n° 11650 | Fiche technique | 14222 caractères | 14222Temps de lecture estimé : 9 mn | 23/08/07 |
Résumé: Deux jeunes hommes surprennent une baigneuse nue, ce qui va entraîner leur initiation inattendue aux jeux de l'amour. | ||||
Critères: f hh hbi jeunes inconnu copains vacances bain voir nudisme hmast intermast nopéné init -prememois -inithh -voyeuroca | ||||
Auteur : Jobix |
DEBUT de la série | Série : Baignades Chapitre 01 / 05 | Épisode suivant |
L’idée était judicieuse. Ce premier jour chaud de juillet était délicieux, et la petite virée en vélo en ce milieu d’après-midi nous avait bien fait transpirer. Alexandre a eu l’idée d’explorer les bords de la Lidoire, pour voir où on pouvait se rafraîchir dans l’eau de notre petite rivière locale. Elle creuse son cours au milieu de champs en pente et est bordée sur tout son long d’arbres et de petits sous-bois assez épais, qui empêchent un accès facile à ses berges. Pourtant, après quelques minutes de recherche, nous sommes tombés sur un petit sentier qui mène à une toute petite plage de sable ensoleillée grâce à une trouée dans les feuillages environnants. On pouvait s’y allonger à deux ou trois, tout au plus, et l’eau était claire et engageante. L’endroit était désert.
Sans hésitation, nous fîmes valser nos vêtements et nous avons plongé nus dans quatre-vingts centimètres d’eau fraîche au milieu des libellules et des têtards. Pour nous sécher, nous avons décidé de marcher au soleil un peu plus loin. Pour éviter tout désagrément, nous avons caché nos vêtements et nos vélos sous les arbres un peu plus loin, nous avons juste gardé nos shorts à même la peau mouillée et nous avons fait une petite boucle à pied dans les champs environnants.
Alors que nous retournions, silencieux, un peu assommés par le soleil, chacun dans nos pensées, Alexandre me prit le bras et me montra à travers une ouverture dans le bosquet la plage où nous étions quelques instants auparavant. Une jeune femme s’y trouvait. Visiblement, elle ne nous avait pas aperçus. Instinctivement, sans même nous concerter, on s’est mis à l’abri pour l’observer sans qu’elle puisse nous voir. Elle était vêtue d’une robe d’été jaune pâle, avec une ceinture de cuir marron qui mettait en valeur sa taille assez fine. Elle posa son chapeau sur le sable et, à notre surprise, défit sa ceinture et enleva sa robe. Nous ne la voyions que de dos, et nous la regardions, Alexandre et moi, aussi émus l’un que l’autre. Alexandre avait dix-huit ans, moi-même j’avais dix-sept ans et demi et j’étais encore puceau. Complexé par ma petite taille, façonné par une éducation rigoureuse, j’éprouvais une timidité maladive auprès des filles, ce qui limitait mes expériences avec elles à quelques baisers et tripotages très frustrants. Aussi, la vision de cette femme se déshabillant déclencha une érection d’autant plus rapide qu’elle enleva son soutien-gorge et sa petite culotte blanche.
Elle entra alors précautionneusement dans la rivière jusqu’aux cuisses, puis se passa de l’eau dans le cou pour faciliter la transition. Elle semblait jouir de la sensation de fraîcheur et resta immobile quelques instants, nous laissant admirer à son insu ses fines fesses blanches. Soudain elle s’agenouilla de façon à ce que son corps soit immergé jusqu’au cou, sans mouiller ses cheveux relevés. Puis elle fit quelques brasses dans cette zone où il y avait assez de fond pour nager, et revint vers la plage face à nous. Elle se releva et nous pûmes admirer ses jolis seins et un visage très doux, des yeux verts en harmonie avec sa chevelure châtain clair. Elle devait avoir la trentaine environ. Je fondais littéralement et osais à peine respirer de peur de l’alerter. Elle revint sur la plage, montrant une toison triangulaire bien fournie. Elle jeta un coup d’œil circulaire pour s’assurer que l’endroit était désert, ce qui nous paniqua. Elle sortit un paréo du sac qu’elle avait à ses côtés et s’allongea sur le ventre pour se faire bronzer. Nous n’étions qu’à quelques mètres et malgré le clapotis de l’eau, le chant des oiseaux et la crécelle des criquets, nous n’osions dire un seul mot de peur d’être découverts. Par gestes, nous nous accordâmes pour l’observer, allongés sans bouger.
