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n° 11661Fiche technique9095 caractères9095
Temps de lecture estimé : 6 mn
28/08/07
Résumé:  Je rencontre un homme deux fois plus âgé que moi...
Critères:  fhh hplusag médical -totalsexe -h+medical
Auteur : Claire      

Série : Claire de lune

Chapitre 02
Vive la vie

Je m’appelle Claire, j’ai vingt-trois ans et je suis infirmière depuis deux ans dans une clinique en Normandie.


C’est en septembre 2005, alors que je sortais d’une histoire d’amour qui m’avait laissée le cœur brisé en mille morceaux, que j’ai rencontré Marc, quarante-deux ans, hospitalisé après un accident de voiture. Il avait les deux bras dans le plâtre et la tête déguisée en œuf de paques suite à un traumatisme crânien. Malgré la situation ridicule dans laquelle il se trouvait (il fallait le faire manger, le laver, lui faire faire ses besoins), il me faisait un rentre-dedans pas possible et je trouvais cela rigolo. Il avait le mérite de me faire rire, après un mois et demi de dépression.


Au début, mes soins étaient totalement médicaux, mais les jours passant je suis rentrée dans son jeu, l’allumant verbalement quand je répondais à ses allusions ou lui permettant d’apercevoir un bout de sein ou de fesse, et bien sûr, je le laissais sur sa faim. Quatre jours de ce traitement et il a taché les draps sans les mains. Je n’étais pas peu fière de moi ! Il faillit commettre l’irréparable en me proposant une somme d’argent pour que je le décongestionne un peu, ce que je refusai bien sûr, lui répondant que je n’étais pas une pute.



Joignant le geste à la parole, j’inscrivis mon numéro de portable sur son plâtre et je retirai mon slip pour le lui passer sous le nez. Résultat, il déchargea contre mon bras. J’ai passé les doigts dessus avant de les porter à la bouche. Il était à la limite de la syncope. C’était la dernière fois que je le voyais à l’hôpital car il sortit deux jours plus tard alors que j’étais en RTT.


J’eus de ses nouvelles trois semaines plus tard, alors qu’honnêtement je l’avais presque oublié, parce qu’il me demanda si ma proposition de dîner avec lui était toujours de mise. Je savais pourtant que la seule chose qui l’intéressait était de me sauter, mais j’acceptai quand même, soignant même particulièrement l’emballage. Je fus agréablement surprise : tout d’abord il avait sorti le grand jeu, bouquet de roses, belle voiture, super restaurant et pour ne rien gâcher il était d’une très bonne compagnie, drôle et charmeur. Peut être que vous aurez du mal à le croire, mais ce soir-là j’ai dormi toute seule dans mon lit !


Je vais quand même vous le décrire : il a quarante-deux ans, il est brun, mesure un mètre soixante-quinze, est divorcé depuis deux ans, a plutôt une allure sportive et, cerise sur le gâteau, il est plein aux as. Je l’ai eu plusieurs fois au téléphone et je me suis permis de lui demander s’il n’avait pas eu envie de moi après le restaurant. À quoi il répondit qu’il en salivait depuis qu’il était sorti de l’hôpital, mais qu’il voulait que ce soit spécial et désiré par les deux. Il ne fit pas les choses à moitié, m’invitant pour six jours à l’île Maurice en pension complète. Il eût pour seule réponse de ma part qu’il avait intérêt à prendre des vitamines s’il ne voulait pas rentrer avec Europ Assistance.


Hormis le vol mortellement long, pour le reste rien à redire, cadre et hôtel exceptionnels. Il a eu droit à la plus grosse pipe de sa vie, je l’ai vidé trois fois de suite dans ma bouche et pour obtenir un tel résultat, je peux vous assurer qu’il faut bien plus de cinq minutes. Nous sommes allés dîner, et je lui ai glissé à l’oreille de ne pas oublier de faire sa provision de capotes.


Il a pu enfin me voir nue le soir au bord de la plage et je crois que le spectacle lui a plu car après avoir mis son plastique, il éjacula après quatre ou cinq va-et-vient. Vous devez trouver cela décevant mais ce n’était pas le cas, car presque aussitôt il rebanda et me baisa beaucoup plus longuement. Je sais aujourd’hui avec l’expérience qu’on ne devient un bon amant qu’après avoir tiré la première bordée.


