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n° 11669Fiche technique19231 caractères19231
Temps de lecture estimé : 12 mn
30/08/07
Résumé:  Nos deux jeunes héros se font surpendre en pleine séance de branlette, pour le pire ou le meilleur ?
Critères:  hh fhh jeunes inconnu copains bain fmast intermast fellation -inithf -inithh
Auteur : Jobix

Série : Baignades

Chapitre 03 / 05
Pris en flagrant délit

J’avais passé un début de nuit agité, partagé entre un désir de plus en plus marqué et par cette évidence, du moins le pensai-je, que je devenais « pédé ». Il me fallait penser alors à cette femme que nous avions admirée, nue en train de se masturber, pour recouvrer une certaine raison, et me dire que finalement je n’avais ces attouchements avec Alexandre qu’en raison de mon abstinence forcée auprès des filles. Mais qu’en était-il de lui ? Sa façon d’insister me troublait profondément et pourtant rien d’autre en lui n’indiquait qu’il avait des penchants homosexuels. J’avais tout de même l’impression de commettre des actes répréhensibles, ne pouvant imaginer qu’on pouvait à la fois adorer les filles, leur faire l’amour et aimer toucher la bite de son meilleur copain. Pour me distraire de ces divagations érotiques qui me faisaient à nouveau bander dans mon lit, un violent orage éclata qui me fit penser que notre belle inconnue ne viendrait probablement pas à notre « rendez-vous », si le temps était aussi pluvieux.


Par bonheur, le lendemain, une petite brise chassa les nuages, le soleil sécha le paysage et nous apporta une chaleur somme toute agréable, sans être aussi forte que la veille. Alexandre et moi décidâmes donc de retourner à notre poste. Avant de partir, malgré mes réticences, il me força à aller acheter une revue pornographique chez notre libraire. Il prétexta que notre attente pourrait être longue, voire vaine, et que cela nous ferait de la bonne lecture. J’étais cramoisi de honte lorsque je présentai la revue à la caisse. Le libraire fit comme si de rien n’était, comme si je lui présentai un magazine anodin. J’étais soulagé à la sortie de constater que personne de ma connaissance ne m’avait vu avec.


Arrivés sur les pentes de la rivière, nous nous sommes installés comme d’habitude de manière à ne pas être vus lors de son arrivée. Le sol était sec et nous attendîmes allongés, à l’affût, parlant de tout et de rien en évitant d’aborder le « sujet ». Au bout d’une heure, il fallut se rendre à l’évidence qu’elle ne viendrait plus et nous décidâmes de nous baigner. Comme la veille nous nous déshabillâmes. Je décidai de tourner le dos à Alexandre pour éviter toute tentation, et à peine fus-je nu que je me jetai à l’eau pour effectuer les quelques brasses que permettait l’exiguïté du bassin naturel que faisait la rivière à cet endroit. Alexandre prenait son temps, et je fus très surpris de le voir se baigner en bermuda. Je ne sus qu’en penser, sinon que ça semblait marquer la fin de nos aventures sexuelles communes, ce qui satisfaisait ma pudeur. Pourtant, au plus profond de moi, j’étais un peu déçu.


Nous avions amené nos serviettes et je m’allongeai le premier sur la plage pour me sécher et je m’assoupissais en essayant de penser à autre chose qu’à mes lèvres sur son sexe. Soudain un froid humide m’envahit : Alexandre s’allongeait sur moi, tout mouillé. Je le repoussais violemment en jurant, ce qui le fit rire. Je compris, un peu piteux que ce n’était qu’une blague pour lui.


Il tomba alors son bermuda, exhibant tranquillement son sexe au repos et s’allongea sur le dos, sa serviette à côté de la mienne. Il attrapa la revue et commença à la feuilleter. J’ignorai avec superbe sa lecture. Pourtant au bout d’un moment il me montra une photo en double page :



Je ne pus résister à la tentation de regarder et vis alors le poster qu’il me présentait. La fille était brune, les yeux bleus, la poitrine abondante comme il se doit, exhibant son sexe entièrement épilé, avec un sourire à faire fondre.