Rapidement, elle se retourna, défit ses cheveux qui tombèrent en cascade sur ses épaules et se mit sur le dos. Elle resta ainsi immobile quelques minutes, les yeux fermés. Nous étions en léger surplomb et pouvions admirer tranquillement son corps. J’étais sur le ventre, le sexe bandé, et une grande envie de le toucher me tenaillait mais je n’osais faire aucun geste. Je jetai un œil sur Alexandre qui était à ma droite dans la même position et qui fixait notre belle inconnue. Il me semblait qu’il se frottait lentement à même le sol, mais je me suis dit que je me faisais des idées. Cette situation de voyeurs à deux me subjuguait complètement. Je regardai à nouveau la baigneuse qui passait doucement sa main droite sur le ventre, les yeux toujours fermés. Elle la remonta sur un sein, puis l’autre et sembla entamer des caresses alternativement sur les deux. À un moment, il me sembla qu’elle se pinçait le téton, j’étais au bord l’explosion sans même me toucher. Puis elle descendit la main sur sa cuisse et la passa paresseusement à l’intérieur ses jambes. Elle l’approcha de son entrecuisse, passa un doigt sur sa toison, puis commença à se caresser.
Tout à coup, un petit bruit de branche cassée, provoqué sans doute par un animal, la fit sursauter et elle regarda autour d’elle. Nous nous enfoncions le plus possible dans notre abri, sans cependant perdre une miette du spectacle. Elle se redressa, remit fébrilement sa culotte puis son soutien-gorge, et attendit, l’oreille tendue. Sans doute rassurée quant à l’origine du bruit, elle remit plus lentement sa robe et sa ceinture. Elle s’étira et elle passa sa main sous la robe, entre ses jambes, la ressortit au bout de quelques instants et lécha son doigt. J’étais estomaqué par une telle liberté. Elle ramassa son chapeau, glissa son paréo dans son sac et quitta la plage en longeant la rivière. Elle passa tout près de nous sans nous apercevoir, avant de disparaître.
Ce ne fut que lorsque nous fûmes sûrs d’être à l’abri de ses oreilles que Alexandre dit :
Devant mon silence pudique, il me dit :
Je ne pouvais guère nier l’évidence, mais un peu fanfaron, je répondis :
À cette évocation, mon érection reprit de plus belle. Je n’ai pas pu m’empêcher de lâcher :
Il me regarda avec un sourire énigmatique et me demanda :
Je dus lui avouer que je bandai comme un cerf. Comme nous étions toujours sur le ventre, il me demanda à voir, je refusai.
Il se mit alors sur le côté et je vis la forme de son sexe bien visible sous l’étoffe de son bermuda. D’une voix plus autoritaire, il me dit :
Troublé et terriblement excité, je fis comme lui et me mis sur le côté. Il regarda intensément ma verge à travers mon short, puis il approcha sa main et la posa dessus. J’eus un mouvement de recul.
Sans rien dire, il ouvrit lentement sa braguette, releva le pan de son short et sa verge bandante apparut. Sans en éprouver de la jalousie, je me dis qu’elle était cependant plus imposante que la mienne. Je réalisai que c’était la première fois que je voyais un autre sexe en érection que le mien. Il se passa le doigt doucement sur le bout du gland luisant, puis fit des petits cercles avec l’index. Je ne pouvais détacher mon regard de ses caresses. Il dit :
Je bafouillai :
L’argument était spécieux, mais malgré tout je craquai. Je le regardai, mon cœur battait la chamade, j’avançai alors la main, puis posai mon doigt sur le bout humide. La sensation était étrange et je la retirai aussitôt.
Je pris alors son sexe à pleine main et restai ainsi sans bouger. Je le sentais palpiter, Alexandre fermait les yeux. Au bout d’un moment, il les rouvrit et dit :
Sans lâcher son sexe, je lui réponds :
Je sentis soudain qu’en cette circonstance particulière, il avait un véritable ascendant sur moi. J’étais partagé entre la peur de l’interdit et l’excitation provoquée par ce même interdit. Et puis je découvrais que ça me plaisait, alors après tout… Je m’approchai de son sexe et posai mes lèvres sous sa hampe. Ce fut un bisou délicat, presque pudique.
