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n° 11654Fiche technique9657 caractères9657
Temps de lecture estimé : 6 mn
24/08/07
Résumé:  Quand quelques minutes passées dans un ascenseur peuvent être agréables...
Critères:  fh hplusag voisins ascenseur
Auteur : Alaink            Envoi mini-message
Le voisin de palier

Monique avait une vingtaine d’années. Nous venions d’emménager dans un nouvel appartement au dernier étage. Les voisins étaient sympathiques, elle faisait encore enfant et plaisait beaucoup. Nous avions comme voisins un couple plus âgé, une bonne vingtaine d’années en plus. Elle était secrétaire et lui ingénieur dans une entreprise de chauffage.


Tout de suite, il s’est montré assez familier et il cherchait toujours à faire rire Monique. Quand il la quittait, il prit vite l’habitude de lui faire une bise, puis deux, sur les joues d’abord puis de plus en plus près des lèvres.


Quand Monique se trouvait avec lui dans l’ascenseur, il lui posait familièrement la main sur la hanche ou sur l’épaule. Une main pas trop immobile mais cherchant plutôt à caresser avec le bout des doigts.

Un matin où ils descendaient tous les deux, il la quitta en lui faisant la bise et lui donna une tape sur la fesse en lui souhaitant bon courage. Monique rougit, sourit et lui souhaita également une bonne journée.


Dans le même temps, il prit l’habitude, quand il la quittait de lui faire les bises en la tenant par la taille. Toujours avec des pressions des doigts. Insensiblement, ses mains descendirent et ses doigts étaient maintenant directement sur les fesses. Quand les mains n’étaient pas sur les hanches, elles remontaient de chaque côté du buste et petit à petit en vinrent à être sur le côté des seins. Monique ne savait que dire ou faire car dans le même temps, il était très aimable et serviable.


Il franchit un pas le jour où, au lieu de mettre ses mains sur les hanches, il les mit directement sur les fesses de Monique, en appuyant. Comme c’était le moment de se séparer pour aller chacun vers ses occupations, Monique fut surprise mais ne dit rien. Il prit de ce jour l’habitude de lui peloter gentiment les fesses… Et quand il ne s’occupait pas des fesses de Monique, ses mains étaient passées du côté des seins. Maintenant, il lui posait directement les mains sur les seins, toujours aussi gentil et aimable. Monique ne savait que dire ou que faire.


Un soir, ils montèrent ensemble dans l’ascenseur et il fût empressé comme d’habitude. En quittant Monique sur le palier, il lui plaqua un baiser sur la bouche. Elle rougit et bredouilla :



Et elle entra dans notre appartement.

Elle parla de tout ça le soir à son mari. Celui-ci prit ça en riant, n’attachant pas d’importance à ce qu’il appelait des agissements de vieillard libidineux ! Pensez, quelqu’un de quarante-cinq ans alors qu’elle en avait à peine plus de vingt !


La semaine qui suivit, elle ne rencontra plus Jacques. Le hasard. Elle n’y pensait plus quand il arriva un jour en même temps qu’elle pour prendre l’ascenseur.



Et en même temps il lui caressa les fesses. Monique rougissait. L’épouse de Jacques pouvait ouvrir la porte. L’ascenseur arriva et la sauva. Une tape sur les fesses de Monique pour la faire entrer devant lui et quand elle se retourna, il la plaqua littéralement sur la paroi du fond de l’ascenseur et se colla à elle tout en maintenant son emprise sur les fesses.



Quelques secondes plus tard, l’ascenseur arrivait au rez-de-chaussée et ils se séparèrent après un dernier baiser de Jacques. Monique était ennuyée par tout cela mais elle s’aperçut qu’elle craignait surtout d’être surprise car après tout, cette brève aventure de quelques dizaines de secondes ne lui déplaisait pas. Elle savait qu’elle était sauvée quand l’ascenseur s’arrêtait. Et les rencontres avec Jacques étaient épisodiques, parfois deux fois le même jour, parfois plus d’une semaine sans se rencontrer. Jacques prenait quand même de plus en plus de privautés avec sa jeune voisine, l’embrassant et lui pelotant les fesses et les seins. Il avait d’ailleurs toujours une caresse pour les seins.