Sans hésiter il posa la revue devant nous, se mit sur le ventre à mon côté pour que nous la regardions ensemble. J’eus le temps de voir qu’il bandait, et je ne sais ce qui entre la photo ou cette vision fugitive provoqua aussitôt mon érection. Il feuilletait lentement la revue, sans commentaires déplacés, ce dont je lui fus gré. Les photos étaient souvent vulgaires, mais au lieu de seulement me révulser, elles entretenaient mon désir. J’attendais le moment maintenant inéluctable où nous allions à nouveau échanger des caresses. Il tournait les pages de plus en plus lentement laissant la tension monter. Au bout d’un moment je sentis sa cuisse toucher la mienne, ce qui m’électrisa littéralement. Rien ne se passa d’autre pendant d’interminables secondes, et les sens exacerbés, je décidai de me soulever légèrement pour me dégager et soulager la tension.

Alexandre jeta aussitôt un œil à mon entrecuisse, ce qui lui alluma un sourire mi narquois, mi tendre car je ne pouvais guère lui masquer mon érection. Alors, de voir ses fesses fermes sous mes yeux me donna l’impulsion pour passer une main dessus, cherchant à imaginer que c’étaient celles plus rebondies d’une femme. Le contact provoqua une ondulation de son bassin, comme une invitation à aller plus loin. Je passais en caressant ma main deux ou trois fois sur son cul, puis la glissai entre ses cuisses pour effleurer ses testicules par derrière. Il souleva son bassin pour faciliter ma manœuvre, et il poussa un petit gémissement de plaisir. Je poursuivis cette caresse quelques instants, puis passai la main sur tout son sexe. Le bout était lubrifié et j’essuyais ma paume humide sur ses fesses. Je la repassais dessous, caressant ses bourses, son gland puis j’empoignais sa verge et entamais un lent mouvement de va-et-vient. Mon désir était à son comble et j’espérais qu’il me rende mes caresses, mais il se contentait égoïstement du plaisir que je lui prodiguais. Alors, sans lâcher son membre palpitant, je m’allongeais sur son dos pour pouvoir soulager le besoin pressant de contact de mon sexe tendu comme une arbalète. Immobile, dans cette position je continuai doucement la masturbation que je lui prodiguai.



Un coup de fouet ne nous aurait pas fait plus d’effets que d’entendre cette phrase. Je me retournais maladroitement cherchant à cacher mon sexe d’une main. Alexandre se retourna aussi et nous vîmes alors que cette voix coupante venait de notre belle inconnue de la veille. La stupéfaction et la honte nous paralysaient.



Elle portait un chemisier clair et une jupe ocre qui descendait un peu en dessous de ses genoux. Ses cheveux châtains détachés tombaient sur ses épaules. De près on voyait bien qu’elle avait plus de trente ans mais elle me paraissait irrésistiblement belle.



On était interloqués, et parfaitement incapables de satisfaire sa demande.



Il était vrai que dans la situation piteuse dans laquelle nous nous trouvions, nous avions quasiment débandé.



Comme un perroquet Alexandre reprit :



Nous tombions de haut. Elle nous avait donc repérés. La situation devenait périlleuse. Nous restions silencieux calculant l’ampleur du désastre.



Je la regardais fixement, elle me décocha un sourire déstabilisant, puis je regardai Alexandre qui n’en menait pas large non plus : il fit un mouvement de tête qui semblait me dire d’accepter.


Alors, doucement, je repris son sexe flasque en main, la liqueur séminale mouillait tout son prépuce qui recouvrait maintenant son gland. Je passais alors la main sur le bout ne sachant que faire. Je la regardai comme si je l’implorais, elle semblait captivée par mon geste.



Je me baissai, tendis la langue et léchais son gland. Rapidement son sexe gonfla de nouveau, j’en étais presque fier. Je continuai à baisouiller son sexe, ma main caressait de temps en temps ses couilles, mon sexe reprenait de la vigueur, la mécanique irrésistible se remettait en route. Je m’arrêtais en la fixant.



