n° 11653 | Fiche technique | 14892 caractères | 14892Temps de lecture estimé : 9 mn | 23/08/07 |
Résumé: Une stagiaire se montre, après avoir utilisé un subterfuge, très reconnaissante envers l'homme qui lui a donné sa chance. | ||||
Critères: fh collègues hotel fellation pénétratio | ||||
Auteur : Québec libre! (Homme d'expression coquine) |
DEBUT de la série | Série : Mes collègues de bureau Chapitre 01 | Épisode suivant |
Ses yeux, ce sont ses yeux que j’ai remarqué en premier. Je sais que, venant d’un homme, c’est un peu surprenant. Neuf fois sur dix, lorsqu’un gars dit cela, il ment c’est clair et net, mais pas cette fois-ci. Il faut dire que ses yeux étaient d’un bleu magnifique, un bleu qui vous rappelle la mer et les paysages d’été, un bleu dans lequel on voudrait se perdre. Elle venait me rencontrer afin d’obtenir un stage. J’étais à l’époque directeur-adjoint du service informatique d’une grosse boîte et c’était moi qui décidais pour toutes les demandes de stage. Elle était là devant moi, un peu intimidée, et j’étais en train de me perdre dans ses beaux yeux bleus.
Louise était dans la mi-trentaine, yeux bleus mais ça je vous l’ai déjà dit, cheveux blonds, vêtue sobrement dans un tailleur qui laissait deviner une poitrine plutôt menue. Sur ses belles jambes croisées, sa jupe qui remontait un peu me donnait une vue avantageuse sur l’une de ses cuisses. Une jolie femme sans être une beauté fatale. Sa main était un peu froide et je sentais sa nervosité. Elle m’expliqua qu’elle devait absolument se trouver un stage. Ses études venaient de se terminer et, en fait, elle avait changé de carrière. Elle souhaitait ardemment faire partie de notre équipe.
Je la laissais parler, elle soutenait mon regard et gagnait de l’assurance à chaque minute de notre entretien. Je décidai alors de lui donner sa chance et de lui offrir le stage tant espéré. Elle me remercia chaleureusement et m’assura que je ne serai pas déçu. Je me levai pour lui serrer la main, elle se hissa sur la pointe de ses pieds, je mesure près de deux mètres, et j’eus droit à un petit baiser sur une joue. Cette marque d’attention la fit rougir instantanément et, après sa sortie, j’éprouvai de la difficulté à reprendre mon boulot, l’odeur de sa peau au moment où elle effleura mon visage était toujours présente à mon esprit. Je me dis que je lui avais peut-être aussi fait un petit effet car j’ai habituellement un certain charme avec les femmes et que ma taille les impressionne.
Le stage de Louise se déroula fort bien. À la fin de celui-ci, j’étais en mesure de lui offrir un emploi. Je la fis venir à mon bureau et lui expliquai le tout. Je lui dis que j’avais dû argumenter avec le directeur des ressources humaines car il y avait un léger problème avec ses études étant donné qu’elle avait réorienté sa carrière et qu’il lui manquait des éléments au niveau de l’obtention de son diplôme. J’étais finalement parvenu à lui obtenir le poste. Elle était très heureuse.
Elle se leva et, cette fois-ci, en plus du baiser sur les deux joues, j’avais anticipé le tout en me penchant sur elle, j’eus droit à une accolade pendant laquelle je sentis sa poitrine qui se pressait sur moi. Disons qu’à ce moment, j’ai eu une ou deux idées sur la façon qu’elle pourrait prendre afin d’être reconnaissante et me remercier !
Le boulot reprit, je confiais sa supervision à une autre personne et je ne la voyais qu’à l’occasion. Quelques mois plus tard, lors d’une rencontre avec tous les employés, je proposai à tous la possibilité qu’une personne puisse m’accompagner à un colloque annuel qui devait se tenir au début du printemps dans un centre de congrès à Québec. La seule main levée fut celle de Louise et j’en pris bonne note.
La journée du départ arriva et je passai la prendre à son domicile en après-midi pour les deux heures et demie de route.
On prit effectivement le temps de se connaître un peu mieux. Elle ne l’avait pas eu facile ces dernières années, divorce houleux d’un mari plutôt contrôlant qui, dans tous les sens du terme, ne la comblait pas. Elle m’avoua candidement qu’elle n’avait pas été intime avec un homme depuis ce temps, près de cinq ans, car elle s’était consacrée entièrement à ses deux enfants.
