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Temps de lecture estimé : 29 mn
27/08/07
Résumé:  Une rencontre inattendue et une soirée imprévue.
Critères:  fh fhh 2couples complexe lingerie double -initfh
Auteur : The VInce            Envoi mini-message
Drôle de soirée

Mardi 14 août. Je viens de finir d’installer les suspensions dans l’appartement. Cela fait quatre jours que je vis cloîtré ici, à monter des meubles et tout préparer pour le déménagement prévu dans deux jours. Plus que quelques menus bricolages, stores et rideaux principalement et ce sera enfin prêt. Mes filles finissent leurs cartons dans notre ancien logement aidées de leur mère.


Je suis fatigué, physiquement éreinté. Une bonne douche et ensuite je vais faire quelques courses pour tenter de dîner dignement. J’ai hésité à sortir dans un petit resto pas trop loin, mais dîner seul, à la recherche d’une autre âme esseulée n’est pas toujours très réjouissant.


Je profite de l’eau chaude qui ruisselle sur mon corps, un vrai bonheur, simple mais profond. C’est détendu que je m’habille lentement, profitant de la fraîcheur du soir.


Ah, la joie de vivre à Paris ! Avec ses monop’ ouvert jusqu’à minuit pour les retardataires et les oublieux. Je prends mon temps pour choisir mon repas, regardant de manière tout aussi attentive les différents emballages et les jeunes femmes choisissant un repas pour une personne.


Au détour du rayon surgelé, je la vois. Une femme brune, élancée, la trentaine. Elle n’est pas habillée sexy mais une classe naturelle se dégage de sa silhouette. Malgré cela elle a une apparence « fade » sans doute due à sa manière de s’habiller et à une certaine froideur apparente. Je m’approche et regarde également les plats proposés. Je l’entends marmonner, apparemment énervée, pendant qu’elle cherche son repas. Je ne peux m’empêcher de lui adresser la parole :



Elle lève un regard sévère vers moi, visiblement agacée.



Ses yeux, l’instant d’avant froids et sévères, s’embuent de larmes et c’est d’une voix à demi sanglotante qu’elle précise :



Je souris doucement, pas un sourire moqueur, juste de la compassion.



Je la regarde avec douceur et prenant ma respiration, me lance :



Elle tend la main pour saisir ma carte, qu’elle lit d’un regard rapide.



Je lui souris en m’éloignant pour finir mes courses.


***



Je suis en train de ranger mes courses dans le frigidaire lorsque mon portable sonne. Je souris en regardant s’afficher un numéro inconnu, la belle n’a même pas pris le temps de rendre son appel anonyme.



Il y a comme un flottement au téléphone.



J’entends pour la première fois son rire, cristallin.



La communication est coupée. Je pose mon téléphone et continue à ranger mes courses, tout en réfléchissant à ce que je vais manger ce soir parmi mes victuailles.


***


J’ai une purée écrasée à la main en train de chauffer au micro-onde, et mon tournedos prêt à se jeter dans la poêle pour une cuisson minute, lorsque mon portable sonne à nouveau. Sur l’écran je vois apparaître « Lisa » (et oui, j’ai mémorisé son numéro, on ne sait jamais.)



Cette conversation m’amuse car elle ne peut répondre directement à mes questions. Je décide d’en profiter un peu.



Je sens sa voix frémir lorsqu’elle me répond :



Je range mon dîner dans le frigidaire (heureusement que je n’avais pas encore mis mon tournedos à cuire, j’aurais été obligé de le manger pour ne pas gâcher). Mon téléphone bipe, me délivrant un sms où figure le nom complet, l’adresse, le code de la porte et l’étage de Lisa.


Je prends le temps de m’habiller plus en correspondance avec la tenue de Lisa. Un pantalon à pinces gris anthracite, une chemise en soie bleue. J’attrape mon sac professionnel et je sors de chez moi. J’ai laissé passer une demi-heure environ depuis le dernier coup de fil. Il est temps : en route pour cette soirée de représentation où j’ai l’intention de redonner confiance à Lisa tout en brisant définitivement les élans inquisiteurs de son couple d’amis.


***


La route jusqu’à chez elle ne dure que cinq minutes, juste le temps de fumer une cigarette pour me donner du courage. J’entre le code de la porte, trouve l’escalier B et prends l’ascenseur pour ne pas arriver essoufflé au 5ème étage. Je vois que la porte de droite est entrouverte, je mets donc des clefs dans ma main et ouvre la porte tout en lançant un tonitruant : « Bonsoir ».