Elle s’assit alors à proximité de nous, les jambes en tailleur, sa jupe dévoilant le haut de ses cuisses. Elle était toute proche, et je sentais son parfum discret. Je ne pus m’empêcher de jeter un œil sur ses cuisses, et je vis que cela la faisait sourire. Je pris cela pour une invitation et approcha la main de son genou.



Je me demandais comment elle comptait s’y pendre, mais je n’eus pas longtemps à attendre la réponse. Je remis mes lèvres sur son gland et du bout de la langue je léchais son méat. Je retrouvai tout le plaisir de la veille malgré la situation étrange dans laquelle nous nous trouvions. Je tournais la tête et vis qu’elle déboutonnait son chemisier. Tout en continuant mon léchage, je vis qu’elle écartait légèrement les deux pans de son vêtement ce qui dévoila la naissance de ses seins libres de tout soutien-gorge, et cette vision décupla mon érection. Je sentais vibrer Alexandre.



Je n’avais jamais imaginé le faire, mais sans hésiter je mis mes lèvres au bout de son sexe, et l’enfournais. Il était gros et remplissait ma bouche, c’était doux et chaud. Je commençais doucement un geste de succion et de va-et-vient. Alexandre passait la main dans mes cheveux, et semblait apprécier la caresse. Je jetais à nouveau un œil sur ma voisine et vis qu’elle passait la main entre ses cuisses. Devant cette vision j’étais, sans même me toucher, prêt à exploser. Je pouvais voir sa culotte blanche sur laquelle elle passait ses doigts. Au bout d’un moment, elle releva ses jambes, avec élégance elle fit glisser sa culotte jusqu’à ses pieds et la lança à Alexandre qui l’attrapa. Je vis qu’il la portait à son nez pour la renifler. Elle mit alors deux de ses doigts dans sa chatte sur laquelle j’avais une vue imprenable tout en continuant de sucer Alexandre. Elle commença à pousser de petits gémissements. De la voir ainsi, les doigts dans sa touffe, ses jolis petits seins ballottant librement, je n’ai pas pu m’empêcher de me toucher la bite et tout en suçant Alexandre, je me branlais. Le plaisir de Sylvie monta rapidement et elle poussa un cri alors que ses doigts étaient trempés de son désir. La voir ainsi me fit violemment éjaculer sur les jambes d’Alexandre, à un tel point que je n’ai pas eu le temps de réagir quand il jouit aussi dans ma bouche d’un jet puissant. Le sperme emplissait mon palais, et pour éviter d’en avaler plus, je m’écartais et ses autres jets atterrirent sur mon visage.


Sylvie, radieuse, tendit ses doigts humides à sucer à Alexandre ce qu’il s’empressa de faire d’un air gourmand, tandis que je récupérais doucement de cet orgasme formidable. Elle dit : « Allons nous baigner ». Aussitôt elle fit tomber sa jupe montrant sans pudeur ses fesses encore blanches, puis elle enleva son chemisier et se glissa doucement dans l’eau. Nous en fîmes autant sans se faire prier. Après s’être un peu lavés nous jouions dans l’eau à nous asperger, à jouer comme trois vieux copains et copines, Sylvie semblant y prendre le plus grand plaisir. Nous profitions de ces ébats, Alexandre et moi, pour essayer de la toucher tantôt aux fesses, tantôt aux seins, et comme par jeu elle nous évitait. Cette ambiance érotique maintenant notre désir à fleur de peau et quand elle décida de sortir de l’eau pour s’allonger nous avions une folle envie de la caresser pour de bon. Mais indiscutablement, elle avait de l’ascendant sur nous, et nous n’aurions rien tenté sans son approbation.


Elle posa nos deux serviettes côte à côte et s’allongea au milieu de façon à nous laisser de la place de part et d’autre, ce que nous fîmes rapidement. D’être si près d’elle, entretenait mon érection que je dissimulais en restant sur le ventre. Elle nous interrogea sur nous, nos études, ce que nous faisions ici. Elle nous expliqua qu’elle était documentaliste dans une université et que pour ses premiers jours de vacances elle gardait la maison de ses amis partis à l’étranger pour deux semaines. Elle avait besoin d’un peu de calme et de solitude et c’est la raison pour laquelle elle a trouvé cet endroit qu’elle pensait désert.


