  • — Tu aimes ça, hein, te branler pour ta maîtresse ? Tu aimes être à poil et faire les cochonneries que tu fais d’habitude dans ton intimité en plein devant moi, en me racontant tous les détails ?
  • — Oh oui, maîtresse…
  • — Tu es un esclave obéissant ?
  • — Complètement, dis-je, emporté par l’excitation.
  • — Alors, écoute bien, esclave. Tu vas mettre ton doigt dans ta bouche, pour l’humidifier. Et tu vas ensuite te le mettre dans le cul.
  • —   ???
  • — Qu’est-ce que tu n’as pas compris ? Je n’ai pas été assez claire ?
  • — Si, mais c’est que je n’ai jamais…
  • — Eh bien, tu vas le faire maintenant, pour moi, car tu m’appartiens, n’est-ce pas ?
  • — Oui, je vous appartiens, maîtresse. Je vais le faire…

Je m’étais complètement abandonné à elle. Je me mis le majeur dans la bouche, et après l’avoir humecté, je le posai à l’entrée de mon anus, en hésitant un peu. Puis je commençai à pousser un peu, et finis par l’introduire dans mon cul.


  • —  Alors ? C’est fait ?
  • — Oui maîtresse.
  • — Il est complètement entré ?
  • — Pas tout à fait…
  • — Enfonce-le, esclave. D’un coup !

Je m’exécutai. Je mis mon doigt au plus profond de mes fesses, d’un seul coup, abandonnant toute résistance et toute fierté, affalé sur ma chaise d’ordinateur, la bite à l’air et dégoulinante de sperme. Un doigt enfoncé dans le cul, la bouche ouverte sous l’effet de cette pénétration nouvelle pour moi… j’étais à elle, j’étais effectivement devenu son esclave.


  • —  Tu as joui, esclave ?
  • — Oui maîtresse.
  • — Très bien. Je te laisse dans cet état. Tu dois être lamentable à voir. Réfléchis à ce que tu viens de faire pour moi.

Et elle se déconnecta.


Elle ne se reconnecta pas avant une semaine. Je crus devenir fou. Elle m’avait poussé à exécuter ses désirs les plus humiliants, et me laissait après avoir obtenu de moi ce qu’elle voulait. Quand elle apparut à nouveau en ligne dans mes contacts, je ne lui dis rien. Vexé, je voulais qu’elle fasse le premier pas.


  • —  Alors, on ne me salue pas ?
  • — …
  • — Eh bien, qu’y a-t-il ? Mon esclave me ferait-il la tête ? Il se rebelle ?
  • — Pourquoi ne t’es-tu pas connecté de la semaine ?
  • — Parce que j’en avais décidé ainsi. Je t’ai manqué ?
  • — Beaucoup. J’ai cru que tu m’avais laissé car je ne t’étais plus utile.
  • — Bien, cela veut dire que l’expérience ne t’a pas déplu. Tu es donc à moi désormais. Et un esclave comme toi est au contraire des plus utiles.

Elle décida qu’il était temps que l’on se voie à nouveau en chair et en os. Cinq jours plus tard, je la retrouvais.



Et maintenant, je suis devant elle… nu, à quatre pattes dans son salon. Elle, assise sur le canapé, me tend son pied nu. Cette jeune fille de 28 ans me tend son pied pour que je le lui lèche…



Voilà où j’en suis. Je m’exécute. Je ne lutte plus, je ne résiste plus à celle qui est désormais ma déesse. Je la vénère en me traînant à ses pieds, et en les lui léchant. Je fais tout ce qu’elle m’ordonne.



Je commence à sucer ses orteils, un par un, comme ma maîtresse me l’a ordonné. Elle pousse alors son pied dans ma bouche, me forçant ainsi à l’avaler.



J’obéis. Elle reste sur le canapé et me fourre son pied encore plus loin dans la bouche. Cette position lui permet de me piétiner le visage, et de me forcer à prendre complètement en bouche ses pieds, l’un après l’autre, voire les deux.


Comment en suis-je arrivé à lécher les pieds de cette fille que je connais à peine ?



Toutes ses manipulations m’avaient certes mis en de bonnes conditions. Elle m’avait peu à peu envoûté, contrôlé, façonné selon ses désirs… bref, elle m’avait dressé. Mais même arrivé au point où j’en étais, je n’aurais jamais pensé me retrouver à genoux devant elle, en train de vénérer ses pieds, elle qui était devenue ma déesse.


Pour notre rencontre, elle m’avait donné rendez-vous à une terrasse de café en centre-ville, vers le milieu d’après-midi. Lorsque j’arrivai, je constatai avec effroi qu’elle n’était pas seule à la table du café. Une autre jeune fille, blonde, grande, aux yeux bleus, à la poitrine volumineuse, était présente. Elle était plus belle physiquement que charmante. En fait, elle n’était pas très attirante, mais son physique de top model était de nature à intimider tout homme qui ne se sentirait pas tout à fait sûr de lui. Après leur avoir fait la bise, je m’asseyais à leurs côtés.


  • — Tu n’as pas trop de mal à t’asseoir ? Tu dois avoir mal aux fesses, non ? me demanda Shiraz sans détour, faisant allusion à ce qu’elle m’avait fait faire quelques jours avant.