J’entre directement dans un salon-salle à manger et je vois Lisa se lever pour venir vers moi. Je profite de cet instant où elle me cache de ses convives pour jeter un œil sur les lieux, faire un peu de repérage.


Elle s’approche encore plus près de moi, visiblement tendue. Je lui souris, laisse tomber ma sacoche à nos pieds, pose mes mains sur ses hanches, les lui caressant et, l’attirant à moi, pose mes lèvres sur les siennes. Je les rends les plus douces et caressantes possibles, attirant son corps contre le mien. Ma langue sort entre mes lèvres et elle entre enfin dans mon jeu, mettant ses bras autour de mon coup. Nos bouches affamées se découvrent. C’est humide, soyeux, chaud. Un début d’érection naît dans mon pantalon et Lisa ne peut l’ignorer. Elle ondule une fois encore puis s’écarte de moi. Elle a les joues rouges. Trop craquante dans cette situation incongrue.



Je saisis ma sacoche et file dans le couloir, partant à la découverte des pièces : une salle de bains, la cuisine, un petit bureau et la chambre dans laquelle je m’attarde afin d’accumuler un maximum d’indices sur ma nouvelle fiancée. Je laisse ma sacoche dans la chambre, et rejoins lentement le salon.


Je les entends parler à voix basse. Les deux amis ont l’air excité et Lisa s’amuse à ne pas vraiment répondre à leurs questions. J’entre et m’approche des convives :



Ils se lèvent tous deux et Lisa fait les présentations. Luc (un homme sec et mou, mal habillé) et Sylviane (une blonde décolorée, serrée dans un tailleur pantalon trop petit et passé de mode, un brin vulgaire). Je sens que le jeu va être facile. Je leur souris, m’excusant de mon retard, dû à une visite chez ma mère après mon travail.


Ils se rassoient et comme le salon est petit, je prends place dans un fauteuil en invitant Lisa dans un geste à venir s’asseoir sur mes genoux. J’en profite pour l’entourer de mon bras dans une position visiblement amoureuse. Je glisse ma bouche dans son cou, remonte en la parcourant de bisous légers et lui murmure à l’oreille :



Elle rit comme si je l’avais chatouillée par mes baisers légers.


Sylviane demande comment nous nous sommes rencontrés. Je jette un œil à Lisa et lui dis :



Elle se lance :



Je décide de reprendre la main.



Tout en décrivant la scène je regarde régulièrement Lisa qui est de plus en plus rouge. Ma main caresse sa hanche lentement, s’insinuant maintenant sous son chemiser sage.



Sylviane semble en fureur contenue. Elle veut s’attaquer à Lisa. Elle a du mal à admettre que celle-ci puisse avoir séduit un homme comme moi, qui lui semble tout à coup bien plus intéressant que son Luc, assis mollement à côté d’elle et ne captant pas grand-chose de nos échanges. C’est elle qui reprend :



Je sens Lisa se tendre sur mes genoux à cette question. La mise en concurrence proposée par Sylviane la met visiblement mal à l’aise.



Je fais une pause, le temps que mes mots touchent. Sylviane a du mal à encaisser le coup. Elle fulmine et Lisa se détend à nouveau, son corps encore plus en contact avec le mien.



En même temps que ces derniers mots, j’ai remonté ma main pour faire sauter les deux boutons du haut du chemisier de Lisa, qui jusque-là était fermé jusqu’au cou.



Je me tais et redescends lentement ma main, effleurant la poitrine de Lisa. Je la sens respirer plus fort, se détendre par rapport à la situation mais aussi se tendre d’une autre forme de tension, plus intime.


Sylviane reste coite devant ce spectacle. Elle semble abattue car cela ne se passe pas du tout comme elle l’aurait voulu.



Luc se tait, mouché par les mots de sa compagne.



Sylviane se renfrogne un peu plus, mais elle est vraiment touchée, blessée de perdre la supériorité qu’elle avait sur sa collègue et qui lui permettait de se rassurer elle-même.


Lisa elle, semble s’être redressée. Ses épaules sont moins voûtées que tout à l’heure et elle se trémousse doucement sur mes genoux au rythme de mes doigts sur sa hanche.