La route étant longue, elle enleva ses chaussures et installa ses jambes sur le tableau de bord afin de profiter des rayons du soleil de ce début de printemps. Je regrettais qu’elle porte un pantalon. Après quelques minutes je lui fis signe de se retourner un peu sur son siège et je pris un pied afin de le masser d’une main pendant que je conduisais. Elle semblait bien, presque assoupie, pendant que je lui massais le pied, l’autre était déposé sur le haut de ma cuisse et bougeait lentement. Une bosse apparut dans mon pantalon, bosse qui prenait de l’ampleur de minute en minute. Après un moment, elle me dit qu’il valait peut-être mieux pour notre sécurité à tous les deux que je me concentre sur la route.
Une fois à l’hôtel, alors que nous étions tous les deux à l’accueil, je constatai qu’il avait dû y avoir une erreur au niveau de la réservation. Je me retrouvais sans chambre alors que l’hôtel était complet. Avant que j’ai eu le temps de me mettre en colère, Louise m’offrit de partager sa chambre, que nous aurions, bien sûr, chacun notre lit. J’acceptai volontiers même si je me demandais pourquoi il y avait eu un problème au niveau de ma réservation.
Pour la remercier, durant le repas qui suivit, je me montrai généreux et nous fîmes honneur à deux bouteilles de vin avant de rentrer bras dessus, bras dessous à l’hôtel dans une humeur assez joyeuse. Louise me dit alors :
Après la douche, elle m’invita à m’étendre sur le lit afin qu’elle puisse me masser le dos. Je n’avais qu’un boxer. Ses mains commencèrent à explorer mon dos, elle s’installa à califourchon sur mes fesses. Elle combinait des caresses douces avec d’autres un peu plus musclées. Je me détendais, sauf une partie de mon corps qui durcissait de plus en plus. Après quelques minutes de bonheur elle me demanda de me retourner.
Elle était étendue tout près de moi. Sa main droite effleurait le tissu de mon boxer et mon membre était tendu à l’extrême. Elle se rapprocha encore un peu plus de moi, nos lèvres se joignirent et s’ensuivi un baiser fougueux. Sa main masturbait mon sexe par-dessus le tissu, de lents mouvements de bas en haut, je voulais quitter ce tissu qui m’emprisonnait. Elle devina mes pensées et m’enleva le vêtement qui me gênait.
Sa main reprit ses mouvements, parfois lentement, parfois plus rapidement pendant que nos langues continuaient à s’explorer. Ma respiration se faisait plus haletante. Il y avait quelques mois que je n’avais pas couché avec une femme et, avec le boulot, je pense que je n’avais pas éjaculé depuis quelques semaines. Sa main quittait mon sexe, empoignait mes bourses et les massait doucement.
Subitement, elle abandonna nos baisers, plaqua mes épaules sur le lit et en se retournant, approcha sa bouche de ma verge. Je sentais le souffle chaud sur mon gland et quand sa langue en fit délicatement le tour, je dus me retenir pour ne pas jouir sur le champ. Sa main reprit ses mouvements tandis qu’elle me léchait. Elle sentit que j’étais sur le point d’éclater et, d’un mouvement vif, serra très fort mon sexe à la base. Douleur et plaisir se mêlaient dans mon esprit. Elle se retourna, me regarda avec avidité, je sentais dans son regard qu’elle était maintenant transformée en objet sexuel. J’avais réussi à étirer ma main jusqu’au bas de son ventre. Il semblait y avoir une véritable inondation dans sa culotte. Le tissu me gênait, mais j’étais quand même capable de lui faire des caresses qui la faisaient frémir.
Elle se retourna à nouveau et reprit sa besogne. Je n’étais qu’un sexe étiré à l’extrême. À chaque mouvement de sa langue sur ma verge, je tendais mon corps vers le haut afin de me retrouver un peu plus dans sa bouche chaude. Je recommençais à avoir le souffle court, elle devina que je ne pourrais tenir encore bien longtemps. Sa bouche couvrit alors entièrement ma verge et elle entreprit de me sucer encore plus fort. Sa main me massait les couilles de plus en plus fort. Je n’en pouvais plus, tout mon corps se raidit d’un seul mouvement, mes fesses ne touchaient plus le matelas et je commençai à éjaculer. Je sentais les jets de sperme atteindre le fond de sa bouche, elle aspirait et aspirait pour ne pas en perdre une goutte. Cela sembla durer toujours, à la fin je la pris dans mes bras pour l’embrasser à nouveau. Je pouvais goûter mon propre sperme dans sa bouche.