L’hiver avait passé. Monique ne portait plus de pantalons mais des robes ou des jupes. Jacques appréciait et ses mains ne se contentaient plus de caresser les seins à travers l’étoffe mais il entrait maintenant les mains dans le corsage et parfois, selon que le soutien-gorge était serré ou un peu plus lâche, il arrivait à emprisonner un globe dans sa main. Toujours en moins de trente secondes, le temps pour l’ascenseur de monter les six étages…


Monique était toujours aussi surprise à chaque fois mais se défendait de moins en moins car ce jeu somme toute innocent ne lui déplaisait pas. Surtout que Jacques ne se départissait pas d’une courtoisie à toute épreuve, lui tenant galamment la porte, la laissant passer…


Aussi quand un jour, Jacques fit un pas supplémentaire, Monique le laissa faire. Il avait relevé la jupe de Monique et lui avait descendu le slip d’un seul mouvement. Monique avait juste eu le temps de le dégager de ses pieds avant l’arrêt de la cabine. Et c’est en l’enfournant dans son sac qu’elle sortit sur le palier, alors que Jacques lui souhaitait le bonsoir avec une bise. Monique était rouge. Heureusement, son mari n’était pas encore rentré et elle eut le temps de reprendre ses esprits avant qu’il revienne…


Elle pensait souvent à cet épisode et ne rencontra pas Jacques pendant quelques jours. Un matin, alors qu’elle s’apprêtait à entrer dans la cabine, elle entendit la porte de l’appartement de Jacques s’ouvrir et d’elle-même l’attendit. Décidément, elle aimait de plus en plus ces rencontres fortuites et rapides.

Elle décida de faire une surprise à Jacques.

Quelques jours plus tard, alors qu’il avait relevé la jupe et s’apprêtait à nouveau à descendre le slip, il constata qu’elle n’avait pas de slip… Ce fut lui qui fut surpris et il lui tâta les fesses avec fébrilité, n’ayant pas le temps d’aller plus avant.


Monique prit ainsi l’habitude le matin, de mettre le slip dans son sac et de ne l’enfiler que dans les toilettes de son travail. Et le soir, d’ôter son slip en quittant le bureau. Jacques apprécia et prit le temps à chaque fois qu’il la croisait dans l’ascenseur, non seulement de lui caresser les fesses mais de lui caresser le sexe, ses doigts ayant parfois le temps de pénétrer légèrement. Monique appréciait de plus en plus ces moments. Elle cherchait comment les améliorer. Elle trouva une idée sous la forme d’un soutien-gorge agrafé devant. S’il n’y avait personne dans le hall ou sur le palier, elle déboutonnait un peu son corsage et dégrafait le soutien-gorge. Quand Jacques s’en aperçut, il lui sortit littéralement les seins du soutien-gorge, les embrassa et eut même le temps de sucer un peu les tétins avant l’arrêt. Monique eut juste le temps de se rhabiller avant d’ouvrir la porte.


Le jeu dura de longs mois et Monique devint de plus en plus avide de ces rencontres. Un jour, elle prît une initiative. Alors que l’ascenseur venait juste de démarrer, elle se mit à genoux, défit la braguette de Jacques, sortit rapidement le sexe et le mit dans sa bouche. Pas le temps de faire grand chose mais Jacques eut du mal à remettre de l’ordre dans sa tenue…


Monique, qui était malgré tout une bonne épouse et une bonne ménagère, avait l’habitude, chaque soir après le dîner et la vaisselle, de descendre les ordures dans le local au sous-sol. L’immeuble était petit, elle n’avait jamais rencontré personne à cette heure et ne se souciait pas de sa tenue. Elle était le plus souvent en tenue d’intérieur ou en peignoir. Il lui vint l’idée de prévenir Jacques. Et un soir, quand elle entra dans le local à poubelles, elle eût la surprise de le trouver. Ils ne perdirent pas de temps, elle ouvrit son peignoir et Jacques vit qu’elle était nue dessous. Il sortit son sexe, la souleva légèrement et sans plus de façon, la pénétra. Ce fût bref et intense. Il éjacula après quelques va-et-vient et Monique sentit le sperme chaud dans son vagin. Il glissa la main jusqu’à son clitoris, le titilla quelques secondes et eut juste le temps de lui mettre la main sur la bouche afin qu’elle ne donne pas l’alerte dans tout l’immeuble ! Ils remontèrent ensemble dans l’ascenseur ; elle sentait le sperme qui sortait de son vagin et commençait à couler à l’intérieur de ses cuisses ; il l’embrassa une dernière fois et ils rentrèrent chacun chez soi.

Son mari l’entendit parler sur le palier et quand elle entra, il lui demanda :



Puis, avisant le peignoir de sa femme, lui fit remarquer qu’elle était imprudente de descendre dans cette tenue.



Puis elle alla dans la salle de bain ; décidément le sperme coulait et descendait de plus en plus…