Sylviane, qui ne veut s’avouer vaincue, reprend :



Je souris franchement lorsque je réponds :



Je sens que la situation m’échappe, mais je me tourne en riant vers Lisa, l’embrasse dans le cou et dit, en m’adressant à elle :



Lisa est à nouveau tendue, elle me regarde dans les yeux. Elle a peur que le stratagème soit démasqué. Ma description est loin de la réalité visible au quotidien dans le cadre du travail, mais peut-être pas si éloignée de ses envies intimes. Elle me sourit, apparemment l’air confiante, pose sa main sur ma joue, m’attire vers elle, nous nous embrassons fougueusement. Ma main sur sa hanche se crispe, froisse son chemisier, le remonte un peu laissant deviner la peau du ventre plat à ses invités. Nos bouches se séparent et la sienne glisse à mon oreille ou elle susurre :



Je me retourne vers Sylviane et ajoute :



Je me retourne vers Lisa et d’un ton doux mais sans appel lui dit :



Elle se lève, un peu hésitante, mais disparaît dans la chambre. Pendant ce temps je me contente de regarder nos invités. Sylviane est visiblement encore aigrie et énervée par la « transformation » que j’ai décrite et qui semble lui renvoyer quelque chose d’insupportable. Luc, lui, est attentif au couloir, guettant le retour de Lisa. Je ne dis mot. Sylviane a du mal avec le silence :



Le visage de Luc s’illumine d’un coup, je sais que Lisa reviens. Je me force à ne pas me retourner et tend la main sur le coté. Elle vient s’y accrocher. Je la regarde enfin, malgré sa timidité, elle semble plus sûre d’elle.



Je la découvre en même temps que je la décris et je dois dire que le spectacle est encore au-delà de mes attentes.



Lisa s’exécute après m’avoir lancé une œillade mi-amusée, mi-inquiète.



Je laisse passer un temps, puis dis :



Lisa se redresse, me sourit et dit :



***


Nous dînons tranquillement. Lisa n’est plus le sujet de conversation, elle se détend, rayonnante dans son ensemble en dentelle. Je continue à jouer mon rôle d’amoureux en la caressant le plus souvent possible lorsqu’elle passe près de moi, mais aussi en lui disant régulièrement combien elle est belle et désirable.


Les sujets de conversation sont variés et Luc participe pleinement. Sylviane, elle, est sur la réserve, toujours renfrognée depuis l’apéritif. Lisa rit de plus en plus souvent, détendue. Elle semble apprécier les regards de Luc et moi-même sur elle, et n’en rougit plus.


Arrivés au dessert, je dois avouer que je n’ai plus qu’une hâte, c’est que les invités s’en aillent pour me retrouver en tête à tête avec Lisa.


C’était compter sans Sylviane qui ne s’avouait pas vaincue.


***


A la fin du repas nous sommes retournés nous asseoir dans le salon et Lisa a proposé des cafés qui ont été acceptés. Elle est partie vers la cuisine avec trois paires d’yeux plantés dans le dos et les fesses parfaitement coupées par son string.


Sylviane s’est alors tournée vers moi et a réattaqué :



Je me sentais un peu coincé et Lisa n’étant pas là, il m’était difficile de savoir si le jeu allait trop loin pour elle, ou non.



Ouf, quelques secondes de gagnées par ce retournement de situation. Suffisantes pour que Sylviane réfléchisse et que Lisa revienne avec le café en demandant :



Lisa a rougi. Je n’arrive pas à déterminer vraiment si c’est de timidité ou d’envie. Elle pose le café et vient naturellement s’asseoir sur mes genoux. Elle pose sa main dans mon cou et m’attire vers elle. J’ai la joue en contact avec le bonnet de sa guêpière. Je la sens plus chaude que je ne l’aurais cru et j’ai envie d’en profiter un peu.



Cette fois c’est au tour de Sylviane d’être toute rouge, et Luc, qui a les yeux écarquillés, semble vouloir plus de détails.



Je sens Lisa s’installer mieux sur mes cuisses et je pose ma main directement sur le haut de sa jambe, commençant à la caresser doucement alors que je démarre mon récit :



Luc est rouge pivoine et semble très excité au vu de la bosse dans son pantalon. Sylviane est plutôt verte de rage. Elle semble convaincue et maintenant envieuse et jalouse d’avoir été reléguée au second plan, aussi au niveau sexuel. Elle dit :



Mais celui-ci n’est pas de cet avis :



Malgré mes paroles, ni l’un ni l’autre ne bougent un cil.