À mon étonnement j’étais encore bandé. Constatant le tout, Louise recommença à me caresser avec sa main. Je voulais lui rendre la faveur et la lécher à mon tour, mais avant que je ne puisse le faire, elle avait enlevé sa culotte et elle s’apprêtait à me chevaucher.
Son pubis était recouvert d’une petite toison blonde qui brillait tant elle était lubrifiée. Elle commença à s’empaler sur moi, centimètre par centimètre. Elle arrêta le tout à moitié chemin, ressortit mon sexe puis, d’un mouvement brusque, l’engloutit entièrement. Nous nous regardions dans les yeux, nous ne bougions ni l’un ni l’autre. J’avais posé mes mains sur le bord de ses cuisses et je la tenais fermement, ses mains étaient sur mon torse, nous ne voulions pas brusquer ce moment. Puis, sans que j’aie bougé aucunement, je la sentis se contracter sur ma queue, son corps fut parcouru de frissons, elle laissa échapper un cri animal et elle fut littéralement assaillie par un violent orgasme. Je sentais son liquide féminin qui coulait jusqu’à mes couilles, je n’avais jamais vécu rien de tel, une femme qui mouillait autant.
Elle reprit lentement ses esprits et lentement elle se pencha vers moi.
Pendant qu’elle m’embrassait à nouveau, je relevai sa nuisette afin d’avoir accès à ses seins. Je commençai à les masser doucement puis plus énergiquement. Les pointes étaient dures, je la penchai à nouveau vers moi afin de les mordiller. Elle variait la cadence de son bassin, y allant de lents mouvements entrecoupés de séquences plus énergiques. La chambre était envahie de nos soupirs et des sons de nos corps qui s’emboîtaient. Je sentais que j’approchais encore une fois d’une libération bienveillante et je décidai de la retourner. Elle était maintenant sur le dos, offerte à moi. J’introduisis ma queue toute mouillée en elle et je repris les mouvements de va-et-vient.
J’étais maintenant en contrôle. C’était à son tour de haleter et je la maintenais au bord de l’orgasme. Lorsque je ralentissais, elle me suppliait d’y aller plus fort. Je faisais tout le contraire, allant jusqu’à me retirer d’elle pour la faire souffrir un peu plus. Je reprenais en la pénétrant d’un seul coup, je caressais doucement son clitoris en y allant toujours en alternance avec des mouvements qui faisaient en sorte que mes couilles se cognaient sur elle violemment suivis par une lente pénétration. Je maintenais ses jambes dans les airs, celles-ci faisaient un angle de 90 degrés avec ses fesses me permettant ainsi de m’enfoncer à fond en elle. Ses gémissements m’indiquaient qu’il était temps que je mette fin à nos souffrances mutuelles.
J’entrepris alors d’accélérer le mouvement. Tel un piston bien huilé, ma queue s’enfonçait et ressortait d’elle de plus en plus vite. Nous étions en sueur tous les deux. Le moment fatidique approchait. Elle gémissait de plus en plus et, au moment où elle amorçait un cri de jouissance, je sentis mon corps se raidir alors que j’éjaculais de nouveau. Je perdis toute notion de temps et d’espace pendant que mon sperme se déversait en elle. Il me fallut une bonne minute pour reprendre mes esprits et, tout doucement, je ressortis mon sexe. Ma queue ressentait encore des soubresauts des assauts qu’elle avait perpétrés.
Après s’être blottis dans les bras l’un de l’autre, on passa une première nuit ensemble. Je dois vous avouer que l’on manqua plusieurs des ateliers du colloque, préférant s’explorer dans notre chambre. Je tentai de lui faire récupérer, dans ces quelques jours, les années de jouissance qu’elle avait perdues. C’est finalement Louise qui me surprit le plus pendant le trajet du retour :
Je détournai le regard de la route pendant un instant pour la regarder, la regarder profondément dans ses beaux yeux bleus et on éclata de rire ensemble !