Cette semaine-là il m’avoua avoir fait l’amour plus souvent avec moi en cinq jours qu’avec son ex-femme les cinq dernières années de son mariage. Et même pour moi je peux vous garantir que ce fut intense. Je fais l’impasse sur les parties de jambes en l’air dans la chambre, car celles en mer, à deux pas des baigneurs, celle au milieu de la piscine ou encore celle en plein marché de Port Louis derrière un petit muret, furent d’un tout autre calibre.


De retour en France, il voulait que j’emménage avec lui dans sa belle maison mais j’ai refusé. J’étais d’accord pour la baise, mais rien pour le reste et s’il ne comprenait pas il fallait qu’il passe son chemin. On s’est très bien accommodé de cette situation, car cela fait plusieurs mois que notre histoire dure, il a à sa disposition trois trous dont il use et abuse plusieurs fois par semaine, et il me couvre de cadeaux. Il est assez fier de s’exhiber avec sa jeunette aux gros nichons, qu’il sait habiller pour la rendre désirable, sans compter sur mon côté garce pour amplifier la chose.


Ce que j’apprécie énormément chez lui c’est sa classe et sa fantaisie quant aux lieux où il me fait l’amour : très rarement dans un lit alors que le sien comme le mien sont vides et confortables, mais dans un parking souterrain, sous un pont qui enjambe la Seine, en voiture en pleine forêt ou sur une aire d’autoroute et j’en passe… Il s’est rendu compte qu’en attisant mon côté exhibitionniste il en récolte les fruits immédiatement. Je sais aujourd’hui que le fait qu’on me regarde ou qu’on risque de me surprendre faisant l’amour décuple mon plaisir.

Je n’ai qu’un regret : j’adore Marc avec qui je m’épanouis, mais je n’en suis pas amoureuse.


Marc et moi couchons ensemble depuis plusieurs mois, et mon côté exhibitionniste m’a petit à petit entraînée vers l’amour multiple. J’y avais déjà goûté quand j’étais un peu plus jeune, mais cela n’avait eu qu’un caractère exceptionnel. Aujourd’hui cela fait partie intégrante de ma sexualité, au même titre que la fellation ou la sodomie. Cela a commencé un jour que nous faisions l’amour près d’un parc en limite de la ville. Pour pimenter la chose, on avait laissé les vitres baissées et ce qui devait arriver arriva. Alors que j’étais en train de sucer mon homme, les fesses relevées à hauteur de la vitre passager, je sentis deux mains remonter le long de mes cuisses. Je me suis immobilisée, mais Marc m’a doucement posé la main sur la tête, me signifiant ainsi de continuer. Il a tendu un préservatif à l’inconnu, qui m’a tout simplement enculée comme je l’aime, avec rudesse et vigueur. D’ailleurs au moment où j’ai joui, car oui, j’ai souvent des orgasmes anaux, Marc a bien senti mes dents contre sa bite, il en a même profité pour m’arroser les amygdales. L’homme a disparu, je ne l’ai même pas vu, Marc a remonté les vitres et nous sommes partis chez lui pour finir.


Là, il me raconta que je m’étais fait prendre par un jeune, après c’était un Noir et finalement un clochard… En définitive, je ne sais toujours pas aujourd’hui qui a profité de la chaleur de mes fesses et c’est le cadet de mes soucis. La seule chose importante que je sais, c’est que cela a stimulé suffisamment notre libido pour faire l’amour la moitié de la nuit.


La fois suivante, c’était sur une aire d’autoroute en rentrant de Paris, à la différence fondamentale que c’était ma tête qui dépassait de la vitre et que c’était le sexe de Marc qui me fouillait le fondement et comme vous pouvez vous en douter, c’est ma bouche qui servit à vider les couilles d’un gros barbu qui faisait des commentaires assez vulgaires sur mes qualités de suceuse, commentaires qui ne manquèrent pas de motiver mon hommes qui sortait intégralement de mon petit trou pour s’y enfoncer ensuite comme j’aime.


L’homme en aurait voulu plus, mais nous sommes partis assez rapidement, chez moi cette fois-là où j’ai tendu à Marc deux paires de menottes, souvenir d’un été épique, pour m’attacher à poil aux barreaux du balcon. Il ne faisait pas franchement chaud, j’avais la chair de poule et les tétons tendus au possible, mais il m’a prise en levrette tout en me coinçant un gode entre les fesses. S’il ne m’avait pas mis la main devant la bouche, j’aurais réveillé la moitié du quartier.


Il est impensable pour moi de recommencer cela chez moi, car j’imagine assez mal la réaction des voisins, déjà qu’avec les tenues que je porte parfois pour sortir, ils sont sûrs que ce n’est pas pour aller à l’église…


La suite à venir.


Bisous.


Claire