Je devins rouge, mon cœur s’emballa, mon estomac se noua et je me sentis chanceler. Elle n’allait quand même pas m’humilier aussi ouvertement devant cette fille que je ne connaissais même pas.


  • — Stéphane s’est fait mal au coccyx en tombant de vélo il y a quelques jours de cela, dit Shiraz à son amie, m’arrachant ainsi un soupir de soulagement : elle n’avait pas raconté mon humiliation en public.
  • — Tu sais Sonia, Stéphane est un garçon très dévoué, très doux. Si je voulais exagérer, je dirais qu’il se plie à mes moindres désirs… C’est un garçon très bien. Nous nous sommes rencontrés par hasard dans une soirée, et je voulais te le présenter car nous sommes de bons amis désormais.

Je comprenais désormais mieux la présence de cette amie. Shiraz avait visiblement l’intention de me torturer par de multiples sous-entendus susceptibles de mettre cette fille au physique parfait au courant de mes inavouables soumissions aux jeux de son amie, ce qui m’humilierait devant cette fille dont la seule présence me faisait craindre le plus petit faux pas. Elle continua ainsi jusqu’à ce que mon regard devienne comme elle l’attendait : suppliant, et témoignant de ma reddition. Elle abrégea alors notre entrevue au café, et m’emmena chez elle. Je ne résistais pas.


Arrivés à sa demeure, elle me fit passer dans le salon, s’assit sur le canapé et, alors que j’allais m’asseoir également, elle me dit :


  • — Reste debout, ce que j’ai dit tout à l’heure doit être vrai, il faut ménager ton petit cul après ses exploits de l’autre jour.

Je restais donc planté devant elle, pendant qu’elle se délassait dans le canapé. Elle portait une jupe assez courte qui découvrait ses longues jambes, et un débardeur assez simple mais qui mettait sa poitrine en valeur. Elle ôta ses chaussures à talons à l’aide de ses seuls pieds, et fit remonter son pied désormais déchaussé vers mon entrejambe, qu’elle frotta de son pied. Je n’en pouvais plus, excité par sa domination sur moi. Ce premier contact, que j’attendais depuis des mois, me fit durcir au point que je me sentis très serré dans mon jean. Mon bourreau le remarqua à la bosse qui déformait mon pantalon. Sans mot dire, elle se leva, se rendit dans sa cuisine, et revint avec une grande paire de ciseaux. Elle se rassit sur le canapé et me donna l’ordre de me déshabiller devant elle, puis de jeter mes habits à côté d’elle. Je m’exécutai, enlevant ma chemise, puis baissant mon jean à mes chevilles. J’étais en caleçon devant elle, et hésitais un peu à poursuivre ce strip-tease forcé. Mais le seul ordre « continue esclave » me fit enlever mon dernier habit, et m’exhiber devant ma maîtresse qui arborait désormais un sourire satisfait et presque sadique. Elle me contemplait comme un jouet, avec avidité et lubricité. Elle me regarda droit dans les yeux, puis saisit mon caleçon qu’elle découpa avec les ciseaux devant moi. Impuissant, je la regardais faire de même avec tous mes vêtements, m’interdisant tout retour en arrière, me forçant ainsi à être nu devant elle.


  • — Maintenant, à quatre pattes ! Mets-toi à mes pieds, esclave !

J’obéissais, honteux. Mes genoux et mes paumes de mains ayant touché terre, je me sentais tellement rabaissé… et pourtant je bandais comme jamais. J’étais à quatre pattes, nu, et je bandais comme un âne. Quelle humiliation ! Ma tortionnaire souriait de me voir ainsi soumis, et excité de l’être. Elle était métamorphosée. La douce jeune fille qu’elle semblait être était devenue une maîtresse implacable, qui me regardait désormais comme un objet sexuel.


  • — Bien, maintenant lèche mes pieds !

Ce fut ainsi que je commençai ma basse besogne. Je m’étais abaissé à lécher les pieds nus de cette jeune fille qui n’avait cessé de m’humilier. Moi qui, il y a à peine trois mois de cela, avais des envies et des fantasmes tout à fait banals, elle avait fait de moi sa chose, elle m’avait fait aimer lui obéir et m’humilier pour elle. Le reste d’honneur que je ne lui avais pas encore offert, le peu qu’il me restait, venait de s’envoler avec mon premier coup de langue sur ses orteils.



Et maintenant, elle me les enfourne dans la bouche.



Puis elle prend un livre qu’elle commence à lire pendant que je continue à lécher ses pieds. Je continue ainsi pendant près d’une heure, jusqu’à ce qu’elle juge que je l’ai assez honorée. Elle me donne alors l’ordre de me tourner, et de lui présenter mon cul.



Elle passe son pied entre mes fesses et, sans ménagement, entre son gros orteil dans mon anus. Ma maîtresse me sodomise avec son orteil, et comble de l’humiliation, c’est ma propre salive qui rend possible cette pénétration intime.



Elle enfonce plus fort encore son orteil en moi.



Elle continue ainsi près d’un quart d’heure, jusqu’à ce qu’elle me fasse jouir de douleur, de plaisir, de honte, de renoncement…



Je jouis à quatre pattes devant elle, sur le parquet luisant, qui reflète mon image d’homme soumis et humilié…


Mais ce n’est que le début…