Sans tergiverser ce coup-ci, je recommençai comme il me le demandait. Avec le bout de la langue, je goûtai la perle de liquide séminal qui pointait sur son méat. Ça avait un goût assez neutre, légèrement salé. Comme je n’avais jamais osé faire l’expérience sur moi, c’était une découverte. Je relevai la tête quand soudain je sentis à nouveau sa main sur mon sexe. Contrairement à tout à l’heure, je me laissai faire. Il me caressa doucement à travers l’étoffe. Puis il passa sa main par l’élastique de mon short et la posa directement sur mon gland humide, et me dit :
Je me penchai à nouveau et, tandis qu’il me caressait, je posai plusieurs baisers sur sa verge, ce qui le fit vibrer à chaque fois. Je n’en pouvais plus de me retenir et, sans prévenir, je lâchai un jet de sperme qui coula sur sa main et mon ventre. Plusieurs autres jets suivirent, j’avais l’impression que jamais je ne m’arrêterai. Au bout d’un petit moment, je me relevai, honteux de mon éjaculation, le short à moitié baissé. Alexandre passa un doigt sur mon ventre taché, ramassa quelques gouttes de sperme et me tendit le doigt pour que je le suce. Je refusai. Alors, à ma stupéfaction, il se lécha le doigt avec un air gourmand et vicieux. Il recommença, me présenta à nouveau son doigt couvert de mon jus et cette fois-ci je léchai son index. Je léchai mon propre sperme récolté par mon meilleur copain, je n’en revenais pas. Cela n’était pas si écœurant que je pensais, et pourtant j’aurais voulu me rincer la bouche aussitôt, pour en effacer le goût et, quoique ce raisonnement fût inconscient, laver ce qu’il me paraissait être une souillure. Alexandre, toujours bandant dit alors :
Il se leva aussi, retira complètement son short, son sexe en érection face à moi. Je compris ce qu’il attendait et, sans un mot, je tendis la main, l’enroulai autour de son membre et entamai un va-et-vient très lent et très doux. Mon sexe se raidit à nouveau aussitôt. Alexandre baissa alors complètement mon short. Nous étions nus tous les deux, sexes face à face. Il restait les bras le long du corps en m’encourageant à voix basse par des « Oui, c’est bon, continue ». Il se rapprocha de moi, jusqu’à ce que nos deux sexes se touchent. Comme il était plus grand que moi, mon gland arrivait au niveau de ses testicules. Le contact me fit frissonner, j’étais déjà dans un état de surexcitation alors que je venais d’éjaculer quelques minutes auparavant. Je gardai le même rythme, et je sentis sa main caresser mes testicules par-dessous, c’était divin. Depuis quelques minutes, je découvrais tout un tas de caresses formidables et c’est mon meilleur copain qui me les procurait !
Soudain il se recula, il mit sa main à la place de la mienne et commença un mouvement beaucoup plus rapide. Je vis qu’il voulait arriver au bout.
Je le regardai sans bouger, et il m’invita à faire de même. Au point où j’en étais, je me sentais plus libéré, et je me suis laissé aller. J’étais tellement excité que quelques mouvements suffirent pour que j’éjacule à nouveau avant Alexandre. Mais tandis que ma semence allait se perdre dans la nature, Alexandre se tourna vers moi et dirigea sa verge à nouveau vers mon ventre, il poussa de petits cris à chaque jet qui s’écrasait sur moi, qui ne cherchais pas à les éviter.
On se regarda quelques instants, puis il enfila son short et dit :
Je dus aller me rincer à la rivière avant de rejoindre nos vélos et nos vêtements. Nous étions totalement silencieux sur le retour. Le sentiment de honte remontait fort en moi, et je me disais que jamais plus je ne recommencerai. Mais quand nous arrivâmes au village, au moment de nous séparer, il fut facile à Alexandre de me convaincre de retourner à la rivière le lendemain, me persuadant que notre belle inconnue reviendrait.