***


Je me tourne alors vers Lisa, l’embrasse dans le cou puis déclare :



Elle me regarde en souriant, le rose aux joues et tire doucement sur la fermeture-éclair située sous le bonnet, au niveau de la baleine. Le bonnet se détache du corset et elle le jette au loin. Elle fait de même avec le deuxième, découvrant ses seins, petits mais fermes, les pointes dressées.



Je suis surpris de voir Lisa entrer si facilement dans notre jeu ; peut-être le sentiment d’avoir enfin vaincu la situation avec ses collègues. Je murmure à son oreille :



Elle me répond dans un souffle :



Je suis ému de ses derniers mots et c’est lentement que je l’invite à se lever.



Lisa, comme dans un rêve s’exécute. Elle lance un CD sur sa chaîne et commence à onduler sur la musique. Elle fait lentement rouler ses bas et les retire en les jetant à l’autre bout de la pièce. Puis elle me regarde dans les yeux, tandis qu’elle se débarrasse de son string. Je découvre son mont de venus, parfaitement bien entretenu pour une jeune femme à l’air si prude. Me serais-je trompé de bout en bout ?



Lisa sourit maintenant et se retourne vers nos invités, me montrant ses fesses et l’entrée de son vagin visible entre le haut de ses cuisses naturellement écartées. Je l’invite à déboutonner le pantalon de Luc et à le lui enlever. Elle s’exécute et découvre une queue longiligne. Elle semble la trouver à son goût et commence à la sucer en suivant les rythmes que j’avais décrit un peu plus tôt dans mon récit. Je me lève et viens me placer derrière elle. Je commence à la préparer.


Lentement, la pointe de ma langue part à la découverte de ses chairs intimes, si longtemps délaissées. Je trouve l’entrée de sa grotte, humide d’un désir certain. Je joue un temps sur ses lèvres, son clitoris gonflé, puis monte titiller de la pointe de ma langue son périnée puis finalement son anneau. J’avais raison dans mon récit précédent, celui-ci palpite sous ma langue. Il s’entrouvre, je lèche les chairs intimes, Lisa soupire et Luc aussi, dont la verge est maintenant dressée fièrement.



Lisa se redresse, place ses jambes de part et d’autre de celles de Luc et pose ses genoux sur le canapé. Luc en profite pour venir lécher ses seins, titiller ses tétons avec ses dents et sa langue. Lisa saisit le vit de Luc et le place bien vertical. Elle s’empale dessus lentement. Je vois ses lèvres qui épousent la bite de Luc déjà tendue à l’extrême. Je sens Sylviane bouger, sur le côté, elle s’est dépoitraillée et joue avec ses seins volumineux, l’autre main posée sur sa chatte à travers son pantalon.



À ces mots elle déboutonne son pantalon et le retire en même temps qu’un affreux string a paillettes. Son sexe est béant, rouge et gonflé. Il n’est pas épilé et elle a une pilosité abondante.


Je me retourne vers Lisa qui coulisse lascivement sur le pieu tendu de Luc. Elle a les yeux fermés et savoure cette intromission de chair dans son antre.



En attendant, j’ai posé ma main sur les fesses de Lisa qui continue ses mouvements lents et profonds. Un doigt s’insinue dans sa raie et vient jouer sur son anneau. Cette fois je la pénètre. Elle gémit et se tend, reculant pour que mon doigt s’enfonce davantage en elle. Elle continue à coulisser, apparemment mon doigt lui fait de l’effet.



Je m’approche donc de Sylviane qui écarte les cuisses et s’approche de ma bite pour l’engloutir. Elle se met à me pomper ardemment comme si elle voulait me voir éjaculer au plus vite dans sa bouche. Je la retiens par les cheveux, lui imprimant un rythme plus calme et plus sensuel :



Sylviane s’applique maintenant à me faire gonfler, plutôt qu’a me faire jouir. Elle comprend à mes gestes sur sa tête et ses cheveux ce que j’attends d’elle. Pendant ce temps je continue à faire coulisser mes doigts dans l’anus de Lisa, de plus en plus ouvert.



Je me dégage de la bouche de Sylviane et viens poser mon gland imprégnée de salive sur le périnée de Lisa. Elle est surprise et dit :



Elle creuse les reins et mon gland, gonflé par la fellation de Sylviane, se pose sur son anneau. Bien préparées, ses chairs s’écartent pendant que mon gland s’insinue en elle. Je la sens cependant tendue, et je lui caresse le creux des reins, les hanches et la taille. La douleur semble se calmer et elle recommence a pousser vers moi pour s’enfoncer mon pieu plus profondément. Me voici enfin tout entier en elle. Je commence à reculer lentement. Lisa ne bouge plus sur la bite de Luc, me laissant imprimer ma marque dans son conduit jusqu’à aujourd’hui inviolé.