La conversation se calma, elle se mit alors sur le dos pour faire bronzer son autre face. Alexandre fit de même sans pudeur, la queue raide. Elle ne broncha pas, ni ne m’encouragea à en faire de même et je restais donc sur le ventre, ses seins proches de mon visage, la queue tendue.


Au bout d’un moment de silence, sans prévenir elle mit la main sur le sexe d’Alexandre, et le caressa doucement. J’en étais jaloux, c’en était trop pour moi et je me mis sur le côté pour soulager la pression sur mon pénis et sans doute aussi pour l’exhiber et lui suggérer le même traitement. Elle me regarda avec son sourire craquant, et sa main libre caressa aussi le mien. Dans la position où j’étais, ma bouche était proche de la sienne, alors je me lançai, j’approchai mes lèvres des siennes, et à ma surprise elle accepta ce premier baiser, tout léger. Je me suis retiré et puis j’ai voulu y revenir. Sa main passa alors de mon sexe à ma bouche pour me barrer le passage. Encore une fois elle avait décidé de mener la danse à sa guise.


Elle reprit alors sa caresse sur mon sexe avec une douceur irrésistible. Alexandre qui lui aussi s’était mis sur le coude, entreprit de lui caresser le sein droit qui était de son côté. Elle se laissa faire, je voyais ses tétons durcir et le reste de son corps qui commençait à frémir. Alors je fis comme lui et passais ma paume sur le téton libre. Quel bonheur ! Sa main enserrait mon sexe et ses mouvements devenaient plus désordonnés. Je lui caressais maintenant les deux seins car Alexandre avait délaissé sa poitrine pour embrasser son ventre puis descendre vers son minou. Je le voyais passer la langue sur sa fente, ce qui ne manquait pas de la faire soupirer de bonheur. Je profitai de son extase pour lui voler un nouveau baiser. Nos bouches fermées se soudèrent, nos corps étaient frémissants, j’étais aux anges. Je sentais à travers ce baiser prolongé chaque passage de langue d’Alexandre tellement elle réagissait en rythme avec lui. C’était proprement délicieux et je cherchai à me retenir de jouir trop vite tant mon plaisir était décuplé. Elle accéléra son mouvement et toujours bouche collée à la sienne, je lâchai malgré moi ma semence sur son ventre.


Ce contact déclencha en elle un nouvel orgasme, et au comble de la jouissance, elle attrapa ma tête des deux mains et me couvrit de baisers brûlants. Un peu apaisée, elle se détourna de moi, attira Alexandre vers elle et l’embrassa à son tour. Elle lui prit le sexe, puis l’approcha de sa bouche et entrepris une fellation rapide. À les voir ainsi, je me remis à bander. Très rapidement Alexandre se mit à gémir, annonçant son éjaculation, et à ma surprise, elle garda son sexe en bouche et reçut les jets de sperme. Il coulait autour de ses lèvres, sur son menton, elle se retira nous regarda en souriant, comme si elle était contentée, s’approcha de mon visage et me roula une pelle en me faisant goûter le sperme d’Alexandre, elle se retira et embrassa ensuite mon camarade.


Elle se leva et nous dit tout simplement : « Merci ». Nous nous confondions en remerciements réciproques un peu maladroits, en tout cas déplacés par leur formalisme. En toute simplicité, elle s’approcha de l’eau et commença à se laver le ventre.



Cette phrase semblait marquer la fin des festivités malgré mon excitation très visible, ce qui à nouveau la fit sourire sans autre forme de réaction. Je les imitai pourtant, me rinçai à l’eau de la rivière et je remballai mon engin en pleine forme dans mon short.


Peu de temps après nous enfourchâmes nos vélos, car elle aussi était venue ainsi, et pédalions le cœur léger vers le village. Au premier carrefour, sans prévenir, elle nous fit un signe de la main et nous laissa sur notre gauche, en nous donnant rendez-vous même endroit même heure pour le lendemain. Voilà un début de vacances qui promet, me dis-je alors.