Sylviane s’est redressée pour mieux voir cette double pénétration et je vois que sa main s’est égarée sur son anus et joue avec.



Lisa est maintenant détendue et je commence à bouger en elle avec de grands mouvements, amples et profonds, très lents. Elle recommence a bouger pour venir au-devant de ma bite et sentir celle de Luc dans son vagin. Parfois nos mouvements sont concomitants parfois décalés, mais chaque mouvement fait soupirer Lisa qui gémit de plus en plus fort. Sentant que sa jouissance monte, j’accélère mes mouvements. Je la sens décoller et décide de me retirer, laissant son anus béant. Elle gémit de frustration m’intimant l’ordre de venir la combler. Je m’exécute de bonne grâce, retrouvant ma place, bien au chaud dans son conduit étroit. Cette intromission profonde et rapide lance le début d’un orgasme foudroyant. Lisa crie sa jouissance dans un feulement puis s’écroule entre nous, terrassée.


Sylviane, allongée de dos sur le canapé, a maintenant deux doigts plantés dans son anus et, voyant que le spectacle est fini, réclame elle aussi qu’une bite la remplisse. Luc demande à Lisa de se retirer et vient se placer entre les cuisses de sa copine. Il dirige sa bite luisante des sécrétions de Lisa sur l’anneau de Sylviane. Celle-ci rechigne et dit qu’elle ne veut pas. Luc place son pouce sur le clitoris de Sylviane et commence à jouer avec, la faisant gémir. Puis, sans ménagement, il introduit sa verge dans le conduit anal de sa copine qui crie de douleur et d’excitation mélangées.



Lisa ne réfléchit même pas et se précipite sur sa copine qu’elle se met à lécher. Sylviane est surprise mais bien vite elle pointe la langue et se met à jouer avec la vulve qui se présente au-dessus d’elle. Lisa essaye de modérer les ardeurs de Luc qui, ralentissant un peu le rythme, donne davantage de plaisir à Sylviane. Celle-ci en remercie Lisa en jouant de plus en plus tendrement avec son clitoris. Mon gland se présente devant les yeux de Sylviane qui est aux premières loges pour le voir se poser sur le périnée de Lisa. C’est elle qui de sa main vient guider mon vit vers l’anus encore ouvert de Lisa. Je pousse et m’introduit facilement en elle.


Je peux me concentrer sur mes sensations car je sais que Sylviane participe à la jouissance future de Lisa. Je varie donc les mouvements, appréciant le conduit serré sur ma verge. Je sens parfois une contraction plus forte lorsque les coups de langue de Sylviane se font plus précis. Je commence à accélérer lorsque Lisa se met à geindre et a crier :



Ah, ces mots crus dans sa bouche si tendre. J’accélère mes mouvements au diapason de Luc et c’est quasi simultanément que les deux belles partent dans un râle de bonheur. Luc prévient qu’il va gicler et se tétanise dans le conduit de Sylviane.


Les corps de mes trois nouveaux amis se relâchent. Leur bien être est visible.


Lisa bouge un peu et s’aperçoit que ma bite toujours raide est encore bien plantée dans son antre. Elle commence alors à onduler, à reculer et avancer.



Je commence alors des mouvements amples et réguliers. Ils sont profonds, mon intromission est complète dans son anus. Lisa n’a plus d’autres sollicitations que ma verge dans son conduit, mais elle recommence à gémir, me demandant d’aller plus fort et plus vite. Je m’exécute, sentant le sperme monter dans ma verge. Elle feule maintenant et dit qu’elle sent ma bite tressauter en elle et qu’elle veut me sentir gicler. Je n’arrive plus à me retenir et dans un dernier mouvement j’éclate au fond de son ventre, me répandant en de nombreuses giclées. Lisa a crié en même temps que moi.


Je profite d’être encore un peu raide pour me retirer. Lisa se retourne et m’embrasse fougueusement. Je lui rends son baiser torride. Puis elle me déclare, dans un souffle à l’oreille :



Quelques temps plus tard, Sylviane et Luc, après s’être rhabillés, se retirent. Je me retrouve seul avec celle pour qui j’ai été le petit ami d’un soir, toujours nus… ses yeux plantés dans les miens, pleins de points d’interrogation.